Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

23/09/2013

Ils l’ont tous dit…. Et le disent encore…

Mais qu’ont-ils fait ?

De Raymond Barre à Pierre Bérégovoy, de Pierre Mauroy à Edouard Balladur…. En passant plus récemment par François Fillon, et beaucoup d’autres encore… ils ont tous dit qu’il fallait réduire le train de vie de l’état, faire des économies, réduire la dette…Mais qu’ont-ils fait ?

De l’aveu même de François Fillon, 1er ministre, le France était en faillite. Et alors….

Notre pays est aujourd’hui gouverné par les adversaires d’hier… Et alors….Ils ont eux aussi découvert qu’il ne suffisait pas de distribuer, qu’il fallait aussi et même avant, trouver de l’argent.

Et voilà qu’à nouveau, les propositions faites font toujours autant l’objet de scepticisme, de critiques…. Ce ne seraient pas de vraies économies, elles ne seraient que des gouttes d’eau, cela ne serait pas suffisant, voire cela ne servirait à rien. Alors on fait quoi ? Rien.

Que c’est pénible et puéril. Je me suis déjà exprimée à ce sujet sur ce blog, j’ai même déjà fait certaines propositions….Je continue à croire qu’on aurait pu en retenir quelques unes. Car ici comme ailleurs, « Les petits ruisseaux font les grandes rivières ».

Car en effet, qui peut croire qu’on puisse enrayer une telle dette avec une seule mesure et en une seule fois. Il faut savoir multiplier et additionner les efforts. Il faut savoir accepter qu’un adversaire puisse avoir de temps en temps raison.

Que ceux qui nous gouvernent, que ceux qui votent les lois, que ceux qui administrent nos régions, nos villes donnent l’exemple. 

Détracteurs de tous bords, taisez-vous et retroussez vos manches. Il n’y va pas de votre avenir personnel mais de celui de notre pays tout entier.

Dominique BAUD

03/05/2007

Espace Moncassin, vendredi 4 mai 2007

J’ai décidé de ne pas me rendre à la réunion organisée par l’UMP, à l’Espace Moncassin, ce vendredi 4 mai 2007.

Cette réunion de soutien à Nicolas SARKOZY est certes importante, mais moins que la présence effective et régulière que mes équipes et moi-même avons assuré sur le terrain cette semaine, saluée d’ailleurs par un grand nombre d’habitants.

En effet, cette réunion annoncée dans la presse (Le Parisien de ce jour),signale la présence d’Edouard BALLADUR et elle est présentée comme une réunion de soutien aux candidats investis aux élections législatives, dans le 15ème arrondissement.

Dans ces circonstances, je doute donc que ma présence soit appréciée.

Aujourd’hui, seule compte jusqu’à dimanche 6 mai 20heures, l’addition de nos votes pour que Nicolas SARKOZY soit élu Président de la République.

Et cette élection, il la devra à lui-même d’abord, mais aussi à TOUS ceux qui l’auront soutenu et aidé, et à TOUS ceux qui auront voté pour lui.

Qu’on se le dise….

Dominique BAUD
Conseiller de Paris
Candidate aux élections législatives
13ème circonscription (15ème sud)

 

05/01/2007

2007, le premier sondage…

Un second tour des élections présidentielles où Ségolène ROYAL gagnerait devant Nicolas SARKOZY…

Que faut-il en déduire…Pas grand chose si on se souvient, en autre, du sondage donnant très largement perdant Jacques CHIRAC en décembre 1994, contre Edouard BALLADUR déjà considéré comme le nouveau Président de la République…

Ou encore en 2002 où aucun autre schéma que Chirac contre JOSPIN ne pouvait être crédible, au 2ème tour de l’élection présidentielle.

En décembre 1994, je soutenais avec conviction, celui qui devait perdre…

En 2002, je refusais de minimiser le 1er tour des élections présidentielles, arguant de l’importance du nom des deux candidats arrivant les premiers au soir du 1er tour.

Comme quoi rien n’est jamais gagné ou perdu d’avance et que ceux sont les Français qui seuls décident.

Je veux bien aujourd’hui être dans le camp de celui qui est dit perdant, si demain, chacun, y compris lui, fait ce qu’il faut pour gagner.

La France reste le pays de la démocratie!!!

Alors, que chaque candidat la respecte, accepte l’autre, ses idées et propositions comme une richesse et non comme une attaque ou une concurrence, reste fidèle à ses convictions et évite la démagogie et les promesses de circonstances à terme autant dangereuses qu’irréalisables.

 

Dominique BAUD

Conseiller de Paris