Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

31/05/2012

Dominique Baud candidate dans la 13ème circonscription de Paris

Les électeurs du XVème arrondissement ont soif de changement et d’une nouvelle gouvernance. Et, pour changer les choses, il faut aussi changer les gens.

C’est pourquoi, j’ai décidé de présenter à nouveau ma candidature dans la 13ème circonscription de Paris, où j’habite depuis bientôt 30 ans.

- Comment peut-on parler de Proximité quand on n’habite pas l’arrondissement dans lequel on est élu ?

- Comment peut-on parler de parler Démocratie lorsque son seul objectif est d’éliminer ses adversaires, voire même de tenter de les intimider pour qu’ils ne se présentent pas ?

- Comment peut-on parler de Nouvelle Gouvernance lorsqu’on est de fait, contre la parité, contre la proportionnelle, contre la reconnaissance du vote blanc, pour le cumul des mandats … ?

Un élu pour être crédible doit être cohérent en paroles et en actes. C’est pourquoi les électeurs de la 13ème circonscription de Paris feront le choix de mon bulletin de vote.

Je les assure de la détermination avec laquelle, Jérôme Boucher mon suppléant et moi-même, mettrons tout en œuvre pour respecter nos engagements.

Pour le XVème, dans le XVème et avec le XVème !

 Dominique Baud

Conseillère de Paris du 2001 à 2008

Elue de Paris et du XVème Arrondissement

20/04/2012

Dimanche… Votez

Si votre choix est déjà fait, prenez quand même le temps de lire les professions de foi.

Si votre choix n’est pas encore fait, obligez-vous à lire les professions de chacun des 10 candidats

Si après cette lecture attentive, aucun choix ne s’impose à vous, essayez au moins de procéder par élimination afin de ne rester qu’avec finalement, un bulletin de vote possible

Et si vraiment, aucun candidat de trouve grâce à vos yeux, allez tout de même voter, et votez blanc.

Pourquoi lire les professions de foi ? Celles faites par les candidats eux-mêmes sont souvent les meilleures et les plus sincères. Elles ne sont pas toujours faites par les candidats  les plus connus et permettent à d’autres candidats de se faire connaître. Et si on veut renouveler la classe politique, c’est ainsi qu’on y arrivera. Une bonne habitude à prendre, déjà aux présidentielles, mais surtout à poursuivre avant de voter avant d'élire les députés, lors des élections législatives.

Pourquoi voter… Si c’est pour finalement voter blanc, un vote non reconnu… Car si on veut qu’un jour ce vote soit reconnu et pas seulement par ceux qui le promettent dans leur programme et mis  réellement en place, il faut savoir affirmer ainsi sa volonté de voter mais aussi dire combien l’offre n’est pas satisfaisante.

Car le pire ennemi de l’élection présidentielle de dimanche risque d’être l’abstention, et de faire que finalement, comme de plus en plus souvent, le vote n’est plus représentatif de l’expression des français, mais de celle d’une minorité de votants.

Donc, Dimanche…. VOTEZ.

 Dominique BAUD

 

17/03/2012

On y arrive

Ils devraient-être 10. 10 à se présenter aux suffrages des français pour devenir le prochain président de la république française. Lundi, le conseil constitutionnel devrait confirmer la liste

Par ordre alphabétique :

Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière),

François Bayrou (MoDem),

Jacques Cheminade (Solidarité et Progrès

Nicolas Dupont-Aignan (Debout la République).

François Hollande (PS), 

Eva Joly (EELV )

Marine Le Pen (Front national), 

Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche),

Philippe Poutou (Nouveau parti anticapitaliste)

Nicolas Sarkozy (UMP)

Que vont décider Corinne Lepage et Dominique de Villepin, qui, à quelques dizaines de signatures près, ne peuvent se présenter ?

Comment vont se déterminer leurs électeurs potentiels ?

Quelle foi accorder aux sondages qui se multiplient ?

Quelle est la proportion des vrais indécis, des déçus, des écœurés, des encore enthousiastes ?

Une chose est sûre, personne ne devrait pouvoir être élu sans une quantité substantielle de voix sur son nom. Et il y a pourtant peu de chance que ce soit le cas entre les abstentions et les votes blancs.

Mais, on modifiera sans doute un jour les règles, mais seulement… la prochaine fois.

Dominique Baud

 

28/12/2011

Attention aux conclusions hâtives

Il y a affluence dans les mairies pour les inscriptions sur les listes électorales, oui, comme d’habitude en fin d’année lorsque des échéances principales sont prévues l’année suivante, mais bien moins qu’en 2006.
Il est vrai que je n’ai pas vu, à ma grande surprise, de vraie campagne, notamment télévisée, comme nous en avons déjà connues, pour rappeler les retardataires à leur devoir. On nous parle de dépenses de dépliants et d’affiches d’information auprès des communes, mais rien ne vaut une campagne télévisée si on veut toucher tout le monde.


Car il s’agit bien là d’un devoir. Le devoir de voter, pour avoir le droit de se plaindre. Même si, et je ne le dirai jamais assez, une des conséquences de l’abstention est la non reconnaissance du vote blanc.
On ne va pas voter car aucun candidat n’est à son choix mais aussi car voter blanc apparait ne servir à rien. Il ne sera pas comptabilisé, notamment pour remettre en cause le résultat et c’est ainsi que sont portés au pouvoir des candidats ayant seulement acquis 30% des suffrages exprimés.

Mairies ouvertes le samedi, site internet accessible à tous, voilà ce qui pourrait faciliter les inscriptions. Mais, on est loin de cette optimisation de services, même pour ce mois de décembre, décisif en la matière.


Dans le XVe arrondissement de Paris, parle de 500 à 600 inscriptions par jour, contre 1000 en 2006. Et quant on sait le nombre de déménagements, c’est bien peu…
Gare donc aux conclusions hâtives d’intox et de circonstances.


Français, inscrivez-vous sur les listes électorales, allez voter librement vous qui avez cette chance, donnez vous les moyens de connaître vos candidats, et n’hésitez pas à essayer le renouvellement et à primer le travail, la conviction, la persévérance plutôt que l’étiquette d’un parti, la nonchalance et les promesses réitérées jamais tenues.


Dominique Baud

24/09/2011

Qu’est-ce que cela va donner dans les urnes ?

 

 

 

Qu’est-ce que cela va donner dans les urnes ?

Les évènements de ces derniers mois qui touchent la classe politique ne donneront rien de bon dans les urnes. Et la proximité d’élections capitales, que sont les présidentielles et les législatives font craindre le pire.

On risque d’en voir plusieurs manifestations, d’une abstention massive à un report sur les extrêmes, les rares choix alternatifs proposés à ceux qui votent.

Car il est un domaine sur lequel on n’a pas avancé, celui de la reconnaissance du vote blanc. On ne fait toujours pas de différence entre un électeur abstentionniste qui ne prend pas la peine de se déplacer et celui qui remplit son devoir, mais qui ne cautionne aucun des choix proposés, et vote blanc.

Et, c’est quoi voter blanc. C’est vouloir exprimer que des choses ne vont pas, mais que les solutions proposées par ceux qui se présentent, ne conviennent pas.

Voter blanc, c’est aussi exprimer le souhait de donner sa voix à quelqu’un d’autre, quelqu’un qui ne se présente pas ou quelqu’un dont on n’a pas eu connaissance de la candidature. Car Il faut rappeler aussi que si on donnait aux électeurs le temps de lire toutes les professions de foi, les votes seraient peut-être différents. Mais les électeurs dont les communes ont opté pour le vote électronique ne reçoivent plus rien et les autres, ont leur enveloppe souvent la veille, voire même le lendemain du scrutin.

Belle représentation de la démocratie. Alors, une majorité de ceux qui votent, votent pour des partis alors même qu’il faudrait voter des personnes et pour des idées.

« Si un homme politique a peur d’être désavoué par un vote blanc, il ne mérite pas son mandat ».

Dominique Baud

 

Qu’est-ce que cela va donner dans les urnes ?

 

 

Les évènements de ces derniers mois qui touchent la classe politique ne donneront rien de bon dans les urnes. Et la proximité d’élections capitales, que sont les présidentielles et les législatives font craindre le pire.

On risque d’en voir plusieurs manifestations, d’une abstention massive à un report sur les extrêmes, les rares choix alternatifs proposés à ceux qui votent.

Car il est un domaine sur lequel on n’a pas avancé, celui de la reconnaissance du vote blanc. On ne fait toujours pas de différence entre un électeur abstentionniste qui ne prend pas la peine de se déplacer et celui qui remplit son devoir, mais qui ne cautionne aucun des choix proposés, et vote blanc.

Et, c’est quoi voter blanc. C’est vouloir exprimer que des choses ne vont pas, mais que les solutions proposées par ceux qui se présentent, ne conviennent pas.

Voter blanc, c’est aussi exprimer le souhait de donner sa voix à quelqu’un d’autre, quelqu’un qui ne se présente pas ou quelqu’un dont on n’a pas eu connaissance de la candidature. Car Il faut rappeler aussi que si on donnait aux électeurs le temps de lire toutes les professions de foi, les votes seraient peut-être différents. Mais les électeurs dont les communes ont opté pour le vote électronique ne reçoivent plus rien et les autres, ont leur enveloppe souvent la veille, voire même le lendemain du scrutin.

Belle représentation de la démocratie. Alors, une majorité de ceux qui votent, votent pour des partis alors même qu’il faudrait voter des personnes et pour des idées.

« Si un homme politique a peur d’être désavoué par un vote blanc, il ne mérite pas son mandat ».

Dominique Baud

Les évènements de ces derniers mois qui touchent la classe politique ne donneront rien de bon dans les urnes. Et la proximité d’élections capitales, que sont les présidentielles et les législatives font craindre le pire.

On risque d’en voir plusieurs manifestations, d’une abstention massive à un report sur les extrêmes, les rares choix alternatifs proposés à ceux qui votent.

Car il est un domaine sur lequel on n’a pas avancé, celui de la reconnaissance du vote blanc. On ne fait toujours pas de différence entre un électeur abstentionniste qui ne prend pas la peine de se déplacer et celui qui remplit son devoir, mais qui ne cautionne aucun des choix proposés, et vote blanc.

Et, c’est quoi voter blanc. C’est vouloir exprimer que des choses ne vont pas, mais que les solutions proposées par ceux qui se présentent, ne conviennent pas.

Voter blanc, c’est aussi exprimer le souhait de donner sa voix à quelqu’un d’autre, quelqu’un qui ne se présente pas ou quelqu’un dont on n’a pas eu connaissance de la candidature. Car Il faut rappeler aussi que si on donnait aux électeurs le temps de lire toutes les professions de foi, les votes seraient peut-être différents. Mais les électeurs dont les communes ont opté pour le vote électronique ne reçoivent plus rien et les autres, ont leur enveloppe souvent la veille, voire même le lendemain du scrutin.

Belle représentation de la démocratie. Alors, une majorité de ceux qui votent, votent pour des partis alors même qu’il faudrait voter des personnes et pour des idées.

« Si un homme politique a peur d’être désavoué par un vote blanc, il ne mérite pas son mandat ».

Dominique Baud

26/03/2011

A qui profite « le crime » ?

 

Jean de la Fontaine

« La ruse la mieux ourdie
Peut nuire à son inventeur ;
Et souvent la perfidie
Retourne sur son auteur ».

Le 1er enseignement du premier tour des cantonales est qu’avoir changé les règles électorales, en catimini, pour éliminer ses adversaires, n’a pas été du goût des électeurs dont plus de 50% ont préféré s’abstenir.

Car en effet, si une telle règle avait pour projet de limiter les triangulaires, pour ces dernières élections le « crime » n’a pas profité à ceux à qui il était destiné.

Rappel des faits :

 « Les élections cantonales se déroulent dans chaque canton. Elles sont organisées sur deux tours, sauf si l'un des candidats en présence obtient, dès le premier tour, la majorité absolue des suffrages exprimés et 25% des électeurs inscrits sur les listes électorales.12,5% des électeurs inscrits sont nécessaires pour qu'un candidat accède au second tour. Si un seul candidat franchit cette barre, le candidat arrivé en seconde position participe également au second tour. Dans le cas où aucun des candidats ne franchit ce seuil, les deux candidats arrivés en tête s'affrontent au second tour ».

La loi n°2010-1563 du 16 décembre 2010 - article 2, a modifié l'article L210-1 du Code électoral. En conséquence, le seuil de maintien au second tour passe de 10,0% des inscrits à 12,5% des inscrits.

J’ai écrit un post sur ce blog le 23 janvier 2011 qui se terminait par :

 

« Un jour, qui n’est peut-être pas si loin, ce genre de méthodes qui déshonore la Politique avec un grand P, se retourneront contre ceux qui les auront décidées et votées mais aussi contre ceux qui ne les auraient pas combattues.

A ce titre, je ne me souviens pas avoir entendu les socialistes contester cette mesure. Et pour cause ».

 

Qui osera, aujourd’hui, me donner tort ?

Dominique Baud

 

22/03/2011

Un vœu pieux…

Ah, si le vote blanc était reconnu…

Ah, si le vote blanc était comptabilisé voire même s’il imposait en cas de score important (par exemple supérieur à 30%), de refaire l’élection…,

On ne vivrait pas les tergiversations de certains, les contradictions des autres, en ce lendemain du 1er tour des élections cantonales qui ont donné les résultats que l’on connaît.

Car,

Certains électeurs peuvent ne pas souhaiter voter Front National

D’autres ont aussi le droit de ne pas reconnaître dans un candidat PS, les valeurs qu’ils souhaitent voir représentées. N’oubliez pas, et je le répèterai tant que je ne verrai pas cette vérité faire la une de la presse, un candidat PS au 2ème tour, c’est la plupart du temps la représentation d’une union des socialistes, communistes, verts et représentants de l’extrême gauche.

Mais surtout, ne pas voter, c’est augmenter le score du camp des abstentionnistes, ce qui est tout, sauf le comportement que doit conseiller un élu de la république.

Car, s’il existe une valeur républicaine, s’il existe un droit républicain, c’est bien celui de pouvoir voter.

Mais qui oserait enfin faire une telle proposition de loi, et qui seraient ceux qui la soutiendraient ?

Dominique Baud

 

24/02/2010

Le plus grand ennemi de la politique

Le désintérêt voire même le dégoût des français pour la vie politique est une regrettable évidence aujourd’hui.

On peut trouver de nombreuses raisons à cela : le défaut de crédibilité de nos gouvernants quels qu’ils soient qui passent leur temps à promettre quelque chose et à faire exactement l’inverse, les réformes qui sont entreprises, les lois qui sont votées mais dont on ne publie pas les décrets d’application, sont deux exemples qui me viennent à l’esprit.

Nous vivons une crise de confiance où l’appel du pouvoir et du gain prime sur les convictions et la sincérité.

Le résultat, un sondage qui indique qu’aux prochaines élections régionales, seuls 54% des français ont l’intention d’aller voter.

Un remède à cela, changer les politiques… Oui, mais pas facile. Tout est noyauté par de grands partis qui monopolisent la place et dans un système où la représentation des partis plus petits est un vrai problème.

J’en ai un autre, mais qui osera le proposer et surtout, qui oseront le voter : reconnaître une fois pour toutes le vote BLANC, comme un vote comptabilisé.

Et, ne valider les résultats d’une élection que si les votes blancs restent inférieurs à 30%. Le vote blanc remplacerait ainsi plus efficacement l’abstention car il adresserait un message ayant de vraies conséquences.

A suivre…

Dominique Baud