03/07/2013
Communication
Aujourd'hui, près de la moitié des députés et sénateurs occupent plusieurs mandats en même temps : ils cumulent leurs fonctions au parlement avec des responsabilités en tant que maire, président d'agglomération ou de conseil général.
Certains d'entre eux occupent jusqu'à 24 fonctions.
Pourtant, exercer ces missions demande du temps, et le cumul des mandats ne permet pas à nos élus de les remplir dans les meilleures conditions.
Cette classe politique qui ne se renouvelle pas, ne représente plus notre société dans sa diversité de sexe, de générations, d'origines et de classes sociales.
Mettre fin au cumul des mandats est donc un enjeu démocratique, d'une société moderne qui avance. Alors que la loi interdisant le cumul des mandats était une promesse de campagne de François Hollande, soutenue par la majorité, ce projet est peu à peu repoussé et pourrait n'être mise en application qu'en 2017.
Nos associations ont donc lancé une pétition demandant au Président de la République, au Premier Ministre et aux parlementaires de mettre en place cette réforme le plus rapidement possible.
Alors que de nombreux députés demandent au gouvernement de respecter ses engagements, le projet de loi qui sera discuté aujourd'hui à l'Assemblée nationale ne prévoit pour le moment une mise en application qu'en 2017.
Plus de 60 000 personnes ont déjà signé notre pétition. C'est le moment d'amplifier la mobilisation citoyenne alors que les députés votent cette loi. Atteignons le chiffre symbolique de 100 000 signatures avant la fin des débats, ce vendredi.
Cliquez ici pour dire "La fin du cumul des mandats, c'est maintenant". Merci pour votre mobilisation,
23:18 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : pétition, cumul des mandats, parité, renouvellement, classe politique française
27/11/2011
Tout çà pour çà
Souvenez-vous, en juin dernier, l’affaire des fuites concernant un exercice de l’épreuve de mathématiques du bac S. Sur 165.000 lycéens, une très grande majorité seront punis, ils vont perdre jusqu’à 36 points. Et oui, car il s’agissait de la suppression de l’épreuve de probabilité, notée sur 4, coefficient 9, l’épreuve à laquelle bon nombre devait avoir la note entière.
Malgré l’importance suscitée par cette polémique, les multiples interventions du corps enseignant, des parents, des lycéens, les pétitions, le ministre a décidé de supprimer cet exercice, refusant tout autant de maintenir l’épreuve en l’état (ce qui sans doute aurait été la plus juste décision), que de l’annuler et de la remplacer.
Une façon indirecte de donner raison aux fraudeurs, quoiqu’on veuille nous faire croire.
Les conséquences en ont été nombreuses et variées, du lycéen qui n’a pas eu la mention Bien, impérative pour lui permettre de rentrer dans l’école de son choix, à celui qui a du repasser l’oral…voire même à celui qui n’a pas eu son examen et a du redoubler.
Et bien voilà le fin mot de l’histoire : c’était une « blague de potache… ».
Ce 21 novembre, le juge a levé la mise en examen pour fraude au bac et le contrôle judiciaire à l’encontre dudit lycéen. Il a considéré que ce dernier ne pouvait être certain d’être en possession du vrai sujet. Et, pour sa part, il a eu son bac avec mention, 14/20 en maths et blanchi par l’enquête disciplinaire de l’université où il était inscrit, il va donc pouvoir poursuivre ses études
A l’époque le ministre de l’Education nationale avait porté plainte et déclaré qu’il serait implacable, parlant même d’un plan « tolérance zéro ».
Le ministre avait lancé une enquête administrative, mais sur laquelle il refuse de communiquer, et dont la seule consigne serait d’obliger à l’avenir les techniciens de maintenance (impression des épreuves) à signer un engagement de confidentialité.
Mais il aurait déclaré ne pas exclure de faire appel à la décision du juge. Ne pas exclure de faire…!!!! C’est tout pour l’instant à priori
Heureusement le parquet, lui a déjà fait appel, les non coupables ont déjà été punis, il serait tant que le vrai, le soit aussi. Et à défaut, quelle grave erreur d’analyse envers ces jeunes lycéens, bel exemple !!!!
Dominique Baud
19:38 Publié dans Enseignement | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : bac s, fraude, luc chatel, mathématiques, pétition
24/11/2011
Communication importante
La pétition qui met en demeure Luc Chatel
Lundi 21 novembre 2011
Chers amis,
Vous avez peut-être entendu parler de ce sondage IFOP/VA, paru le 17 novembre. On y apprend entre autre que 55 % des Français contestent le caractère "non scientifique" de la "théorie du genre", et que 75% se prononcent pour une intervention du ministre : en publiant une circulaire de correction, en demandant aux éditeurs de corriger eux-mêmes, ou en retirant de la circulation les manuels.
Or le ministre de l'éducation nationale n'a rien fait pour corriger les programmes, annonçant même que les programmes scolaires ne mentionnent pas explicitement la théorie du genre. Il accuse les éditeurs d'avoir pris la liberté d’en parler dans les manuels. Les éditeurs quant à eux assurent qu’ils ont respecté le cahier des charges du ministère. Luc Chatel refuse d'endosser la responsabilité de ce que les lycéens de première apprendront. Mais alors, qui décide ? Il y a visiblement un dysfonctionnement inquiétant au sein du ministère de l'éducation nationale.
Cette théorie soutient que le sexe biologique ne détermine pas le genre sexuel de l'individu, construit par l'éducation et les choix de chacun. Cette théorie est de nature sociologique, et n'a aucun fondement biologique.
Beaucoup d'associations se sont déjà mobilisées dans les mois précédents. Leur appel n'a pas été entendu. Mis en relation au hasard de la toile, parents, grand-parents, frères et sœurs de lycéens actuels ou futurs, professeurs de lycée, jeunes gens récemment bacheliers, ou simples citoyens choqués par le mépris visible du ministre, nous en appelons au bon sens des français.
Vous trouverez dans ce mail le lien vers une pétition qui demande au ministre une correction claire ou alors son remplacement : http://un-ministre-irresponsable.org. Cette initiative citoyenne n'est pas "une pétition de plus".
Elle est un ultimatum.
Sur cette page, vous trouverez aussi des informations sur la théorie du genre, sur le sondage précédemment cité, sur les actions qui ont déjà été menées par d'autres.
Nous vous remercions pour l'intérêt que vous porterez à cet enjeu grave, certains que vous comprendrez l'état d'une situation qui a "dépassé les bornes".
Merci de faire entendre votre voix, merci pour ce que vous avez peut-être déjà fait.
Pensez à faire tourner ce mail, n'hésitez pas à en parler autour de vous : beaucoup de gens ne se sont pas mobilisés faute d'être informés.
11:01 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (5) | Tags : théorie du genre, manuels scolaires, luc chatel, pétition
31/08/2011
Devenir Homme ou Femme, là est la question !!!
80 députés se réveillent…Car ils auraient pu réagir bien plus tôt. En effet, dès le mois de juin, je participai à des réunions précisément sur ce sujet, dont les intervenants, certes caricaturés, mettaient en garde les autorités.
Mais rien. Pas plus que le ministre n’a encore réagi aujourd’hui à cette pétition, il n’a réagi à l’époque.
Aura-t-il le même comportement empreint de courage et d’équité que lorsqu’à l’occasion du BAC S 2011, il a sanctionné les élèves ayant travaillé, au profit des tricheurs, en annulant de façon arbitraire et particulièrement injuste une épreuve.
De quoi s’agit-il aujourd’hui, puisque cela semble relever du scoop pour bon nombre de personnes. Il s’agit pour ces députés de demander le retrait d’ouvrages scolaires de Sciences et Vie de la Terre des classes de 1er L et ES qui reprennent la théorie du genre dans leur chapitre sur Devenir homme ou femme, une partie imposée par la Direction générale de l'enseignement scolaire et annoncée au Bulletin Officiel du 30 septembre 2010.
Cela relève de la théorie du gender de Judith Butler, pour laquelle la distinction entre homme et femme, ainsi que l'hétérosexualité, est avant tout une construction sociale et culturelle.
Je vous laisse apprécier quelques extraits desdits manuels :
…"Le sexe biologique nous identifie mâle ou femelle, mais ce n’est pas pour autant que nous pouvons nous qualifier de masculin ou de féminin»…
… «L'identité sexuelle est le fait de se sentir totalement homme ou femme. Et ce n'est pas si simple que cela peut en avoir l'air! Cette identité dépend d'une part du genre conféré à la naissance, d'autre part du “conditionnement social”…
…«Chacun apprend à devenir homme ou femme selon son environnement et l'éducation reçue, car on ne s'occupe pas d'un petit garçon comme d'une petite fille, on ne les habille pas de la même façon, on ne leur donne pas les mêmes jouets»…
Ces députés expliquent que, selon cette théorie, les personnes ne sont plus définies comme hommes et femmes, mais comme pratiquants de certaines formes de sexualités : homosexuels, hétérosexuels, bisexuels, transsexuels.
Ils contestent que cette déclaration philosophique et sociologique parmi d’autres, soit présentée à des adolescents comme une explication scientifique, qui affirme que l’identité sexuelle est une construction culturelle.
Ils déclarent en outre que l’Education Nationale sort ainsi de son rôle mais oublie son devoir de contrôle du contenu des manuels scolaires.
Inutile de vous préciser que je les soutiens.
Merci à ceux qui n’auraient d’autres réactions que la caricature de s’abstenir.
Dominique Baud
16:53 Publié dans Enseignement | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : svt, sciences de la vie et de la terre, théroie du gender, pétition, homme, femme, genre, sexualité
17/03/2009
Et l'enfant dans tout ça ?
Pourquoi évoquer aujourd'hui un tel sujet, qui peut paraître loin des préoccupations des familles françaises dans cette période de crise financière, économique et sociale. C'est une question qui a été posée à l'occasion d'une réunion à laquelle j'ai assisté la semaine dernière, réunion présidée par Béatrice BOURGES, présidente de l'association "Pour la Protection de l'enfance", auteur de "L'homoparentalité, et l'enfant dans tout ça" et Stéphane DASSE représentant de GayLib, parti associé à l'UMP.
La réponse est simple. Et je retourne la question.
Pourquoi le Président de la République a t-il choisi de faire voter cette loi au printemps 2009?
Et c'est parce qu'il a pris cette décision, que crise ou pas, nous devons nous mobiliser. Et je vous avoue que d'entendre le représentant de gay lib, parler, entre autre chose, de la nécessité de cette loi, suite à la "fabrication artisanale des enfants" auquelle doivent nécessairement recourir les couples d'hommes homosexuels, ne peut que m'inciter contribuer à cette mobilisation, et à vous inciter à faire de même au moyen de la pétition en ligne ci-jointe.
Pétition en ligne "La loi sur les beaux-parents :Et l'enfant dans tout ça ?"
Lettre à Messieurs LAMOUR et GOUJON, Députés du 15ème arrondissement.pdf
Dominique BAUD
Ancien Conseiller de Paris
(élue du 15ème de 2001 à 2008)
10:57 Publié dans Actualité, Famille, Politique | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : loi, statut, beaux parents, gaylib, béatrice bourges, stéphane dassé, pétition, ump, philippe goujon, jean-françois lamour, dominique baud
18/04/2008
Pétition nationale contre la réduction des allocations familiales
Cher Parent de famille nombreuse,
Une grave mesure financière sanctionnant lourdement les mères de famille qui gardent leurs enfants à la maison va entrer en vigueur dans 12 jours, le 1er mai 2008, si vous et moi ne faisons rien.
Il s'agit de transférer une importante partie des allocations familiales (600 euros par an environ) accordées aux familles ayant des enfants de 11 ans et plus, pour financer une aide supplémentaire à certains modes de garde d'enfants en bas-âge.
Voici une pétition urgente pour stopper cette mesure et je vous demande de la signer le plus vite possible : http://www.ipetitions.com/petition/allocationsfamiliales/
Car cette nouvelle réduction des allocations familiales n'a nullement pour but de réduire la dette publique de notre pays, qui atteint pourtant un niveau catastrophique (plus de 2000 milliards d'euros, que vous, moi, vos enfants et les miens, allons devoir rembourser), puisque tout l'argent ainsi économisé va être immédiatement dépensé d'une autre manière.
Les mères au foyers sont mise une nouvelle fois à contribution pour financer des aides pour les familles qui ont un double salaire. Trouvez-vous ça normal ? Les mères de famille qui s'occupent de leurs enfants ne rendent-elles service à personne ? Doivent-elles être considérées comme le rebut de la société ? N'ont-elles droit à aucune considération ?
J'espère vraiment que vous allez signer et faire circuler la grande pétition que nous lançons en cliquant ici.
C'est très important : notre première pétition contre la carte de famille nombreuse a connu un immense succès et a largement contribué à faire reculer le gouvernement. Partie d'un groupe de 3 familles seulement dans les Yvelines jeudi 9 avril au matin, la pétition contre la suppression de la carte de famille nombreuse a rapidement fait le tour de la France, enregistrant plus de 8000 signatures en 48 heures. Si l'on ajoute à ce nombre les 6000 signatures réunies par l'UNAF, Famille de France et les Associations familiales catholiques de France (AFC), on arrive à un total de 14000 signatures en un temps record ! Cet étonnant succès traduit le puissant sentiment (bien légitime) d'injustice des parents de famille nombreuse à l'annonce de cette nouvelle offensive contre leurs droits fondamentaux.
En effet, dans une société où l'essentiel des dépenses de santé, d'assurance chômage et de pension de retraite sont mutualisées, il est évident que la contribution des parents de familles nombreuses est capitale pour la survie du système et qu'elle doit être reconnue : non seulement parce que les parents de famille nombreuse payent proportionnellement plus de TVA que les autres, puisqu'ils dépensent une plus grande partie de leur revenu en dépenses de consommation, mais surtout parce qu'ils financent l'éducation d'enfants qui, toute leur vie active, seront mis à contribution pour financer les dépenses de santé, d'assurance chômage et les retraites... des autres.
Qu'arriverait-il à notre système social sans ces familles ? En vingt ans, tous les adultes qui ont aujourd'hui 40 ans et plus seraient réduits à la misère, puisqu'il n'y aurait plus personne pour payer leurs retraites et financer leurs dépenses de santé.
Cette contribution éminente des parents de famille nombreuse à la prospérité "durable" de nos concitoyens est trop souvent oubliée, pour ne pas dire méprisée. Depuis trente ans, des contraintes de plus en plus sévères ont été imposées aux familles nombreuses :
--> d'abord, les allocations familiales ont diminué, en valeur réelle de près de 80 % par rapport au début des années 70, par le fait qu'une part de plus en plus importantes du budget de la caisse d'allocations familiales (CAF) soit aujourd'hui consacrée aux familles de deux, voire de un enfant seulement, et aux frais de garde (subventions aux crèches, aux aide-maternelles, etc.), ce qui réduit d'autant la part disponible pour les familles nombreuses ;
--> ensuite, les restrictions réglementaires draconiennes sur les permis de construire (calcul du COS) ont provoqué une hausse dramatique du prix des logements. Avec un moyenne nationale qui approche aujourd'hui 3000 euros le m² dans les grandes villes, une habitation de 120 m² (3-4 chambres) coûte donc 360 000 euros (l'équivalent de 30 années de travail pour un smicard). La plupart des familles nombreuses se sont ainsi retrouvées éjectées à des kilomètres, souvent même des dizaines de kilomètres des centres-ville. Cela pose évidemment des problèmes aigus de temps de transport, et interdit généralement que les deux conjoints puissent travailler, les mères de familles étant obligées de consacrer une part considérable de leur temps à jouer les "chauffeurs de taxi" (ce qui, avec la hausse du prix des carburants, ne va pas sans accroître encore les tensions sur leurs finances) ;
--> ensuite, une législation de plus en plus dure sur les voitures (obligation de prévoir un siège avec ceinture par enfant, taxe sur les gros véhicules, taxes "écologiques" additionnelles sur le gasoil), entraîne des dépenses de transport de plus en plus importantes, qui représentent aujourd'hui le troisième poste de dépense des familles nombreuses ;
--> ensuite, depuis quatre ans environ, la forte hausse du prix de l'alimentation, qui frappe proportionnellement beaucoup plus fort les familles nombreuses ;
--> enfin, et surtout, la pression fiscale liée à l'accroissement des "droits sociaux et fiscaux" créés en masse ces dernière années en faveur de tous les groupes considérés, à tort ou à raison, comme défavorisés, et qui doivent être financés par les autres citoyens : CMU (santé entièrement gratuite pour les RMIstes et de nombreux chômeurs), AME (santé gratuite complémentaire pour les personnes qui, comme les sans-papiers, ne peuvent bénéficier de la CMU), avantages fiscaux liés au PACS, droit opposable au logement, plans nationaux de rénovation des logements sociaux, désenclavement des cités, gratuité des transports en commun pour les chômeurs, etc. Toutes ces dépenses nouvelles, bien réelles, qui se chiffrent en dizaines de milliard d'euros, sont largement financées par l'emprunt, avec une dette d'Etat qui dépasse aujourd'hui les 2000 milliards d'euros (en comptant les retraites non provisionnées des fonctionnaires) et qui devra être remboursée par... nos enfants.
Néanmoins, elles entraînent également à court terme une hausse vertigineuse des intérêts de la dette publique, qui représente aujourd'hui le premier poste de dépense de l'Etat, et qui, lui, doit être financé par les hausses de prélèvement ou les baisses de dépense publique.
Comme il est politiquement très risqué de toucher aux avantages des catégories sociales syndiquées, la tentation est grande de s'en prendre aux personnes qui ne sont pas organisées pour se défendre. Si, de plus, ces personnes ne représentent aucune menace pour la paix civile, si elles ne sont pas susceptibles de descendre dans la rue pour brûler des voitures, casser des vitrines et agresser les forces de l'ordre, il est d'autant plus tentant de faire peser sur leurs épaules le fardeau des dépenses supplémentaires engagées par les "généreux" politiciens soucieux de "justice sociale".
C'est ainsi que les parents de famille nombreuse se sont retrouvées depuis trente ans, et à leur insu, en haut de la liste des catégories que le gouvernement allait pouvoir pressuriser sans péril. Mais aujourd'hui, grâce à Internet, nous pouvons nous serrer les coudes pour réagir tous ensemble.
Nous pouvons faire reculer le gouvernement en récoltant des dizaines de milliers de signatures. C'est pourquoi je compte sur vous pour signer votre pétition ci-jointe contre la nouvelle réduction des allocations familiales, et pour transférer ce message à tous vos amis.
Avec tous mes remerciements,
Axelle Meerman-Theillier
www.cartedefamillenombreuse.com
14:26 Publié dans Famille | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : dominique baud, pétition, famille nombreuse, réduction, allocation