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12/05/2011

Quand on aime, on ne compte pas

 

Un peu de répit au milieu de tout ce désordre ambiant…Cela fait du bien. Demain sera un autre jour.

Le Palais des sports était comble, Michel Sardou nous a fait oublier pendant deux heures, dans l’enthousiasme de son répertoire, la morosité ambiante.

Jeunes, vieux, hommes, femmes, parisiens, provinciaux, actifs, retraités, patrons, ouvriers, fonctionnaires, professions libérales, un public convaincu, fidèle, enthousiaste, de quoi faire « baver »  de jalousie ceux qui craignent de manquer de voix, pour leur élection l’an prochain.

Dominique Baud

Commentaires

Même Michel Sardou que vous semblez apprécier, Madame, tout comme moi d'ailleurs, ne réussit pas à vous faire oublier, ne serait-ce qu'un instant, la politique.

C'est assez impressionnant !

Écrit par : Jean-Jacques Bory | 12/05/2011

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