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22/11/2013

On me l’avait raconté, ce soir je l’ai vu !

C’était rue Lecourbe, ce jeudi, entre 19h et 19h30. Je sortais de rendez-vous lorsque j’ai surpris 2 femmes « Roms » à l’assaut d’une boite de récupération de vêtements. Vous voyez certainement de quoi je parle.

Un jeune était à proximité, sidéré de ce qu’il voyait. Mais pas moyen d’avoir la police.

C’est ainsi que nous nous sommes approchés de la boîte, demandant aux deux femmes de remettre les vêtements là où elles les avaient trouvés. Soit elles ne comprenaient pas le français, soit elles voulaient faire croire qu’elles ne comprenaient. Mais quand on leur a dit que la police allait arriver, la plus âgée a replacé les vêtements, sauf un gros sac, que la plus jeune avec un bras d’honneur a embarqué en nous regardant avec un grand sourire narquois.

Mais ce n’est pas tout et c’est le plus grave. Après avoir replacé quelques vêtements, c’est un jeune enfant qu’elles ont sorti de la boîte. Car en effet, pour commettre leurs méfaits, elles mettent en jeu la vie d’un enfant qui pourrait se retrouver coincé dans la boîte. Un grave accident de ce genre est déjà arrivé.

Il est temps d’arrêter de tergiverser et de prendre les mesures qui s’imposent pour sanctionner ceux qui mettent ainsi en danger la vie de leurs enfants, qui plus est pour voler des associations qui elles, travaillent à aider les plus démunis avec les dons qui leur sont faits.

Dominique BAUD

26/05/2013

Curieuse façon de tenter se dédouaner

Une phrase du passé est restée célèbre : « Responsables mais pas coupables… » Vous vous souvenez sans nul doute…

Aujourd’hui, M. Vals voudrait-il la reprendre à son compte au cas où, mais en allant beaucoup plus loin sans doute….  Ni responsables, ni coupables.

A l’occasion de cette nouvelle manifestation contre le mariage pour tous qui a réuni des centaines et des centaines de milliers de personnes dans la rue à Paris, il a demandé aux familles avec enfants de s’abstenir de manifester.

Car en effet, quelle plus grosse aberration que de voir des familles dans la rue, lorsqu’il s’agit de défendre nos valeurs sociétales et de lutter contre les menaces qui pèsent sur la famille au vu des intentions gouvernementales annoncées.

N’est-ce pas à l’état, au ministre de l’intérieur et sous sa responsabilité, au préfet de police,  de faire respecter l’ordre, de prévenir les débordements et d’arrêter les casseurs. Même s’il serait ensuite du ressort de la justice, de les condamner suffisamment pour leur couper l’envie de recommencer…. Et là, il y va de la responsabilité de Mme Taubira… Tout un programme.

Alors, M. le Ministre, pas d’excuse. Même si nous ne doutons pas de la difficulté de votre tâche, la place, vous l’avez voulu. Alors, à vous de « jouer ». Ne vous trompez pas de cible. Les casseurs ne sont pas parmi les manifestants. A vous de les isoler et de les empêcher de nuire. Il en est de votre responsabilité.

Dominique BAUD

23/03/2012

Ça suffit…

2 jours que nous n’entendons parler que de lui.

Il voulait mettre « la France à genoux », il n’avait d’autre regret que celui de n’avoir pas pu « tuer davantage »…

Alors, que certains aujourd’hui osent se demander si les choses n’auraient pas pu se passer autrement, si on n’aurait pas pu le capturer vivant, est une injure à ceux qui ont risqué leur vie, ont été blessés, se sont tenus en embuscade pendant des heures avant que l’inévitable ne se produise.

De même que sont inconcevables les propos de son avocat, au courant de rien, surpris de tout et qui a tout de même osé prétendre que le dialogue n’aurait pas été suffisant, même s’il a reconnu ensuite que cela n’aurait peut-être rien changé.

L’art de mettre de l’huile sur le feu, car le coupable, c’est lui, et il n’y a pas à regretter ce qui lui est arrivé car cela reviendrait à accepter qu’il aurait pu, un jour, recommencer.

Moi ce que je déplore, ce sont ces militaires massacrés, ce sont ces enfants abattus, ces familles endeuillées, ces crimes gratuits et odieux, et la crainte que peut-être, ils auraient pu être évités, car cet individu s’était déjà rendu coupable de faits condamnables.

Mais au moins lui, aujourd’hui ne fera plus de mal à personne.

Dominique Baud

 

30/11/2011

Des horreurs à la chaîne

Chaque jour, nous livre un lot d’horreurs difficile à imaginer : des jeunes enfants enlevés, maltraités, tués, par des malades, des criminels, voire même leurs parents…., des jeunes filles violées, torturées, massacrées, brûlées vives….Et des attaques toujours plus sanglantes contre des commerçants, des entreprises, comme l’assassinat récent d’un bijoutier à Cannes, et les deux violentes fusillades à Marseille et à Vitrolles.

J’ai déjà exprimé mon indignation sur certains de ces évènements dramatiques, mais je n’hésite pas à recommencer aujourd’hui.

Pour m’indigner d’abord, de la libre circulation d’armes de guerre dont se servent sans réserve des malfaiteurs pour tuer.

C’est ainsi qu’aujourd’hui, se trouve encore entre la vie et la mort, un homme de 37 ans, marié, papa de deux enfants.

Quant au  truand tué,  issu de la communauté des «gens du voyage», à priori installé dans des campements près d’Alès, il aurait commis son premier délit à 15 ans,  et depuis aurait  été arrêté plus de 40 fois par la police.

Mais il avait aussi été relâché en 2010, pourtant condamné pour «vol avec violence et séquestration»!!!!

C’est indigne, irresponsable face aux victimes potentielles. Mais ces irresponsables ne sont jamais punis, car, semble t-il, ils ne font que respecter la loi.

A la veille des législatives, il serait donc temps de changer les députés, ne serait-ce que pour que la loi soit vraiment changée.

J’ai une pensée émue pour les familles de ces victimes, mais ne comptez pas sur moi, comme j’en ai entendu certains, pour m’attarder avec regret sur la mort du malfaiteur.

Dominique Baud

 











 

04/06/2010

Culture pour tous.

Je me souviens en 2001, le positionnement fort du Maire de Paris nouvellement élu, sur la Culture.

La rendre plus accessible était une de ses honorables promesses.

Pour autant, je ne pensais pas qu’il souhaitait la rendre accessible aux criminels.

J’évoque ici le vol de 5 tableaux de maîtres, un préjudice de plus de 700 millions d’euros, et surtout, le constat, par les services chargés de l’enquête, d’importants dysfonctionnements, défauts d’alarme, de surveillance et donc une préservation de notre patrimoine culturel particulièrement sacrifiée, alors même qu’il apparait que ceci ait été signalé à maints reprises.

Humour noir, vous me direz, excessif même peut-être. Mais aujourd’hui, on pleure la perte de tableaux pour défaut de mesure de protection adaptée, demain, on pleurera la mort d’un enfant, par qu’on n’aura pas installé, à temps, le feu tricolore nécessaire à sa sécurité dans la rue.

Dominique Baud

07/05/2010

Et les bébés dans tout cela…

esp_petite_enfance.jpg

Je me suis si souvent et si assidument préoccupée du problème des crèches (enfants, familles, et personnel) lors de la dernière mandature du Conseil de Paris, pour ne pas être interpellée par ce qui se passe aujourd’hui.

On parlait alors de la sécurité des enfants, des responsabilités des directrices, des qualifications des personnels, du respect des familles. L’opposition municipale à laquelle je faisais partie me soutenait lorsque je contestais certains termes d’une loi de 2000, à l’initiative de Ségolène Royal et qui déjà prônait la possibilité d’augmenter le nombre de personnels non qualifiés, pour répondre à la pénurie de formation. Aujourd’hui, je n’entends plus mes anciens collègues contester ces mesures !!!!!

Car voilà, aujourd’hui, c’est Mme Morano, qui initie un projet de décret. Son objectif est de créer de nouvelles places dans les crèches. Un objectif honorable, mais ce sont les moyens qui le sont moins, car ce serait en permettant aux crèches d’accueillir ponctuellement, dit-on aujourd’hui, plus d’enfants que les règles ne l’autorisent (un adulte pour cinq bébés et un adulte pour 8 enfants qui marchent). Ainsi, même si le décret ne modifie pas ces chiffres, les structures pourront accueillir plus d’enfants, mais sans personnel supplémentaire et au mépris des règles de sécurité.

Et les bébés dans tout cela, on y pensera plus tard. Le jour où un accident sera à déplorer.

Un souci d’économie ne peut justifier cette braderie en terme de sécurité et pas davantage en terme de qualification professionnelle. Car en effet, le projet consiste aussi à abaisser encore la proportion minimale de professionnels très qualifiés de la petite enfance de 50% à 40%, dans les établissements d’accueil d’enfants de moins de 6 ans.

Je croyais avoir pourtant entendu à de nombreuses reprises combien il était important de privilégier l’encadrement qualifié des enfants dès leur plus jeune âge.

On constatait hier les carences des jeunes élèves avant de rentrer en 6ème.

On constate aujourd’hui les carences d’un nombre de plus en plus important des jeunes élèves des écoles élémentaires voire même maternelles.

On veut s’attaquer à la violence à l’école dont on constate la virulence de plus en plus tôt.

Alors, ne laissons pas faire n’importe quoi dans le domaine de la petite enfance, pour des économies de bouts de chandelle qui nous coûterons bien plus cher à réparer, si cela s’avère encore possible après.

Dominique Baud

17/12/2009

Attention, DANGER.

JEU DU FOULARD.jpgLes 3 et 4 décembre derniers avait lieu à Paris un Colloque international sur le jeu du foulard et autres jeux dangereux organisé par l'APEAS, association de parents d’enfants accidentés par strangulation.

Le jeu du foulard sous ses différentes appellations, jeux d’évanouissement, jeu de la tomate, rêve indien, rêve bleu…. est une pratique d’évanouissement ou d’étranglement qui touche les enfants de 4 à 20 ans quel que soit le niveau social.

Présentés comme anodins et sans dangers, ces « jeux » peuvent avoir des conséquences très graves pouvant aller des séquelles irréversibles à la mort.

Tout le monde peut être concerné et c’est là où nous pouvons chacun intervenir grâce à la PRÉVENTION:

s’informer et informer est essentiel !!

- prévention auprès des adultes : beaucoup connaissent le terme « jeu du foulard » mais peu en connaissent les principes et surtout les risques.

- prévention auprès des enfants (de manière adaptée à chaque âge): une explication très précises des risques et conséquences dramatiques est dissuasive. 

Quelques signes éventuels peuvent alerter les parents :

- Traces suspectes sur le cou (parfois camouflé)

- Lien, corde, ceinture traînant sans raison auprès du jeune.

- Maux de tête parfois violents, douleurs auriculaires.

- Diminution de la concentration.

- Rougeurs suspectes au visage.

- Bruits sourds dans la chambre

- Questions posées sur les effets, les sensations, les dangers de la strangulation.

Vous trouverez plus d’informations sur le site de l’APEAS: www.jeudufoulard.com

Dominique BAUD

02/08/2009

Les articles les plus lus sur internet…Sans commentaire !

 

Dominique BAUD

19/01/2009

Pas très convaincant, M. SARRE

P15LogDupleixFa.jpgJe me suis rendue l’autre soir à une réunion dans une école place du Cardinal Amette, réunion à laquelle Anne HIDALGO avait convié M. Georges, adjoint au Maire de Paris, chargé de la sécurité, dans le cadre d’un compte rendu de mandat.

Et bien le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il n’était guère convaincant, et de fait est apparu peu convaincu lui-même, sauf peut-être lorsqu’il a parlé de l‘importance de l’école pour permettre aux jeunes d’apprendre, de se former et demain de travailler.

Et, comme l’a regretté une habitante présente dans la salle, les élus de Paris ont surtout évoqué des propositions de sport et de loisirs à moindre coût pour les jeunes du quartier Dupleix suite au drame qui s’est déroulé dans le quartier, avant de parler de la nécessité économique pour eux d’avoir une formation, un métier et un emploi.

Espérons que la mission locale promise à Beaugrenelle s’avèrera efficace et conforme aux engagements tenus lors de cette réunion.

De même que, en tant que citoyens à part entière, c’est aux jeunes eux-mêmes de manifester leur volonté de participer à des conseils de quartier en présentant leur candidature, comme bon nombre d’autres habitants l’ont fait en juin dernier, ou d’assurer leur représentation par le tirage au sort de l’une de leurs associations qui serait alors présente et active au sein de ces assemblées consultatives.

Une façon efficace de démontrer qu’ils sont intégrés au quartier et se considèrent comme tel.

Mais voilà maintenant que le Maire du 15ème annonce à son tour sa réunion, à la Mairie, pour parler de ce meurtre qui a endeuillé un quartier du 15ème.

Espérons simplement que, lors de cette réunion, ses propos seront plus modérés que ceux qu’il a tenu lors de la marche silencieuse à laquelle il a participé en mémoire du jeune homme.

Halte à l’amalgame et à la caricature.

Dominique BAUD

23/09/2008

Enfin, un feu...

feu tricolore.jpgUn feu tricolore a été installé à l’intersection des rues Saint-Christophe et de la Convention, dans notre arrondissement. Ce feu, je l’ai appelé de mes vœux pendant des années, interpellant à plusieurs reprises les services (…trop cher, pas prévu au budget, pas prioritaire…)

Et voilà qu’à la rentrée, j’ai découvert son installation. Cela change tout à ce carrefour.

Est-ce l’arrivée, dans les locaux de l’ex-imprimerie Nationale du Ministère des affaires étrangères, qui en a accéléré la mise en place ?

Peut-être et peu importe puisqu’il est certain qu’il contribuera à améliorer la sécurité pour tous.

 

Dominique BAUD

03/08/2008

Une école de vélo pour les enfants

image vélo 2.jpgJ’ai appris la création, par l’Equipe Cycliste Internationale de Paris avec le soutien de la Mairie du 2ème arrondissement de Paris, d’une école de vélo pour les enfants, et je voudrais ici saluer cette initiative.

Deux tranches d’âge, 5/8 ans et 9/12 ans, pour apprendre les règles de la conduite du deux-roues, gage d’une meilleure utilisation, notamment d’un vélo en ville, à l’âge adulte.

En effet, les accidents déplorés avec vélib sont souvent dû à l’inexpérience et à l’imprudence des utilisateurs. Et je suis sûre de l’efficacité d’un apprentissage précoce, dès le plus jeune âge et notamment à l’école.

Ce n’est pas grâce à une pratique personnelle, mais bien avec le souci que j’ai de la protection des enfants, que pendant des années, j’ai contribué voire même initié des manifestations d’apprentissage de la rue, du vélo et des rollers, dans les écoles et  à l’occasion notamment des forums de la famille. A chaque fois, le nombre des participants justifiait, si besoin était, l’intérêt et l’utilité de ces initiatives.

De même pour mémoire, je joins une de mes interventions au Conseil de Paris datant de novembre 2007 dans laquelle je faisais part de ma proposition d’intégrer cet apprentissage dans les programmes scolaires.

Je souhaite un vif succès à cette initiative afin qu’elle soit multipliée et profite demain à tous les petits parisiens.

 

Dominique BAUD

 

Conseil de Paris des 12 et 13 novembre 2007

 

Direction de la Voirie et des déplacements

DVD 2007-0055 : Attribution d’une subvention 2007. Autorisation à Monsieur le Maire de Paris de signer une convention annuelle avec l’association départementale de Paris de la Ligue Contre La Violence Routière, dont le siège social est situé 5 rue du Général Grossetti à Paris 16ème.

 

…Je soutiens les propositions exprimées dans ce projet de délibération, dont le but est de lutter contre toutes les manifestations de la violence routière et de prévenir les accidents de la circulation, je voterai donc ce projet de délibération ; pour autant je voudrais dire combien tout cela me semble insuffisant.

L’action de cette association est admirable comme celle de bien d’autres dans ce domaine.

Mais lutter contre la violence routière nécessite de vraies modifications dans le comportement des automobilistes et une vraie nécessité de prise de conscience que certains font courir aux autres et à eux mêmes.

 

Il faut donc les y aider et je ferai ici faire quelques propositions, qui a défaut d’être du ressort de cette association ou de la Mairie de Paris, pourraient être portées par ces dernières auprès des autorités compétentes, à savoir :

- Intégrer dans les programmes scolaires, un apprentissage de la rue, du vélo et des rollers.

- Instaurer régulièrement pour les automobilistes des tests de connaissance et d’aptitude.

- Rendre obligatoire le port du casque pour les cyclistes et recommander fortement le port d’un gilet ou d’un bandeau fluorescent.

- Reconnaître le cannabis comme un réel danger et sanctionner ceux qui conduisent sous l’emprise de cette drogue, au même titre que l’abus d’alcool et l’excès de vitesse.

 

Réponse de M. Denis BAUPIN, adjoint au Maire de Paris chargé de la voirie et des déplacements :

Il est assez d’accord avec mes propositions, et notamment pour que la consommation de cannabis soit sanctionnée comme l’alcool, sauf que pour lui, l’un est une drogue interdite et l’autre non.

Il ne trouve aucune pertinence à ma demande sur le port du casque pour un cycliste

Considérant que cela ne se justifie pas plus que pour un piéton ou un automobiliste.

Et même si ce n’est pas du ressort de la ville, il est d’accord avec le fait qu’on puisse intégrer le respect de la rue aux plus jeunes.

 

 

24/11/2007

Sécurité dans la rue

228973f73ec0431af258c2a648d31e36.jpgVous ne pouvez ignorer combien la sécurité routière est pour moi essentielle. C’est dans cet esprit, appelant toujours à une meilleur cohabitation des piétons des cyclistes et des automobilistes que je suis intervenue à nouveau au Conseil de Paris le 12 et 13 novembre dernier.

Novembre 2007 - Sécurité dans la rue.pdf

Pour autant je ne peux que déplorer le peu d’indulgence des services de police envers les parisiens victimes des grèves, qui ont pris pendant ces 15 derniers jours contraventions sur contraventions et même vu leur véhicule mis en fourrière.

Un peu de clémence aurait été la bienvenue. Il n’est peut-être pas trop tard.

Dominique BAUD
Conseiller de Paris

 

28/03/2007

Qui provoque qui ? ou la sécurité en question

C'est en voulant séparer 2 jeunes qui se battaient sur le parvis de la Mairie du XVème, qu'un élu de l'arrondissement s'est fait agresser en fin de journée.

S'interposant entre l'agresseur et le jeune maintenu à plat ventre sur le sol, pleurant qu'on l'étranglait, l'élu s'est d'abord fait traiter de “bâtard” avant de prendre son premier coup de poing. Tentant d'écarter son agresseur d'environ 14 ans, devant témoins, il en a reçu d'autres provenant d'individus se trouvant derrière lui,tout en se faisant traiter de “fils de p...”. Et ce, jusqu'à ce qu'un individu plus âgé d'environ 1,90 m pour 110 kg, conclut devant l'arrivée des forces de police “qu'un jour il tomberait sur un os”.

Les témoins ont été surpis de cette provocation manifeste à l'égard de la police appelée sur les lieux. Les voisins ont manifesté leur désaprobation devant cet évènement qui semble-t-il n'est pas unique.

Ces faits ne font que conforter l'analyse que j'ai faîte récemment au travers d'un article paru sur mon blog, insistant sur la dégradation de la sécurité dans notre arrondissement.

Dominique BAUD
Conseiller de Paris

22/03/2007

Réponse à Mme HIDALGO :

Les évènement récents qui se sont passés angle Modigliani / St Charles à l'occasion du goûter de quartier organisé par Mme HIDALGO ce samedi 17 mars dernier, dans le cadre de sa campagne Législative, me conduisent une fois de plus à regrettrer la démagogie et l'électoralisme  mis en oeuvre par la candidate. Des problèmes de sécurité graves sont vécus par les habitants du quartier qui régulièrement démunis devant les agressions verbales et physiques appellent de plus en plus souvent les forces de police. Il est facile de considérer dans ce  contexte que la présence des forces de police ce samedi là n'était qu'une attaque de policiers "pro-sarkozistes" contre des jeunes "pro-socialistes". Je vous renvois donc d'une part à mon article d'hier sur l'insécurité dans l'arrondissement et à la réponse ci-après, que j'ai faite par ailleurs sur le blog des jeunes socialistes du 15ème arrondissement.

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