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06/03/2012

Le Parti Liberal Démocrate vous convie…

 Atelier – débat

 "La liberté, c'est maintenant !"

 Avec Alain Madelin, Sabine Herold, Aurélien Véron
Arnaud Dassier Anne Bourdu

Le 14 mars à 19h30

Au Cedias, 5 rue Las Cases

 Le 14 mars, nous parlerons de liberté, si absente de la campagne présidentielle jusqu'ici. C'est pour nous l'un des enjeux essentiels au coeur de la croissance, de l'emploi et de notre qualité de vie future. Ne laissons pas l'UMP et le PS confisquer le débat et le réduire au tout-Etat, à la chasse aux riches et au rejet des étrangers qui "menacent notre civilisation". Ces questions ne répondent pas aux préoccupations premières des nouvelles générations. Ce sont pourtant elles qui vont devoir rembourser la dette qui leur est laissée, financer la retraite de leurs aînés et travailler à relancer la croissance dans notre pays. Qui leur demande leur avis ?

La France a besoin de faire émerger des idées neuves, portées par des générations nouvelles en vue d'assurer la transition vers un modèle économiquement et socialement performant. De nombreux pays européens ont déjà fait ce choix avec succès, souvent sous la houlette de jeunes dirigeants politiques.

Pourquoi pas nous Jamais, depuis 30 ans, notre pays n'a fait le pari de la liberté, c’est pourtant le fondement de la prospérité et du bonheur. Jamais il ne s’est appuyé sur la responsabilité individuelle pour restaurer la confiance, socle d'une société forte.

Notre ambition, c’est une France qui respecte les choix de vie de chacun, et offre de vraies chances de réussite à tous.

Et vous ?

 Aurélien Véron,                             Anne Bourdu                                    Arnaud Dassier

      Président                               Secrétaire Générale                              Vice-Président

 

31/12/2011

De quoi donner à méditer... 2012, une année décisive

"La conscience ? Elle n'empêche jamais de commettre un péché. Elle empêche seulement d'en jouir en paix !"

Theodore Dreiser

06/10/2011

Je me souviens

 

Lors de la première réforme des retraites proposée par François Fillon, alors élue de Paris, avec quelques collègues… très peu nombreux cependant, je manifestais dans la rue, témoin qu’il ne faut pas seulement manifester pour contester mais qu’on peut aussi manifester pour soutenir.

Les consignes de la direction, toujours la même, de la Fédération UMP de Paris était de rester chez soi… De peur d’être ridicule !!!

Le coup de fil que j’ai passé ce jour là au Président UMP de la Fédération de Paris, alors même que je défilais rue de Rivoli au milieu de milliers de personnes, l’a contraint de conclure que j’avais raison, qu’il aurait du mobiliser les sympathisants et militants, qu’il le ferait la prochaine fois ….

Il n’y aura pas de prochaine fois… Devoir de mémoire pour François Fillon  !!!

Aujourd’hui, avec les primaires organisées par les socialistes, j’ai l’impression de revivre un peu la même chose. Depuis des mois, j’entends, à mon grand drame, la droite contester ces primaires. Pourtant je ne vois pas quelle gloire elle va tirer d’une candidature unique sous prétexte d’un président sortant…Et j’ai peur du résultat de ce choix imposé.

Et même si je ne soutiens pas les programmes des candidats socialistes aux primaires, je reconnais que quelques propositions des uns et des autres me séduisent.

Et une fois de plus, je redis que la droite serait sortie grandie d’organiser elle aussi des primaires, quitte à y exprimer sa propre originalité.

Mais, c’est dit… on le fera la prochaine fois…S’il y a une prochaine fois…

Dominique Baud

24/09/2011

Qu’est-ce que cela va donner dans les urnes ?

 

 

Les évènements de ces derniers mois qui touchent la classe politique ne donneront rien de bon dans les urnes. Et la proximité d’élections capitales, que sont les présidentielles et les législatives font craindre le pire.

On risque d’en voir plusieurs manifestations, d’une abstention massive à un report sur les extrêmes, les rares choix alternatifs proposés à ceux qui votent.

Car il est un domaine sur lequel on n’a pas avancé, celui de la reconnaissance du vote blanc. On ne fait toujours pas de différence entre un électeur abstentionniste qui ne prend pas la peine de se déplacer et celui qui remplit son devoir, mais qui ne cautionne aucun des choix proposés, et vote blanc.

Et, c’est quoi voter blanc. C’est vouloir exprimer que des choses ne vont pas, mais que les solutions proposées par ceux qui se présentent, ne conviennent pas.

Voter blanc, c’est aussi exprimer le souhait de donner sa voix à quelqu’un d’autre, quelqu’un qui ne se présente pas ou quelqu’un dont on n’a pas eu connaissance de la candidature. Car Il faut rappeler aussi que si on donnait aux électeurs le temps de lire toutes les professions de foi, les votes seraient peut-être différents. Mais les électeurs dont les communes ont opté pour le vote électronique ne reçoivent plus rien et les autres, ont leur enveloppe souvent la veille, voire même le lendemain du scrutin.

Belle représentation de la démocratie. Alors, une majorité de ceux qui votent, votent pour des partis alors même qu’il faudrait voter des personnes et pour des idées.

« Si un homme politique a peur d’être désavoué par un vote blanc, il ne mérite pas son mandat ».

Dominique Baud

Les évènements de ces derniers mois qui touchent la classe politique ne donneront rien de bon dans les urnes. Et la proximité d’élections capitales, que sont les présidentielles et les législatives font craindre le pire.

On risque d’en voir plusieurs manifestations, d’une abstention massive à un report sur les extrêmes, les rares choix alternatifs proposés à ceux qui votent.

Car il est un domaine sur lequel on n’a pas avancé, celui de la reconnaissance du vote blanc. On ne fait toujours pas de différence entre un électeur abstentionniste qui ne prend pas la peine de se déplacer et celui qui remplit son devoir, mais qui ne cautionne aucun des choix proposés, et vote blanc.

Et, c’est quoi voter blanc. C’est vouloir exprimer que des choses ne vont pas, mais que les solutions proposées par ceux qui se présentent, ne conviennent pas.

Voter blanc, c’est aussi exprimer le souhait de donner sa voix à quelqu’un d’autre, quelqu’un qui ne se présente pas ou quelqu’un dont on n’a pas eu connaissance de la candidature. Car Il faut rappeler aussi que si on donnait aux électeurs le temps de lire toutes les professions de foi, les votes seraient peut-être différents. Mais les électeurs dont les communes ont opté pour le vote électronique ne reçoivent plus rien et les autres, ont leur enveloppe souvent la veille, voire même le lendemain du scrutin.

Belle représentation de la démocratie. Alors, une majorité de ceux qui votent, votent pour des partis alors même qu’il faudrait voter des personnes et pour des idées.

« Si un homme politique a peur d’être désavoué par un vote blanc, il ne mérite pas son mandat ».

Dominique Baud

18/08/2011

Une semaine… et nous saurons

 

Une semaine et nous saurons… ce qui nous attend pour les mois à venir.

Nous les familles, nous les classes moyennes, qui travaillons, qui investissons pour nos enfants afin qu’ils puissent faire les études de leur choix, qui gérons notre budget au plus juste tout en prévoyant notre avenir, nous qui prenons nos responsabilités, jour après jour, afin de ne pas devenir des assistés…

…Nous n’accepterons que des mesures justes et nous voulons la vérité. Nous sommes inquiets et c’est justifié. Aujourd’hui nos économies n’amenuisent au fur et à mesure des décisions prises par ceux qui nous dirigent de et nous nous demandons le sort qui nous sera réservé demain.

Et si nous devons encore faire des efforts, nous exigeons que ceux qui vont les décider pour nous en fassent de même.

Si des mesures d’austérité doivent être prises, n’ayons pas peur des mots, elles doivent être bien réfléchies et elles doivent s’inscrire dans la durée pour être efficaces et rentables. Mais surtout, pas de mesurettes avant les élections présidentielles, pas de clientélisme. Des mesures claires, quantifiées et un réel investissement personnel des décideurs avec explications et engagements.

Nous avons une semaine, avec notre bon sens et notre pragmatisme pour émettre des idées et je ne doute en aucun cas que ces propositions soient plus mauvaises que toutes celles qui nous viennent des cabinets ministériels qui manquent souvent singulièrement de sens pratique et de vue à long terme, comme celles qui ont été prises ces dernières années et sur lesquelles on passe son temps à revenir.

D’ailleurs en ces temps de crise et de surenchère aux économies exigées des français, il serait intéressant, instructif et honnête de nous donner le coût de ces revirements.

Et que personne n’oublie que ce sera la somme des efforts de tous qui amorcera des solutions à la situation économique très grave dans laquelle nous nous trouvons.

Dominique baud