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31/03/2012

Parce que rire fait du bien…

UNE BLAGUE D'ACTUALITE PLEINE D'HUMOUR

« Un homme est en vacances et visite un zoo quand il voit une petite fille se penchant sur la cage d'un lion. Soudain, le lion attrape la fillette par la manche de sa veste et tente de l'arracher à l'intérieur.

L'homme s'élance vers la cage et frappe le lion en plein sur le nez d'un puissant coup de poing.

Gémissant de douleur, le lion saute en arrière relâchant la petite fille, et l'homme la ramène à ses parents terrifiés, qui le remercient infiniment

Un journaliste …. a vu tout l'événement.

Le journaliste dit à l'homme:

 "Monsieur, ce fut la chose la plus vaillante et courageuse que j'ai vu faire de ma vie".

L'homme répond alors:

 "Pourquoi ? Ce n'était rien vraiment. Le lion était derrière les barreaux. J'ai vu cette gamine en danger et j'ai agi comme je le sentais..."

 Le journaliste dit: "Eh bien, je vais m'assurer que cela ne passera pas inaperçu. Je suis journaliste, et le journal de demain aura cette histoire en première page ... Alors, que faites-vous dans la vie et quelle affiliation politique avez-vous? "L'homme répond: "Je sers dans l'armée Française et je vote pour le F.N."

 Le matin suivant, l'homme achète le journal et lit, sur la première page:

 "Un militaire fasciste brutalise un immigré africain et lui vole son déjeuner."

 

 

11/04/2010

Je suis d’accord… Je communique…

COMMUNIQUE DE PRESSE

Jacques MYARD, Député UMP, Président du Cercle Nation et République

Jacques Myard est purement et simplement indigné face aux critiques adressées à David Pujadas qui a pris la décision responsable de dénoncer des pédophiles qui s'apprêtaient à passer à l'acte alors qu'ils  avaient fait  l'objet d'une enquête journalistique.

Jacques Myard soutient pleinement D. Pujadas qui a refusé de se faire le complice d'une ignominie sans nom.

Les journalistes qui s'abritent derrière le principe de la protection de leurs sources pour refuser de dénoncer des criminels, voire des meurtriers illustrent la montée d'un corporatisme étroit qui est indéfendable.

Nul ne peut être au dessus des lois, les citoyens responsables ne pourront jamais accepter qu'une profession, quelle qu'elle soit, puisse se faire la complice, même passive, d'une telle ignominie.

Toute autre décision aurait été une lâcheté, la porte ouverte à de dangereuses dérives qui ruineraient toute vie sociale. Il  y aurait d'une part ceux qui doivent dénoncer les criminels et d'autre part, ceux qui rapporteraient avidement, pour faire de l'audimat, la préparation en toute impunité de leurs méfaits ?

M. Pujadas a fait grandir la respectabilité des journalistes.

06/12/2008

Et si V. de FILIPPIS n’avait pas été journaliste !

 

Etre quelqu’un de connu peut attiser le zèle de certains.

Et appliquer les méthodes « traditionnelles » sur une personnalité apparaît normal au titre de l’équité devant la loi, mais peut aussi s’avérer dangereux et créer le tollé qu’on voit aujourd’hui.

Or, c’est l’application de la procédure. La ministre de la Justice l’a elle -même rappelé.

Alors, faut-il vraiment regretter cet incident ?

Oui, au regard du respect de l’individu et surtout de ses jeunes enfants devant lesquels la scène a eu lieu. Il ne s’agissait que d’un citoyen poursuivi pour diffamation et n’ayant pas répondu aux convocations de la justice.

Non, si on y voit l’intérêt que ces procédés soient revus.

N’oublions pas qu’hier, on libérait un violeur récidiviste pour une erreur d’écriture.

Cette affaire est hors de proportion avec les faits reprochés.

Et puis, toutes les plaintes en diffamation ne sont pas entendues. J’en sais quelque chose…

Dominique BAUD