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06/09/2013

Pourquoi se priver d’un vote ?

Le récent débat ou plus exactement les affrontements entre la gauche et la droite sur la nécessité ou non d’un vote pour décider ou non d’une intervention en Syrie me semble plus ridiculiser leurs auteurs que les grandir.

Car aujourd’hui, ceux qui réclament un vote, sont les mêmes que ceux hier qui l’aurait considéré comme inutile voire outrageant. Tout dépend de la majorité en place….. Du niveau de maternelle.

Car si la constitution en effet, ne prévoit aucun vote, pourquoi le refuser si ce dernier permet d’obtenir un consensus minimum quant à la décision à prendre. Car en effet, même avec les Etats Unis comme partenaires, et devant l’absence de l’Europe, la décision reste difficile. Personne ne maitrise l’ampleur des représailles possibles.

Et dire que ce Monsieur était, il n’y a pas si longtemps, invité au 1er rang, au défilé du 14 juillet !!!!!

Ne serait-ce pas  une erreur politique que de se priver d’un vote.

Dominique Baud

03/09/2013

C’est quoi, le plus important ?

L’arme du massacre ou le fait de massacrer des centaines d’enfants et civils innocents ?

Se pose – t - on bien les bonnes questions ? Car armes chimiques ou pas, le meurtre reste le meurtre et est donc tout aussi condamnable.

Mais que chacun se garde de bien de juger trop hâtivement…. Car la décision n’est pas facile à prendre.

Condamner haut et fort est à la portée de tous et personne ne s’en est privé, à droite comme à gauche et à juste titre.

Mais prendre la décision d’intervenir militairement est une autre affaire et la nécessité de comprendre qu’il ne faut pas agir seul devrait être une évidence pour tous.

Car les menaces du président syrien ne peuvent-être prises à la légère. Je fais partie de ceux qui n’ont jamais cru qu’on pouvait lui faire confiance.

Dominique Baud