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27/05/2012

Retour de collage

Retour de collage, ce soir à 1h30. Personne dans les rues en ce samedi de week-end de Pentecôte. Nous avons décidé d’une stricte ligne de conduite en respect de la démocratie qui consiste à permettre à chacun de pouvoir s’exprimer, y compris par l’affichage.

Il y a bien sûr les panneaux électoraux. Les concernant, normalement, il est interdit d’y toucher. Chaque candidat a seul autorité pour y coller ses affiches.

Et il reste quelques espaces de collages, de moins en moins nombreux mais où certains s’octroient tout l’espace….Ce qui n’est manifestement pas du goût de tout le monde… De fait, cela nous a permis de glisser quelques affiches aux endroits restés ou devenus libres.

On verra si tout le monde a ce respect de la démocratie. On a pris des photos, avant et après, photos prêtes à être publiées si nécessaire.

Dominique Baud

 

09/03/2012

Dati, c’est reparti

Bien qu’accompagnant « le candidat » dans de nombreux déplacements, elle ne désarme pas contre la candidature du premier ministre dans « SA » circonscription.

Quel esprit de «  propriété » !!!. Dommage que ceux à qui elle a piqué la place sans état d’âme en 2008 n’aient pas eu à l’époque autant de pugnacité. Car eux, déjà et depuis longtemps, sont chez eux, dans l’arrondissement, voire même dans la circonscription. Mais peut-être seraient-ils enfin en train de se rebiffer. Décidemment, ça bouge enfin à Paris…

Elle continue donc à réaffirmer qu’elle sera candidate face à François Fillon, selon ses déclarations sur LCI, le 28 février dernier. Philippe Goujon peut-il être totalement rassuré ? Pas sûr ? Mais alors où irait ce dernier, dans l’autre circonscription du XVème, celle où JFL vient d’ouvrir une permanence, pas gagné…

Car oui, la particularité du député de la 13ème circonscription, c’est qu’il n’ouvre une permanence que pour faire campagne. Signe de la proximité s’il en est qu’il a souhaité instaurer auprès de ses électeurs.

Qu’il est loin le temps de la vraie vie militante, des réunions mensuelles avec René Galy Dejean, des échanges avec Jacques Toubon, des dîners débats….D’une permanence ouverte toute l’année, espace d’accueil et de convivialité.

Dominique Baud

 

24/01/2012

Coup de force, qui va gagner François Fillon, candidat à Paris ou l’Elysée ?

Quel discrédit ce serait que de céder au chantage de Rachida Dati, traitée tour à tour d’ « enfant gâtée, capricieuse, arriviste », mais « protégée ».

« Un cas traité par l’Elysée ». On se demande bien pourquoi et qu’est ce qui se cache derrière cette affaire pour qu’elle prenne ainsi des allures d’affaire d’état. Car tout de même, par ces temps de crise, la situation désespérée de cette élue, justifie qu’on lui trouve une alternative : tout de même, conseiller de Paris, Maire du 7ème arrondissement et Député Européen. Ne serait-ce que financièrement , pas moins de 20.000 € par mois, sans compter les annexes (portable, transports, chauffeur….)

Et voilà que de plus en plus on reparle de sa possible désignation dans la 12ème circonscription de Paris. Et dans deux ans, elle pourrait exiger le siège de Maire, du plus grand arrondissement de Paris ! C’est comme cela que cela a commencé dans l’arrondissement voisin. Parlez-en à Michel Dumont. Il ne voulait pas me croire. On lui avait promis qu’il récupèrerait son fauteuil de Maire, même si elle était tête de liste aux municipales. On a vu !

Quant au Maire du 15ème, il glisserait chez nous, dans la 13ème circonscription. Bien sûr, on ne nous demande pas notre avis, nous simples électeurs. Lui-même d’ailleurs, qui s’agrippe à sa circonscription, sait que ce ne sera pas si facile…

Et pour le député de la 13ème circonscription, parachuté il y a 5 ans, on parle d’une "gratification de l’Elysée" pour qu’il parte. Et bien, finalement, on va lui donner raison de ne pas s’être installé dans l’arrondissement, de ne pas s’y être vraiment investi.

Le fait du prince plus plus. On prend, on jette, on remplace.. Et les électeurs dans tout cela ?

Une suggestion, pour finir sur une note d’humour… noir. Rachida Dati  pourrait être candidate dans la Sartre où François Fillon se ferait un devoir de venir la soutenir. On en est pas à un parachutage près.

Si j’étais député…, je proposerai qu’un élu, titulaire de deux mandats, ne puisse pas se présenter à une nouvelle élection, sauf à avoir préalablement démissionné de son précédent mandat un an auparavant, et que pour se présenter dans une circonscription ou dans une commune, il doive justifier d’y vivre et de s’y être investi, sur la même durée, au minimum.

 

Objectif :  limiter le cumul des mandats et interdire ces jeux de chaises musicales au mépris des électeurs, empêcher tout parachutage de circonstance et mettre en place un vrai renouvellement, sans parler de parité, mais cela, j’y reviendrai.

 

A force de dire la même chose depuis des années, nul doute qu'un jour, je serai entendue. j'ai plein d'autres exemples.

 

Dominique Baud

 

18/06/2011

Prise de position manifeste !!!

 

 

Une fronde a l’air de s’être engagée contre Roselyne Bachelot. On pourrait trouver plusieurs raisons à cela. Mais en fait, elle est due à sa position favorable au mariage entre homosexuels. Et, même si je suis loin de soutenir ses propos, il me semble important de souligner qu’elle va jusqu’au bout de ses convictions et cela au moins, c’est tout à fait respectable et mérite d’être signalé.

Et pendant ce temps là qu’ont fait les deux députés du XVème. Ils ont, selon les informations qui m’ont été transmises, brillé par une prise de position remarquable : NPPV !!!

Ils n’ont pas osé voter pour, … Ils n’ont pas voulu voté contre…Ils ne se sont pas abstenus… Non, ils font partie des 25 députés qui N’ont pas Pris Part au Vote. Quelles explications vont-ils donner aux  électeurs du XVème ?

Une fronde va-t-elle aussi s’engager contre eux et risqueraient-ils ne pas avoir l’investiture en 2012?

On raconte que ce serait pour ménager leur candidat pour Paris, François Fillon, et la forte population homosexuelle de Paris. Mais encore faudrait-il que cette dernière souhaite le mariage, ce qui est loin d’être prouvé…

Dominique Baud

 

09/01/2011

Un article à lire pour les amateurs du sport propre

"Bordry a jeté l'éponge

Fier d'avoir placé la France en tête de la lutte antidopage, Pierre Bordry porte un regard fataliste sur la chute de la volonté politique qui l'a poussé à quitter la présidence de l'AFLD.

Lassé de se battre chaque année pour conserver son budget (pourtant famélique, avec 8 millions d'euros), Pierre Bordry a choisi de démissionner de l'AFLD à l'automne dernier.

 

Son mandat à la tête de l'Agence Française de Lutte contre le dopage aurait dû s'arrêter en juillet 2011, mais, à 71 ans, Pierre Bordry a décidé d'anticiper les choses en démissionnant de son poste le 25 septembre dernier. Ce départ a pu sembler anecdotique pour le grand public. Il ne l'est pourtant pas. Car en six ans à la tête du CPLD devenue AFLD, Pierre Bordry aura laissé son empreinte dans la lutte antidopage, marquée par une présence médiatique et une efficacité incontestables. Il quitte une agence considérée comme la meilleure du monde par l'Agence Mondiale Antidopage (AMA).

 

« Sud Ouest Dimanche ». Pourquoi avez-vous démissionné de la présidence de l'AFLD ?

Pierre Bordry. Je suis parti parce que les services du ministère des sports passaient beaucoup de temps à compliquer la tâche de l'Agence. Pour le budget 2010, c'est-à-dire fin 2009, Rama Yade a déposé un amendement devant le Sénat qui diminuait de moitié notre budget, et comme les parlementaires ont protesté, elle a finalement promis de donner cette somme sur son propre budget du ministère. Mais quand est arrivé le mois de janvier, ses services nous ont expliqué qu'on nous versait la première moitié, mais que pour l'autre, ce n'était pas sûr. J'ai donc protesté vigoureusement… ce qui a fortement fâché Mme Yade, qui a versé l'argent. Si je n'avais pas parlé à la presse je crois qu'elle ne l'aurait pas fait. En septembre 2010, on m'a fait comprendre que cette fois je n'aurais pas gain de cause pour le budget 2011. J'ai donc démissionné. Devoir pleurer chaque année pour obtenir un budget est contraire à l'idée d'indépendance que doit avoir notre agence.

Pourquoi est-ce si difficile de lutter contre le dopage en France ?

À l'époque de la loi Buffet en 1999, la lutte antidopage était vigoureuse. Les contrôles organisés par le ministère des sports étaient alors faits sur le territoire français quelle que soit la compétition, nationale ou internationale.

Mais on est passé à un autre système avec l'arrivée de Jean-François Lamour au ministère des sports.

On a créé une superbe « haute autorité publique indépendante », mais on lui a enlevé les contrôles internationaux sur le territoire national.

 

Serait-ce à dire qu'on a privilégié la communication à l'efficacité ?

Je vous laisse juge…

Pourquoi la France a-t-elle voulu ralentir sur la lutte antidopage ?

En 2005, quand Lamour a déposé la loi, il luttait pour avoir les JO (2012) à Paris (NDLR : finalement obtenus par Londres). Il a donc lâché un maximum pour les fédérations internationales sur le territoire français. Et puis parallèlement, le gouvernement et même Lamour ont appuyé toutes les démarches internationales pour que l'Agence Mondiale Antidopage (AMA) laisse une place aux fédérations internationales. À mon avis, il y a donc eu pression des fédérations internationales pour pouvoir diriger elles-mêmes les contrôles et les sanctions.

Votre mandat aura été marqué par la pêche miraculeuse de l'AFLD sur le Tour de France 2008 (Ricco, Schumacher, Khol…).

Les coureurs avaient manifestement l'habitude de pouvoir s'arranger avec les contrôles… Cette démonstration nous a mis à part. Visiblement, cela gênait. On aurait préféré que l'on trouve moins de tricheurs et que l'on n'en parle pas. En réalité cela a beaucoup aidé les agences antidopage des autres pays, qui commençaient à agir. On a, par cette action, montré qu'il y avait un contrepoids aux fédérations internationales.

Cette démonstration a aussi prouvé qu'on ne recherche pas toujours les tricheurs avec la même motivation ni la même efficacité. Était-ce une victoire pour vous ?

C'était surtout une grande tristesse. Par la suite, nous n'avons plus vraiment eu la main sur les contrôles. Mais dans un rôle d'observateurs, nous avons décelé plusieurs anomalies sur le Tour 2009. En 2010, ce sont carrément des observateurs de l'AMA qui ont décelé une cinquantaine d'anomalies dans les contrôles réalisés par l'Union Cycliste Internationale (UCI). Alors, quand elle clame qu'elle est la fédération internationale qui réalise le plus de contrôles, l'UCI ne ment pas. Mais la question de sa méthode reste posée.

La lutte contre le dopage intéresse-t-elle vraiment le public ?

Les gens ont marqué un intérêt pour ça. On l'a ressenti par les parlementaires, qui sont très représentatifs du peuple. Ils ont toujours, de façon constante et de façon pluraliste, encouragé l'AFLD. Preuve que la lutte antidopage est un problème de société. Les gens se posent des questions. Les parents s'inquiètent pour la santé de leurs enfants. À juste titre d'ailleurs. Car les gamins peuvent se procurer des produits trafiqués par internet. Il y a un vrai trafic organisé. Il faut que les éducateurs et les parents soient très attentifs.

Pourquoi le cyclisme est-il à ce point estampillé sport de dopés ?

Peut-être parce que la presse a surtout relevé les cas dans le cyclisme. Le cyclisme est très populaire…

On a du mal à croire qu'il n'y ait pas de dopage lourd dans les autres sports.

Vous avez raison. Il y en a sûrement. Mais le problème ce sont les moyens dont peuvent disposer certains pour se doper et échapper aux contrôles et à l'analyse positive du contrôle. Il peut y avoir plus de moyens dans d'autres disciplines.

Comme dans le football ?

On ne peut pas non plus trop en vouloir au football… tant qu'on n'a pas trouvé.

Pourquoi ne trouve-t-on pas ?

Il y a peut-être un problème de qualité des réseaux d'informations. On parle d'avantage dans le cyclisme. Il y a peut-être également des spécialistes du dopage qui savent comment passer à travers les mailles. Bien conseillé, un sportif peut prendre des substances qui disparaissent rapidement de l'organisme. Le système de contrôle et d'analyse a donc besoin d'être amélioré au niveau mondial. On y vient progressivement. Notamment avec les signes indirects de dopage. Le problème c'est que pour déclarer quelqu'un positif il faut trouver quel produit il a pris et à quel moment de façon précise. On va forcément y arriver, car la médecine fait des progrès, la toxicologie aussi. Il faudra des signes objectifs. Car ensuite, il faudra prouver devant le tribunal qu'un athlète est dopé ou qu'il ne l'est pas. Il faut que les méthodes et les techniques soient les meilleures possibles, et incontestables, car de plus en plus, les sportifs se battent sur la procédure d'avantage que sur le fond.

Pourquoi les disciplines sont-elles traitées aussi différemment ? Un cycliste peut être réveillé à 6 heures du matin, c'est inimaginable en football…

Il faut une autorité forte, qui n'hésite pas à dire : vous ne voulez pas que les contrôleurs viennent ? C'est sans doute qu'il y a une raison. Et s'il n'y en a pas, laissez les venir.

Votre départ est-il celui d'un emmerdeur pour le monde du sport ?

Un emmerdeur ? Je m'en fous. Il y a une loi, il faut l'appliquer. Sinon autant changer la loi. Moi je n'ai pas d'états d'âme."

 

03/05/2010

Il y a de l’orage dans l’air…

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Yves Pozzo di Borgo, Président du groupe Centre et indépendants au Conseil de Paris (Nouveau Centre, parti politique membre de l’UMP) hausse le ton. Considérant que son parti a été mal représenté aux dernières élections régionales à Paris, il dénonce les parachutages, qui plus est, les parachutages de ministres.

Personnellement, je ne peux qu’approuver. Et, que ce soit d’ailleurs le parachutage d’un ministre en exercice ou celui d’un ministre déchu. Que ce soit d’ailleurs pour les élections régionales ou pour les élections municipales, voire législatives.

Cela porte d’ailleurs part à sourire que ce soit le président du groupe UMP au Conseil de Paris, Jean-François Lamour, qui qualifie ces propos de « regrettables ». Comme tout le monde le sait, il a profité de cette pratique en 2007, pour devenir député de la 13ème circonscription de Paris.

Et on a eu un autre exemple dans le 7ème, arrondissement de M. Pozzo di Borgo, à l’occasion des dernières élections municipales.

Pourquoi se réveille t-il aujourd’hui, je n’en sais rien. J’espère simplement que cette déclaration n’est pas simplement un effet d’annonce et qu’il saura continuer à être ferme sur ce sujet, dans les années à venir, pour la survie de la démocratie et la reconquête de Paris.

Il est peut-être vrai qu’il pense aux sénatoriales de 2011 et au renouvellement de son mandat, mais cela justifie t-il les propos du député maire du XVème…

Extrait du Monde.fr (AFP 27.04.10 – 14h13)

« De son côté, Philippe Goujon, président de la fédération UMP de Paris, s'est déclaré mardi "stupéfait par la violence des propos qui dissimulent peut être une absence de projet et d'idée" et qu'ils sont dictés par son "ambition pour les sénatoriales de 2011".

Le député-maire UMP du XVe arrondissement "regrette cette démarche de division qui ne peut que nuire à l'intérêt de la droite parisienne qui fonctionnait de façon unie et unitaire". »

On a vu le résultat des régionales à Paris. Il y a vraiment de quoi continuer à donner des leçons, mépriser, voire même menacer ceux qui osent exprimer un avis différent.

Et quand les accords électoraux passés ne sont pas respectés, il est normal et nécessaire de le faire savoir aux électeurs.

D’ailleurs le groupe Nouveau Centre de Paris ne vient-il pas d’accueillir trois nouveaux élus au sein de son groupe au conseil de Paris, élus démissionnaires… du groupe UMP.

Dominique Baud

07/04/2010

Et le gagnant sera…

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Deux candidats pour la présidence du groupe UMP au Conseil de Paris

Par Sophie de Ravinel
06/04/2010

http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gif

INFO LE FIGARO - Jean-François Legaret, maire UMP du Ier arrondissement de Paris et redevenu conseiller régional d'Ile-de-France le 21 mars, veut que l'opposition au maire PS de Paris, Bertrand Delanoë, soit «plus radicale, plus présente et plus déterminée». En conséquence, l'ancien adjoint aux finances de Jean Tiberi a déposé mardi matin sa candidature à la présidence du groupe UMP au Conseil de Paris aujourd'hui détenue par le député UMP du XVe arrondissement, Jean-François Lamour. L'ancien ministre des Sports est candidat à sa propre succession à cette élection prévue vendredi.

Legaret, qui est aussi président de la commission des finances de la Ville de Paris pointe «des dysfonctionnements importants» dans le groupe UMP constitué de 53 élus et souligne que «la complémentarité ne fonctionne pas» entre le groupe et la Fédération UMP de Paris présidée par le député-maire du XVe arrondissement, Philippe Goujon. «Le groupe n'est pas un lieu de débats et de propositions, dit-il. Et après les très mauvais résultats de la majorité présidentielle à Paris, pour les régionales, il faut clairement revoir notre manière de nous opposer».

Chez Jean-François Lamour, on n'apprécie guère cette candidature déposée cinq minutes avant le jour et l'heure limite, mardi à midi. On regrette que Jean-François Legaret décide de présenter sa candidature alors qu'il a déjà obtenu un poste de conseiller régional.

26/03/2010

C’est plus ce que c’était le 15ème !!!

 

Après quelques journées très chargées, j’ai un peu négligé ce blog.

Me revoilà avec les résultats du 2ème tour des élections régionales dans le 15ème arrondissement.

Dans notre arrondissement, la droite est encore légèrement devant, mais pour combien de temps ?

Alors, que feront « nos » deux députés en 2012 ? Continueront-ils à rejeter, à ignorer, des alliés de droite, certes pas toujours disciplinés mais forts de leurs convictions ou feront-ils un autre choix ?

Car sinon, le risque est grand, notamment dans la 13ème circonscription, de se réveiller au lendemain du 2ème tour avec un élu de gauche.

Et…Tout cela ne se décrète pas à 8 jours du 1er tour, mais bien en amont…

Espérons que le bon sens l’emportera.

Dominique Baud

2ème tour, le 21 mars 2010

Inscrits 132.520

Abstentions 61.082 (46,09%)

Votants 71.438 (53,91%)

Blancs ou nuls 2.814 (2,12%)

Exprimés 68.624 (51,78%)

Ont obtenu

Valérie Pécresse 36.613 (53,35%)

Jean-Paul Huchon 32.011 (46,65%)

Et 2ème tour en 2004

Inscrits 128.077

Votants 87.017 (67,94%)

Blancs 1.851 (2,13%)

Exprimés 85.166 (97,87%)

Avaient obtenu

Huchon (PS) 34.453 (40,45%)

Cope (UMP) 45.779 (53.75%)

Le Pen 4.934 (5,79%)

28/02/2008

Ce matin… au marché de Breteuil

615454956.jpgLe mauvais temps, les vacances scolaires, rien ce matin ne prédestinait le marché de Breteuil à recevoir la visite des journalistes de FR3.
Nous y étions sur le marché avec 3 de mes colistiers, souriants et toujours enthousiastes à défendre notre projet municipal pour le 15ème arrondissement, mais force est de constater que ce n’est pas notre travail qui intéresse la presse.

Ma première surprise est venue d’une discussion que j’ai eue avec une militante de M. GOUJON, manifestement pas très informée de la situation du 15ème arrondissement.
Après avoir avoué ne pas m’avoir reconnue, elle s’est étonnée de me voir distribuer des tracts croyant que je faisais partie de la même équipe qu’elle.
Puis, interrogée par le journaliste, elle a avoué le désintérêt des électeurs pour cette campagne, et le désarroi de ceux qui ont cru que les choses changeraient après mai 2007. Enfin, elle s’est étonnée avec moi de ne pas voir de femme sur la 1ère page du tract officiel de la liste qu’elle avait l’air de soutenir. Quoique !
Elle a même apprécié la qualité du n°1 de notre « BOF de Campagne » qu’elle a placé sur sa pile de journaux, déclarant qu’elle allait me faire de la pub !

Mais la parité n’existe pas dans l’UMP du 15ème, ou plus exactement, elle existe sur le papier, car c’est la loi, mais cela ne va pas au-delà.
Où est la n° 2 ? Que fait-elle ? Pourquoi ne lui donne t-on pas la parole, alors que 52% des électeurs sont des femmes ?

Quelle image ringarde est ainsi donnée de certaines pratiques politiques de parti.
Des femmes oui, parce qu’on est obligé, oui, car cela peut servir, mais non à des femmes de tempérament, courageuses, audacieuses et actives.

J’ai toujours regretté qu’une loi soit nécessaire pour permettre une juste représentation de notre société où les hommes et les femmes sont complémentaires.
Mais je ne peux constater qu’avec regrets que à l’UMP, une loi, ce n’est pas encore suffisant.

Pour revenir à notre marché de Breteuil, malgré la pluie, le froid et les vacances scolaires, après les journalistes, nous avons vu arriver les photographes, les militants UMP, plus les élus du 7ème arrondissement. Du moins ceux qui ont été retenus pour être sur la liste officielle. Un évènement était attendu. Mme DATI devait venir passer quelques instants sur le marché.
J’espère que l’ardeur des journalistes sera aussi fervente lorsqu’il s’agira de constater les heures de présence au prochain Conseil de Paris, de toutes ces personnalités candidates, et qu’ils seront témoins de leur intérêt pour Paris et les Parisiens par leur énergie quotidienne surtout si Bertrand DELANOE est réélu.
Cela nous changera et alors, avec une opposition qui pourrait, dès le 17 mars prochain, se montrer efficace, dynamique et assidue, nous aurons l’espoir de reprendre Paris en 2014.

Dominique BAUD

 

26/02/2008

Bof de Campagne n°1

« Est-ce normal qu' à l'occasion d'une élection, deux députés cautionnent et autorisent la distribution d'un tel document contre un candidat et sa liste aux municipales, distribué à l'entrée de notre dernière réunion publique par un des candidats de leur liste. »

 

 

Le fichier ci-après en est la réponse.

Bof de Campagne - 01.pdf

 

09/02/2008

Bruits de trottoirs

Il y a 15 jours, j’apprenais que, sur le trottoir à l’angle de la rue Cambronne et la rue Lecourbe, j’avais refusé de rencontrer avant les élections législatives M. LAMOUR, candidat officiel de l’UMP. 76a797a3a736009a0a4fba9963cebb24.jpg

Aujourd’hui, j’apprends de la bouche même d’un journaliste que M. GOUJON, tête de liste UMP aux Municipales dans le 15è arrondissement, m’aurait proposé la 3ème place sur sa liste et que j’aurais refusé.

Il est difficile de lutter contre la désinformation et le mensonge, mais ce blog me le permet néanmoins. Et je peux toujours décider un jour, si cela continuait, de mettre des extraits papiers à la disposition des électeurs.

 

Pour répondre, je préciserai d’abord que j’ai sollicité à plusieurs reprises un rendez-vous avec le candidat investi par l’UMP pour les législatives et n’ai eu pour réponses que des accusés de réception, des promesses et annulations, consignés par écrit. Maintenant s’agissant des élections municipales, le mensonge est encore plus gros.

Il a été tout d’abords décidé, j’imagine de concert entre les 2 députés du 15è, que je devais disparaître de la scène politique et que le meilleur moyen était de m’éliminer de la liste officielle de l’UMP sur l’arrondissement. C’est réglé.

Ensuite, j’imagine toujours qu’ils ont sollicité mon exclusion de l’UMP. C’est chose faîte.

Et aujourd’hui pour expliquer le dérangement que cause ma candidature, ils n’ont rien trouvé d’autre à raconter. Premièrement, ils ne m’ont rien proposé. Deuxièmement c’est trop tard. J’ai une équipe avec moi, et je la respecte. Enfin, il est impossible que la 3ème place m’ait été proposée,sauf à ce que Philippe GOUJON ait décidé de céder sa propre place à une femme.

 

C’et ainsi que je conduirai la liste « Renouvellement e& Proximité à  droite » soucieuse de lutter contre les méthodes du parti politique qui était le mien et pour lequel j’ai usé mes chaussures pour contribuer à l’élection de ceux qui 30 ans après m’en ont exclue.

Décembre 1978 - Janvier 2008

Dominique BAUD 

12/01/2008

L'élément fondamental du système démocratique, c'est la vérité.(...) S'il n'y pas d'honnêteté de la part de ceux qui jouent un rôle dans le jeu des institutions, il ne peut pas y avoir de démocratie. (...) - Pierre MENDES FRANCE.

c2500d79820ebcd2c57defb31a5aab93.jpgVous avez certainement pris connaissance de l'article paru ce matin dans Le Parisien (édition Paris). Ce dernier rectifiait l'omission de l'édition de jeudi dernier et annonce ma candidature aux municipales.

Dans un souci de vérité, vous trouverez ci-après le rectificatif historique et factuel que je viens d’adresser à la presse et qui rétablit la situation de l’arrondissement et les raisons de ma candidature.

Par ailleurs vous trouverez en pièce jointe le 1ier tract de ma campagne municipale.

Tract bilan Municpales 2008 .pdf 



Il est écrit : "déjà dissidente aux dernières législatives. Mais à l'époque elle était encore proche de René GALY-DEJEAN".

Or :
- J'ai été candidate en 2001 sur la liste de RGD (6ème place) et dans le cadre de la fusion au 2ème tour j'ai été élue conseiller de Paris.
- Sans compter le fait que j'ai regretté la façon autoritaire et personnelle avec laquelle RGD a exercé son mandat, il n'a pas accepté que je puisse voter pour le projet Beaugrenelle ni même le succès rencontré dans le cas de la manifestation que j'ai crée: le Forum de la famille.
- En 2007, j'ai présenté ma candidature aux législatives avec 2 "adversaires" UMP au 1er tour, René GALY-DEJEAN (car il ne respectait l'engagement pris 6 ans avant de ne pas se représenter notamment à cause de son âge) et Jean-François LAMOUR (parachuté dans notre arrondissement).

Pour les Municipale de 2008, l'UMP a décidé de m'éliminer malgré la qualité et la quantité de mon travail reconnues depuis des années (CF toutes mes interventions sont sur mon site http://dominiquebaud.fr).

Il est vrai que j'ai rejoint RGD début octobre 2007 dans la création du Groupe Paris Libre au Conseil de Paris, car il avait pris notamment 2 engagements :
- Respecter une charte que nous avions élaborée ensemble.
- Ne pas se représenter aux prochaines municipales et soutenir une liste.
Deux mois après nous étions très loin des engagements pris et il se plaît toujours à entretenir une ambiguïté qui ne convient pas à ma conception de la politique.

Toutes ces raisons m'ont conduite à décider de d'aller jusqu'au bout de mes convictions et de présenter une liste municipale "Renouvellement et Proximité à Droite", soucieuse de l'intérêt de mes concitoyens, soucieuse de démontrer qu'un autre comportement en politique est possible et qu'un élu sortant doit être à même de présenter un bilan à ses électeurs.

Dominique BAUD

 

03/05/2007

Espace Moncassin, vendredi 4 mai 2007

J’ai décidé de ne pas me rendre à la réunion organisée par l’UMP, à l’Espace Moncassin, ce vendredi 4 mai 2007.

Cette réunion de soutien à Nicolas SARKOZY est certes importante, mais moins que la présence effective et régulière que mes équipes et moi-même avons assuré sur le terrain cette semaine, saluée d’ailleurs par un grand nombre d’habitants.

En effet, cette réunion annoncée dans la presse (Le Parisien de ce jour),signale la présence d’Edouard BALLADUR et elle est présentée comme une réunion de soutien aux candidats investis aux élections législatives, dans le 15ème arrondissement.

Dans ces circonstances, je doute donc que ma présence soit appréciée.

Aujourd’hui, seule compte jusqu’à dimanche 6 mai 20heures, l’addition de nos votes pour que Nicolas SARKOZY soit élu Président de la République.

Et cette élection, il la devra à lui-même d’abord, mais aussi à TOUS ceux qui l’auront soutenu et aidé, et à TOUS ceux qui auront voté pour lui.

Qu’on se le dise….

Dominique BAUD
Conseiller de Paris
Candidate aux élections législatives
13ème circonscription (15ème sud)

 

28/03/2007

Qui provoque qui ? ou la sécurité en question

C'est en voulant séparer 2 jeunes qui se battaient sur le parvis de la Mairie du XVème, qu'un élu de l'arrondissement s'est fait agresser en fin de journée.

S'interposant entre l'agresseur et le jeune maintenu à plat ventre sur le sol, pleurant qu'on l'étranglait, l'élu s'est d'abord fait traiter de “bâtard” avant de prendre son premier coup de poing. Tentant d'écarter son agresseur d'environ 14 ans, devant témoins, il en a reçu d'autres provenant d'individus se trouvant derrière lui,tout en se faisant traiter de “fils de p...”. Et ce, jusqu'à ce qu'un individu plus âgé d'environ 1,90 m pour 110 kg, conclut devant l'arrivée des forces de police “qu'un jour il tomberait sur un os”.

Les témoins ont été surpis de cette provocation manifeste à l'égard de la police appelée sur les lieux. Les voisins ont manifesté leur désaprobation devant cet évènement qui semble-t-il n'est pas unique.

Ces faits ne font que conforter l'analyse que j'ai faîte récemment au travers d'un article paru sur mon blog, insistant sur la dégradation de la sécurité dans notre arrondissement.

Dominique BAUD
Conseiller de Paris

22/03/2007

Réponse à Mme HIDALGO :

Les évènement récents qui se sont passés angle Modigliani / St Charles à l'occasion du goûter de quartier organisé par Mme HIDALGO ce samedi 17 mars dernier, dans le cadre de sa campagne Législative, me conduisent une fois de plus à regrettrer la démagogie et l'électoralisme  mis en oeuvre par la candidate. Des problèmes de sécurité graves sont vécus par les habitants du quartier qui régulièrement démunis devant les agressions verbales et physiques appellent de plus en plus souvent les forces de police. Il est facile de considérer dans ce  contexte que la présence des forces de police ce samedi là n'était qu'une attaque de policiers "pro-sarkozistes" contre des jeunes "pro-socialistes". Je vous renvois donc d'une part à mon article d'hier sur l'insécurité dans l'arrondissement et à la réponse ci-après, que j'ai faite par ailleurs sur le blog des jeunes socialistes du 15ème arrondissement.

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