Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

11/06/2013

Les jours se suivent.

Hier, ils étaient concurrents, et pas tendres…

Aujourd’hui, c’est à qui « collera » au plus près NKM, candidate UMP à la Mairie de Paris, pour se montrer sur les écrans de télévision avec elle. Certes, bon nombre des téléspectateurs ne voient pas tout cela.

Car va commencer la chasse aux places, soyez-en convaincus. Et là, tous les coups seront bons,  les amis d’hier pourraient devenir les ennemis s’il y va de la place à obtenir sur une liste.

La candidate va découvrir tout cela sur Paris. Comme elle va découvrir le nombre des arrondissements de plus en plus nombreux où les discussions risquent d’être rudes. (Que va-t-elle faire de la dynastie Tiberi dans le Vème, Bernard Debré aura-t-il gain de cause dans ses ambitions de se présenter à la Mairie du XVIIème, quel avenir pour Rachida Dati dans le VIIème où s’annoncent deux listes indépendants, Franck Margain aura t-il gain de cause dans le XIIème…. Et on parlera plus tard du XVème….et du XVIème…..).

Sans compter que lorsqu’on lui pose la question, elle se dit libre… libre de ses anciens « adversaires », libre d’avoir été choisie par les parisiens !!!!! Même si ce n’est guère plus que 20.000 d’entre eux  sur près d’un million trois cent milles  électeurs inscrits.

Ce ne sera pas si simple de regagner Paris, là où depuis des années, on a opposé les gens plutôt que de les rassembler.

Dominique Baud

21/12/2011

Pas cher payé…

Décidemment les fraudes électorales ne coûtent pas très cher à leurs auteurs. Certes, à Perpignan un peu plus qu’à Paris XVème, mais tout de même !

Souvenez-vous, mars 2008, Perpignan. Dans les chaussettes et dans les poches d’un partisan de  l’ancien maire UMP, président de bureau de vote, avaient été trouvés des bulletins de vote et enveloppes, provoquant, suite à un recours bien justifié, l’annulation des élections. Elections d’ailleurs remportées à nouveau en 2009, par cette même liste.

Ce 21 décembre, c’était au tour du tribunal correctionnel de se prononcer : un an de prison avec sursis, 3.000€ d’amende  et 3 ans de privation de ses droits civiques. Par contre, il a été relaxé pour les imitations de signatures sur la liste d’émargement. Les imitations des signatures n’étant pas prouvées, d’avis d’expert !!!

L’autre prévenu, 2ème de liste, quant à elle, a été relaxée pour tout…

Et quant au préjudice moral et financier, pourtant réel des listes candidates, il a été ramené à 1€ d’amende à verser à chacune des parties civiles : M Jean-Paul Alduy (UMP), Jacqueline Amiel-Donat (PS), Louis Aliot (FN), Clotilde Ripoull (ex-MoDem) et Jean Codognès (divers gauche).

Tant pis pour les frais qu’ils ont du engager pour une deuxième campagne du fait de l’annulation des élections.

Mais c’est tout de même mieux que dans le XVème, où le « ce bulletin, vous le jetez, celui là, vous le mettez dans l’urne » est devenue une phrase tristement célèbre d’une élue de Paris, toujours en place soutenue par tous ses colistiers…sans parler des accompagnements « intéressés » vers les bureaux de vote de nombreuses personnes âgées… Quant à la gauche, ayant gagné un siège de conseiller de Paris, elle n’avait aucun intérêt à contester les élections. Pas de condamnation, pas d’annulation… L’écart des voies était trop important pour considérer que les manœuvres frauduleuses aient changé le résultat.

Quant aux plaintes, elles ont été classées sans suite, voire vidées de leur substance par perte malencontreuse de procès verbal.

Mais à Perpignan, 3 ans après les faits, le sénateur a perdu son siège.

Qu’arrivera t-il dans le XVème, aux législatives? Qui peut le dire ?

Dominique Baud

 

12/07/2009

Perpignan

Jean-Pierre Alduy a été réélu. Et bien oui, l’annulation des élections municipales de mars 2008 n’a pas entraîné son interdiction de se représenter, et il vient donc d’être réélu. De quoi surprendre et dégoûter ceux qui n’acceptent pas ou plus cette impunité électorale. De quoi provoquer une abstention de plus en plus importante.

Il est tout de même difficile de croire qu’il n’était au courant de rien.

Mais voilà, en matière électorale, et en cas de recours,

soit l’élection n’est pas annulée du fait d’un gros écart de voix, jugeant que cela n’atteint pas la « sincérité du scrutin «  (que veut dire sincérité? En matière électorale, on dévie de la définition habituelle, cela signifie seulement que l’écart de voix ne donnerait aucune chance à celui qui a perdu, peu importe que ses adversaires aient triché et que ces irrégularités, ces tricheries aient été officiellement constatées),

soit l’élection est annulée mais la tête de liste quoique pourtant responsable de sa liste et de ses colistiers, n’est pas pour autant frappée d’inéligibilité.

Et pendant ce temps, on continue à coller un enfant de 10 ans à l’école s’il a commis la faute de copier sur son voisin…On continue à mettre une amende à un automobiliste garé qui ne paie pas le ticket de l’horodateur ou a dépassé le temps de quelques minutes…On réduit même les marges dans les cas d’un dépassement de vitesse susceptible d’être détecté par un radar…au risque même de créer une discrimination flagrante entre les Français en fonction de la route empruntée.

Et on continuera de parler de justice et d’égalité devant la loi….

Dominique BAUD

17/09/2008

Audience publique au Tribunal Administratif de Paris

CE2.jpgA l’appui des conclusions des mémoires que nous avons déposé suite au recours en annulation des élections municipales de mars 2008, dans le 15ème arrondissement de Paris pour « Comportements volontaires ayant eu pour seul but de modifier les résultats du scrutin en faveur d’un candidat et pour méconnaissance de certaines règles de procédure électorale », je vous communique ci-après le contenu de mes observations orales exprimées ce matin devant le tribunal administratif.


« Madame la Présidente, Messieurs les Conseillers,

Ainsi que l’a rappelé le tribunal administratif dans sa convocation pour l’audience d’aujourd’hui, cette procédure est essentiellement écrite.
C’est pourquoi, même si je souhaite intervenir devant vous, je serai la seule à le faire parmi tous les signataires de ce recours et notamment au nom de Mme Raymonde SIRDEY, témoin des faits qui ont déclenché cette procédure.
Cette dernière me charge de vous dire qu’elle aurait insisté sur la véracité des faits relatés au cours des différents mémoires, si elle n’avait été empêchée d’être présente pour raison personnelle et familiale.

Mon intervention sera courte mais je souhaite en quelques minutes revenir sur l’essentiel de cette procédure et sur les raisons pour lesquelles nous avons été amenés à l’engager.

Je veux aussi insister sur le fait que nous avons fourni beaucoup de pièces ( liste des pièces jointes produites ) au tribunal, lequel a donc pu, au cours de l’instruction faire toutes les vérifications nécessaires attestant si besoin en était de notre bonne foi.

Les arguments que nous oppose la défense, qui laisseraient entendre que certaines irrégularités pourraient être tolérées dès l’instant qu’elles n’entameraient pas la sincérité du scrutin du fait de l’écart de voix, ne sauraient être recevables.

Par ailleurs et ainsi que je l’ai signifié dans l’un de mes mémoires, je m’étonne, que les mémoires de la défense aient été recevables alors même qu’ils ont été établis, à chaque fois, 3 semaines, 4 semaines voire même plus de 5 semaines après le dépôt de mes propres mémoires, ces derniers étant avec diligence adressés par le tribunal administratif à la défense sous 3-4 jours maximum.
En effet, à la lecture du support qu’est le site internet du tribunal administratif, le délai de réponse est de 5 jours, tant pour le requérant que pour le défendeur.

- Les faits reprochés à Mme CHERIOUX de SOULTRAIT, ont été consignés au procès-verbal du bureau n° 91 et donc validés par tout un bureau de vote.
« …Une dame d’un certain âge que Mme CHERIOUX conduisait jusqu’à l’isoloir, avait entre ses mains, son enveloppe et deux bulletins de vote, celui de la liste « Renouvellement et proximité à droite » et celui de la liste « Union pour un Paris gagnant dans le 15ème »
Au moment où elle les observait, Mme SIRDEY a entendu Mme CHERIOUX dire à cette dame âgée, désignant le bulletin de la liste conduite par Mme Dominique BAUD, « celui là, vous le jetez » et montrant le bulletin de la liste conduite par Philippe GOUJON « celui-là, vous le mettez dans l’enveloppe ».


Mme SIRDEY est allée immédiatement vers elles et a fait remarquer à Mme CHERIOUX combien ce procédé était contestable; cette dernière a semblé étonnée de la voir, et lui a répondu que cette dame ne voyait pas très bien et qu’elle avait l’habitude de s’en occuper de même que d’autres personnes âgées qu’elle accompagnait pour la circonstance et qui lui faisaient confiance.
Faits d’ailleurs aussi relatés sur internet


- Le fait que ces actes aient été commis par une élue de Paris, candidate sur une liste, en position éligible puisque n° 4 sur la liste officielle de l’UMP, est un élément aggravant.
Ces faits ne peuvent s’inscrire ni dans la rubrique d’un acte « désintéressé », ni dans celle de « la lutte contre l’abstention » ainsi que voudrait le faire croire la défense au travers de ses mémoires.

- S’agissant du témoignage écrit de M. DE PORTEER, je maintiens qu’à l’occasion de ma venue dans le bureau de vote, il s’est adressé à moi en me disant : « Si tu savais… » « …je suis horrifié de voir ce manège depuis le matin même ».
Je préciserai aussi qu’en aucun cas je n’ai cité son nom dans mon premier mémoire en défense. Il s’est donc reconnu…
Et contrairement à ce qu’affirme la défense dans son dernier mémoire que nous avons reçu le 9 septembre dernier, le « renvoyer à sa conscience » n’a rien de « trivial », et je propose à la défense de vérifier la définition de ce mot dans le Larousse.

- A ces faits, vient s’ajouter le problème de la mise à jour du fichier électoral.
Au début de l’année 2007, les élections présidentielles ont donné lieu à l’envoi de nouvelles cartes électorales. Dans le XVème arrondissement, il y a eu presque 10% de retour NPAI. Or, c’est ce même fichier électoral qui m’a été vendu au début du mois de janvier 2008, avant les élections municipales, sans même qu’il ait été mis à jour au préalable, un an plus tard !
Le fait que la défense m’oppose la caducité de ce fichier aggrave cette situation et conforte donc ma réclamation.
On ne peut demander à un candidat d’attendre le 29 février pour utiliser le fichier électoral ainsi que la loi le lui permet, alors que le premier tour de l’élection est le 9 mars.
- Plus grave, le constat fait que plusieurs personnes décédées figuraient toujours sur ce fichier et notamment Mme JOMBART née GANTER décédée depuis plus de 20 ans et toujours inscrite sur les listes électorales Et contrairement à ce qu’affirme la défense dans son dernier mémoire que nous avons reçu le 9 septembre dernier, ces anomalies, et celles nombreuses, relevées dans les procès-verbaux et cahiers d’émargements consultés, entament réellement la sincérité et la validité du fichier électoral et donc par voie de conséquence, celle du scrutin.

- Je veux également rappeler la responsabilité de M. GOUJON, tête de la liste officielle de l’UMP dans le 15ème arrondissement, qui a ignoré les alertes faites et donc a accepté de facto la publicité que lui a fait MSN, le jour même de l’élection alors même que c’est strictement interdit par la loi. Et contrairement à ce qu’affirme la défense dans son dernier mémoire que nous avons reçu le 9 septembre dernier, je l’invite à consulter la pièce jointe n°4 déjà produite. Il s’agit de la copie d’un mail adressé à M. FILLON, en fin de matinée, le jour du second tour de l’élection. Cette copie a été transférée le même jour à M. GOUJON, à 11h53, sans aucun message d’erreur.

- Enfin, l’examen que nous avons effectué d’une partie des cahiers d’émargements et des procès-verbaux, à la préfecture de Paris, dans les délais impartis par la loi, nous a permis de mettre en évidence de nombreuses irrégularités sur la tenue des bureaux de vote.
Le défaut de précision objecté par la défense s’explique par le fait qu’elle n’a pas jugé utile de faire les mêmes démarches que nous après l’élection. Mais il n’en reste pas moins que ces faits constatés sont consignés dans les procès verbaux desdits bureaux de vote et validés par la signature de leurs membres ou relevés dans les cahiers d’émargements. Ce sont des documents officiels que le tribunal administratif aura pu vérifier dans le cadre de l’instruction.

L’article L68 du code électoral, fait état que… les listes d'émargement (…jointes aux procès-verbaux…) déposées à la préfecture ou à la sous-préfecture sont communiquées à tout électeur requérant pendant un délai de dix jours à compter de l'élection et, éventuellement, durant le dépôt des listes entre les deux tours de scrutin, soit à la préfecture ou à la sous-préfecture, soit à la mairie. ».

C’est donc la démarche que nous avons entreprise après le scrutin municipal, respectant en tous points les consignes de la Préfecture de Paris, en relevant les informations que nous avons consignées dans nos mémoires sur la dizaine de bureaux de vote que nous avons eu le temps de consulter.
La salle était ouverte à heure fixe, un agent de la Préfecture de Paris assurait la surveillance. Il nous était interdit de sortir les documents ou d’en faire des photocopies.
Ces éléments de réponse concernent tant les procès-verbaux que les cahiers d’émargement cités au paragraphe 2 du mémoire de la défense.
La notion de carence dont me gratifie la défense est donc nulle et non avenue.

Ces nombreuses irrégularités ont forcément modifié le scrutin, et notamment celui du 1er tour de l’élection municipale, dont les résultats sont lourds de conséquences et que l’on se garde bien d’évoquer, mais que j’ai développé dans mes précédents mémoires, empêchant ainsi notre liste d’atteindre les 5% au premier tour, et donc interdisant de ce fait tout colistier d’être présent au second tour.

C’est la volonté de fraude et de non respect des règles électorales opposables à tous qu’il convient de faire valoir.

Je suis sûre que nous pourrons compter sur le jugement particulièrement éclairé du tribunal administratif à l’occasion de l’examen de ce dossier et demande au tribunal de faire droit à notre requête en annulation de l’élection municipale de mars 2008, dans le 15ème arrondissement de Paris pour « Comportements volontaires ayant eu pour seul but de modifier les résultats du scrutin en faveur d’un candidat et pour méconnaissance de certaines règles de procédure électorale ».

Dominique BAUD

14/06/2008

Vérité


« La calomnie est en politique moins gênante que la manifestation de la vérité. »
Charles PEGUY (Ecrivain Français 1873-1914)


Le mois de Juin est propice aux rencontres : les jours sont plus longs, les gens plus détendus, les vacances approchent…
Goûters d’anniversaire, compétitions sportives, fêtes d’école, concerts, conseils d’administration autant de moments privilégiés où à l’heure du bilan, on parle du temps qui passe avec nostalgie et on dessine l’avenir avec espoir.

Et à un moment donné ou à un autre, la politique entre dans la conversation :
« Qu’allez-vous faire maintenant… C’est vraiment dommage que tu n’aies pas été réélue avec tout le travail que tu as fourni… Vous avez été bien mal récompensée du temps que vous avez passé pour nous… Je ne comprends ton score avec tous ceux qui m’ont assuré avoir voté pour toi, et … Si tu avais accepté d’être la suppléante de Jean-François LAMOUR, tu aurais la vraie place que tu mérites au sein de la Mairie du 15ème arrondissement… ».

On me dit souvent que toutes les vérités ne sont pas toujours bonnes à dire, mais laisser colporter et s’installer de telles fausses informations est contre nature.

J’ai été confortée dans mon désir de proposer ma candidature aux élections législatives dans la 13ème circonscription de Paris, tant par les nombreux soutiens reçus dès juin 2006 qu’en lisant les déclarations du Président de la République lui-même : « là où il y aura des successions à assurer, je privilégierai les femmes et les gens issus de l’immigration » (Le Nouvel Observateur, n° du 12 au 18 janvier 2006).
Et Il est vrai, que dans mon esprit, je n’avais aucune raison d’être suppléante.
Pour autant, qui peut dire ce qui ce serait passé si le rendez-vous que j’ai souhaité et sollicité à maintes reprises auprès du candidat désigné avait eu lieu.
PERSONNE ne le sait.

Mail du 18 avril 2007

Mais une chose est sûre, le rendez-vous que j’ai demandé au candidat n’a jamais eu lieu, pas davantage que la moindre rencontre avec les représentants de la commission d’investiture, malgré mes nombreux courriers
Et JAMAIS, le candidat désigné par l’UMP ne m’a proposé d’être sa suppléante.


A ce titre d’ailleurs, si on investissait plus de femmes titulaires (et non toujours suppléantes) l’UMP n’aurait pas été sanctionnée par une amende de plus de 4.000.000 d’euros pour ne pas avoir respecté la parité.
De plus, si l’UMP n’investissait pas les quelques femmes candidates de préférence dans des circonscriptions de gauche, on aurait une représentation féminine supérieure au sein de l’Assemblée Nationale (à peine plus de 18% pour un peu plus de 52% d’électrices) et de fait une meilleure représentation de la population française.

Alors, chacun a le droit de bâtir son histoire et sa légitimité sur des faits erronés, mais à partir du moment où je suis concernée, je dois rétablir la vérité et le ferai aussi souvent que nécessaire.

Dominique BAUD

13/03/2008

2ème Tour des Elections Municipales :

361267100.jpgIl y aurait beaucoup de choses à dire sur notre démocratie et le fonctionnement de nos institutions et de nombreuses leçons à tirer de cette campagne.

Les vacances scolaires qui ont commencé le premier jour de la campagne officielle, le fait que certains électeurs n’aient pas eu le temps de découvrir leur courrier électoral avant d’aller voter, et que d’autres ne les aient jamais reçu, sont autant de facteurs qui faussent le bon fonctionnement de nos institutions.

Par ailleurs, il y aurait beaucoup de progrès à faire en matière de droit à l’information, d’équité de traitement des candidats, de parité, de renouvellement, de réalisme des promesses de campagne…

Notre campagne a démarré tard, mais elle a été saine, faite de convictions, de courage, d’enthousiasme et d’honnêteté.
C’est ainsi que je conçois la politique.

Mais il est clair que tout le monde ne fonctionne pas de la même manière, certains cherchant seulement à garder leurs places et leurs mandats.

Certains m’accusaient de ne pas afficher clairement ma position et pourtant, c’est sans vergogne que l'UMP s’affiche avec la gauche (Gauche Moderne et Progressistes) dès le 1er tour.
Par contre, à la veille de ce 2ème tour, les tracts ne font plus état de cette ouverture à gauche.

Entendre M. Philippe GOUJON, déclarer que les « listes dissidentes sont des listes malveillantes » (BFM dimanche 9 mars vers 23h00) et avoir un message de lui, 3 heures plus tard, demandant que mon soutien lui soit apporté officiellement démontre son véritable objectif.

De même, durant toute la campagne, il a cautionné la distribution de tracts diffamatoires, traitant les listes dissidentes« de candidatures fantaisistes de ceux qui ne se sont jamais intéressés au 15ème ne font pas honneur aux habitants de notre arrondissement ».

Et que l’on ne me dise pas aujourd’hui, que ces tracts ne s’adressaient qu’à la liste de M. d’ABOVILLE, soutenue par René GALY-DEJEAN, puisque les militants UMP avaient pour consigne de les distribuer devant tous les lieux où j’ai tenu une réunion, ce qu’ils ont d’ailleurs fait.

Tout cela, j'aurais pu peut être passer outre même si ma conception de la politique est tout autre. Mais il y a pire.
Déjà, au lendemain de ma campagne législative, après avoir subi sarcasmes, insultes, diffamations, menaces, je m’étais interrogée sur la réalité de mon score.
Aujourd’hui, à l’occasion des élections municipales j’ai la preuvedes pratiques malhonnêtes d’une élue du 15ème, Conseiller de Paris et candidate sur la liste officielle de l’UMP, éléments consignés au procès verbal du bureau de vote n° 91.
Convoyer des personnes âgées pour leur permettre d’aller voter est une chose, mais indiquer formellement à une vieille dame qu’elle doit jeter mon bulletin, pour ne garder que celui de la liste officielle de l’UMP en est une autre.
Ce procédé est non seulement illégal mais malhonnête.
Puis, j’apprends à mon arrivée dans ce bureau, par un agent du bureau de vote, jeune militant que je connais, qu’il était « horrifié par ce manège » constaté 10 à 15 fois depuis le matin.

Cette élue qui apparemment se sent protégée et au dessus des lois, a tenté de recommencer dans deux autres bureaux de vote, les bureaux 25 et 26, sis 28 rue Dombasle, 75015 PARIS, avec des « religieuses âgées », mais elle a été freinée par la présence de l’un de mes délégués à l’extérieur, et a du les attendre dehors.

On peut aisément supposer que ces tricheries ont pu me faire perdre des voix sans que je sache combien, et que d’autres pratiques frauduleuses ont pu être utilisées à mon insu.
A titre d’exemple, 15 voix de plus dans chacun des bureaux de vote, m’auraient permis de dépasser les 5%.



Mes convictions sont intactes, je suis de droite et mon adversaire, c’est toujours la gauche et notamment sur des valeurs sociétales sur lesquelles nous sommes diamétralement opposés.

Pour autant, je ne peux cautionner ceux qui pour gagner mettent de façon malhonnête des freins à l’exercice de la démocratie. Lorsqu'un enfant triche à l'école il a une mauvaise note ou il est collé. Bref il est sanctionné. Lorsqu'un automobiliste ne paye pas son stationnement, il a une contravention et son véhicule part à la fourrière. Bref il est sanctionné. Pourquoi n'en est-il pas de même quand il s'agit de pratiques frauduleuses d'une élue candidate dans le cadre d'une élection ?

C’est ainsi, que si je remercie vivement tous ceux qui m’ont apporté leur soutien et leur vote ce 9 mars, je ne me permettrai pas de donner de consigne de vote pour le 2ème tour de l’élection.

Chacun décidera dimanche en son âme et conscience.
Pour ma part, et pour la première fois de ma vie, JE N’IRAI PAS VOTER.

Dominique BAUD

08/03/2008

8 mars 2008 : Journée internationale de la femme

1781351053.jpgChères amies, chers amis,

En ce 8 mars et ainsi que je le fais depuis de nombreuses années, j’ai une pensée pour toutes les femmes de notre pays et du monde.

J’ai une pensée pour les femmes heureuses car elles diffusent le bonheur autour d’elles, j’ai une pensée pour les jeunes filles en passe de devenir des femmes, et j’ai une pensée particulière pour toutes celles qui souffrent, qu’elles soient connues ou inconnues.

Et à l’occasion de cette veille d’élection, j’ai pour une pensée pour toutes les femmes courageuses qui se lancent dans le difficile combat politique pour nos libertés et celles de nos enfants, que ce soit en France ou dans le monde.

La place de la femme est en tout complémentaire à celle de l’homme.
La femme ne cherche pas à prendre la place de l’homme.
Mais elle a toute sa place à tous les postes, non parce qu’elle est une femme mais parce qu’elle est compétente, courageuse, et efficace.

Et bien, sachez le, en France, en 2008, dans un pays où il a fallu voter une loi sur la parité, 83,5% des têtes de liste aux municipales sont des hommes.
Et que l’on ne me réponde surtout que la raison est tout simplement qu’elles ne veulent pas s’engager.

Bonne journée à vous mesdames
Bonne journée à vous messieurs et à dimanche.

Dominique BAUD
Conseiller de Paris
Liste « Renouvellement & Proximité à Droite »
Municipales 9 et 16 mars 2008
8 mars 2008, Journée Internationale des Femmes
« Faire de la politique, c’est aimer les autres. »

Renouvellement et Proximité à Droite : La Mairie à votre service

1047187194.gifL’élection municipale est l’occasion de faire le recensement et le bilan du fonctionnement des structures existantes au service des habitants du 15ème arrondissement.
Conseiller de Paris et élue du 15ème depuis sept ans, je fais le constat suivant : les habitants ne connaissent ni leur Maire, ni leur Mairie, et cette dernière n’est plus adaptée à leurs souhaits et à leur mode de vie.

La volonté des cadres et des employés de Mairie à apporter des solutions est bien réelle, soyez en certains.
Mais les services de la Mairie doivent fonctionner en relation directe avec l’ensemble des élus.
Vos 51 élus, ce sont 51 opportunités d’être à votre écoute et à votre service sur le terrain.
Votre Mairie et ses équipes, sont une structure qui ne demande qu’à devenir performante pour être au cœur de vos préoccupations.
Je vous propose, avec l’équipe que j’ai constituée, de redéfinir le rôle de votre Mairie afin qu’elle soit tournée vers vous et à votre service. Notre arrondissement est le plus grand et le plus peuplé de Paris, la Mairie du 15ème doit être davantage autonome dans ses choix et ses actions afin d’être au plus près de vos exigences.

Votre Mairie à votre écoute : les élus cosigneront notre charte qui prévoit une permanence effective et régulière.
Votre Mairie en action : des responsables techniques seront nommés pour faire le lien entre les élus et les services.
Votre Mairie sans attendre : une annexe de la Mairie sera créée dans le sud de notre arrondissement pour désengorger les guichets actuels, réduire vos déplacements et faciliter votre gestion du temps.
Votre Mairie accueillante : l’accueil des nouveaux mariés, des nouveaux parents, des nouveaux électeurs et des nouveaux arrivants dans l’arrondissement se fera de façon régulière et conviviale par le Maire et l’ensemble des élus.
Votre Mairie, maillon de lien social : une communication moderne et régulière sera proposée pour permettre une information accessible à tous.
Votre Mairie contre l’isolement : des èvènements locaux seront créés en partenariat avec les Conseils de quartier, les commerçants et les associations.
Votre Mairie, facteur de démocratie : les conseils de quartier, véritables atouts de démocratie locale doivent être mieux connus, plus écoutés et plus représentatifs de la population et autonomes dans leur fonctionnement.
Pour toutes ces raisons…
J’ai décidé de conduire la liste « Renouvellement et proximité à droite » aux prochaines élections municipales, dans le 15ème arrondissement de Paris.
Mais pourquoi une liste indépendante ?
> Parce qu’un renouvellement politique est vraiment nécessaire.
> Parce qu’une liste indépendante et locale a un vrai programme à vous proposer.
> Parce que mon assiduité pendant sept ans au Conseil de Paris et mon énergie à défendre les dossiers m’ont permis de prouver ma compétence, ma crédibilité, ma connaissance du terrain et ma détermination auprès de l’exécutif parisien.
> Parce que j’ai été exclue de l’U.M.P. pour m’être opposée au parachutage du candidat officiel aux dernières élections législatives et avoir maintenu ma candidature.

J’habite le 15ème depuis plus de 20 ans, je suis mère de famille, cadre dans un grand groupe d’assurances, présidente d’associations.
Je veux rendre notre Mairie et notre arrondissement plus dynamiques, plus accueillants, plus adaptés aux besoins et aspirations des familles d’aujourd’hui et de l’ensemble de nos concitoyens.

Une nouvelle équipe,
Une nouvelle Mairie…
Et le 15ème au coeur de nos préoccupations et de nos propositions.

07/03/2008

Culture, loisirs, sport et santé

Le temps est ce qui nous manque le plus à Paris, et il ne faut pas que ce soit au détriment de la culture ou du sport. Il faut donc généraliser une plus grande amplitude des horaires des bibliothèques, musées, piscines et gymnases.
Les nouvelles technologies de communication doivent être accessibles à tous. Nous proposons la création de cyber centres, ouverts à tous, sur une large plage horaire, offrant des modules d’initiation et de perfectionnement, et favorisant les échanges inter générations. Un partenariat public-privé en permettrait le libre accès aux habitants de l’arrondissement.
La promesse d’un deuxième conservatoire dans le sud de notre arrondissement date de deux mandatures. Elle doit maintenant devenir réalité, afin de répondre aux besoins des familles du plus grand arrondissement de Paris.

Toutes les générations

L’école est le lieu par excellence pour s’instruire. La Mairie devra soutenir régulièrement les propositions culturelles des associations au profit des écoles et veiller à une meilleure utilisation des créneaux horaires des musées, des stades, des gymnases et des piscines par les écoles et les associations.
La santé et le sport sont étroitement liés. Toutes les générations aujourd’hui veulent pouvoir faire du sport facilement. C’est possible en créant un espace d’accueil au sein des gymnases pour informer des bienfaits du sport contre les accidents vasculaires et l’obésité et en transformant la coulée verte en y incluant un parcours de santé.
Il faudra aussi créer un service des sports en Mairie d’arrondissement avec un technicien proche du terrain et des associations (travaux, entretien, occupation des salles) et inciter à la réhabilitation des terrains disponibles en centres sportifs (Bir Hakeim ou Frémicourt).

06/03/2008

Réunion du 5 mars 2008

1870772226.jpgUn regret, une salle trop petite,
Une promesse, renouveler l’opération tous les 6 mois, en dehors des campagnes électorales.

Mon intervention :

Je suis heureuse que cette réunion ait pu s’organiser et remercie Anne HIDALGO et Barbara POMPILI pour leur esprit démocratique.

Ce sont mes adversaires dans cette campagne.
L’objet de cette réunion est justement que vous puissiez faire la différence entre nos projets et notre personnalité et ce de façon individuelle ou par petit groupe.
En effet, vous trouverez nos propositions pour chacune de nous dans les documents que nous avons distribué ou que nous tenons à votre disposition.
Mais ce que vous souhaitez par-dessus tout, c’est échanger directement et librement avec nous.
C’est ainsi que ce soir on pourra tout se dire. Personne ne sera gêné par le regard des autres comme lorsqu’il qu’il veut ou peut poser une question lors d’une réunion publique, ce qui d’ailleurs n’est pas toujours possible ou même prévu.

Certains critiquent ou contestent cette initiative. Laissons les faire.
Elisabeth de FRESQUET quant à elle a refusé d’y participer et je trouve cela dommage.
Je voudrais simplement rappeler que, à l’occasion des élections législatives de 2007, mon équipe et moi-même avions projeté d’organiser une réunion semblable avec l’ensemble des candidats.
A l’époque seuls Michel BULTE, candidat MODEM, Michel LETER, candidat Alternative libérale, Anne HIDALGO, candidate socialiste, Barbara POMPILI, candidate pour les verts, et moi-même.
René GALY-DEJEAN et Jean-François LAMOUR, eux avaient refusé.
Personne n’avait été exclu de cette initiative.
Ces difficultés nous avaient conduit à renoncer à l’organisation de cette réunion.
Cette année, je ne voulais pas essuyer un nouveau refus et devoir abandonner l’idée.

C’est ainsi que, cette année, j’ai proposé que cette réunion soit organisée avec les femmes têtes de liste dans le 15ème arrondissement.
Cela voulait également être un clin d’œil à la journée internationale des femmes pour lesquelles de nombreuses manifestations se sont tenues aujourd’hui.

Permettez-moi donc de me présenter.
J’ai 48 ans, je suis mariée, j’ai 5 enfants et je suis cadre commercial dans une grande compagnie d’assurance.
Oui, j’exerce une activité professionnelle, ce qui signifie que je ne suis pas dépendante financièrement de la politique et que je peux ainsi défendre très librement mes convictions.
Je fais vraiment de la politique par passion, et après avoir adhéré au RPR, à 18 ans, j’ai été exclue de l’UMP en janvier 2008, soit 30 ans après, par ceux mêmes que j’ai contribué à faire élire…parce que j’ai refusé leur stratégie du parachutage lors des élections législatives de juin 2007.
C’est en décembre 2007 que j’ai décidé de conduire une liste aux municipales de mars 2008.
Je suis une dissidente, et je l’assume, je suis une femme de droite et je le revendique, l’espoir de la droite dans le 15ème arrondissement comme vous pouvez le lire sur mes affiches.


Anne HIDALGO et Barbara POMPILI se sont ensuite présentées.

Puis chacune d’entre nous a pu discuter avec un bon nombre d’habitants de l’arrondissement, dans un échange totalement libre, très convivial et extrêmement constructif et riche d’enseignement pour demain.

Dominique BAUD

05/03/2008

Famille et Logement

La Famille dans la ville : chaque membre doit trouver sa place

Garder les familles à Paris, c’est s’adapter à leurs contraintes. Il est urgent d’élargir l’amplitude horaire des crèches municipales.
Si le droit de grève n’est pas contestable, pouvoir travailler est aussi un droit ! à chaque mouvement de grève annoncé, il faudra instaurer, par quartier, des établissements de permanence pour les familles (crèches et écoles) dont le fonctionnement serait assuré par des professionnels non grévistes.
Simplifier la vie des familles, c’est les aider à gérer leur temps.
Comment ? En regroupant systématiquement les familles sur un même groupe scolaire, en prévoyant un accueil dans les écoles dès 8 heures, en systématisant les études surveillées le soir, même au collège, en instaurant, après la classe, un service de minibus, qui conduirait les enfants de l’école aux structures culturelles ou sportives, réduisant ainsi la contrainte du « parent-taxi ».

Garder les familles à Paris, c’est aussi les aider, en supprimant le plafond de la carte « Paris Pass Famille » pour les familles les plus modestes (moins de 4.000 euros de revenus mensuels) et pour les familles nombreuses (3 enfants et plus) et d’en réévaluer le montant.
Garder les familles à Paris, c’est aussi leur proposer une offre qualitative en professionnalisant les assistantes familiales à domicile, en octroyant de grands logements aux assistantes maternelles et en multipliant les partenariats avec la ville et l’entreprise.
Les haltes garderie et les jardins d’enfants sont tout aussi nécessaires pour accueillir les enfants avant leur scolarisation y compris ceux dont les parents ont fait le choix de ne pas exercer une activité professionnelle.
Etre animateur dans une école est un vrai métier. Il faut donc lui assurer formation et qualification. Ainsi, l’encadrement des enfants en sera amélioré de même que laqualité des centres de loisirs avec une plus grande diversité des activités et des sorties culturelles.
Parce que le rôle des associations de parents d’élèves est important pour les familles, les enfants et l’école, il faut les aider localement.
Les relations intergénérationnelles doivent être favorisées. L’implication des retraités dans la vie de la cité peut y contribuer (aide aux devoirs, gardes d’enfants, ateliers de lecture…).
Pour les retraités, de nombreuses structures existent, mais elles sont méconnues. Il faut les recenser et communiquer les informations afin qu’ils puissent y être accueillis et participer aux activités proposées.
Parce que chacun malgré son handicap, doit être autonome dans la ville, il est nécessaire de donner une priorité à l’accessibilité à toutes les structures.
Parce que l’intégration dans les écoles et dans les crèches des enfants handicapés est insuffisante, il faut augmenter le nombre des assistantes de vie en milieu scolaire, en valoriser le rôle et en améliorer le statut.


Bien se loger : une nécessité

La difficulté à se loger oblige à une occupation rigoureuse des logements vides du parc social. Un recensement de tous les logements sociaux vides est nécessaire et ce sera une priorité pour notre équipe.
L’environnement des logements sociaux et un meilleur respect des lieux sont indispensables. Cela passera par l’obligation d’un entretien permanent des bâtiments (ascenseurs, chauffage, sanitaires), la mise en place d’une cellule d’intervention d’urgence auprès de la mairie d’arrondissement et la création d’un poste de référent dans chaque grand ensemble immobilier.
L’insalubrité de certains logements est un vrai fléau sanitaire et social. Le strict respect de la réglementation en vigueur devra être imposé aux récalcitrants, publics ou privés. Il faut avoir la volonté politique de faire appliquer la loi.

Parce que les familles doivent pouvoir continuer à résider à Paris si elles le souhaitent, il faut leur permettre de pouvoir garder leur logement. Au niveau municipal, une mesure fiscale liée à la diminution importante de la taxe d’habitation ou des impôts fonciers le permettra efficacement.

04/03/2008

Economie et Sécurité

Le 15ème, pôle économique

Le commerce de proximité est un facteur essentiel de lien social. Pour autant les difficultés sont réelles et les charges administratives trop contraignantes.
Il faut créer un guichet unique sous la responsabilité d’un animateur municipal chargé de fédérer les associations de commerçants et d’organiser des actions locales.
Les entreprises sont sources d’emploi, tant pour les jeunes que pour les seniors. La Mairie doit être partenaire et organiser un forum annuel des entreprises pour fédérer l’offre et la demande en relation avec les organismes de recrutement privés et publics, les conseillers d’orientation et les associations liées à l’aide à l’emploi ou à la création d’entreprise.

La création d’un pôle des métiers

Du fait de l’implantation des grandes chaînes de télévision dans le 15ème et à proximité, de nombreuses entreprises de l’audiovisuel se sont installées dans notre arrondissement.
Nous proposons la création d’un pôle des métiers de l’audiovisuel pour favoriser l’implantation de nouvelles entreprises et de centres de formation pour l’apprentissage des nouvelles technologies (informatique, internet, multimédia).


Sécurité

La sécurité dans notre arrondissement a besoin d’être améliorée, notamment dans certains quartiers plus sensibles qui nécessitent une surveillance accrue et un besoin d’intervention rapide. La taille de notre arrondissement rend nécessaire la création de plusieurs antennes de police de proximité.
Le sentiment d’insécurité touche plus particulièrement les personnes les plus vulnérables et donc souvent plus âgées. Notre devoir est de les rassurer en créant un système d’appel d’urgence.

La sécurité dans la rue relève aussi de l’instruction et de l’éducation. C’est pourquoi, les initiations au respect de la rue, à l’apprentissage du vélo et des rollers proposées par les inspecteurs de la Préfecture de police doivent être généralisées auprès des écoles maternelles et élémentaires.
La sécurité des enfants doit être une priorité : une surveillance aux abords de toutes les écoles de l’arrondissement doit être assurée, les ralentisseurs généralisés et l’entretien du marquage au sol assuré.
Les rassemblements sur les places en présence de chiens dangereux se multiplient. Il convient de veiller avant tout à la sécurité et à la tranquillité des riverains en les interdisant.
Les nuisances sonores et olfactives doivent être prises en compte. La Mairie d’arrondissement s’engage à assurer à ses concitoyens un strict respect des règlementations (qualité des revêtements de voirie, protection de l’environnement, gestion de l’héliport…).

Réponse de Dominique BAUD au Questionnaire de la FCPE - Union locale des 7ème/15ème arrondissement

1783418407.jpg1-Comment envisagez-vous de gérer l’assouplissement et/ou la suppression de la carte scolaire pour les collèges de notre arrondissement ?
Est-ce toujours d’actualité?
Afin d’éviter des ruées vers certains d’établissements et des rejets envers certains autres, il faut élargir le secteur scolaire d’un quartier à un plus grand nombre de collèges, sans opter pour une suppression totale de la carte scolaire, afin d’éviter de marginaliser certaines structures qui deviendraient celles où vont ceux qui ne sont pas pris ailleurs.
Pour autant, et comme il faut toujours considérer qu’il faut toujours aller vers le haut et le meilleur; une certaine suprématie et un meilleur succès de certains établissements par rapport à d’autres peut contribuer à améliorer la qualité de tous. Et ce pour le bien des élèves, les chances pour leur avenir, celui des professeurs et de l’ensemble des établissements.

2- Envisagez-vous l’organisation de Centres de Loisirs pour les collégiens de notre établissement et l’organisation de Centres de Vacances pour enfants et adolescents ?
C’est inscrit au nombre de mes propositions en assurant une formation et une qualité supplémentaire pour les animateurs et une amélioration et plus grand diversité de l’offre pour les jeunes. Il faut aussi assurer aux animateurs une meilleure permanence de leurs emplois. Il est toujours difficile de bien s’investir dans un climat de précarité.
Bien sûr, il faut aussi diversifier et élargir l’offre, en qualité, quantité, espace, notamment pour les jeunes collégiens et notamment ceux qui partent moins en vacances.

3- Quelle est votre position sur le sujet fréquemment évoqué ces dernières années de la création d’un nouveau collège ?
Cela me semble nécessaire et améliorera la qualité. La fragilité d’un nombre toujours plus grand des collégiens serait mieux compensée par un meilleur encadrement et un effectif d’élèves plus faible dans certaines classes.
4- Quelle est votre position sur le logiciel « base élèves » premier degré actuellement mis en place dans le 15ème ? Comment faut-il l’utiliser, comment éviter d’éventuelles dérives ?
L’avantage de ce logiciel est qu’un jeune sera suivi tout le long de sa scolarité, quel que soit son établissement ou le lieu de son domicile.
Pour autant, il convient d’être vigilant sur la liste des informations demandées et devant être introduites dans un ordinateur avec les risques de dérives ou d’utilisation dans le futur. J’émets des réserves sur le non respect du secret professionnel s’agissant des informations sur la santé, les origines et notamment celles introduites dans un ordinateur.

5- Envisagez-vous une refonte du périmètre scolaire des écoles afin de faire face à la surcharge des écoles maternelles ?
Oui, et tous les deux ans minimum et à fond, en fonction des variations d’une année sur l’autre, des nouveaux logements et des déménagements.
D’ailleurs, une liste pourrait-être demandée et donnée par les directeurs à chaque fin d’année scolaire afin de connaître les causes ou raisons des déménagements.
Un respect des fratries dans les périmètres scolaires est pour moi une exigence indispensable, ne nécessitant aucun dossier de dérogation.

6- Envisagez-vous, moins ou plus de personnel de la Ville de Paris pour encadrer les temps de cantine et d’étude ?Dans l’hypothèse des samedis matins libérés dans leur totalité, envisagez-vous une solution alternative ?
J’envisage surtout une meilleure formation des animateurs et une vraie qualification. Une amélioration et une plus grand diversité de l’offre pour les jeunes, nécessitera aussi des personnels supplémentaires, notamment afin de proposer une permanence de qualité pour le samedi matin. (voir réponse n° 2, déjà intégré dans nos propositions)
Il faudra cerner les besoins, dans quels quartiers et adapter les personnels et les activités.
Il faudra aussi améliorer la cantine, son service et le rôle des animateurs afin que les enfants mangent mieux et mangent bien.
Les membres de la caisse des écoles, des conseils d’école doivent pouvoir participer sans prévenir, à l’occasion, et de façon ponctuelle, aux repas servis dans les écoles de l’arrondissement.

7- Que pensez-vous de l’idée d’instaurer un accueil des enfants en maternelle et primaire avant 8h20 ?
J’ai défendu l’idée d’ouvrir toutes les écoles de l’arrondissement à 8h le matin et d’y assurer un véritable accueil de qualité.
Cette proposition m’a été refusée par la Mairie de Paris, considérant que cela n’était pas nécessaire dans notre arrondissement et cela malgré les nombreux témoignages concrets que je pouvais fournir. Je déplore ce refus, ce d’autant qu’ainsi, certains parents laissent de ce fait sans protection des enfants devant les écoles avant l’ouverture. Les barrières ne sont pas suffisantes pour les protéger des dangers de la rue, comme cela m’a été répondu une fois !

8- Quelle est votre programme pour l’accessibilité des personnes handicapées (enfants et personnels) dans nos écoles maternelles et élémentaires ?
Il faut améliorer l’accessibilité partout, mais comme tout ne pourra pas être fait en même temps, je préconise une mise aux normes à fonds, et dans plusieurs établissements dans les différents quartiers de l’arrondissement, pour répondre immédiatement à la demande et aux besoins.
Un tel inventaire est nécessaire afin d’intégrer ces jeunes et moins jeunes dès la rentrée prochaine.
Il faut aussi obtenir des assistants de vie scolaire plus nombreux, mieux formés et mieux considérés (statut et salaire) afin d’assurer leur encadrement et le soutien au personnel encadrant et enseignant et rassurer les parents (CF, mes propositions).
Au delà même de l’accessibilité pour des enfants handicapés, il faut aussi pouvoir améliorer l’accueil des enfants ponctuellement handicapés par un accident, une fracture, un plâtre. Il arrive encore, que pour cause de manque d’équipement ou de personnel, un enfant blessé ne puisse suivre ses cours er se rendre à l’école normalement.

9- Quel est votre programme pour la rénovation de nos écoles maternelles et élémentaires ?
Un inventaire des travaux à faire est nécessaire.
Les travaux rapides et urgents doivent pouvoir être gérés par notre arrondissement, rapidement et immédiatement, notamment en cas de risque en terme de sécurité. Il faut revoir ce circuit d’intervention pour lui donner plus d’efficacité et de réactivité.
Les travaux les plus lourds doivent être exécutés pendant les vacances d’été, juillet/Août. Il faudra trouver les entreprises adéquates et surveiller vraiment les travaux.(c’est inscrit au nombre de nos propositions).

10- Qu’envisagez-vous pour améliorer la sécurité routière autour des écoles élémentaires et des collèges ( feux tricolores, ralentisseurs, impossibilité de stationner sur les passages piétons…) notamment pour ralentir la vitesse des véhicules ?
J’ai travaillé toute la mandature sur ce crucial sujet. C’est moi qui ait suggéré de changer les blousons de jeunes faisant traverser aux sorties des écoles, d’un blouson rouge « médiation, ville de Paris » en rouge, à un blouson jaune « Sécurité école » avec un panneau stop.
C’est moi qui ai suggéré des collaborations avec des jeunes et des moins jeunes, formés et payés pour faire traverser les enfants aux sorties des écoles.
Toutes les écoles devraient donc être « munies » d’adjoints de sécurité. Les ralentisseurs type « coussins berlinois » pourraient être généralisés, même là où des bus de ville circulent.
Il faut sanctionner avec vigilance les véhicules stationnant sur les passages protégés et notamment aux abords des écoles et apprendre aux enfants à circuler dans la rue.
Comme je l’ai fait pendant 7 ans, il faut multiplier les animations dans les écoles et avec la Mairie et la Préfecture de Police, pour initier les enfants, dès la maternelle aux dangers de la rue, à pied, en vélo et en rollers.
Et comme je l’ai fait aussi, il faut continuer à proposer des réunions d’infos faites par la Préfecture de Police, aux parents et à ceux qui viennent chercher les enfants.

11- Souhaitez-vous conserver une « cantine traditionnelle » avec des centres de cuisson et le personnel approprié dans nos écoles ou envisagez-vous de faire appel à des prestataires extérieurs ? Envisagez-vous de fournir de plus en plus nos cantines en produits « biologiques » ?
Je suis favorable à une cuisine « traditionnelle » dans les écoles et à un bon équilibre alimentaire notamment en fruits et légumes frais pour les jeunes élèves.

12-Quelle est votre position par rapport à la tarification de la cantine ? Conserver la tarification actuelle de la Caisse des écoles (5 tarifs) ou bien adopter une tarification en cohérence avec celle de la ville pour les activités périscolaires (8 tarifs) ?
La Mairie du 15ème a souhaité au cours de cette mandature, ne pas se « plier » aux consignes de la ville.
Il conviendra de réexaminer cette position, et de voir avec les responsables des associations des parents d’élèves de l’arrondissement que nous pourrions convier à une réunion exceptionnelle avec les membres de la Caisse des écoles et son nouveau président (ou présidente) qui sera le maire de l’arrondissement, la bonne position à adopter.
Il convient avant tout de ne pas avoir un positionnement idéologique, mais intelligent, pour le bien de tous.

13- Qu’envisagez-vous pour équiper les écoles primaires d’ordinateurs, pour développer l’apprentissage des Nouvelles Technologies à l’école et optimiser le travail des professeurs ?
Faire un inventaire des équipements des écoles, de leur qualité et les améliorer en quantité et en performance, selon les besoins constatés.
Savoir se servir d'un ordinateur est devenu indispensable. L'utilisation de l'informatique peut réellement optimiser la gestion du travail des professeurs. Mais il ne faut cependant pas perdre de vue qu'écrire correctement en français, sans faire de faute d' orthographe, reste un objectif essentiel.

14- Quelle place prévoyez-vous dans votre programme, pour les associations de parents d’élèves de notre arrondissement ?
Les aider toutes localement, soit en leur donnant facilement l’accès à des structures municipales pour tenir des réunions, faire des photocopies, soit même, en leur octroyant localement des subventions de fonctionnement, à hauteur de leur investissement. (CF nos propositions)
Avec la recherche d’un seul but, le bien des enfants.

03/03/2008

Propreté-Environnement / Voirie - Circulation

Propreté – Environnement

La Seine est un atout pour Paris et pour notre arrondissement : on devrait l’utiliser pour évacuer les déchets et en réaménager les quais pour la promenade.
L’eau est une denrée qui se raréfie et nous devons être vigilants. Il faut récupérer les eaux de pluie pour l’arrosage et interdire celui de la pelouse du tramway avec de l’eau potable.
Des efforts sur la propretésont plébiscités par tous. Seule une meilleure répartition géographique des personnels qui valoriserait leur travail, conduirait à moins d’absentéisme et par conséquent à des rues régulièrement nettoyées.

"Passage des éboueurs aux heures de pointe"

Le passage des éboueurs aux heures de pointe est unanimement vécu comme une gêne. Il faut reconsidérer les horaires et notamment celui du ramassage des poubelles des commerçants et des professions libérales.
Préserver l’environnement, c’est aussi la prévention, en instaurant notamment des ateliers d’éducation civique.
Préserver l’environnement, c’est aussi la sanction, en obligeant ceux qui salissent ou créent des nuisances à des travaux d’intérêt général.


Voirie – Circulation

La circulation des voitures à Paris doit être facilitée et cela passe par une meilleure offre de stationnement.
C’est ainsi que les parcs de stationnement existants doivent être mieux signalés, que de nouveaux parkings de proximité doivent être crées et que le paiement doit être aménagé à la demi-heure pour inciter les véhicules à se garer en sous-sol.
Il faut aussi revoir l’emplacement des zones de livraison et y permettre le stationnement la nuit et le week-end.
Faire du vélo à Paris ne doit plus être dangereux. Il faut d’abord obliger les cyclistes à respecter le code de la route, ensuite relier les pistes cyclables les unes aux autres et enfin détruire les murets de séparation avec la chaussée pour éviter des accidents.

"Respecter le code de la route"

Le piéton est souvent la victime des mauvais aménagements de voirie. Il est important de vérifier l’aménagement des ronds points et d’assurer un entretien vigilant afin d’éviter les accidents (trous, socles des arbres, racines, éclairage public…). Un service municipal spécifique sera chargé des interventions d’urgence.
Parce que le lien social est important pour tous, la création d’un système de minibus, où handicapés et seniors pourraient être pris en charge par des agents municipaux pour les courses, activités sportives, culturelles ou administratives, s’impose.

Réunion Publique

Dominique BAUD, Conseiller de Paris, élue du 15ème

vous invite à participer à une réunion publique.

Un vrai renouvellement, à Droite, pour le 15ème


Jeudi 6 mars 2008
De 19h00 à 21h30

Ecole Falguière
20, rue Falguière
75015 Paris
Métro Falguière

02/03/2008

3 Femmes, 3 Projets

2052670728.jpg

01/03/2008

Menaces, intimidations… Jusqu’où iront-ils, qui sera le suivant ?

1010207539.jpg47388037.jpgJe suis aujourd’hui obligée de m’exprimer devant les dérives excessives que prend cette campagne municipale.
Gagner la confiance des électeurs, ne doit pas se faire sur une campagne de dénigrement ou de menaces, mais au contraire sur un projet crédible et une vraie volonté de changement de méthode et de comportement.
Il y a eu cette amie, dont on a recherché le nom de son « employeur », un député à qui il a été demandé de la « virer », car elle avait osé demandé, au cours d’une réunion, à un ancien sénateur, pourquoi, à peine élu, il souhaitait devenir député.
Puis, il y a eu ce kiosquier, soutenu par la population et qui demande de l’aide aux élus. J’écris à la Mairie de Paris, il affiche mon courrier, on exige qu’il arrache cette copie et on lui explique comment, une fois en place, il sera facile de lui fermer son kiosque.
Puis, il y a cette femme qui me soutient et dont on appelle le mari, pour savoir s’il n’y a pas un problème dans le couple.
Sans parler des propos détestables de mépris pour une candidate dont le métier est d’être astrologue et dont on conteste le sérieux de la candidature alors qu’elle vit dans l’arrondissement et participe depuis longtemps à la vie de son quartier.
Même mon fils, qui ne demande rien à personne mais qui est heureux a à peine 18 ans, de me soutenir en 50ème position sur ma liste, a fait l’objet de sarcasmes gratuits.
Et ce chef d’entreprise qui oublie s’être engagé auprès de moi depuis longtemps pour faire une réunion dans une de ses salles et qui aujourd’hui, parce qu’il prête sa salle à un autre candidat… doit demander l’autorisation à ce dernier pour me confirmer son accord.
Je ne donnerai pas de nom. Pourtant le nombre de mes colistiers qui ont du subir et subissent encore ces intimidations voire peut-être davantage s’allonge tous les jours. Et elles proviennent toujours des mêmes. Je ne peux que le constater avec regret.
Mais où sommes-nous ?
Qui sont-ils ?
Les mêmes que ceux qui en 2007, disaient que les « dissidents » faisaient la campagne « au niveau des rebords des trottoirs », ceux qui traitaient les « dissidents de sous-marques »… et aujourd’hui de « papous »…




Dominique BAUD

 

28/02/2008

Ce matin… au marché de Breteuil

615454956.jpgLe mauvais temps, les vacances scolaires, rien ce matin ne prédestinait le marché de Breteuil à recevoir la visite des journalistes de FR3.
Nous y étions sur le marché avec 3 de mes colistiers, souriants et toujours enthousiastes à défendre notre projet municipal pour le 15ème arrondissement, mais force est de constater que ce n’est pas notre travail qui intéresse la presse.

Ma première surprise est venue d’une discussion que j’ai eue avec une militante de M. GOUJON, manifestement pas très informée de la situation du 15ème arrondissement.
Après avoir avoué ne pas m’avoir reconnue, elle s’est étonnée de me voir distribuer des tracts croyant que je faisais partie de la même équipe qu’elle.
Puis, interrogée par le journaliste, elle a avoué le désintérêt des électeurs pour cette campagne, et le désarroi de ceux qui ont cru que les choses changeraient après mai 2007. Enfin, elle s’est étonnée avec moi de ne pas voir de femme sur la 1ère page du tract officiel de la liste qu’elle avait l’air de soutenir. Quoique !
Elle a même apprécié la qualité du n°1 de notre « BOF de Campagne » qu’elle a placé sur sa pile de journaux, déclarant qu’elle allait me faire de la pub !

Mais la parité n’existe pas dans l’UMP du 15ème, ou plus exactement, elle existe sur le papier, car c’est la loi, mais cela ne va pas au-delà.
Où est la n° 2 ? Que fait-elle ? Pourquoi ne lui donne t-on pas la parole, alors que 52% des électeurs sont des femmes ?

Quelle image ringarde est ainsi donnée de certaines pratiques politiques de parti.
Des femmes oui, parce qu’on est obligé, oui, car cela peut servir, mais non à des femmes de tempérament, courageuses, audacieuses et actives.

J’ai toujours regretté qu’une loi soit nécessaire pour permettre une juste représentation de notre société où les hommes et les femmes sont complémentaires.
Mais je ne peux constater qu’avec regrets que à l’UMP, une loi, ce n’est pas encore suffisant.

Pour revenir à notre marché de Breteuil, malgré la pluie, le froid et les vacances scolaires, après les journalistes, nous avons vu arriver les photographes, les militants UMP, plus les élus du 7ème arrondissement. Du moins ceux qui ont été retenus pour être sur la liste officielle. Un évènement était attendu. Mme DATI devait venir passer quelques instants sur le marché.
J’espère que l’ardeur des journalistes sera aussi fervente lorsqu’il s’agira de constater les heures de présence au prochain Conseil de Paris, de toutes ces personnalités candidates, et qu’ils seront témoins de leur intérêt pour Paris et les Parisiens par leur énergie quotidienne surtout si Bertrand DELANOE est réélu.
Cela nous changera et alors, avec une opposition qui pourrait, dès le 17 mars prochain, se montrer efficace, dynamique et assidue, nous aurons l’espoir de reprendre Paris en 2014.

Dominique BAUD

 

26/02/2008

Bof de Campagne n°1

« Est-ce normal qu' à l'occasion d'une élection, deux députés cautionnent et autorisent la distribution d'un tel document contre un candidat et sa liste aux municipales, distribué à l'entrée de notre dernière réunion publique par un des candidats de leur liste. »

 

 

Le fichier ci-après en est la réponse.

Bof de Campagne - 01.pdf

 

23/02/2008

Réunions publiques

Dominique BAUD, Conseiller de Paris, élue du 15ème

vous invite à participer à deux réunions publiques.

Un vrai renouvellement, à Droite, pour le 15ème


Mardi 26 février 2008
De 19h00 à 21h30

Ecole Corbon
3, rue Corbon
75015 Paris
Métro Vaugirard


Mercredi 27 février 2008
A 19h00

Pizzeria « Le Visconti »
354, rue Lecourbe
75015 Paris
Métro Balard
Bus 39-42

REUNIONS PUBLIQUES 2008 - 1.pdf