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29/08/2010

Communiqué de Presse de Jacques Myard

Décidemment, il a souvent raison ou du moins, je suis régulièrement d’accord avec lui. Mais peut-être néanmoins oublie t-il une chose, c’est que cette situation est la responsabilité de tous ceux qui nous gouvernent depuis des années.

C’est la même chose s’agissant de la nationalité française. Il vaudrait mieux en restreindre l’attribution à ceux qui veulent vraiment  devenir français, avec des preuves et conditions non négociables, voire même une période d’essai, plutôt que de vouloir faire croire qu’on peut l’enlever à celui à qui on l’a donnée quelles qu’en soit les raisons. Car il faut être clair, déchoir quelqu’un de la nationalité qui lui a été attribuée, pas seulement à cause de ses actes mais surtout car, en plus d’être coupable, il est d’origine étrangère est un leurre et une tentative électoraliste bien peu crédible.

Dominique Baud 

 

Communiqué de presse de J. MYARD (19 Août 2010)


   

Le défi des Roms est un réel défi européen en raison de leur non intégration. Toutefois en dépit des cris d’orfraies de certaines associations toujours promptes à accuser les Etats et en l’occurrence les autorités françaises, pour s’intégrer il faut être deux !

Le mode de vie des Roms est la clé du problème et une intégration passe par la modification de ce mode de vie ; l’Europe urbanisée ne peut pas faire face au déplacement permanent de centaines de milliers de personnes, voire de plusieurs millions.

Il ne suffit pas de se donner bonne conscience avec des discours du politiquement correct, il faut avoir le courage de regarder la réalité en face. On est plus au moyen âge et dans les steppes de l’Asie centrale, il faut changer de politique !

Mais au-delà du mode d’intégration la question des Roms pose désormais la question de la liberté de circulation dans l’Union européenne à 27 et demain à 30.

Ce principe absolu n’est plus adapté à la situation et doit être aménagé i.e. restreint pour éviter le choc des cultures, c’est une évidence.

Il est piquant de constater que l’un des premiers à l’avoir demandé, n’est autre que Romano Prodi, ancien Président de la Commission européenne devenu Président du conseil socialiste italien qui, le 3 Novembre 2007 a pris un décret (dit décret Roms)  permettant l’expulsion d’Italie de toute personne citoyenne de l’Union jugée dangereuse ou indésirable et cela par simple décret administratif sans procédure judiciaire !!!

Au lieu de s’offusquer, telle une vierge effarouchée, la Commission européenne devrait mieux y réfléchir avant que ne surviennent d’inévitables affrontements. Cela devra conduire aussi à un réexamen des accords de Schengen.

 

  

  

 

 

 

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