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09/04/2014

Paris Libéré, ce n'est qu'un début

paris libéré,charles beigbeder,dominique baud,paris,communiqué de presse,ump,udi,modemAprès seulement deux mois et demi d’existence et de campagne, Paris Libéré réalise l’exploit d’obtenir des scores importants dans plusieurs arrondissements, allant jusqu’à recueillir 24,4%, au second tour, dans le VIIIème !

De janvier à mars, les listes issues de la société civile à Paris sont passées de 0 à 6,5% des suffrages, ce qui représente une entrée sans précédent sur la scène politique de la capitale.

Dans le même temps, partout en France, la société civile s’est fait entendre, bien au-delà des mouvements citoyens conjoncturels, et a fait valoir la volonté des Français de plus d’implication directe dans la gestion de leur quotidien et de leur destin.

Charles Beigbeder, chef de file naturel de ce mouvement, n’entend pas s’arrêter en si bon chemin !

Fort du soutien des militants et des Parisiens rencontrés au cours de la campagne : « j’étudie, avec les cadres de Paris Libéré, la suite à donner à cette équipée sauvage ».

19/03/2014

Programme de Paris Libéré pour le 6ème

Télécharger la profession de  foi de Paris Libéré en cliquant sur le lien ci-dessous

Profession de foi Paris Libéré 6ème arrondissement.pdf

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15/03/2014

Interventions des colistiers de Dominique Baud le 12 mars 2014

 dominique baud,paris 6,municipales 2014,intervention,réunion publique,lorraine delafon,gaspard jassef,handicap,patrimoine,culture,jeune,paris libéré,charles beigbederIntervention de Lorraine Delafon sur le handicap à Paris

Le handicap : un sujet important -  porté par Dominique Baud dans son programme -  et que je connais bien professionnellement mais aussi personnellement (enfant de 6 ans handicapé)

Le constat :

De nombreuses actions pour aider les personnes handicapées ont été menées depuis 2005 (loi sur le handicap à obligation d’emploi 6%,  création de la MDPH)

Mais, elles sont insuffisantes et doivent être améliorées de façon concrète notamment à Paris, dont la MDPH a la particularité d’être présidée par un conseiller de Paris (puisque Paris est à la fois un département et une commune)

En effet, être handicapé à Paris, c’est se heurter à des procédures administratives très lourdes et des délais de réponse trop longs.

- Dossiers de demande de prestation trop complexes

- Accueil téléphonique de la MDPH impossible (répondeur) à il faut se déplacer

- Retard dans le traitement des dossiers : 1 an voire plus (conséquence principale à problèmes financiers : exemple)

- Délais de réponse trop longs (ex : obtention d’une carte de stationnement)

C’est aussi rencontrer des difficultés dans la vie quotidienne :

- Accessibilité des moyens de transport parisien (métro, notamment)

- Scolarisation des enfants parisiens en milieu ordinaire à temps complet 

 

L’une des solutions, à mettre en œuvre en priorité

Donner à la MDPH les moyens d’améliorer l’accompagnement des personnes handicapées et de leurs proches dans la gestion administrative de leurs dossiers :

- Mettre en place un accueil téléphonique de qualité

- Nommer un référent identifié par les familles, qui permettrait un meilleur suivi de la personne handicapée au cours du temps. Les personnes handicapées sont souvent démunies devant les difficultés administratives.

- Mettre en place une procédure accélérée pour les dossiers auxquels une réponse doit être apportée en urgence

- Mettre en place un fonds de secours pour pallier les retards de traitement, pour les personnes les plus démunies

 Autres pistes : travaux d’accessibilité des moyens de transport parisiens, embauche d’aide à la vie scolaire dans les écoles afin de faciliter la scolarisation des enfants en milieu ordinaire.

  

Intervention de Gaspard Jassef sur le thème de la culture et du patrimoine


Paris, ton atout est la jeunesse

 

Depuis quelques années, nombre de citoyens tirent la sonnette d'alarme sur l'état des lieux du patrimoine culturel de Paris. Certains monuments, pourtant classés, sont promis à la ruine.

 

Notre patrimoine meurt, s'écroule, s'effrite dans l'indifférence des politiques publiques, alors que d'autres types de financements pour l'entretien du patrimoine sont possibles.

 

Partout en Europe sauf en France, nous assistons à la naissance d'un nouveau phénomène : en effet des villes comme Berlin, Bruxelles, Londres, n'hésitent pas a faire confiance à des jeunes pour la réhabilitation de leur Patrimoine. Ironie du sort, nombre de jeunes parisiens entre 20 et 35 ans partent à l'étranger pour profiter de cette réappropriation du patrimoine par la jeunesse européenne.

 

 On veut trop souvent nous faire croire que les activités liées aux nouvelles technologies font partie des activités préférées des jeunes. Il est vrai que les moins de 25 ans sont nés dans un univers où l'accès à la culture est principalement numérique mais les nouvelles technologies n'ont pas mis fin aux pratiques culturelles, elles ont en revanche profondément modifié la manière de les aborder. C'est en cela que notre patrimoine peut être un facteur d'accès à la culture.

 

 Si vous nous faites confiance aux cotés de Dominique Baud et de Charles Beigbeder, nous présenterons des projets alliant culture et découverte, projets qui contribueront au maintien de notre patrimoine en déclin, les fonds dégagés étant destinés à la restauration et à l'entretien de ces lieux ainsi qu'à la diminution de la précarité des étudiants de Paris.

 

 Nous pensons qu'il y a une autre alternative à la destruction de notre patrimoine et au déclin des galeries dans nos arrondissements.

 

 Le patrimoine est, par définition, un bien dont on hérite de ses ascendants, il paraît donc normal qu'il soit mis à la disposition des héritiers. J'insiste sur le fait qu'il faut s'adapter à notre temps et que notre patrimoine s'inscrit dans l'histoire de Paris, son abandon et sa destruction prive les Parisiens de leur héritage historique et culturel.

 

On peut tout à fait allier culture, plaisir, et intérêt public.

 

 Les jeunes Parisiens sont constamment en recherche de nouveaux lieux d'expression, allant jusqu'à se mettre en danger en organisant des événements dans des lieux illégaux et non sécurisés, alors que, parallèlement, on n'hésite pas à détruire des lieux de culte, des monuments historiques pour les remplacer par des parkings.

 

A Paris nous avons des lignes de métro, des églises abandonnées, des musées, des galeries, qui disparaissent peu à peu alors que dans d'autres capitales européennes on n'hésite pas à faire confiance aux jeunes pour réhabiliter ces lieux.

 

 Soyons, nous, parisiens, les premiers à le faire.

 

 Être jeune ne doit pas rimer avec peur du chômage, précarité, déclassement. Les jeunes veulent changer les choses mais il faut leur en donner les moyens.

 

On vit dans un pays qui n'a pas confiance en sa jeunesse alors que c'est sa principale richesse.

 

Paris n'appartient ni à la gauche, ni à la droite.

 

Paris vous appartient,

 

Alors, votez pour vous !

Intervention de Dominique Baud du 12 mars 2014

Je suis heureuse de vous accueillir dans cet espace emblématique du 6ème et en remercie Julie Bodin, petite fille du propriétaire à l'origine de cet établissement.

 

Qu'est-ce qui nous anime?

Qu'est-ce qui nous distingue des autres?

Pourquoi cette candidature dans le 6ème ?

Quels engagements pour le 6ème?

 

Qu'est-ce qui nous anime?

 

1-La passion de la politique, le désir et le besoin de faire des choses pour les autres, la nécessité de s'emparer de notre destin et de celui que nous voulons pour nos enfants et nos petits enfants.

 

2-La volonté d'agir pour le bien commun, d'être quotidiennement au service des autres, de mettre la famille au cœur de nos préoccupations.

Car, "pour faire de la politique, il faut aimer les gens".

Nous sommes déçus par les partis politiques traditionnels, leur refus de se renouveler dans les personnes et de fait dans les méthodes.

 

C'est ainsi que le seul moyen d'imposer du renouvellement est de se présenter devant les électeurs et grâce à eux, grâce à vous, de changer les choses de l'intérieur.

"Pour changer les choses, il faut d'abord et aussi changer les gens".

 

3-Le souhait de regagner Paris avec des gens compétents plutôt que des gens connus, et en proposant un nouveau mode de gouvernance afin de redonner confiance.

 

 

Qu'est-ce qui nous distingue des autres?

 

Nous sommes des passionnés, mais ne faisons pas de la politique notre métier.

De ce fait, nous pouvons aller jusqu'au bout de nos convictions sans craindre de perdre notre mandat qui est tout sauf alimentaire.

 

Quand je m'entends dire par un élu, qu'il a tout fait au niveau de la culture dans l'arrondissement, que les galeries, c'est lui, je n'ai aucune raison de ne pas le croire.

Sauf lorsqu'arpentant les rues du 6ème et rentrant tout un après-midi dans de nombreuses boutiques, commerces et autres galeries, j'apprends que personne, depuis 6 ans n'a vu un seul élu, n'a eu aucun contact avec la mairie pour trouver des solutions, faire des propositions afin de dynamiser des rues qui se meurent, alors je m'interroge...

 

Demain, élue de l'arrondissement je serai non seulement disponible mais surtout force de proposition avec vous.

Nous voulons redonner la parole aux parisiens et mettre leurs intérêts au cœur des décisions publiques.

Je prends ici devant vous un engagement d'assiduité et de conviction au service du 6ème et de Paris

 

Demain, élue de l'arrondissement et membre du conseil de Paris, je défendrai notre arrondissement auprès du Maire de Paris, que ce soit par ma présence, ma pugnacité et la force de mes convictions.

 

Et je vous vois venir, pourquoi me croiriez-vous? Simplement parce que, Conseiller de Paris au cours de la mandature 2001/2008, mes nombreuses actions, participations et interventions en attestent encore aujourd'hui.

 

Pourquoi cette candidature dans le 6ème ?

 

Je vous propose de mettre mon expérience à votre service.

 

Comment se présente le 6ème arrondissement ?

Un maire, élu dans l’arrondissement depuis 31 ans, maire depuis 20 ans, aimé par certains, contesté par d’autres, mais qui dans l’absolu n’a pas démérité et a obtenu l’investiture de l’UMP.

 

Mais néanmoins, on constate aussi vis à vis de lui, pour des raisons diverses, la lassitude dont je parlais tout à l'heure, le manque de renouvellement, car le cumul des mandats vaut pour le nombre mais aussi pour la durée.

 

Jean-Pierre Lecoq aurait pu reconduire en 2ème de liste, Geneviève Bertrand, aujourd'hui candidate dissidente dans l'arrondissement. Mais certes cette reconduction n'aurait affiché aucun renouvellement.

 

Mais que pensez-vous de l’accord UMP/UDI/MODEM, qui a conduit Marielle de Sarnez à se positionner en 2ème place sur sa liste.

Ce choix est très dangereux et notre candidature peut seule éviter que les électeurs, vous tous, se détournent.

Se détournent de la liste UMP au 1er tour, en s'abstenant

Se détournent pour les mêmes raisons ou d'autres de NKM, tête de liste pour Paris, en s'abstenant

Ou même, se détournent en votant pour une liste extrême.

 

Nous vous offrons une voie alternative et une possibilité ainsi de permettre un renouvellement au moins partiel des membres du conseil d’arrondissement et surtout d'élire quelqu'un d'autre que Marielle de Sarnez au Conseil de Paris.

 

En effet, le 6ème arrondissement compte 3 conseillers de Paris, à ce jour 2 de droite et 1 de gauche.

 

Si vous votez au 1er tour pour la liste de M. Lecoq, vous votez automatiquement pour Marielle de Sarnez,

Or,

-Elle a appelé à voter François Hollande en 2012…

-Elle est réputée par son absence au Conseil de Paris (Wikipédia)

-Elle s’est déjà fait réélire en 2008 pour démissionner en 2010, expliquant manquer de temps pour exercer ses 2 mandats , conseiller de Paris et député européen.

 -Elle ne s'intéresse pas au 6ème, veut simplement un mandat local pour enrichir sa carte de visite voire son portefeuille et qu'elle est à nouveau candidate aux élections européennes de mai 2014.

 

Si, au 1er tour, les voix se reportent toutes sur Jean-Pierre lecoq, elle sera élue mais continuera à briller par son absence et pratiquer la politique de la chaise vide.

Et au conseil de Paris, là où se prennent les décisions, le 6ème ne sera représenté que par le maire de l'arrondissement lorsque ce dernier y siègera.

Par contre, si grâce à vous et pour vous, vous nous accordez votre confiance et votre vote au 1er tour, le 23 mars prochain, la fusion de notre liste avec celle de Jean-Pierre Lecoq me permettra d'être élue Conseiller de Paris et d'y siéger pour vous défendre et défendre le 6ème arrondissement et y être force de propositions et que des représentants de notre liste intègrent aussi le conseil d'arrondissement.

 

Quels engagements pour le 6ème?

 

Un engagement de faire.

Pour faire, il faut y croire, et ne pas passer son temps à se défiler prétextant un manque de pouvoir total.

Car c'est vrai et faux en même temps.

 

Un engagement de disponibilité et de service.

 

Un engagement de transparence, dans les actions, les projets et notamment l'utilisation de l'argent. Il devrait y avoir un adjoint chargé des finances même dans les arrondissements à charge de rendre compte aux habitants, au moins une fois par an. Les finances de l'arrondissement ne doivent rester uniquement à la main du maire.

 

Un engagement de courage sur des convictions fortes. Il faut choisir des élus qui, dans la durée, bannissent les discours et les convictions de circonstances.

 

Cela, je l'ai fait et je veux le refaire pour le 6ème avec vous et avec l'équipe qui m'accompagne.

 

Alors si vous voulez voter pour VOUS

Votez pour la liste "L’Alternative à Droite pour regagner Paris avec Charles Beigbeder"

 

10/03/2014

Regagner Paris avec une équipe nouvelle libre et déterminée

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Dominique Baud - Regagner Paris avec une équipe nouvelle libre et déterminée.pdf

 

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20/12/2013

Deux poids, deux mesures

 

Alors même qu’en France le don d’argent (don manuel) est strictement règlementé même entre parents et enfants

Alors même que pour faire certains achats, le paiement en liquide est possible mais toujours plafonné

Alors même qu’on taxe toujours plus non seulement les entreprises, les commerçants, mais aussi les salariés qui sont aussi contribuables et les épargnants,

Voilà qu’on apprend qu’un des « grands » de l’état, aurait perçu pendant des mois, 10.000€ de primes en liquide.

Et cela se passait au ministère de l’intérieur.

Comment voulez-vous que les français aient encore confiance.

Dominique Baud

04/12/2013

Leçon d’anatomie

Mme Najat Vallaud-Belkacem l’a dit ce jour sur France Info, l’opération de la prostate qu’a subi François Hollande n’a pas altéré « ses facultés de discernement ».Ouf !

On est rassuré. Peut-être sera-t-elle promue ministre de la santé ?

Trêve de plaisanterie… Toujours est-il que je trouve tout à fait excessif la polémique qui est sur toutes les ondes depuis ce matin.

Tous les spécialistes, j’entends les médecins bien sûr, affirment aujourd’hui qu’il s’agit d’une intervention bénigne, fréquente et sans incidence. Je pense donc que c’est un Non Evènement.

Notre crédibilité d’opposant envers le président de la république peut largement s’exercer ailleurs.

Dominique Baud

11/10/2013

C’est loin d’être dérisoire

Né en 1968, 45 ans !!!!, ingénieur, cadre bancaire, élu municipal, conseiller général, député depuis 2012…. Voilà qui est le député dont on parle depuis hier, remarqué pour son attitude inqualifiable et qui heureusement le ridiculise lui, en premier.

Il serait intéressant que M. Le Ray explique le message qu’il a voulu faire passer en caquetant au sein de l’Assemblée Nationale. Ses intentions avouées justifieraient sans doute une sanction bien plus forte que la privation d’un quart de son indemnité parlementaire pendant un mois.

Imaginons qu’un enfant fasse de même à l’école et se moque ainsi de l’un de ses professeurs femme, il risquerait une colle, un blâme, voire même une exclusion. Ses parents seraient convoqués…

Peut-être devrait-on demander aux parents de M. Le Ray ce qu’ils pensent de l’attitude de leurs fils. Se comporte t-il ainsi avec sa mère, sa femme, ses sœurs … Et quel image donne t-il à ses filles….S’il en a

A ce niveau de responsabilité et de rémunération, la seule sanction possible est l’exclusion. Car son attitude est loin d’être un acte dérisoire. C’est un manque de respect flagrant tant à l’égard de la femme député à laquelle il s’adressait, qu’à l’égard de la fonction qu’il exerce. Il ne mérite pas de représenter la république française,  de voter de nos lois.

Repas arrosé au pas, ce monsieur n’a pas d’excuse. Car s’il était ivre, comme on le lit dans la presse, loin d’être une excuse, c’est un fait aggravant. Et que ceux ou celles qui veulent minimiser une telle attitude fassent attention, car indirectement ils la cautionneraient.

Mais sans doute considère t-il que parce qu’il est homme, il peut ainsi se moquer de ce que dit une femme même élue comme lui. Le poste de cette dernière ne vaudrait-il pas le sien ? Les propos de cette dernière ne valeraient-ils pas les siens? Et si on reprenait chacun de ses interventions pour voir !!!  Ce nonobstant bien sûr qu’on puisse ne pas être d’accord sur le fonds, mais avoir le droit de l’exprimer,  un exercice de la démocratie bien mis à mal. Quelle honte.

Dominique Baud

24/09/2013

Les limites du système

Le non cumul des mandats : une bonne chose pour plusieurs raisons.

D’abord pour une meilleure efficacité du titulaire qui sera centré sur sa tâche et non éparpillé sur plusieurs, ensuite pour une limitation de la rémunération dans des fonctions où on est payé quoiqu’on fasse et même si on ne fait rien ou pas grand chose, enfin, pour un renouvellement de la classe politique qui doit aussi passer par une  féminisation bien utile.

Mais voilà, on constate chaque jour davantage  les  limites du système.

Ce sont ceux qui en profitent qui doivent en voter la suppression, Résultat, si l’Assemblée Nationale sous la pression de l’exécutif a voté la loi contre le cumul des mandats, le sénat a lui aussi adopté le projet de loi, mais en s’en excluant.

Vous avez bien compris, une fois de plus on est dans le « faîtes ce que je dis et non ce que je fais », mais ici c’est poussé à l’extrême.

Les sénateurs ont osé. Ils ont voté une version du projet de loi, où est interdit le cumul des mandats sauf pour eux-mêmes. Ils s’autorisent à continuer à cumuler un mandat national avec un mandat exécutif local.

Heureusement, l’assemblée nationale, en dernière lecture, adoptera sans nul doute le projet gouvernemental et l’imposera aux sénateurs.

Espérons aussi qu’aucune amende ne sera prévue pour pouvoir s’exonérer de la loi. Souvenez-vous c’est ainsi que les partis politiques contournent la loi sur la parité. On paye une amende contre femme.

Mais j’ai peu d’espoir que cela s’arrange lorsque l’on lit que ce même sénat a adopté un texte doublant les pénalités contre les partis qui ne respecteraient pas légalité hommes-femmes aux élections. C’est prévu pour 2017.

Autoriser ainsi qu’on s’exonère du respect de la loi contre une amende est inadmissible. Mais j’y reviendrai.

Dominique Baud 

01/08/2013

Ils ont osé

Elue pendant 7 ans, de 2001 à 2008, je n’avais pourtant pas démérité (comme on dit dans les milieux autorisés pour justifier de redonner une investiture…), car je travaillais, j’étais disponible, présente et multipliais les interventions pour défendre le quotidien de mes concitoyens et mes convictions.

Mais, candidate dans ma circonscription aux législatives de 2007, l’UMP a décidé de me « virer » au profit d’un candidat parachuté, dont on cherche d’ailleurs toujours aujourd’hui, la permanence… On peut se demander à quoi lui servent les quelques 6.400€ d’indemnité représentative de frais de mandat ?

Et bien ils ont osé…. Osé me demander de l’argent pour renflouer les caisses. Car aujourd’hui, sans compter l’amende de 5 millions d’euros pour ne pas avoir respecté la parité, il manquerait encore quelques 3 millions à l’UMP.

Mais, ne nous y trompons pas ; Les dons faits aux partis politiques sont aussi financés par nous tous. Car lorsqu’un don de 1.000€ donne droit à 66% de réduction d’impôt, c’est autant qui ressort des caisses de l’état et qu’il faudra refinancer à nouveau.

Dominique Baud

21/07/2013

Désapprobation

Ce n’est pas parce qu’on a le droit de le faire, qu’on doit le faire.

Je veux parler ici du sujet récent qui a défrayé la chronique, l’aller retour de Carla Bruni, Paris New-York, qui coûterait en première entre 10.000 et 15.000€ !!!! (J’aimerai savoir comment on peut justifier un tel prix !!!!) et dont elle n’aurait même pas payé les taxes aéroport de 500€ qui seraient donc restées à la charge de la compagnie.

C’est contestable sur le principe et même triplement, du fait d’une part de la conjoncture économique de ladite entreprise et de notre pays, mais aussi du fait des revenus de cette dernière, dont on dit qu’ils approcheraient la somme de 45 millions d’euros en 2013 sans compter sa fortune personnelle.

Mais, qu’on ne s’y trompe pas, ce n’est pas qu’une affaire de personne, c’est un problème de fond qu’il va falloir solder afin d’en éviter les abus et les dérives.

Certes la compagnie n’a pu sans doute faire autrement que de respecter la tradition  « que les anciens présidents de la République et leurs familles puissent bénéficier des facilités de transport dans la classe de réservation la plus élevée ».

Mais à l’heure où y compris de façon législative, on bafoue les traditions, la suppression de celle-ci serait de bon augure.

Je vous invite à lire cet intéressant article sur le sujet :

http://leplus.nouvelobs.com/contribution/898039-vol-gratuit-pour-carla-bruni-depute-j-estime-qu-il-faut-supprimer-ces-avantages.html

Dominique Baud

05/07/2013

Et si c’était lui ?

Alain Juppé candidat en 2017, je veux.

On dit que c’est un homme nouveau. Peut-être ?  Peut-être pas ? Mais qui le connaissait vraiment ? Pour avoir milité pendant des années avec lui du temps où il était le maire du XVIIIème arrondissement de Paris, je peux témoigner de sa valeur intellectuelle, de ses qualités humaines sans compter sa compétence qui a peu d’égal dans le monde politique.

Alors oui, il était nécessaire qu’il « s’humanise » face au grand public. La crise, des personnalités politiques controversées font qu’aujourd’hui, fort de l’ image qu’il donne, d’un homme plus détendu, plus humain, plus communiquant, plus souriant, il est reconnu par une majorité des français.

Alors oui, et comme je le dis et l’écris depuis des années, Alain Juppé, Président de la République en 2017, je vote.

 Dominique Baud

03/07/2013

Communication

Aujourd'hui, près de la moitié des députés et sénateurs occupent plusieurs mandats en même temps : ils cumulent leurs fonctions au parlement avec des responsabilités en tant que maire, président d'agglomération ou de conseil général.

Certains d'entre eux occupent jusqu'à 24 fonctions.

Pourtant, exercer ces missions demande du temps, et le cumul des mandats ne permet pas à nos élus de les remplir dans les meilleures conditions.

Cette classe politique qui ne se renouvelle pas, ne représente plus notre société dans sa diversité de sexe, de générations, d'origines et de classes sociales.

Mettre fin au cumul des mandats est donc un enjeu démocratique, d'une société moderne qui avance. Alors que la loi interdisant le cumul des mandats était une promesse de campagne de François Hollande, soutenue par la majorité, ce projet est peu à peu repoussé et pourrait n'être mise en application qu'en 2017.

Nos associations ont donc lancé une pétition demandant au Président de la République, au Premier Ministre et aux parlementaires de mettre en place cette réforme le plus rapidement possible.

 Alors que de nombreux députés demandent au gouvernement de respecter ses engagements, le projet de loi qui sera discuté aujourd'hui à l'Assemblée nationale ne prévoit pour le moment une mise en application qu'en 2017.

Plus de 60 000 personnes ont déjà signé notre pétition. C'est le moment d'amplifier la mobilisation citoyenne alors que les députés votent cette loi. Atteignons le chiffre symbolique de 100 000 signatures avant la fin des débats, ce vendredi.

Cliquez ici pour dire "La fin du cumul des mandats, c'est maintenant". Merci pour votre mobilisation,

21/06/2013

A qui voudrait-on faire croire que ce sont eux les hypocrites ?

On a eu de grands discours sur la moralisation de la vie politique…. Les déclarations qui ont suivi manquaient à mon avis pour beaucoup de sincérité. Car, quid des biens au nom du conjoint, quid des donations faites aux enfants, quid des collections de tableaux… Par contre on a eu tous les détails s’agissant des vieilles autos, des scooters et des toitures en mauvais état.

Qui peut-être aussi naïf pour les croire ?

Et à quand la vraie seule bonne mesure, que ce soit pour les membres du gouvernement comme pour tous les parlementaires, à savoir une déclaration de patrimoine associée à celle des revenus, à la date d’entrée en fonction et à la sortie, avec à l’appui, un bilan détaillé et rendu public.

Car qu’on se le dise, c’est de l’argent public, donc le nôtre.

Et qu’on se le dise, personne ne contestera des revenus conséquents à celui qui travaille, qui plus est à celui qui travaille pour les autres, vocation première, normalement, des élus de la république. Il serait heureux de revenir aux fondamentaux.

Alors, pourquoi serait-ce ceux qui appellent à plus de transparence et de fait à quelques restrictions qui seraient les hypocrites ? Surtout que là, il s’agit d’une tribune commune de députés de tous bords confondus… Sauf qu’ils n’étaient que 10, désavoués par tous les autres, avec en tête, le président de l’Assemblée Nationale.

Que réclament-ils ? Voici quelques exemples significatifs.

Que les augmentations de patrimoine entre le début et la fin d’un mandat soient publiées, voire expliquées. Rien d’extraordinaire… Pourtant la loi à venir ne prévoit qu’une consultation possible en préfecture des patrimoines et en aucun cas une publication.

Que les indemnités de représentation qui se montent à plus de 6.000€  par mois, soient dorénavant considérées comme des revenus et deviennent donc imposables. Ce d’autant qu’en plus, les parlementaires touchent cette somme sans jamais avoir à justifier de leur utilisation. On dit que ces sommes doivent normalement servir à payer une permanence politique. Mais bon nombre de députés en font l’impasse… Il n’y a qu’à regarder chez nous, dans le XVème arrondissement, où les permanences ne voient plus le jour que trois mois avant l’élection pour fermer deux jours après.

Que soit revu le principe de la réserve parlementaire : quelques 110.000€ que chaque parlementaire peut distribuer dans sa circonscription, sans contrôle, mais dans un souci parfait de clientélisme.

Que soit revu le fait que les députés sortants continuent de percevoir une indemnité même si elle est décroissante pendant trois ans. Ce d’autant qu’en parallèle, ils n’ont aucun risque de perdre leur mandat et donc leur indemnité, pour mauvais travail, absences répétées, manque d’intervention et aucun compte à rendre sur le nombre de leurs congés. Bref, plus que les avantages d’un salarié et aucune de ses obligations. A quand l’entretien d’appréciation annuel pour un parlementaire ?

Que les parlementaires ne puissent, avec l’argent public qu’est l’indemnité de frais de mandat, s’acheter une permanence qui deviendra ainsi un élément de leur patrimoine personnel.

Que les régimes de retraite soient revus et alignés sur le régime de droit commun. Il ne suffit plus de le réclamer cela pour les autres et notamment demander la suppression des régimes spéciaux de l’EDF et de la SNCF.

Que le cumul de fonction entre parlementaire et haut fonctionnaire ne soit plus possible et qu’il faille dorénavant choisir et démissionner de l’un ou de l’autre.

Et personnellement, je rajouterai qu’il devrait être interdit de se présenter à une élection si on sait d’avance, qu’une fois élu, on devra démissionner d’un mandat précédent pour exercer le nouveau, que les recrutements familiaux devraient être limités dans les cabinets ….

Et si déjà on arrivait à cela… Mais ils sont seulement 10 à le vouloir, et les autres à hurler à la démagogie. Cherchez l’erreur.

Dominique Baud

16/05/2013

Ils sont tous responsables

Hier j’écoutais la chronique financière et économique d’un journaliste qui tient la plupart du temps des propos objectifs et non partisans pour un « camp » plutôt que pour un autre ».

Et bien oui, je suis d’accord avec lui. « Ils sont tous responsables ».

Ceux qui nos « dirigent » aujourd’hui bien sûr. Car, lorsqu’on se présente à une élection, qu’on la gagne et qu’on prend « le pouvoir », on est obligatoirement responsable.

Mais aussi, ceux qui nous ont dirigés depuis des années et des années, et qui ont laissé se creuser le déficit et tout le reste.

Car personne n’est dupe. La situation d’aujourd’hui n’est pas résultat d’une politique exercée depuis un an, mais depuis bien trop longtemps.

Et bien sûr on a pu voter pour ce que l’on considérait comme les « moins pires », mais aujourd’hui, la situation est trop grave pour pouvoir s’en contenter. L’abstention est là pour le prouver si besoin était.

Car regardez bien, ce sont toujours les mêmes. Ils passent de la majorité à l’opposition, mais reviennent ou veulent revenir, expliquant combien ils regrettent de ne pas avoir fait cela, de n’avoir pas bien compris ou pas bien analysé la situation….Et d’expliquer combien ils feront mieux la prochaine fois.

Bon nombre d’entre eux ne sont que de piètres dirigeants.

C’est pourquoi il faut en changer, changer les gens pour changer les méthodes. Le seul moyen d’une réelle alternative pour redonner à notre pays le blason qu’il mérite et aux français l’espoir dont ils ont besoin.

Au moins, vous m’accorderez que cela fait bien longtemps que je le dis.

Dominique BAUD

23/03/2013

Lui seul croit être une alternative!!!!

Jean-Luc Mélenchon se croyait à la noce de week-end…. Il y a même osé suggérer, être une alternative au milieu de toutes ces affaires, qui, de droite ou de gauche, continuent à discréditer la politique

Mais, même à gauche, il a du mal à rassembler autour de cette idée qu’il y ait plusieurs gauches, et qu’il serait, à lui tout seul, une alternative.

Mais au moins, on assiste à un combat gauche/gauche, qu’à priori il n’est pas prêt d’abandonner au risque de faire de plus en plus de mécontents au sein même de son propre parti.

Cela pourrait nous donner de l’espoir, si on ne continuait pas à avoir la droite la plus bête du monde.

Dominique Baud

27/01/2013

12 ans en Delanomobile : l'heure du bilan - Café Politique

Pour ce premier Café Libéral de la Fédération Grand Paris du PLD, nous ferons ensemble le bilan des 12 années passées par les parisiens en Delanomobile.

Circulation automobile, couloir de bus, Vélib/Autolib', tramway : que tirer de deux mandatures indéniablement volontairessur la mobilité dans Paris ? Quelles lignes peut-on tracer pour l'avenir ?

Les invités suivants nous aideront à y voir plus clair dans le casse-tête des transports à Paris : 

Professeur Emérite à l'Université Paris XII, membre du Global Agenda Council sur le futur de la mobilité, et co-auteur d'un rapport ayant défrayé la chronique en 2005 sur la politique parisienne des transports, comparée à celle de Londres.

Conseiller de Paris (XVIIème), Vice-Président de l'UMP Paris, Président de la Diagonale

  • M. Mathieu Guillarme

Co-fondateur et dirigeant de la société Voitures Jaunes

 

La Fédération Grand Paris du PLD vous attend nombreux pour ce premier d'une longue série de rendez-vous.

Avec une seule ambition : offrir à Paris et à sa banlieue des idées qui ne trompent pas l'oeil, hors des sentiers battus, voire politiquement incorrectes.

 

Une participation aux frais de 5€, à régler d'avance par CB et incluant une boisson, est prévue. Pour inscrire merci de clique sur le lien ci-après

http://cafeliberaltransports.eventbrite.fr/

09/12/2012

Ils ne se ré-aiment plus

Xavier Bertrand lui-même, sans doute en colère, surtout pas résigné et espérant peut-être en tirer profit semble en avoir plus qu’assez.

Sue BFMTV, il a demandé « solennellement » à ce que François Fillon et Jean-François Copé trouvent dans les jours qui viennent des solutions de sortie de crise.

Les portes paroles apparaissaient somme toute très embarrassés ces derniers jours et de moins en moins loquaces au fil du temps.

Trêve du week-end le temps des législatives partielles, opportune excuse. Mais aujourd’hui plus personne n’y croit et si les candidats socialistes n’ont pas tiré leur épingle du jeu à l’occasion des trois législatives partielles de ce dimanche, c’est aussi parce que rien ne va plus de leur côté non plus.

C’est certainement l’abstention qui une fois de plus va gagner. On verra dimanche prochain avec combien de votants les trois députés concernés sont élus.

Espérons au moins que personne n’aura le mauvais goût de crier victoire.

Dominique Baud

31/08/2012

Des histoires de fichiers…

Rien de nouveau à l’UMP. Dès que des élections internes s’annoncent, on reparle des fichiers.

Et dans le XVème, « laboratoire » de toutes les expériences, on connait bien le sujet.

La règle était d’essayer d’empêcher tout candidat autre que celui désigné par les instances nationales du parti de se présenter. Et pour ce faire, il fallait décourager les autres candidatures, le meilleur moyen étant de les empêcher de pouvoir disposer du fichier pour faire campagne.

Ainsi et de fait, le seul qui pouvait y avoir accès était le candidat officiel

C’est pourquoi il est risible de lire aujourd’hui que le président de la fédération UMP de Paris, artisan de ces élections internes tout à fait antidémocratiques conteste aux autres ses propres méthodes, qui bafouent d’ailleurs les statuts du parti

http://lelab.europe1.fr/t/fichiers-d-adherents-ump-cope-e...

On peut aussi s’interroger sur des députés qui bafouent même dans leur propre parti, le règlement interne qu’ils ont mis en place.

Et dire que François Fillon parle d’une nouvelle gouvernance…. Les propos et le comportement de certains de ses soutiens les plus visibles risquent de ne pas vraiment l’aider ?

Car au-delà même de ce sujet récurrent qu’est l’utilisation des fichiers, ils agitent maintenant un autre fantasme, celui de demander à Jean François Cope de retirer sa candidature.

Quelle élection magique appellent t-ils de leur vœux en plaidant pour un seul candidat !!!

Même moi qui ne suis plus à l’UMP (exclue pour avoir osé en 2007, me présenter contre le candidat parachuté désigné par le parti pour notre circonscription), je reçois des mails… De Jean François Copé et de Valérie Pécresse (soutien de François Fillon).

Alors au moins, une chose est sûre, ces deux candidats ont le fichier… Mais apparemment pas à jour !!!!

Dominique Baud

 

14/02/2012

Référendums… pour en faire quoi ?

« Le référendum est une procédure se réclamant des idéaux démocratiques, par laquelle « le corps des citoyens est appelé à exprimer, par une votation populaire, son avis ou sa volonté à l'égard d'une mesure qu'une autre autorité a prise ou envisage de prendre » et qui ne sera suivie d'effet ou adoptée qu'en cas de réponse positive ».

La définition d’abord puis un rappel des 9 référendums organisés sous la constitution de la Vème république

Le 8 janvier 1961, afin de valider la politique d’autodétermination du Général de Gaulle en Algérie : 74,99% de oui (abstentions, 26,24%).

Le 8 avril 1962, afin d’autoriser le Président de la République à négocier un traité avec le futur Gouvernement composé du Premier ministre, des ministres et des secrétaires d’Etat chargé de l’exécution des lois et de la direction de la politique nationale algérienne (faire approuver les accords d’Evian) : 90,81% de oui (abstention, 24,66%).

Le 28 octobre 1962, afin de permettre l’élection du Président de la République au suffrage universel direct : 62,25% de oui ‘.abstentions 23,03%)

Le 7 avril 1969, afin de se prononcer sur la régionalisation et la réforme du Sénat : 52,41% de non (abstentions 19,87%). Ce non marquera le départ du Général de Gaulle du Pouvoir.

Le 23 avril 1972, afin de permettre la ratification du traité d’élargissement de la Communauté économique européenne : 68,31% de oui (abstentions 39,76%).

Le 6 novembre 1988, afin d’adopter le nouveau statut de la Nouvelle-Calédonie : 79,99% de oui des suffrages exprimés mais 63,11% d’abstentions.

Le 20 septembre 1992, afin d’obtenir la ratification du Traité sur l’Union européenne « traité de Maastricht» : 51,04% de oui (abstentions de 30,30%).

Le 24 septembre 2000, afin de décider de la réduction du mandat présidentiel à cinq ans : 73,21% de oui mais 69,81% d’abstentions.

Le 29 mai 2005, afin de permettre la ratification du traité établissant une constitution pour l’Europe : 54,67% de non avec un taux de participation de 69,37% et pourtant

Alors proposer de nouveaux référendums pour demain et refuser dans le même temps celui demandé aujourd’hui par ses adversaires, me conduit à rappeler le principe édicté par Valéry Giscard d’Estaing lorsqu’il déclarait avant le vote de 2005 que « C’était une bonne idée d’avoir choisi le référendum, à condition que la réponse soit oui. »  poursuivant un an après en disant que: « Le rejet de la constitution était une erreur, qui devait être corrigée. »…

Alors, à juste titre, les doutes sont légitimes quant au choix de cette procédure pour l’avenir.

Dominique Baud