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11/09/2013

Et une de plus

Une table ronde de plus à Marseille…. Le rythme des règlements de compte et des meurtres gratuits ne réduit pas. Et pourtant, la solution préconisée reste l’organisation d’une table ronde, où d’ailleurs, les mêmes, toujours les mêmes seront réunis.

Pire, autour de la table…il y aura M. Guerini, sénateur et président du conseil général des Bouches-du-Rhône mis en examen et toujours président du conseil général

Quant à la population, elle est entre l’inquiétude, voire la terreur et la fatalité.

Que les truands se tuent entre eux, de vous à moi, je m’en fiche.

Mais que des truands massacrent des innocents relève de la responsabilité de tous ceux qui nous gouvernent tour à tour depuis des dizaines d’années…. Toujours les mêmes…. Il n’y a qu’à regarder depuis combien d’années ils ont en charge le même mandat. On pourrait aussi faire là un peu de ménage.

Quant à nous, électeurs, nous sommes responsables de notre vote et du choix de ceux à qui nous donnons le pouvoir. Et si on peut le leur donner, on peut le leur reprendre. Les élections municipales prochaines seront une bonne occasion de se prononcer.

Et quoi qu’en dise Manuel Vals, si la justice marchait bien, la police fonctionnerait mieux et la population vivrait en plus grande sécurité.

Dominique Baud

03/09/2013

C’est quoi, le plus important ?

L’arme du massacre ou le fait de massacrer des centaines d’enfants et civils innocents ?

Se pose – t - on bien les bonnes questions ? Car armes chimiques ou pas, le meurtre reste le meurtre et est donc tout aussi condamnable.

Mais que chacun se garde de bien de juger trop hâtivement…. Car la décision n’est pas facile à prendre.

Condamner haut et fort est à la portée de tous et personne ne s’en est privé, à droite comme à gauche et à juste titre.

Mais prendre la décision d’intervenir militairement est une autre affaire et la nécessité de comprendre qu’il ne faut pas agir seul devrait être une évidence pour tous.

Car les menaces du président syrien ne peuvent-être prises à la légère. Je fais partie de ceux qui n’ont jamais cru qu’on pouvait lui faire confiance.

Dominique Baud