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03/12/2011

G.B.S a dit…

Quelques citations de Sir George Bernard Shaw prix Nobel de littérature en 1925, qui s’inscrivent plutôt bien dans le paysage actuel…

"Les hommes politiques et les couches doivent être changés souvent...et pour les mêmes raisons." 

« L’homme raisonnable s’adapte au monde, l’homme déraisonnable s’obstine à essayer d’adapter le monde à lui-même. Tout progrès dépend donc de l’homme raisonnable».

"J’ai peur que nous ne devions rendre le monde honnête avant de pouvoir dire honnêtement à nos enfants que l’honnêteté est la meilleure politique."

Ce, abstraction faite de ses opinions politiques… quoi que !!!

Dominique Baud

 

18/08/2011

Une semaine… et nous saurons

 

Une semaine et nous saurons… ce qui nous attend pour les mois à venir.

Nous les familles, nous les classes moyennes, qui travaillons, qui investissons pour nos enfants afin qu’ils puissent faire les études de leur choix, qui gérons notre budget au plus juste tout en prévoyant notre avenir, nous qui prenons nos responsabilités, jour après jour, afin de ne pas devenir des assistés…

…Nous n’accepterons que des mesures justes et nous voulons la vérité. Nous sommes inquiets et c’est justifié. Aujourd’hui nos économies n’amenuisent au fur et à mesure des décisions prises par ceux qui nous dirigent de et nous nous demandons le sort qui nous sera réservé demain.

Et si nous devons encore faire des efforts, nous exigeons que ceux qui vont les décider pour nous en fassent de même.

Si des mesures d’austérité doivent être prises, n’ayons pas peur des mots, elles doivent être bien réfléchies et elles doivent s’inscrire dans la durée pour être efficaces et rentables. Mais surtout, pas de mesurettes avant les élections présidentielles, pas de clientélisme. Des mesures claires, quantifiées et un réel investissement personnel des décideurs avec explications et engagements.

Nous avons une semaine, avec notre bon sens et notre pragmatisme pour émettre des idées et je ne doute en aucun cas que ces propositions soient plus mauvaises que toutes celles qui nous viennent des cabinets ministériels qui manquent souvent singulièrement de sens pratique et de vue à long terme, comme celles qui ont été prises ces dernières années et sur lesquelles on passe son temps à revenir.

D’ailleurs en ces temps de crise et de surenchère aux économies exigées des français, il serait intéressant, instructif et honnête de nous donner le coût de ces revirements.

Et que personne n’oublie que ce sera la somme des efforts de tous qui amorcera des solutions à la situation économique très grave dans laquelle nous nous trouvons.

Dominique baud

16/08/2011

Il est juste de se poser des questions.

 

 

C’est un leurre que de vouloir croire encore que les économies de nos pays vont bien, que leurs dirigeants nous disent la vérité, que la crise est responsable de tout et non que ce sont eux qui en sont en grande partie responsables du fait de leur incapacité à prendre les bonnes décisions, à les appliquer et à les faire appliquer, par manque de courage politique, de clairvoyance à long terme, mais par un clientélisme omniprésent.

Car en effet, même s’il est juste de s’interroger sur les méthodes de calcul employées par l'agence Standard & Poor's (S&P) pour abaisser la note de solvabilité des Etats-Unis, et qu’il serait gravissime de constater que l’erreur de 2.000 milliards de dollars dans les projections budgétaires de S&P a, par ricochet, contribué à faire plonger les bourses mondiales pendant plus de 10 jours, cela ne saurait nous aveugler sur les vraies raisons de cette crise…qui dure.

Ce sans omettre de parler des soupçons de délits d’initiés qui de ce fait auraient permis des enrichissements personnels massifs.

Espérons, avec un peu d’optimisme, que cela permettra un minimum de ressaisissement des responsables politiques mondiaux en vue d’arrêter de berner le peuple, qui travaille, souffre au quotidien et s’inquiète pour demain et l’avenir de ses enfants et qui préfèrerait, selon les promesses régulièrement répétées, qu’on lui dise la vérité.

Ils l’ont dit, souvenez-vous…

Nicolas Baverez, économiste et analyste politique, JDD 17/08/2008

A la question : « Que devrait faire le gouvernement? »

"D'abord, dire la vérité aux Français. C'est un manque de compréhension des mécanismes de l'économie mondiale que d'avoir cru que l'Europe échapperait à un choc qui est indissociable de la mondialisation et provoqué par son principal moteur, les Etats-Unis. Dire la vérité, ce n'est pas être un marchand de désespoir, mais préparer la nation à deux années difficiles. Et mobiliser les énergies en montrant l'horizon et en dessinant une stratégie".

« Les Français sont plus intelligents que ne le croient leurs dirigeants. (...) Ils ont déjà modifié leurs pratiques quotidiennes de consommateurs ».

 Ivan Rioufol, journaliste, blog notes, 03/10/2008

« Dire la vérité aux Français» : chiche ! »

… « L'«état de faillite» du pays, admis par François Fillon il y a un an, ne doit rien aux subprimes. Idem pour son chômage, ses déficits, sa dette (1 269,3 milliards d'euros). Les dérives spéculatives, qui vont pénaliser les épargnants, obligent à des règles nouvelles. Mais la promesse de vérité ne peut se contenter d'un acharnement contre le capitalisme financier… »

 

Dominique Baud

05/01/2011

Cela se complique

Eric Woerth serait-il plus un bouc émissaire qu’un coupable?

Protégé par sa fonction ministérielle, on peut penser qu’il s’est tu...

Aujourd’hui, il décide de se défendre, avant d’être confronté, le 13 janvier prochain, à une décision de la Cour de Justice de la république.

Mais, toutes les vérités sont-elles toujours bonnes à dire ? Non. Mais si ce qu’il dit est vrai, alors oui, il doit parler.

Concernant l’affaire de l’hippodrome de Compiègne, il déclare dans une interview au Figaro à paraître ce mercredi 5 janvier qu’il n’a rien à se reprocher dans la vente par l'Etat de ce domaine situé dans l’Oise, à la Société des courses locales. "Ce point a été traité en interne par les administrations et, évidemment, pas par moi. Ce dossier m'a occupé six minutes, peut-être sept", assure-t-il.

"Le 12 mars 2010, c'est Matignon qui a tranché lors d'une réunion interministérielle informelle. Y assistaient les représentants de Bercy et de l'Agriculture. Le cabinet du Premier ministre a arbitré dans le sens de France Domaine (organisme chargé de la vente des biens de l'Etat, ndlr)", détaille-t-il.

Ce dernier semble attendre la vérité sur les deux affaires qui lui ont coûté son poste de ministre. On a envie de le croire. Espérons donc, pour lui et l’honneur de la Politique, que la vérité sera faite.

Dominique Baud

09/06/2009

Campagne et Vérité

Message de Philippe de Villers

Chers amis,

Au cours de cette campagne, Frédéric Nihous et moi avons porté deux messages de vérité : l’instauration d’urgence d’un protectionnisme européen, et l’arrêt immédiat de la négociation sur l’entrée de la Turquie.

Beaucoup d’électeurs qui pensaient comme nous, ont donné leurs voix à l’UMP, croyant aux déclarations du Président Sarkozy qui a affirmé son opposition à l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne, tout en poursuivant l’ouverture de nouveaux chapitres d’adhésion.

De la même façon, beaucoup ont pensé que la préférence communautaire, promise par l’UMP, sera mise en œuvre. Or, elle est interdite par le traité de Lisbonne.

Le traité de Lisbonne sera-t-il interdit pour permettre de tenir cette autre promesse ?

Nous prenons rendez-vous avec les français et nous verrons bien ce qu’il en sera dans les semaines et les mois qui viennent.

Enfin, voir le « lanceur de pavés » de mai 68 devenir un héro de la vie politique française montre que cette page n’est pas refermée, contrairement à ce qui nous avait été promis après la campagne présidentielle de 2007.

Je tiens ici à remercier vivement ceux qui ont participé, chacun à sa mesure, à cette campagne de vérité. Je remercie également, avec tous les candidats tête de liste, à remercier ceux qui sont restés fidèles à leurs convictions et ont fait porter leurs suffrages sur les listes que nous avons présentées dans toute la France.

La vie politique française prend incontestablement un nouveau tournant. Soyez certains que le MPF occupera toute sa place dans ce contexte inattendu.

Comptant sur vous pour relever à nouveau les nombreux défis auxquels la France est confrontée,

Très fidèlement,

Philippe de Villiers
Mouvement Pour la France

C’était hier.

C’était hier.

 

Hier les Français votaient… Du moins, une minorité d’entre eux puisque seulement 40% se sont déplacés.

Les explications entendues depuis plusieurs semaines et encore aujourd’hui, expliqueraient ce désintérêt ou cette manifestation de désaccord ou de colère.

 

« Cela ne sert à rien… On a voté contre la constitution, et on s’est moqué de nous…. », « Cela ne nous intéresse pas… », «  Il n’y a pas eu de campagne, nous n’avons pas de réelle information nous permettant de faire un choix… », « Nous n’avons reçu les enveloppes  du ministère que hier, 24 heures avant le scrutin, c’est une honte… », « Nous n’avons rien reçu… », « Les médias étaient manipulés, on entendait toujours les mêmes… », « Il n’y a pas eu de vrai débat… »

 

Jusqu’au dernier moment, nous étions sur le terrain, seuls, sauf les derniers jours. Nos adversaires avaient trouvé des arguments. Les nôtres.

Non à la Turquie, Oui au protectionnisme Européen.

 

Et bien, comme l’a dit hier Philippe de Villiers, réélu, nous vivons « une déception tranquille ». « Tranquille » car nous avons dit la vérité, même si nous n’avons pas été suffisamment entendus.

Et bien que non élus, nous, candidats sur l’Ile de France, rendrons compte de tout ce qui va se passer dans les semaines qui viennent et de réalité des engagements pris, par ceux qui ont été élus.

 

Et puis, un peu de lucidité. Cette élection est l’échec de la démocratie.

Car 60% d’abstention, c’est une honte.

C’est l’échec de ceux qui nous dirigent, car tout a été fait pour empêcher qu’il y ait une vraie campagne.

Croire que l’on a gagné, lorsqu’on est seulement validé par à peine plus de 10% des Français, c’est un leurre.

 

Et ainsi que je l’avais proposé lors de ma campagne législative, une vraie nouvelle gouvernance, ce serait d’abord de valider le vote blanc et ensuite d’annuler les élections si ce vote blanc comptait plus de 30% de vote et à défaut, d’annuler le scrutin à plus de 30% d’abstention.

 

Dominique BAUD