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01/03/2008

Menaces, intimidations… Jusqu’où iront-ils, qui sera le suivant ?

1010207539.jpg47388037.jpgJe suis aujourd’hui obligée de m’exprimer devant les dérives excessives que prend cette campagne municipale.
Gagner la confiance des électeurs, ne doit pas se faire sur une campagne de dénigrement ou de menaces, mais au contraire sur un projet crédible et une vraie volonté de changement de méthode et de comportement.
Il y a eu cette amie, dont on a recherché le nom de son « employeur », un député à qui il a été demandé de la « virer », car elle avait osé demandé, au cours d’une réunion, à un ancien sénateur, pourquoi, à peine élu, il souhaitait devenir député.
Puis, il y a eu ce kiosquier, soutenu par la population et qui demande de l’aide aux élus. J’écris à la Mairie de Paris, il affiche mon courrier, on exige qu’il arrache cette copie et on lui explique comment, une fois en place, il sera facile de lui fermer son kiosque.
Puis, il y a cette femme qui me soutient et dont on appelle le mari, pour savoir s’il n’y a pas un problème dans le couple.
Sans parler des propos détestables de mépris pour une candidate dont le métier est d’être astrologue et dont on conteste le sérieux de la candidature alors qu’elle vit dans l’arrondissement et participe depuis longtemps à la vie de son quartier.
Même mon fils, qui ne demande rien à personne mais qui est heureux a à peine 18 ans, de me soutenir en 50ème position sur ma liste, a fait l’objet de sarcasmes gratuits.
Et ce chef d’entreprise qui oublie s’être engagé auprès de moi depuis longtemps pour faire une réunion dans une de ses salles et qui aujourd’hui, parce qu’il prête sa salle à un autre candidat… doit demander l’autorisation à ce dernier pour me confirmer son accord.
Je ne donnerai pas de nom. Pourtant le nombre de mes colistiers qui ont du subir et subissent encore ces intimidations voire peut-être davantage s’allonge tous les jours. Et elles proviennent toujours des mêmes. Je ne peux que le constater avec regret.
Mais où sommes-nous ?
Qui sont-ils ?
Les mêmes que ceux qui en 2007, disaient que les « dissidents » faisaient la campagne « au niveau des rebords des trottoirs », ceux qui traitaient les « dissidents de sous-marques »… et aujourd’hui de « papous »…




Dominique BAUD

 

14/05/2007

Vous avez dit Démocratie…

Je tiens à rappeler aujourd’hui le définition du mot démocratie : « se dit d’un régime politique où la souveraineté est exercée par le peuple » Dictionnaire Hachette encyclopédique, édition 2000.
« Lorsque, dans la république, le peuple en corps a la souveraine puissance, c’est une démocratie » Charles de Montesquieu (1689 – 1755)

Je tiens à rappeler aussi l’article 2 de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen du 26 août 1789 : « Le but de toute association politique est la conservation des droits naturels et imprescriptibles de l'Homme. Ces droits sont la liberté, la propriété, la sûreté, et la résistance à l'oppression. »

Et bien, ce matin, dans les rues de notre 13ème circonscription, c’est une définition bien différente que m’ont opposés certains jeunes de l’UMP :
« La démocratie, c’est que Dominique BAUD ne se présente pas ou qu’elle se retire puisque l’UMP ne l’a pas choisie »

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