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09/11/2011

Cherchez la cohérence !!!

Il faudrait accepter le plan d’austérité qui nous a été présenté hier sans broncher et pourtant, il y aurait beaucoup à dire, mais j’y reviendrai.

Il faudrait payer et payer toujours et toujours plus pour aider la Grèce… Alors même qu’on constate aujourd’hui, mais il est un peu tard, que l’argent de Bruxelles, le nôtre, a coulé à flot pendant des années, sans contrôle,  et que bon nombre de grecs ont usé et abusé du système,

Et aujourd’hui, par le rejet d’un amendement, on découvre que la France, en crise, devra continuer payer… en vue de la préadhésion de la Turquie.

En effet, l’amendement proposé par Richard Mallié a été rejeté par l’Assemblée. Un amendement pourtant plein de bon sens, trop sans doute pour être voté. Nous avons vraiment de quoi être très inquiets pour notre avenir devant de telles incohérences.

« Un amendement parlementaire au projet de loi de finances pour 2012 proposait en effet de réduire de 150 M€ le prélèvement sur recettes qui intervient au profit de l'Union européenne afin de geler tout nouveau financement au titre de la pré-adhésion de la Turquie.  Avec le rejet par le Gouvernement de cet amendement, la France versera donc à la Turquie 887 millions d'euros sur sept ans (2007-2013) et près de 150 millions d’euros en 2012.

 http://www.assemblee-nationale.fr/13/amendements/3775/377... 

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/11/et-si-la-...

Dominique Baud

 

 

Il faudrait accepter le plan d’austérité qui nous a été présenté hier sans broncher et pourtant, il y aurait beaucoup à dire, mais j’y reviendrai.

 

Il faudrait payer et payer toujours et toujours plus pour aider la Grèce… Alors même qu’on constate aujourd’hui, mais il est un peu tard, que l’argent de Bruxelles, le nôtre, a coulé à flot pendant des années, sans contrôle,  et que bon nombre de grecs ont usé et abusé du système,

 

Et aujourd’hui, par le rejet d’un amendement, on découvre que la France, en crise, devra continuer payer… en vue de la préadhésion de la Turquie.

 

En effet, l’amendement proposé par Richard Mallié a été rejeté par l’Assemblée. Un amendement pourtant plein de bon sens, trop sans doute pour être voté. Nous avons vraiment de quoi être très inquiets pour notre avenir devant de telles incohérences.

 

 « Un amendement parlementaire au projet de loi de finances pour 2012 proposait en effet de réduire de 150 M€ le prélèvement sur recettes qui intervient au profit de l'Union européenne afin de geler tout nouveau financement au titre de la pré-adhésion de la Turquie.  Avec le rejet par le Gouvernement de cet amendement, la France versera donc à la Turquie 887 millions d'euros sur sept ans (2007-2013) et près de 150 millions d’euros en 2012.

 

 http://www.assemblee-nationale.fr/13/amendements/3775/377... 

 

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/11/et-si-la-...

 

Dominique Baud

 

12/11/2010

UE : la candidature de la Turquie dans l'impasse

turquie_ue640.jpg

Si cela pouvait être vrai…

Turquie : 3% en europe, 97% en Asie…

Et s’il n’y avait que cela !

Les peuples européens ne veulent pas de l’adhésion de la Turquie dans l’Europe. Nos nombreuses divergences, les difficultés que l’Europe a déjà pour « digérer » les adhésions successives expliquent cette opposition.

Mais comme d'habitude depuis quand l'opinion du peuple compterait-elle? On a vu les suites données au résultat du référendum !!!

Je vous laisse apprécier les arguments contenus dans cet article. Mais info ou intox ?

Dominique Baud


UE : la candidature de la Turquie dans l'impasse (10/11//2010 - Par Jean-Jacques Mevel) 

« L'UE renvoie la balle à Ankara: «Il est urgent que la Turquie remplisse ses obligations» et normalise ses relations avec Chypre, sans quoi le processus d'adhésion relancé il y a cinq ans mène tout droit à l'impasse, avertit la Commission européenne dans son rapport annuel sur l'élargissement.

À cinq semaines d'un sommet européen peut-être crucial pour la survie de la candidature, «personne ne peut se satisfaire du rythme actuel de la négociation», disait mardi le commissaire à l'élargissement Stefan Füle. Bruxelles fait porter la responsabilité de l'impasse sur les épaules turques et met en cause l'engagement européen du tandem Gül-Erdogan. Dans cette « phase exigeante, la Turquie doit faire plus d'efforts pour souscrire aux conditions posées», insiste le texte.

Chypre plombe le dossier

C'est une façon de maintenir une façade d'unité, sans se prononcer pour ou contre. L'UE est notoirement divisée sur le ticket européen d'un pays périphérique, musulman et dont l'économie est aussi dynamique que la démographie. Il compte la Grande-Bretagne et la Suède parmi ses soutiens. Les adversaires recrutent en France, en Allemagne, en Autriche et désormais aux Pays-Bas. À l'adhésion, Nicolas Sarkozy et Angela Merkel opposent un «partenariat privilégié», demi-mesure rejetée par Ankara.

La question de Chypre, divisée entre le Sud qui appartient à l'UE et le Nord où stationnent les troupes turques, plombe le dossier depuis 2005. Les Chypriotes grecs exigent de la Turquie qu'elle ouvre ses ports à leurs navires, conformément à la parole donnée. Faute de l'obtenir, ils manient le veto. Bruxelles s'impatiente: «Il n'y a eu aucun progrès vers une normalisation des relations bilatérales», constate le rapport de la commission.

Avec l'opposition de la République de Chypre et de la France, conjuguées à celle de l'UE sur des chapitres ponctuels, la candidature piétine. Seuls 18 des 35 terrains d'accord imposés à la Turquie ont pu être explorés. Techniquement, trois pourraient être encore ouverts. Pour les diplomates, il faudrait un miracle pour échapper à un blocage définitif en 2011 ou 2012. La commission, comme pour mieux souligner ses frustrations, met en avant les convergences sur d'autres fronts. La Turquie s'est embarquée dans «une profonde révision de sa Constitution et se rapproche des normes européennes», estime-t-elle. Réserves récurrentes, elle s'inquiète d'un cadre légal qui «ne garantit pas assez la liberté d'expression». Elle relève aussi des manquements à la liberté religieuse, aux droits des femmes et à ceux des syndicats.

Travailler main dans la main

Au contraire de beaucoup, Bruxelles se garde encore de conclure que la Turquie regarde moins vers l'Europe et davantage vers l'Orient. Le rapport mentionne sans commentaire qu'Ankara s'est dissociée des Européens et de ses alliés de l'Otan, pour voter contre le renforcement des sanctions imposées à l'Iran par le Conseil de sécurité de l'Onu. Le geste a alerté les deux rives de l'Atlantique. La Commission veut croire que l'UE et la Turquie, travaillant main dans la main, «peuvent renforcer la sécurité énergétique, s'atteler au règlement des conflits régionaux et prévenir l'apparition de fossés ethniques et religieux». Le rapport fait le point sur huit autres candidatures à l'UE, officielles ou encore à l'ébauche. Parmi ces dernières, la commission soutient fermement l'Albanie. Mais elle temporise pour la Bosnie, handicapée par l'absence de réformes et le manque de vision de ses dirigeants».

 

25/06/2009

On aura pas eu à attendre longtemps…

Pierre Lellouche, conseiller de Paris, pourtant particulièrement absent lors de la dernière mandature municipale a été candidat à l’investiture à la Mairie de Paris.

Pour le faire patienter, et en sus de ses mandats d’élu municipal de Paris et de député, il a été nommé en mars dernier, représentant spécial de la France pour l'Afghanistan et le Pakistan.

Aujourd’hui, pourtant connu pour son soutien de l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne, il est nommé Secrétaire d’Etat aux Affaires Européennes.

Comment croire celui qui avant le 7 juin déclare être contre l’entrée de la Turquie dans l’union européenne pour récolter plus de voix (et ce malgré les faits qui prouvent pourtant le contraire) et le 23 juin, nomme au secrétariat des affaires Européennes, un ministre qui a toujours été pour?

Le 1er juillet, c’est mercredi. Il sera utile de surveiller de près les 6 mois à venir. La nouvelle présidence de l’union européenne risque de faire déchanter certains.

Dominique BAUD

09/06/2009

Campagne et Vérité

Message de Philippe de Villers

Chers amis,

Au cours de cette campagne, Frédéric Nihous et moi avons porté deux messages de vérité : l’instauration d’urgence d’un protectionnisme européen, et l’arrêt immédiat de la négociation sur l’entrée de la Turquie.

Beaucoup d’électeurs qui pensaient comme nous, ont donné leurs voix à l’UMP, croyant aux déclarations du Président Sarkozy qui a affirmé son opposition à l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne, tout en poursuivant l’ouverture de nouveaux chapitres d’adhésion.

De la même façon, beaucoup ont pensé que la préférence communautaire, promise par l’UMP, sera mise en œuvre. Or, elle est interdite par le traité de Lisbonne.

Le traité de Lisbonne sera-t-il interdit pour permettre de tenir cette autre promesse ?

Nous prenons rendez-vous avec les français et nous verrons bien ce qu’il en sera dans les semaines et les mois qui viennent.

Enfin, voir le « lanceur de pavés » de mai 68 devenir un héro de la vie politique française montre que cette page n’est pas refermée, contrairement à ce qui nous avait été promis après la campagne présidentielle de 2007.

Je tiens ici à remercier vivement ceux qui ont participé, chacun à sa mesure, à cette campagne de vérité. Je remercie également, avec tous les candidats tête de liste, à remercier ceux qui sont restés fidèles à leurs convictions et ont fait porter leurs suffrages sur les listes que nous avons présentées dans toute la France.

La vie politique française prend incontestablement un nouveau tournant. Soyez certains que le MPF occupera toute sa place dans ce contexte inattendu.

Comptant sur vous pour relever à nouveau les nombreux défis auxquels la France est confrontée,

Très fidèlement,

Philippe de Villiers
Mouvement Pour la France

27/05/2009

La Turquie dans l'Union Européenne ? Pour ou Contre ?!

24/05/2009

Les faits vous désavouent….

Aujourd’hui, même les socialistes se sont rendus compte des mensonges de l’UMP.

Sur France Info le 19 mai, Benoît Hamon a interpellé Nicolas SARKOZY en lui demandant « d’assumer l’adhésion de la Turquie » qu’il prépare à Bruxelles. Il lui demande de « Cesser d’avoir un discours pour les Turcs à Paris et un autre pour les Turcs à Bruxelles ». Benoît Hamon a ajouté : « Nicolas Sarkozy a fait de l’entrée de la Turquie dans l’UE un chiffon rouge: il dit en France ‘nous ne voulons pas de la Turquie, je m’y opposerai’, et pourtant sous la présidence française de l’UE, il a ouvert deux chapitres supplémentaires dans les négociations avec la Turquie ».

Depuis que Nicolas Sarkozy a été élu, le nombre de chapitres ouverts de négociation est passé de 2 à 10. Soit 8 de plus. Dont 2 sous la présidence française de l’Union européenne le 19 décembre 2008 : chapitre 4 (libre circulation des capitaux) et chapitre 10 (société de l’information).
On est très loin des promesses du candidat de suspendre les négociations d’adhésion dès son élection, en mai 2007.

La majorité UMP vote chaque année, dans le projet de loi de finances, les crédits dits "de préadhésion" à la Turquie. Celle-ci a touché 2,13 milliards d’euros de 1996 à 2006 et va recevoir 2,26 milliards de 2007 à 2010, soit 564 millions par an dont 96 millions déboursés par la France !

Nicolas Sarkozy ne veut pas que les Français donnent leur avis sur l’entrée de la Turquie.

L’article 88-5 de la Constitution française disposait il y a encore peu : « Tout projet de loi autorisant la ratification d’un traité relatif à l’adhésion d’un Etat à l’Union européenne et aux Communautés européennes est soumis au référendum par le Président de la République. »

Mais le 21 juillet 2008, Nicolas Sarkozy a fait adopter par le Parlement une révision de cet article permettant de faire sauter ce "verrou référendaire". Ainsi pour tout élargissement, la consultation des Français peut être écartée, au profit du Parlement, si ce même Parlement - c’est à dire le pouvoir politique du moment auquel obéit une majorité - le décide.

De plus, au sein du Parti Populaire Européen, les représentants de l’UMP siègent depuis le 28 janvier 2005 aux côtés de l’AKP, le "Parti de la justice et du développement" dirigé par l’actuel premier ministre  turc, Monsieur Erdogan, qui est membre observateur du PPE.

Vous êtes opposé à l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne : un seul choix, le 7 juin, votez LIBERTAS.

Dominique BAUD