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13/01/2011

Le procès d’Eric Zemmour

Il avait dit le 6 mars dernier sur Canal+ que  « les Français issus de l’immigration sont plus contrôlés que les autres parce que la plupart des trafiquants sont noirs et arabes ».

Des mouvements, tels que le Mrap, la Licra et l'Union des étudiants juifs de France (UEJF), se sont portés partie civile devant le 17e chambre correctionnelle.

Mais, côté défense, seule une dizaine de personnes ont accepté de témoigner en sa faveur, même s’il a pu tout de même compter sur quelques personnalités, dont certaines de gauche, au nom de la liberté d'expression.

Il faut savoir que l'avocat de SOS Racisme a tenté de faire supprimer des débats une lettre de Jean-Pierre Chevènement. Evidemment, ses propos n’allaient pas dans le sens espéré puisqu’il écrivait que « il suffisait de compulser les listings de la délinquance pour constater que 50% des noms des jeunes y ont une consonance maghrébine ou africaine, rajoutant «craindre que le politiquement correct ne finisse par tuer le débat républicain» : témoignage d’un ancien ministre de l’intérieur qui, jusqu’à preuve du contraire, ne fait partie ni de l’extrême droite, ni même de la droite ou du centre…

Comment ne pas donner raison à Eric Zemmour lorsque ce dernier voit dans cette tentative de  «faire taire» un ancien ministre de l'Intérieur, qui plus est de gauche, de l’inquisition de la part de certaines associations.

Comment ces associations peuvent-elles ensuite se déclarer attachées à la liberté d'expression ? En fait, elles ne sont attachées qu’à une liberté d’expression partisane.

Et, où étaient donc les innombrables soutiens de Eric Zemmour? Ceux qui criaient au scandale en mars dernier quand il a été menacé de se faire « virer » du figaro, ceux qui organisaient des manifestations pour le soutenir…

Jacques Myard, fidèle à lui-même, lui a apporté son soutien. «Il faut appeler un chat un chat et il faut cesser l'hypocrisie», a-t-il dit. «Je trouve très dangereux que ces associations qui devraient défendre les droits de l'Homme se lancent dans des polémiques de bas étage! Et j'approuve totalement le républicain de l'autre rive, mon camarade Chevènement!»

Véronique Besse, elle aussi s'est «inquiétée que la France ne soit plus aujourd'hui le pays de la liberté d'expression mais celui de la surveillance généralisée de la pensée».

Et les autres… Où étaient-ils, les courageux ?

 

Dominique Baud

 

11/04/2010

Je suis d’accord… Je communique…

COMMUNIQUE DE PRESSE

Jacques MYARD, Député UMP, Président du Cercle Nation et République

Jacques Myard est purement et simplement indigné face aux critiques adressées à David Pujadas qui a pris la décision responsable de dénoncer des pédophiles qui s'apprêtaient à passer à l'acte alors qu'ils  avaient fait  l'objet d'une enquête journalistique.

Jacques Myard soutient pleinement D. Pujadas qui a refusé de se faire le complice d'une ignominie sans nom.

Les journalistes qui s'abritent derrière le principe de la protection de leurs sources pour refuser de dénoncer des criminels, voire des meurtriers illustrent la montée d'un corporatisme étroit qui est indéfendable.

Nul ne peut être au dessus des lois, les citoyens responsables ne pourront jamais accepter qu'une profession, quelle qu'elle soit, puisse se faire la complice, même passive, d'une telle ignominie.

Toute autre décision aurait été une lâcheté, la porte ouverte à de dangereuses dérives qui ruineraient toute vie sociale. Il  y aurait d'une part ceux qui doivent dénoncer les criminels et d'autre part, ceux qui rapporteraient avidement, pour faire de l'audimat, la préparation en toute impunité de leurs méfaits ?

M. Pujadas a fait grandir la respectabilité des journalistes.

30/03/2010

Communiqué de Presse

Parce que je partage totalement les propos de Jacques Myard sur l’interdiction du port de la burqa dans notre pays, je vous livre le texte de son communiqué de presse, dans son intégralité.

Dominique Baud

L'avis du Conseil d'Etat n'est et ne demeurera qu'un avis.

Il est, certes,  dans son rôle  en soulignant certaines interrogations juridiques sur une interdiction générale du voile intégral, néanmoins, il appartient au seul Conseil constitutionnel d'en juger.

Cet avis comporte, au demeurant, une contradiction en proposant une injonction  de médiation sociale pour les femmes portant le voile intégral assortie d'une amende si l'injonction n'est pas respectée. Seule une interdiction générale du voile intégral peut justifier réellement une injonction de ce type !

Jacques Myard estime que le législateur doit prendre ses responsabilités et qu'il convient, en conséquence, de bannir complètement du territoire national le voile intégral qui est contraire à la dignité de la personne, à l'égalité des sexes, pose un problème de sécurité publique et heurte profondément la volonté du vouloir vivre ensemble de l'immense majorité des Français.

Le 30 mars 2010

Jacques MYARD
Député UMP
Président du Cercle Nation et République

19/02/2010

Communiqué de Presse

Un communiqué de Presse auquel je m'associe sans réserve

Dominique Baud

 

le 17 février 2010

COMMUNIQUE DE PRESSE
de Jacques MYARD
Député UMP
Président du Cercle Nation et République


A/S Quick fait du zèle : non au communautarisme!

L’expérimentation conduite par Quick France sur huit restaurants visant à tester l’opportunité de proposer à ses clients uniquement de la nourriture hallal est une grave dérive communautariste contraire aux principes républicains.

Si une grande chaine de restauration rapide peut certainement proposer des plats spécifiques pour les pratiques alimentaires des uns et des autres, il est en revanche inadmissible d’imposer à tous les usages d’un groupe religieux quel qu’il soit. La certification hallal impliquant par ailleurs le paiement d’une redevance à des autorités religieuses, il est inacceptable que dans un pays laïque l’ensemble des clients d’une chaine de restauration y soit assujettie.

La communication de Quick explique que le choix du tout hallal est un choix de rationalisation des coûts dans certains restaurants. En effet, la certification hallal impose, tout comme la certification casher, une séparation nette des produits hallal et non hallal. Néanmoins, cet argument n’est pas acceptable du point de vue du principe de laïcité, qui subordonne la loi religieuse aux principes républicains.

En outre, les clients musulmans, qui se réjouissent de pouvoir consommer hallal, ne demandent en aucune manière l’exclusivité de ce type de nourriture dans les chaines de restauration rapide. Eux-mêmes ne comprennent pas vraiment cette décision, et craignent que leur religion soit stigmatisée comme intolérante. Ce n’est donc pas leur rendre service que de les présenter comme sectaires, ce que la très grande majorité d’entre eux n’est pas.

Le débat sur l’identité nationale a fait une large part à l’intégration. Il en a souligné les réussites et les échecs. Dans ce contexte, présenter de manière visible certains quartiers comme « 100% musulmans » a toutes les chances d’être perçu comme une dérive communautariste directement contraire à l’indivisibilité de la République.

Il est dès lors urgent que cette expérimentation soit modifiée en proposant des plats hallal aussi bien que casher, tout en permettant à ceux qui ne souhaitent consommer aucune nourriture religieuse de le faire.

La maison Quick a dépassé les bornes et joue avec le feu! Quick fait du zèle.
Non au communautarisme !

05/10/2009

Communiqué de Presse

Jacques Myard.jpgRémunérer les élèves qui vont en classe, c’est se mettre la pyramide sur la tête

L’incitation financière à l’assiduité scolaire que met en place l’Académie de Créteil est une aberration sans précédent dans un système qui marche sur la tête.

Il convient en premier lieu de rappeler que la gratuité et l’universalité de l’éducation fait partie des grands principes républicains acquis de haute lutte il y a à peine plus d’un siècle en France, et que des millions d’enfants à travers le monde en sont toujours privés. Dans ces conditions, vouloir résoudre l’absentéisme scolaire par une incitation financière a quelque chose d’indécent.

En second lieu, cette mesure entérine le désengagement total des parents qui n’assument pas la responsabilité d’envoyer leurs enfants à l’école. Ainsi, si la suppression des allocations familiales aux familles qui n’assument pas leurs obligations est pleinement justifiée, l’incitation financière envers les élèves est totalement anormale. l’école en France est non seulement universelle et gratuite, mais elle est aussi obligatoire. La règle est que le non respect de l’obligation scolaire est assorti d’une sanction ; il n’y a pas lieu de récompenser ceux qui s’acquittent d’une obligation !

A l’heure où la crise contraint les finances publiques à des déficits records, il est particulièrement choquant pour les Français que leurs impôts servent à financer des mesures de ce type.

Communiqué de Presse de Jacques Myard,

Député UMP, Président du Cercle Nation et République

Le 2 octobre 2009