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02/05/2010

Démocratie… Pour ou contre ?

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Deux exemples récents, l’un local, l’autre national, justifient de se poser la question. Mais, une chose est sûre, pour protéger sa tranquillité ou assurer son avenir, certains élus, malheureusement semble t-il de plus en plus nombreux, ne se posent même plus la question.

Le premier exemple concerne Claude Goasguen, aujourd’hui Maire du XVIème, pourtant hier, responsable de Démocratie Libérale et créateur d’un mouvement dit « Les Réformateurs », quelqu’un dont j’ai soutenu activement la candidature lors des primaires UMP pour Paris. Et bien voilà qu’il a voulu réduire au maximum le temps de parole des élus de son arrondissement lors des conseils, en limitant la durée dans le règlement intérieur. Mais, cela a soulevé une hostilité certains élus qui ne faisaient pas tous partie de l’opposition. Et bien, il a été contraint de renoncer.

David Alphand élu du XVIème arrondissement l’exprime clairement sur son blog.

Le Parisien.png Paru dans Le Parisien du jeudi 29 avril 2010 :

 

"Les élus du 16ème pourront finalement parler autant qu'il leur plaira lors des conseils d'arrondissement. Daniel Canepa, le préfet de la région Ile-de-France, a en effet retoqué la décision du maire (UMP) de l'arrondissement, Claude Goasguen, de limiter leur temps de parole à trois minutes. Ce nouvel aspect du règlement intérieur, voté lors du conseil du 25 janvier, a été jugé attentatoire à la liberté d'expression des élus. David Alphand, conseiller de Paris (UMP) et élu du 16ème, qui avait refusé de voter cette délibération, se réjouit aujourd'hui de cette décision : "On ne peut pas dire que les conseils dans le 16ème soient particulièrement longs. Ils durent rarement plus d'une heure et demie !"."

Le deuxième exemple sur lequel je veux revenir est ce projet scandaleux de certains, de vouloir supprimer les triangulaires et ne permettre, notamment aux prochaines élections législatives, qu’aux deux candidats arrivés en tête au premier tour, de pouvoir se maintenir au second.

Lorsque l’on sait comment fonctionnent les commissions d’investiture, comment les circonscriptions sont promises à l’avance, notamment aux ministres déchus… et combien il est difficile de faire un très gros score sans le soutien d’un parti politique important, cela reviendrait à enlever tout intérêt au premier tour et à la liberté des électeurs de faire un choix au-delà du nom de deux personnes.

Cette décision serait un désaveu public de la démocratie. Et la peur de ne pas être réélu ne justifie pas cela, enfin, pour ceux qui font de la politique par conviction et non par intérêt.

Dominique Baud

12/04/2010

Il y a un endroit pour tout…

_palais_de_l-elysee.jpgIl n’y a pour moi aucune contradiction à ce qu’un président de la république quel qu’il soit, puisse rencontrer, tant les responsables que les militants du parti qui lui a permis d’être élu.

J’ai d’ailleurs, par le passé, souvent regretté la réserve de Jacques Chirac, à ce sujet.

Pour autant, je considère que l’Elysée ne peut-être le lieu d’un séminaire d’un parti politique présidé par le chef de l’état.

En effet, on a appris que, convoqués vendredi par Xavier Bertrand au siège du parti pour un séminaire sur les régionales, les secrétaires départementaux de l'UMP se sont finalement rendus à l'Élysée.

Pas si aisée que cela d’ailleurs comme pratique, puisqu’elle a été tenue secrète jusqu’à la dernière minute, même pour les principaux intéressés.

Mais cela suffira t-il à calmer les inquiétudes, les déceptions, les souffrances voire même la colère des uns et des autres. Pas sûr.

Et c’est sans compter sur celles des français, si on en juge par le résultat des élections régionales…

Dominique Baud

10/04/2010

Comment gagner les prochaines élections ?

Lorsqu’il s’agit pour un député d’assurer sa réélection, rien de plus pratique pour lui que de changer la loi et de l’adapter à la situation. C’est ainsi, qu’en vue des prochaines législatives, plus de 200 députés UMP ont déjà signé une proposition de loi prévoyant le maintien au 2ème tour, que des deux seuls candidats arrivés en tête.

En effet, au lendemain des élections régionales, les estimations des prochaines élections législatives apparaissent assez catastrophiques pour l'UMP et ses alliés.

Les listes de la majorité n'ont totalisé plus de 50% au second tour des régionales que dans 28 circonscriptions. Et ce, en tenant pourtant compte du récent redécoupage électoral. Un schéma similaire conduirait à la perte de 80 sièges qui basculeraient à gauche.

C’est ainsi, que pour s’assurer la victoire, certains députés veulent interdire les triangulaires. Ces derniers font valoir que la légitimité d'un élu doit reposer sur une majorité absolue.

Mais, cela ne vaudrait que si en contrepartie, cette exigence s’accompagnait d’une autre, celle de réunir suffisamment d’électeurs. Car en effet, avoir une majorité absolue lorsque moins de la moitié des électeurs se déplacent ne peut être estimé comme un vote représentatif donnant une réelle légitimité.

Mais je doute qu’ils soient suffisamment puristes et adhèrent à cette proposition. L’important, c’est de garder son siège, même au mépris de la démocratie et du respect du vote des électeurs, notamment comme dans la circonstance, en éliminant, au 2ème tour, un nombre important de votes tels qu’ils se seraient exprimés au1er.

Et, il n’est pas sûr qu’une telle manœuvre soit efficace, elle pourrait même être contreproductive !!!

Dominique Baud

30/03/2010

Communiqué de Presse

Parce que je partage totalement les propos de Jacques Myard sur l’interdiction du port de la burqa dans notre pays, je vous livre le texte de son communiqué de presse, dans son intégralité.

Dominique Baud

L'avis du Conseil d'Etat n'est et ne demeurera qu'un avis.

Il est, certes,  dans son rôle  en soulignant certaines interrogations juridiques sur une interdiction générale du voile intégral, néanmoins, il appartient au seul Conseil constitutionnel d'en juger.

Cet avis comporte, au demeurant, une contradiction en proposant une injonction  de médiation sociale pour les femmes portant le voile intégral assortie d'une amende si l'injonction n'est pas respectée. Seule une interdiction générale du voile intégral peut justifier réellement une injonction de ce type !

Jacques Myard estime que le législateur doit prendre ses responsabilités et qu'il convient, en conséquence, de bannir complètement du territoire national le voile intégral qui est contraire à la dignité de la personne, à l'égalité des sexes, pose un problème de sécurité publique et heurte profondément la volonté du vouloir vivre ensemble de l'immense majorité des Français.

Le 30 mars 2010

Jacques MYARD
Député UMP
Président du Cercle Nation et République

27/03/2010

Régionales : il manque un parti conservateur

23 Mars 2010 | Roland Hureaux

www.libertepolitique.com

La baisse sans précédent du taux de participation aux élections régionales de 2010, surtout au premier tour, n’exprime pas seulement le recul du civisme ou le dégoût des urnes. Il résulte aussi, pensons-nous, de l’insuffisance de l’offre politique. Bien qu’une bonne dizaine de listes se soient proposées au suffrage dans chacune des régions, un des principaux courants politiques français, voire le principal, n’était pas présent dans la compétition et cela seul suffit peut-être à expliquer l’abstention.

Le grand absent est le courant que l’on qualifiera de conservateur mais qu’on pourrait aussi bien appeler la droite modérée ou la droite « calme », voire les modérés tout court, avec tout ce que ce mot signifie de pondération, de mesure, de prudence, mais aussi de tenue et, pourquoi ne pas le dire ? de « force tranquille ».

Pourquoi ce courant est-il important ?

Parce que sous différentes formes, légitimisme, orléanisme, bonapartisme, républicanisme modéré (« La République sera conservatrice ou ne sera pas » – Gambetta), radicalisme apaisé, « indépendants et paysans » et même gaullisme, en particulier dans la version pompidolienne, ce courant gouverne le plus souvent la France depuis deux siècles.

Ensuite parce qu’on ne fait pas la révolution tous les jours. La plupart des révolutionnaires s’assagissent et l’esprit conservateur finit par imprégner tous les partis de gouvernement, même issus de la gauche. La vocation immémoriale du gouvernement n’est-elle pas de maintenir les institutions ? « Je maintiendrai » n’est pas seulement la devise du royaume des Pays-Bas, elle est la première mission de tous les pouvoirs. Être « calme » est un attribut antique de la souveraineté : ne parle-t-on pas de « calme olympien » ?

Or le courant conservateur, osons le dire, était absent des dernières élections ! La gauche a proposé une offre très diversifiée, celle de la droite s’est résumée pour l’essentiel à l’UMP et au Front national — deux formes de droite dont aucune n’incarne aujourd’hui la modération : d’un côté la droite excitée, ultra-réformatrice, qu’incarne Sarkozy et de l’autre cette autre forme de droite excitée qu’est l’extrême-droite.

En d’autres temps, la modération eut pu être représentée par le MoDem mais celui-ci a tant donné l’impression de rejoindre la gauche que les modérés ne se sont plus reconnus en lui. D’autant que la mouvance centriste est largement identifiée à la construction européenne, laquelle s’est transformée au fil des ans en une machine à produire sans cesse des réformes qui déstabilisent des institutions fondamentales, pas seulement les services publics.

Faute de trouver une option qui lui corresponde, une partie du bloc modéré, lequel représente sans doute bien plus que les 15 % d’abstentionnistes du premier tour, est restée chez elle.

Peu de réformes, mais des bonnes

On objectera que si la droite officielle, celle qui gouverne aujourd’hui, faisait droit à cette tendance conservatrice, la France s’enfoncerait dans la sclérose, se laisserait distancer dans l’« impitoyable » compétition internationale à laquelle notre pays est confrontée.

Cela n’est pas certain du tout. Les réformes vraiment nécessaires pour accroître la compétitivité internationale de la France sont en nombre limité : un encouragement intelligent à la création d’entreprise et à la recherche, un meilleur financement bancaire des PME (qui passe par une réforme des banques) et aussi la « TVA sociale », seul substitut à une sortie de l’euro.

Cette adaptation n’implique nullement de s’attaquer à la Constitution, à la commune, au département, au baccalauréat, aux grandes écoles, à la gendarmerie, aux grands corps de l’État, au juge d’instruction, au dimanche, soit à la plupart des repères fondamentaux des Français. Pas même non plus au statut de la fonction publique à condition qu’on sache contrôler les effectifs de fonctionnaires : quinze ans de « modernisation de l’État » n’ont rien fait pour empêcher la grave dérive des finances publiques, au contraire. La sécurité est certes un objectif difficile mais elle ne passe sûrement pas par le réforme de la carte judiciaire, ni l’amélioration de l’enseignement par le « lycée à la carte ».

Les vrais conservateurs savent qu’une bicyclette ne marche bien que si la partie mobile s’appuie sur un cadre fixe. Plus le cadre fixe est stable, plus il est possible de pédaler vite.

Pour améliorer la marche du pays, peu de réformes bien ciblées et allant au fond des choses suffisent. Elles ne doivent pas tout chambouler, seulement améliorer à la marge une société où tout n’est pas aussi mauvais et inefficace qu’on le dit, conforter et non saper les institutions.

Le rythme des réformes de la première partie du quinquennat et surtout leur caractère brouillon voire inutile ont donné le tournis aux conservateurs, nombreux dans ce pays, d’autant que le but de ce réformisme à l’accéléré semblait être moins l’amélioration des choses qu’une forme de communication sur le thème « nous avons un gouvernement volontaire », voire de fuite en avant.

Cette opinion modérée qui ne se reconnaît ni dans la gauche, ni dans l’extrême-droite ne s’est pas reconnue non plus, cette fois, dans le parti du Président : elle s’est retirée sur l’Aventin. Il est probable qu’elle y restera si, par-delà le réajustement ministériel, les méthodes de gouvernement, contraires non seulement aux traditions de la droite mais à la volonté de la majorité des Français et en définitive à la véritable efficacité, ne sont pas entièrement révisées.

26/03/2010

C’est plus ce que c’était le 15ème !!!

 

Après quelques journées très chargées, j’ai un peu négligé ce blog.

Me revoilà avec les résultats du 2ème tour des élections régionales dans le 15ème arrondissement.

Dans notre arrondissement, la droite est encore légèrement devant, mais pour combien de temps ?

Alors, que feront « nos » deux députés en 2012 ? Continueront-ils à rejeter, à ignorer, des alliés de droite, certes pas toujours disciplinés mais forts de leurs convictions ou feront-ils un autre choix ?

Car sinon, le risque est grand, notamment dans la 13ème circonscription, de se réveiller au lendemain du 2ème tour avec un élu de gauche.

Et…Tout cela ne se décrète pas à 8 jours du 1er tour, mais bien en amont…

Espérons que le bon sens l’emportera.

Dominique Baud

2ème tour, le 21 mars 2010

Inscrits 132.520

Abstentions 61.082 (46,09%)

Votants 71.438 (53,91%)

Blancs ou nuls 2.814 (2,12%)

Exprimés 68.624 (51,78%)

Ont obtenu

Valérie Pécresse 36.613 (53,35%)

Jean-Paul Huchon 32.011 (46,65%)

Et 2ème tour en 2004

Inscrits 128.077

Votants 87.017 (67,94%)

Blancs 1.851 (2,13%)

Exprimés 85.166 (97,87%)

Avaient obtenu

Huchon (PS) 34.453 (40,45%)

Cope (UMP) 45.779 (53.75%)

Le Pen 4.934 (5,79%)

20/03/2010

Avant…Entre deux tours…En attendant après…

RMC, 18 mars 2010, Eric Besson : «  Répondre aux attentes du peuple, c’est ce qu’est sensé faire, quelqu’un qui aime la politique… »

18 mars 2010, "Les Français retrouvent le bulletin de vote socialiste quand nous sommes enfin unis, et non pas retournés vers notre nombril, de façon individualiste : Martine Aubry.

RMC, 17 mars 2010 : Xavier Darcos : « …Les élections n’auraient été un échec que si 55% des français n’avaient pas voté… »

RTL, 16 mars 2010, Christine Lagarde : « Ses deux fils n’ont pas voté… » … « on n’y comprend rien aux régions ».

France Info, 15 mars 2010 : Xavier Darcos : « Quand on veut sanctionner, on vote contre, on ne reste pas chez soi…»

12 mars 2010 : "Il n'y a pas de pause pour les Français qui souffrent" :François Hollande.


8 mars 2010 : Les "divisions que l'opposition va connaître pour faire les listes [en vue du second tour, ndlr] en 48 heures feront des dégâts, il n'y aura pas de reports de voix car un plus un, ça ne fait pas deux". Dominique Paillé, porte-parole adjoint de l'UMP.

"Il y a des gestes qui ne sont pas loyaux". François Bayrou (Mouvement démocrate) a propos de la participation de sa vice-présidente Corinne Lepage (Cap 21), à un meeting de Daniel Cohn-Bendit (Europe-Ecologie).

"Les Verts et le Parti socialiste font preuve d'une indécence sans bornes à se partager les présidences de régions, avant même que les électeurs n'aient voté". Frédéric Lefebvre (UMP), à propos des sondages favorables à la gauche.


"Si grand chelem il y a, je crois qu'on le devra surtout aux candidats dans les régions plutôt qu'à Martine Aubry! Ce ne sera pas sa victoire". Gérard Collomb, sénateur-maire socialiste de Lyon.

"Cette campagne, c'est la mienne, l'équipe c'est la mienne, le projet c'est le mien et le résultat sera le mien" : Valérie Pécresse.


"Vous serez le plus beau des présidents" (Une visiteuse du Salon de l'agriculture en direction de Dominique de Villepin)

16 février 2010 : "Si les déchets nucléaires disparaissaient aussi rapidement que le MoDem arrive à se faire disparaître, le problème du nucléaire trouverait des solutions assez rapides" (Daniel Cohn-Bendit)

8 février 2010 : "Je pense que les électeurs vont réserver des surprises à Mme Aubry" (François Fillon, Premier ministre, répondant au Premier secrétaire du PS quant à son rêve de voir "une carte des régions toute rose")

17/03/2010

Elections régionales dans le 15ème arrondissement

 

1er tour, le 14 mars 2010,

Inscrits 132.519

Abstentions 65.451 5(49,39%)

Votants 67.068 (50,61%)

Blancs ou nuls 1.085

Exprimés 65.983 (49,79%)

Ont obtenu

Valérie Pécresse 24.923 voix (37,77%)

Jean-Pierre Mercier 210 voix (0,32%)

Marie-Christine Arnautu 4.271 voix (6,47%)

Cécile Duflot 10.451 voix (14,84%)

Alain Dolium 2.851 voix (4,32%)

Jean-Marc Governatori 698 voix (1,06%)

Pierre Laurent 2.299 voix (3,48%)

Axel de Boer 1.214 voix (1,84%)

Jean-Paul Huchon 15.643 voix (23,71%)

Nicolas Dupont-Aignan 2.349 voix (3,56%)

Olivier Besancenot 991 voix (1,50%)

Almamy Kanoute 83 voix (0,13%)

Et 1er tour en 2004

Inscrits 128.090

Votants 82.375

Blancs 1.436

Exprimés 80.939

Avaient obtenu

Bay (MNR) 551 voix (0,68%)

Le Pen 6.403 voix (7,9%)

Huchon (PS) 24.446 voix (30,20%)

Laguillier 1.734 voix (2,14%)

Buffet PC) 2.512 voix (3,10%)

Cope (UMP) 25.641 voix (31,68%)

Santini (UDF) 18.306 voix (22,62%)

Pellegrin 1.346 voix (1,66%)

De quoi s’inquiéter pour certains et de quoi se réjouir pour d’autres…

Mais quelles leçons en tireront-ils ?

Attendons les résultats du 2ème tour.

Dominique Baud

25/02/2010

Et un et deux et trois… dans la même journée.

Et UN socialiste, nommé en Conseil des Ministres, Premier Président de la Cour des Comptes. Une Fois n’est pas coutume, je citerai une déclaration de Louis Giscard d’Estaing, qui, dans le Figaro d’aujourd’hui, a déclaré qu’il demandait préventivement à Didier Migaud de « renoncer à sa fonction en cas d’alternance politique, pour que la Cour des Comptes continue à être présidée par un élu de l’opposition »

Et, DEUX socialistes : Michel Charasse, nommé au Conseil Constitutionnel par le Président de la République.

Et de TROIS socialistes, avec l’élection, par le groupe socialiste lui-même, en son sein, de Jérôme Cahuzac, à la tête de la Commission des Finances à l’Assemblée Nationale. Car en effet, selon le nouveau règlement intérieur de l’Assemblée (article 39-3) en application d’une promesse électorale du Président de la République, la présidence de la commission des finances revient de droit à « un député appartenant à un groupe s’étant déclaré d’opposition ». Et l’élection ne se fait même par l’ensemble des membres de l’assemblée, mais par un vote interne dudit groupe d’opposition.

N’y aurait plus personne de compétent à droite ?

Dominique Baud

Une réponse à Xavier Bertrand...

Dans le figaro, ce dernier déclarait :

« J'ai les candidats, je veux les électeurs"

Xavier Bertrand a été très clair avec Philippe de Villiers.

Le secrétaire général de l'UMP a accepté d'ouvrir les listes de la majorité présidentielle au Mouvement pour la France. Mais il attend, en retour, une plus grande implication de ce parti dans la campagne des régionales.

Ce message s'adressait aussi aux chasseurs de CPNT.

Après avoir publié le communiqué de CPNT pour l’Ile de France, voici un Communiqué de Presse de la Fédération du Nord du MPF, qui répondra à Xavier Bertrand.

Et c’est sans compter les nombreuses autres régions qui pourraient communiquer les mêmes réponses, pour les mêmes raisons…

Communiqué de Presse, le 23.02.2010 

Elections régionales

Le MPF a rejoint le Comité de Liaison de la Majorité Présidentielle en septembre 2009 parce qu’il a vocation à participer à l’action de la majorité, en particulier pour les prochaines élections régionales de mars 2010.

Un accord a été négocié au niveau national pour la représentation de notre mouvement sur les listes départementales.

Pour le département du Nord qui nous concerne, nous estimons que cet accord n’est pas équitable :

- parce qu’il n’a pas tenu compte de nos propositions de candidatures présentées aux instances régionale et départementale de l’UMP, et acceptées par elles :

o Yves BAUW, non-voyant ayant su dépasser son handicap par un engagement fort dans les activités politiques et associatives, président départemental du MPF, conseiller municipal du groupe majoritaire de Lambersart, responsable de nombreuses associations, proposé en 1ère partie de la liste

o Jacques BOURREZ, ingénieur retraité, secrétaire départemental du MPF, conseiller municipal de Loos, ancien conseiller régional, proposé en fin de liste

- parce que ces candidats auraient été refusés par la tête de liste centriste Valérie LETARD, au prétexte qu’ils étaient au FN lors d’un précédent millénaire ; cette ancienne appartenance au FN serait-elle le seul crime encore puni en France d’une peine définitive ?

- parce qu’il n’est pas acceptable qu’une autre formation décide pour nous du choix de nos candidats

- parce que la seule 40ème place concédée au MPF sur la liste du Nord, manifeste le mépris réservé à l’aile droite de la majorité présidentielle quand on fait la part belle à son aile gauche et à des personnalités de gauche ralliées pour l’occasion

Cet accord qui n’est pas satisfaisant pour le département du Nord, ne nous semble pas satisfaisant non plus pour la plupart des autres régions françaises.

Face à ce marché de dupes, nous avons le devoir de dire à nos adhérents et à nos sympathisants que nous nous désolidarisons totalement de la liste conduite par Valérie LETARD dans le département du Nord.

Yves BAUW Jacques BOURREZ

Président départemental du MPF -59 Secrétaire départemental du MPF – 59

 

Dominique Baud

24/02/2010

Le plus grand ennemi de la politique

Le désintérêt voire même le dégoût des français pour la vie politique est une regrettable évidence aujourd’hui.

On peut trouver de nombreuses raisons à cela : le défaut de crédibilité de nos gouvernants quels qu’ils soient qui passent leur temps à promettre quelque chose et à faire exactement l’inverse, les réformes qui sont entreprises, les lois qui sont votées mais dont on ne publie pas les décrets d’application, sont deux exemples qui me viennent à l’esprit.

Nous vivons une crise de confiance où l’appel du pouvoir et du gain prime sur les convictions et la sincérité.

Le résultat, un sondage qui indique qu’aux prochaines élections régionales, seuls 54% des français ont l’intention d’aller voter.

Un remède à cela, changer les politiques… Oui, mais pas facile. Tout est noyauté par de grands partis qui monopolisent la place et dans un système où la représentation des partis plus petits est un vrai problème.

J’en ai un autre, mais qui osera le proposer et surtout, qui oseront le voter : reconnaître une fois pour toutes le vote BLANC, comme un vote comptabilisé.

Et, ne valider les résultats d’une élection que si les votes blancs restent inférieurs à 30%. Le vote blanc remplacerait ainsi plus efficacement l’abstention car il adresserait un message ayant de vraies conséquences.

A suivre…

Dominique Baud

12/02/2010

jusqu'où

Port_du_voile_integral_mission_dinformation_pa.jpg.jpgIl y a huit mois, Mahinur Özdemir devenait la première députée voilée d'Europe en accédant au Parlement régional de Bruxelles.

Il y a quelques semaines, Olivier Besancenot présentait une de ses candidates aux régionales en insistant sur le fait qu’elle porte le voile. Et il faut entendre la dame pour comprendre combien elle est laïque et combien elle aime notre pays.

Il y a quelques jours, des petits malins attaquaient une banque, masqués par une burqa !

C’est à vous pour d’autres tristes constats…

Jusqu’où faudra t-il que nous soyons nargués pour réagir.

A c’est vrai, j’oubliai. Les élections régionales sont dans un mois. Pas de vague… Chut….

Dominique Baud

07/02/2010

ATTENTION, un train peut en chacher un autre!

Communique de presse CPNT

4 février 2010

Le mépris affiché par les instances de l’UMP Essonne ont conduit le comité national du mouvement de la ruralité - CPNT - à se retirer de la liste et de ne pas apporter son soutien.

CPNT et l’UMP ont conclu un accord national de soutien, qui devait se matérialiser par la présence de son Porte-parole en position éligible et/ou charnières sur les listes UMP en Ile de France, ce qui avait été confirmé par Valérie Pecresse sur la 8eme place de la liste Essonne, mais Nathalie Kosciusko Morizet approuvée et soutenu dans son choix par les cadres de l’UMP de l’Essonne a affiché son total mépris à notre mouvement en écartant la candidature du porte-parole-national du mouvement CPNT, Yannick Villardier.

CPNT n’ose croire que cet ostracisme soit du a ses positions anti-chasse …

Ceci prive pourtant les nombreux franciliens notamment ruraux d’un siège au Conseil Régional et c’est surprenant !

Qu’en penseront les habitants du Sud Essonne, du Val d’Oise, des Yvelines et de la Seine et Marne ?

CPNT regrette cette attitude de fermeture et de dénigrement, qui va à l’encontre de l’ouverture voulue par le Président de la République et par l’UMP National. Si l’UMP Essonne se distingue de façon aussi déloyale, il s’agit heureusement d’un cas isolé au regard de l’accueil reçu par CPNT au sein de l’UMP dans la plupart des régions de France.

N’est-il pas singulier de se battre contre les siens plutôt que ses adversaires ?

Aussi dans ce contexte, CPNT confirme n’apporter aucun soutien en Ile de France.



cpnt@9online.fr / http://www.cpnt.asso.fr/

21/01/2010

21 janvier 2010

comite-majorite-presidentielle.jpg

Politiquement parlant, j’ai deux manières d’occuper ma soirée.

Me rendre aux vœux d’Anne Hidalgo, tête de liste socialiste pour Paris dans le cadre des élections régionales de mars prochain, afin de répondre à son invitation,

Ou

Me rendre à l’Espace des blancs manteaux, à la première réunion de campagne de Chantal Jouanno, tête de liste UMP pour Paris, devrai-je dire tête de liste « majorité présidentielle », réunion à laquelle je n’ai pas été invitée mais qui est publique. Mais voilà, simplement en observant les affiches, je ne retrouve pas les suites et conséquences de notre partenariat au comité de liaison de la majorité présidentielle. Donc je m’interroge.

Alors, en attendant d’en savoir plus, j’irai saluer Anne Hidalgo, même si mes vœux pour la France et pour le respect de nos idées me conduisent à ne pas à souhaiter sa victoire.

Mais, encore faudrait-il que tous les partenaires de la majorité présidentielle soient reconnus officiellement et concrètement… Si vous voyez ce que je veux dire.

Dominique Baud

19/01/2010

Et pourtant, le 8 décembre dernier, Valérie Pécresse voulait du renouvellement…

CR Ile de France.jpg

"Afin de renouveler la classe politique parisienne, Valérie Pécresse, chef de file UMP aux régionales en Ile-de-France, souhaite qu’aucun élu du Conseil de Paris ne figure en position éligible sur sa liste. En effet, ceux-ci étant déjà à la fois conseillers municipaux et conseillers généraux, un cumul avec un poste de conseiller régional serait excessif. Résultat : Brigitte Kuster, maire du XVII e déjà investie comme numéro trois, figurera bien parmi les quinze premiers de la liste parisienne menée par Chantal Jouanno… mais sans doute pas Pierre-Yves Bournazel, conseiller de Paris, un temps pressenti comme numéro deux."

 

08.12.2009, 07h00 , Le Parisien

 

18/01/2010

Où est la vérité dans tout cela ?

Valérie Pécresse, chef de file UMP aux régionales en Ile-de-France, peine à boucler sa liste à Paris, où le géographe Jean-Robert Pitte et le délégué interministériel à l'Outre-mer Patrick Karam, seraient en balance pour la 2ème place, selon des sources concordantes UMP.

L'UMP, alliée au Nouveau centre et à des petites formations, mise sur 12 ou 13 places éligibles à Paris.

Pour la deuxième place derrière la tête de liste Chantal Jouanno, secrétaire d'Etat à l'Ecologie, Mme Pécresse hésiterait toujours entre M. Pitte, et M. Karam, guadeloupéen, qui a la capacité, pense-t-il, de ramener de nombreux suffrages ultra-marins. 600.000 originaires d'outre-mer vivent en Ile-de-France.

Interrogé aujourd'hui, M. Karam ne semblait plus croire en ses chances.
Sont pressentis plusieurs conseillers de Paris UMP: Pierre-Yves Bournazel, poulain de Philippe Goujon et Jean-François Lamour, élu du XVIIIème (4ème place), Jean-François Legaret, maire du Ier arrondissement (6ème), Jean-Pierre Lecoq, maire du VIème (8ème) et Vincent Roger, élu du IVème (12ème place).

La dixième place de la liste serait accordée à un Nouveau centre, Mustapha Saadi, conseiller régional sortant de Paris.

Mme Pécresse a une nouvelle difficulté depuis une réunion d'investiture infructueuse mardi, avec la candidature de dernière minute du président du Mouvement des jeunes populaires Benjamin Lancar, poussé notamment par le secrétaire général de l'UMP Xavier Bertrand. M. Legaret ou M. Lecoq pourrait en faire les frais. La maire UMP du XVIIème arrondissement Brigitte Kuster sera comme prévu numéro trois.

La cinquième place devrait revenir à la directrice de cabinet de Nathalie Kosciusko-Morizet, Marie-Claire Daveu, la septième à la centriste Edith Cuniache-Gallois, conseillère de Paris, élue du XIIIème arrondissement, la neuvième à Véronique Bensaïd, conseillère parlementaire à la Banque de France et membre du Parti progressiste d'Eric Besson .

La 11ème reviendrait à Géraldine Poirault-Gauvin, conseillère de Paris, élue du XVème dont le maire est M. Goujon.

La 13ème serait attribuée à Céline Boulay-Esperonnier, conseillère de Paris, élue du XVIème.

Le groupe UMP au conseil régional sortant compte sept élus à Paris, le Nouveau centre 2 (PS 12, Modem 3, Verts 8, PCF 3, PRG 2, MRC 2, FN 0, extrême-droite 2).

Jean-Luc Romero, élu UMP en 2004, passé au PRG, est en 2010 candidat sur la liste de Jean-Paul Huchon (PS)

AFP 14/01/2010

17/01/2010

Régionales..... Un article révélateur!

Régionales : le casse-tête de Pécresse pour les listes UMP

icone des tagsUMP, Valérie Pécresse, Benjamin Lancar, Ile de France, Politique

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Par Public Sénat

le 15/01/2010 à 18:36, vu 257 fois, 1 nombre de réactions

Info d'un d’un média invité par la rédaction du Post.

Le plus difficile pour un parti n’est pas toujours de battre l’adversaire. Mais de se battre avec les siens. Car la composition des listes réserve toujours son lot de sueurs froides et de tensions. L’UMP ne coupe pas à la règle, notamment en Ile-de-France. « Il faut faire rentrer 200 millilitres dans 100 ! », résume à Public Sénat Philippe Goujon, président de la fédération UMP de Paris et député-maire du XV arrondissement.

C’est en Seine-Saint Denis que la situation est la plus conflictuelle. Le département est en proie aux « querelles intestines » entre la tête de liste départementale Patrick Toulmet et le patron local du parti majoritaire Eric Raoult, explique un élu UMP connaisseur des enjeux locaux. Conséquence de « ce jeu de pouvoir et de poste » : « les 10 premiers de la liste n’ont toujours pas été arrêtés », explique cet élu. « C’est du lourd. L’affrontement est total », renchérit un autre responsable UMP francilien.

A Paris, ce n’est guère plus facile. « Ce n’est pas un match de boxe », rassure le maire du XVe. Il ne nie pas des « discussions » et des « contraintes » variées à gérer. « Chacun à les siennes. Pour moi l’objectif est qu’il y ait un maximum d’UMP parisiens représentatifs. Valérie Pécresse (tête de liste régionale, ndlr) peut en avoir d’autres, comme trouver de la place pour les partis associés (MPF de Philippe de Villers, Parti chrétien démocrate de Christine Boutin, ndlr). Moi ce n’est pas mon affaire », tranche-t-il, tout en soulignant « travailler en confiance » avec la ministre : « On n’est pas borné ».

« Le truc le plus pénible dans une campagne, c’est de faire les listes ! »

Mardi dernier, la réunion de la commission d’investiture du parti, en présence du secrétaire général de l’UMP Xavier Bertrand, n’a pas permis de valider les listes départementales proposées. A Paris, la composition coince également sur le cas de Benjamin Lancar, président des jeunes pop (les jeunes de l’UMP). Xavier Bertrand verrait bien le jeune militant adepte de lip dub en position éligible. Tout le monde n’est pas aussi clairement de cet avis : « Actuellement il n’a pas de place sur la liste », explique Philippe Goujon. Il ajoute : « Ça fait partie des contraintes qui se posent à un autre niveau. C’est une contrainte de l’UMP ». Autrement dit, c’est le local contre le national.

Benjamin Lancar explique avoir « fait acte » de candidature « pour aider Valérie Pécresse ». Un peu trop tard peut-être ? « C’est vrai », lâche Philippe Goujon. Qui là aussi, se dit « ouvert » : « Tout est possible, il peut même être dans un autre département ». Benjamin Lancar souligne lui son enracinement parisien et sa présence sur les dernières listes des municipales et des européennes dans la capitale. «S’il est sur la liste, c’est forcément à la place d’un autre », fait valoir le patron parisien de l’UMP.

Tout devra être bouclé à la fin du mois. En cas de blocage, les protagonistes pourront toujours en référer à Nicolas Sarkozy, qui ne reste jamais loin des affaires de l’UMP. « Le Président ne l’a pas caché, il garde un œil attentif sur tout cela. Ce n’est pas lui qui fait les listes. Sur Paris il ne nous a rien demandé. Mais il aura son mot à dire », confirme Philippe Goujon. Qui ajoute : « Le truc le plus dur dans une campagne, l’épreuve la plus pénible, c’est de faire les listes ! ». Reste tout de même à gagner l’élection.

François Vignal

11/01/2010

Un homme libre, un homme de convictions

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Samedi, un commerçant du XVème avec lequel je discutais, en est venu à me parler du décès de Philippe Seguin, en soulignant tant le ridicule que l’hypocrisie de bon nombre de ceux qui se sont exprimés après son décès. Pour lui, la classe politique n’est pas un exemple de sincérité et c’est pourtant un de nos électeurs, mais pour combien de temps encore ?

J’ai ressenti la même chose en lisant ou écoutant de nombreuses déclarations. Et voilà qu’aujourd’hui, certains se mettent à le tutoyer, à honorer son indépendance, sa force de convictions… alors même que c’est justement son refus des compromissions qui a compromis la carrière politique qu’il aurait pu faire. Car du caractère, Philippe Seguin en avait.

Si je peux affirmer cela aujourd’hui, c’est après avoir travaillé avec lui, au début de mon mandat de Conseiller de Paris. Je ne l’avais pas soutenu au moment des élections municipales de 2001, fidèle, moi aussi, à mon refus du parachutage. Et pourtant, une fois élue, je n’ai pu que saluer la confiance et le soutien qu’il m’a accordés pour représenter et intervenir au nom de notre groupe politique, notamment sur ce qui concernait la politique familiale et la petite enfance. Merci Philippe de m’avoir permis de faire mes premières armes dans une arène politique pas toujours tendre.

J’avais eu aussi l’occasion de saluer la pertinence de ses interventions en qualité de premier président de la Cour des Comptes. Et, il m’a toujours répondu…

Dans un monde politique où il ne faut pas déranger. Il dérangeait, car il était libre, il s’était donné les moyens de l’être. C’est ce à quoi devrait aspirer tout responsable politique.

J’aurai une pensée pour vous Philippe, demain, et surtout pour ceux qui restent, pour votre famille.

Dominique Baud

05/01/2010

Dommage… Et cela s’est passé dans le XVème

Invitée par Anne Hidalgo, le 16 décembre dernier à l’inauguration de sa permanence pour les élections régionales en présence de Jean-Paul Huchon, dans le 15ème arrondissement, je n’ai par20091019carte-des-regions-en-2004.jpg contre pas été conviée, le mercredi précédent, à l’inauguration de son siège de campagne, par Valérie Pécresse, toujours dans le XVème, qui plus est, dans mon quartier, dans l’arrondissement dans lequel je vis depuis plus de 25 ans, à savoir sur la péniche l’Equité, à quai devant les jardins André Citröen

Le 16 décembre je n’ai pu m’y rendre, animant, dans le cadre de la préparation de ces mêmes élections régionales, une commission sur les transports.

Et si j’avais pu m’y rendre, cela n’aurait pas en qualité d’alliée politique, mais pour répondre à une invitation faite personnellement par quelqu’un, qui, quoique restant une adversaire politique, n’en demeure pas moins quelqu’un qui me respecte, qui reconnait le travail que j’ai fourni et continue à fournir pour le 15ème arrondissement, pour Paris et pour notre pays, quelqu’un qui reconnait la sincérité de mes convictions. Je tiens donc à ce titre à la remercier publiquement de son invitation.

Le 9, et dans le cadre de notre contribution au comité de la majorité présidentielle, invitée, je serais venue et accompagnée de ceux qui avec moi, représentent les voix qui pourraient contribuer à faire basculer la région… C’est bien l’enjeu, non ?

Souvenez vous, à Rambouillet, Jean-Frédéric Poisson a gagné…Oui, mais avec 5 voix d’avance seulement.

Pour mémoire, la carte des régions de France. 22 régions, 20 à gauche et 2 à droite.

Avec 2010, nouvelle année, nouvelles méthodes. J’ai bon espoir, pour nos idées, pour la Fance.

Dominique Baud

09/11/2009

Hommage

colombeysarko.jpgJ’avais 10 ans.

C’était aussi le 9 novembre.

C’était en 1970.

Le Général. de Gaulle décédait à la Boisserie.

Nous lui devons cet hommage.

N’oublions pas celui qui a joué un si grand rôle pour notre pays.

Dominique BAUD