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06/09/2013

Pourquoi se priver d’un vote ?

Le récent débat ou plus exactement les affrontements entre la gauche et la droite sur la nécessité ou non d’un vote pour décider ou non d’une intervention en Syrie me semble plus ridiculiser leurs auteurs que les grandir.

Car aujourd’hui, ceux qui réclament un vote, sont les mêmes que ceux hier qui l’aurait considéré comme inutile voire outrageant. Tout dépend de la majorité en place….. Du niveau de maternelle.

Car si la constitution en effet, ne prévoit aucun vote, pourquoi le refuser si ce dernier permet d’obtenir un consensus minimum quant à la décision à prendre. Car en effet, même avec les Etats Unis comme partenaires, et devant l’absence de l’Europe, la décision reste difficile. Personne ne maitrise l’ampleur des représailles possibles.

Et dire que ce Monsieur était, il n’y a pas si longtemps, invité au 1er rang, au défilé du 14 juillet !!!!!

Ne serait-ce pas  une erreur politique que de se priver d’un vote.

Dominique Baud

30/01/2012

Enquête de solvabilité

La commission européenne qui déclare aujourd’hui vouloir renforcer le contrôle des finances publiques grecques arrive un peu tard.

On a distribué de l’argent à flots, sans contrainte, sans surveillance et aujourd’hui, on s’étonne de la situation. C’est bien peu responsable.

S’il est certain qu’une certaine solidarité est nécessaire et qu’aucun pays ne peut vivre seul dans son coin, a besoin des autres et que les autres ont besoin de lui, il n’en demeure pas moins que la situation de crise actuelle  ravive les tensions.

Mais est-ce la solution que de nommer un «commissaire au budget» investi du pouvoir «de veto sur toute décision budgétaire incompatible avec les objectifs», un de ceux-là même qui ont regardé ailleurs pendant des années.

Il faut obliger les dirigeants de la Grèce (et pas seulement eux) à être responsables, à rendre des comptes, à s’imposer une vraie discipline certes en remboursant ses dettes mais aussi et surtout, en s’engageant sur un autre mode de  gouvernance.

Une « mise sous tutelle » aurait l’effet de valider leur irresponsabilité. Il faut au contraire les obliger à être responsables.

Pour autant, il faut sanctionner les irresponsables. Et les irresponsables, ce n’est pas le peuple, ce sont les dirigeants.

Il n’est pas concevable qu’ils acceptent, voire qu’ils sollicitent notre argent, mais en refuse tout contrôle d’usage

Il n’y a pas de raison qu’il n’y ait que les citoyens contribuables qui doivent subir une enquête de solvabilité pour emprunter.

 Il y aurait en Grèce un nombre impressionnant de milliardaires (armateurs, propriétaires immobiliers…), non répertoriés, ne payant aucun impôt... Alors qu’est ce qu’ils attendent…Qu’on exige nous donne les preuves que des démarches ont été entreprises pour les retrouver et les faire payer.

Car sinon, demain, ils seront plus riches que ceux qui auraient largement contribué à ce qu’ils aient des jours meilleurs.

Dominique Baud

 

 

 

06/12/2011

Vous y croyez ?

Après avoir bafoué le non de 54,68% des électeurs français au référendum du 29 mai 2005 » voilà qu’on nous annonce un nouveau traité…

Un nouveau traité décidé en grandes pompes par les dirigeants de deux pays, s’isolant des autres au vu de tous, et pourtant décidant que ce dernier devra être approuvé par 27 (l'ensemble des Etats membres de l'UE) voire au pire 17 (les membres de la zone euro) et ce d’ici mars prochain, refondant et repensant selon eux, l'organisation de l'Europe» sur le modèle d'un fédéralisme intergouvernemental.

Avec une exigence, celle que l'un des leviers de cette discipline, assumée au niveau de chaque État membre, soit l'inscription de la règle d'or dans les tables de la loi des membres de la zone euro:

Et une autre, pour nous Français, celle à «l’idéal» dit-on, si chacun prenait ses responsabilités… de l’adopter avant les présidentielles »…et à défaut au pire, de le faire juste après…

On veut nous convaincre que la France ne retrouvera «la maîtrise de son destin» après le choc de la crise, que par la lutte contre les déficits et la solidarité européenne.

Une façon de dire aux français que les efforts qu’on va leur demander sont le prix à payer pour sauver le modèle social auquel ils tiennent.

Mais qui doit sauver le modèle social ? Serait-ce aux français de payer pour ceux qui nous gouvernent ?

Non. Mais qu’ont attendu ceux qui nous gouvernent pour supprimer les 35h, qu’on attendu ceux qui nous gouvernent pour pourchasser les profiteurs (allocations familiales, sans papiers), qu’attendent encore ceux qui nous gouvernent pour montrer l’exemple en acceptant, au pire, de gagner moins mais toujours au moins plus de 10 fois le SMIC,…, qu’ont-ils attendu pour faire…non pas aujourd’hui, en pleine crise, à 6 mois d’une nouvelle échéance, mais en 2007 ?

Moi, non…Mais je faisais partie de ceux que l’on montrait du doigt en 2005 et bien après, car j’assumais ouvertement mon vote négatif au référendum.

Dominique Baud

 

09/11/2011

Cherchez la cohérence !!!

Il faudrait accepter le plan d’austérité qui nous a été présenté hier sans broncher et pourtant, il y aurait beaucoup à dire, mais j’y reviendrai.

Il faudrait payer et payer toujours et toujours plus pour aider la Grèce… Alors même qu’on constate aujourd’hui, mais il est un peu tard, que l’argent de Bruxelles, le nôtre, a coulé à flot pendant des années, sans contrôle,  et que bon nombre de grecs ont usé et abusé du système,

Et aujourd’hui, par le rejet d’un amendement, on découvre que la France, en crise, devra continuer payer… en vue de la préadhésion de la Turquie.

En effet, l’amendement proposé par Richard Mallié a été rejeté par l’Assemblée. Un amendement pourtant plein de bon sens, trop sans doute pour être voté. Nous avons vraiment de quoi être très inquiets pour notre avenir devant de telles incohérences.

« Un amendement parlementaire au projet de loi de finances pour 2012 proposait en effet de réduire de 150 M€ le prélèvement sur recettes qui intervient au profit de l'Union européenne afin de geler tout nouveau financement au titre de la pré-adhésion de la Turquie.  Avec le rejet par le Gouvernement de cet amendement, la France versera donc à la Turquie 887 millions d'euros sur sept ans (2007-2013) et près de 150 millions d’euros en 2012.

 http://www.assemblee-nationale.fr/13/amendements/3775/377... 

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/11/et-si-la-...

Dominique Baud

 

 

Il faudrait accepter le plan d’austérité qui nous a été présenté hier sans broncher et pourtant, il y aurait beaucoup à dire, mais j’y reviendrai.

 

Il faudrait payer et payer toujours et toujours plus pour aider la Grèce… Alors même qu’on constate aujourd’hui, mais il est un peu tard, que l’argent de Bruxelles, le nôtre, a coulé à flot pendant des années, sans contrôle,  et que bon nombre de grecs ont usé et abusé du système,

 

Et aujourd’hui, par le rejet d’un amendement, on découvre que la France, en crise, devra continuer payer… en vue de la préadhésion de la Turquie.

 

En effet, l’amendement proposé par Richard Mallié a été rejeté par l’Assemblée. Un amendement pourtant plein de bon sens, trop sans doute pour être voté. Nous avons vraiment de quoi être très inquiets pour notre avenir devant de telles incohérences.

 

 « Un amendement parlementaire au projet de loi de finances pour 2012 proposait en effet de réduire de 150 M€ le prélèvement sur recettes qui intervient au profit de l'Union européenne afin de geler tout nouveau financement au titre de la pré-adhésion de la Turquie.  Avec le rejet par le Gouvernement de cet amendement, la France versera donc à la Turquie 887 millions d'euros sur sept ans (2007-2013) et près de 150 millions d’euros en 2012.

 

 http://www.assemblee-nationale.fr/13/amendements/3775/377... 

 

http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2011/11/et-si-la-...

 

Dominique Baud

 

28/10/2011

Scepticisme plus plus…

J’ai toujours eu du mal avec le projet d’Europe tel qu’il nous l’est proposé depuis des années. Perte d’indépendance de notre pays, effilochage de nos valeurs culturelles, diktat de Bruxelles, gaspillage de l’argent public…

Et voilà maintenant que nous allons payer en effaçant plus de la moitié de la dette grecque, alors même que les plus riches en Grèce ont planqué leur millions, n’ont jamais payé d’impôts… Et que beaucoup d’autres ont gagné grâce à l’Europe, pour un poste équivalant, le double voire le triple des salaires en France.

Et après avoir effacé la dette grecque, n’en doutait pas, nos banques… et bien c’est à nous qu’elles refuseront de prêter.

Sauver l’Europe et l’Euro, coûte que coûte, est-ce la solution, je ne le crois pas.

D’ailleurs, je n’y ai jamais crTout cela pour juguler une contagion à d’autres pays de la zone euro..

Je n’y crois malheureusement pas davantage.

Notre propre pays continue à s’enfoncer… Et à aucun moment ses responsables politiques n’ont avoué, ni même pensé y avoir un soupçon de responsabilité. C’est ainsi qu’ils augmentent les impôts et autres taxes ou prélèvements sociaux qui touchent tout le monde mais refusent expressément de réduire leur salaire et avantages de toute nature pourtant conséquents.

Gouverner, c’est Prévoir, Organiser et Sanctionner. Mais au regard de ce qui se passe aujourd’hui, on n’observe rien de tout cela. Tout faire pour garder sa place étant le premier objectif, on se tait, et donc on cautionne jusqu’au jour où c’est trop tard. Alors on s’offusque sauf que plus personne ne vous croit.

L'argent, il a été distribué, dépensé, gaspillé et maintenant, il faut bien que la perte soit répercutée. Mais à quel prix et au détriment de qui ?

Et après Bruxelles, nous découvrons que maintenant les ordres viendront de Pékin !!! Les premières consignes consistant à réserver le meilleur accueil à leurs investissements est déjà arrivé.

Pas de quoi être fier !

Dominique Baud

 

29/08/2010

Communiqué de Presse de Jacques Myard

Décidemment, il a souvent raison ou du moins, je suis régulièrement d’accord avec lui. Mais peut-être néanmoins oublie t-il une chose, c’est que cette situation est la responsabilité de tous ceux qui nous gouvernent depuis des années.

C’est la même chose s’agissant de la nationalité française. Il vaudrait mieux en restreindre l’attribution à ceux qui veulent vraiment  devenir français, avec des preuves et conditions non négociables, voire même une période d’essai, plutôt que de vouloir faire croire qu’on peut l’enlever à celui à qui on l’a donnée quelles qu’en soit les raisons. Car il faut être clair, déchoir quelqu’un de la nationalité qui lui a été attribuée, pas seulement à cause de ses actes mais surtout car, en plus d’être coupable, il est d’origine étrangère est un leurre et une tentative électoraliste bien peu crédible.

Dominique Baud 

 

Communiqué de presse de J. MYARD (19 Août 2010)


   

Le défi des Roms est un réel défi européen en raison de leur non intégration. Toutefois en dépit des cris d’orfraies de certaines associations toujours promptes à accuser les Etats et en l’occurrence les autorités françaises, pour s’intégrer il faut être deux !

Le mode de vie des Roms est la clé du problème et une intégration passe par la modification de ce mode de vie ; l’Europe urbanisée ne peut pas faire face au déplacement permanent de centaines de milliers de personnes, voire de plusieurs millions.

Il ne suffit pas de se donner bonne conscience avec des discours du politiquement correct, il faut avoir le courage de regarder la réalité en face. On est plus au moyen âge et dans les steppes de l’Asie centrale, il faut changer de politique !

Mais au-delà du mode d’intégration la question des Roms pose désormais la question de la liberté de circulation dans l’Union européenne à 27 et demain à 30.

Ce principe absolu n’est plus adapté à la situation et doit être aménagé i.e. restreint pour éviter le choc des cultures, c’est une évidence.

Il est piquant de constater que l’un des premiers à l’avoir demandé, n’est autre que Romano Prodi, ancien Président de la Commission européenne devenu Président du conseil socialiste italien qui, le 3 Novembre 2007 a pris un décret (dit décret Roms)  permettant l’expulsion d’Italie de toute personne citoyenne de l’Union jugée dangereuse ou indésirable et cela par simple décret administratif sans procédure judiciaire !!!

Au lieu de s’offusquer, telle une vierge effarouchée, la Commission européenne devrait mieux y réfléchir avant que ne surviennent d’inévitables affrontements. Cela devra conduire aussi à un réexamen des accords de Schengen.

 

  

  

 

 

 

25/06/2009

On aura pas eu à attendre longtemps…

Pierre Lellouche, conseiller de Paris, pourtant particulièrement absent lors de la dernière mandature municipale a été candidat à l’investiture à la Mairie de Paris.

Pour le faire patienter, et en sus de ses mandats d’élu municipal de Paris et de député, il a été nommé en mars dernier, représentant spécial de la France pour l'Afghanistan et le Pakistan.

Aujourd’hui, pourtant connu pour son soutien de l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne, il est nommé Secrétaire d’Etat aux Affaires Européennes.

Comment croire celui qui avant le 7 juin déclare être contre l’entrée de la Turquie dans l’union européenne pour récolter plus de voix (et ce malgré les faits qui prouvent pourtant le contraire) et le 23 juin, nomme au secrétariat des affaires Européennes, un ministre qui a toujours été pour?

Le 1er juillet, c’est mercredi. Il sera utile de surveiller de près les 6 mois à venir. La nouvelle présidence de l’union européenne risque de faire déchanter certains.

Dominique BAUD

13/05/2009

Réunion Publique de Libertas

Dominique BAUD

N°2 de la liste LIBERTAS en Ile de France
Aux Elections Européennes de 2009


Vous invite à la réunion publique

du 14 mai 2009 à 20h00

En présence

de Philippe de VILLIERS 

et

de Jérôme RIVIERE,
Tête de liste pour l’Ile de France,


A l’Hôtel Mercure
37, place René Clair
92100 Boulogne Billancourt

Pour télécharger le tract de la réunion
cliquer ici.pdf

12/08/2008

Finalement, tout va bien… Mais pas de la même manière pour tout le monde

 

pouvoir d'achat.gifLe Figaro, 11 Août 2008

« Bonne nouvelle pour les couples britanniques, la crise immobilière va consolider leurs ménages. Selon l'étude de l'agence Savills, il existe en effet une corrélation entre la valeur de la pierre et le nombre de divorces. «Quand les prix montent, les propriétaires se sentent plus riches, et nous supposons qu'ils pensent pouvoir plus facilement financer un divorce», explique Lucian Cook, directeur de la recherche de Savills. La baisse actuelle du marché devrait a contrario, pense-t-il, entraîner un ralentissement des séparations. »

Le Parisien, 9 Août 2008

« En juillet, le trafic sur les autoroutes a baissé de 4%, ce qui représente plusieurs millions de véhicules en moins. L’impact économique a donc joué. Moins de carburant vendu, c’est moins de circulation et donc statistiquement, moins d’accident. D’où, des vies sauvées au volant grâce … au prix de l’essence »

Et demain, si les Français perdent en pouvoir d’achat, on lira qu’ainsi, ils achèteront mieux et moins pour se nourrir et que ce sera le remède contre l’obésité.Demain, lorsqu’ils ne pourront plus inscrire leurs enfants dans des clubs sportifs; ce sera une chance… moins d’accident et donc moins de remboursement de santé.

Et puis quoi encore.

Lire ceci sans réagir, c’est accepter que rien ne s’améliore, comme une fatalité.

Le Parisien, 9 Août 2008

« L’Airbus présidentiel emmenant Nicolas SARKOZY et ses invités était trop lourd pour faire d’une traite le voyage jusqu’à Pékin. L’appareil devait se poser une heure à NOVOSSIBIRSK, en Sibérie, pour refaire le plein de kérosène. On a donc dédoublé le vol : une partie des passagers a pris un second avion. Les deux vols peuvent faire l’aller et le retour sans escale. Une heure gagnée dans chaque sens. »

Souvenez-vous...

France 2, 27 mai 2008

« Quand le prix du pétrole augmente, les consommateurs français, qui sont intelligents, diminuent un peu leur consommation de pétrole. » Christine LAGARDE

Libération, 4 novembre 2007

"Mme Lagarde invite les Français à «adopter des comportements et des modes de consommation différents à la fois pour préserver leur pouvoir d'achat et pour préparer l'avenir. Elle suggère ainsi de conduire moins vite, de comparer les prix à la pompe (notamment sur le site prix-carburants.gouv.fr) et d'éviter de prendre sa voiture sur les petits trajets au profit de la marche ou du vélo. Et pour ceux qui n'ont d'autre alternative que la voiture, la ministre propose d'envisager le co-voiturage: Entre collègues ou amis il est peut-être possible de se concerter pour faire la route ensemble. Etre plus rationnel dans son choix de transport, c'est cela se déplacer intelligemment».

Sans autre commentaire.

Dominique BAUD

30/05/2007

Réunion publique à l'hotel Clarisse

Questions et réponses

- Y-a t-il un risque avec la gauche du fait de 3 candidats UMP ? 

Non, avec 18 candidats et 3 issus de l’UMP au 1er tour, plus un candidat UDF-MODEM, parachuté du 19ème, il n’y a aucun risque que qui que se soit passe au 1er tour.

Au 2ème tour, seul le candidat qui sera placé en tête des candidats dits «  de droite », restera au second, les autres soyez-en sûrs se retireront. 

- Prenez-vous l’engagement de me recevoir si vous êtes élue et pas avec un délai de 3 mois ? 

Bien sûr. Une dame m’a fait ce genre de remarque samedi dernier matin, et je l’ai reçue l’après-midi même. C’est ainsi que je fonctionne depuis 6 ans que je suis élue. 

- Un Monsieur parle de son problème de logement et dit avoir écrit plusieurs fois au Maire de l’arrondissement sans avoir eu aucune réponse ni avoir obtenu un RV. 

Le problème du logement est important et difficile à régler. Un élu ne devrait pas refuser de recevoir un habitant. Je connais l’importance de recevoir les gens et de les écouter. 

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