31/03/2012
Parce que rire fait du bien…
UNE BLAGUE D'ACTUALITE PLEINE D'HUMOUR
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00:01 Publié dans Humour | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : humour, blague, journaliste, objevtivité
11/04/2010
Je suis d’accord… Je communique…
COMMUNIQUE DE PRESSE
Jacques MYARD, Député UMP, Président du Cercle Nation et République
Jacques Myard est purement et simplement indigné face aux critiques adressées à David Pujadas qui a pris la décision responsable de dénoncer des pédophiles qui s'apprêtaient à passer à l'acte alors qu'ils avaient fait l'objet d'une enquête journalistique.
Jacques Myard soutient pleinement D. Pujadas qui a refusé de se faire le complice d'une ignominie sans nom.
Les journalistes qui s'abritent derrière le principe de la protection de leurs sources pour refuser de dénoncer des criminels, voire des meurtriers illustrent la montée d'un corporatisme étroit qui est indéfendable.
Nul ne peut être au dessus des lois, les citoyens responsables ne pourront jamais accepter qu'une profession, quelle qu'elle soit, puisse se faire la complice, même passive, d'une telle ignominie.
Toute autre décision aurait été une lâcheté, la porte ouverte à de dangereuses dérives qui ruineraient toute vie sociale. Il y aurait d'une part ceux qui doivent dénoncer les criminels et d'autre part, ceux qui rapporteraient avidement, pour faire de l'audimat, la préparation en toute impunité de leurs méfaits ?
M. Pujadas a fait grandir la respectabilité des journalistes.
21:18 Publié dans Famille | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : jacques myard, pujadas, journaliste, pédophilie
06/12/2008
Et si V. de FILIPPIS n’avait pas été journaliste !
Etre quelqu’un de connu peut attiser le zèle de certains.
Et appliquer les méthodes « traditionnelles » sur une personnalité apparaît normal au titre de l’équité devant la loi, mais peut aussi s’avérer dangereux et créer le tollé qu’on voit aujourd’hui.
Or, c’est l’application de la procédure. La ministre de la Justice l’a elle -même rappelé.
Alors, faut-il vraiment regretter cet incident ?
Oui, au regard du respect de l’individu et surtout de ses jeunes enfants devant lesquels la scène a eu lieu. Il ne s’agissait que d’un citoyen poursuivi pour diffamation et n’ayant pas répondu aux convocations de la justice.
Non, si on y voit l’intérêt que ces procédés soient revus.
N’oublions pas qu’hier, on libérait un violeur récidiviste pour une erreur d’écriture.
Cette affaire est hors de proportion avec les faits reprochés.
Et puis, toutes les plaintes en diffamation ne sont pas entendues. J’en sais quelque chose…
Dominique BAUD
00:09 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : de filippis, journaliste, difffamation, fait du prince