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25/07/2009

Une leçon des Européennes...

A partir de septembre, le Président de la République n’aura plus de forfait illimité à la télévision et à la radio.

De même que les membres du gouvernement, les personnalités reconnues et les collaborateurs du chef de l’état.

Le CSA déclare en appeler à la responsabilité des médias…

Quelle naïveté ou hypocrisie de croire que ce sera respecté s’il n’y a pas de sanction.

A suivre… A vos compteurs.

Mais, une question s’impose : quel aurait été le résultat des élections européennes si cette règle avait été imposée et si on avait instauré en France un vrai débat démocratique où chaque candidat aurait pu s’exprimer de façon équitable ?

Dominique BAUD

02/07/2009

Et si c’était vrai….

 

…. Les candidats aux Européennes élus siègeront….

Après un départ prévu en mai, Rachida Dati est finalement restée ministre jusqu’au lendemain des élections européennes.

Punition… Promotion…. Chacun jugera..

Mais après avoir peut-être accepté son sort et déclaré à la presse (Le Parisien) « je serai un député européen de proximité », tout en regrettant «  de ne pas avoir passé un après-midi entier avec sa fille depuis son accouchement… » Voilà qu’on lit qu’elle a des velléités de se présenter aux régionales et qu’elle aurait déjà commencé des négociations avec Valérie Pécresse.

Et si c’était vrai…

Et si demain, élue à la région, elle démissionnait de son mandat d’Elue Européen, continuerez vous à avoir confiance, d’une part en ce qu’on vous dit et d’autre part dans les convictions de ceux que vous avez élus.

Et oui, vous qui avez voté pour l’UMP, mais aussi vous, qui n’avez pas voté, vous avez donné le pouvoir à des gens tellement sincères qu’ils démissionnent sitôt élus.

Le prochain scrutin sera le 9 mars 2010, 1er tour des élections régionales. Pensez-y avant de voter ou de vous abstenir.

« Pour changer les choses, il faut aussi changer les gens »

Dominique BAUD

26/06/2009

Des élus qui siègeront… Il avait promis….C’était le 28 janvier 2009

« Nicolas Sarkozy s’est engagé à ce que les membres du gouvernement élus à Strasbourg, lors des élections européennes du 7 juin prochain, siègent effectivement. « Le président de la République a été très clair là-dessus (…) quand on se présente à une élection, c’est pour siéger dans l’assemblée pour laquelle on a été candidat », a proclamé Luc Chatel, le porte-parole du gouvernement, à l’issue du conseil des ministres d’aujourd’hui. « Aujourd’hui, les électeurs ont du mal à comprendre les allers-retours, les démissions et autres ». Rachida Dati, la ministre de la Justice en disgrâce, est donc prévenue : candidate forcée en seconde place en Île-de-France, elle ne doit pas compter revenir à Paris avant… 2014, soit deux ans après les prochaines présidentielles.

Cette déclaration de Nicolas Sarkozy est étonnante. Lorsqu’en décembre dernier, l’Élysée avait fait connaître sa colère devant le refus de Rama Yade, la secrétaire d’État aux droits de l’homme, de se présenter en Île-de-France, il n’était pas question qu’elle effectue un mandat plein : « elle pouvait rester deux ou trois ans, se faire un carnet d’adresses et revenir », avait-on fait savoir. Le discours s’est donc nettement durci, ce qui n’est pas plus mal. Samedi, le chef de l’État a estimé que la France devait « envoyer les meilleurs au Parlement européen » pour y être influente. »

Nous sommes le 25 juin 2009 :

Brice Hortefeux, élu député européen le 7 juin dernier, vient d’être nommé Ministre de l’Intérieur.Il ne siègera pas à Bruxelles.

Nora Berra, à peine élue au Parlement Européen sur la liste UMP du Sud-Est, est nommée secrétaire d’Etat chargée des Aînés…Elle ne siègera pas non plus.

On ne connaît pas encore la date à laquelle Michel Barnier sera nommé Commissaire Européen et démissionnera donc de son tout récent mandat d’élu Européen.

Pas de quoi s’étonner ensuite que 60% des Français n’aillent plus voter.

Moins de 3 semaines, c’est le temps qu’il a fallu pour les premiers mensonges s’inscrivent dans la réalité.

A suivre….

Dominique BAUD

16/06/2009

L’ami de tout le monde !

Aujourd’hui on en sourit, demain on risque d’en pleurer.

Au soir des élections Européennes, nombreux ceux, qui voulant aller dans le sens du vent, se prétendaient l’ami de Daniel Cohn-Bendit, un proche de Daniel Cohn-Bendit, un futur allié de Daniel Cohn-Bendit…

Mais qui a ainsi voté. Des français qui partagent ses opinions ou des Français frappés par un simple rejet de la politique telle quelle est pratiquée aujourd’hui. Quel qu’il soit, ce vote sera lourd de conséquence pour demain.

Il est clair et mathématique que le résultat de dimanche ne représente que le vote de moins de 8% des français. Mais il est prévisible aussi qu’il sera lourd de conséquences, à un point que ceux qui ont favorisé ainsi ce détournement, s’ils aimaient vraiment la France, devraient s’en mordre les doigts demain.

Alors Dany le Rouge ou Dany le Vert… Faîtes votre choix. Rien que 8 pages sur lui dans le Parisien d’aujourd’hui !

Dominique BAUD

09/06/2009

Campagne et Vérité

Message de Philippe de Villers

Chers amis,

Au cours de cette campagne, Frédéric Nihous et moi avons porté deux messages de vérité : l’instauration d’urgence d’un protectionnisme européen, et l’arrêt immédiat de la négociation sur l’entrée de la Turquie.

Beaucoup d’électeurs qui pensaient comme nous, ont donné leurs voix à l’UMP, croyant aux déclarations du Président Sarkozy qui a affirmé son opposition à l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne, tout en poursuivant l’ouverture de nouveaux chapitres d’adhésion.

De la même façon, beaucoup ont pensé que la préférence communautaire, promise par l’UMP, sera mise en œuvre. Or, elle est interdite par le traité de Lisbonne.

Le traité de Lisbonne sera-t-il interdit pour permettre de tenir cette autre promesse ?

Nous prenons rendez-vous avec les français et nous verrons bien ce qu’il en sera dans les semaines et les mois qui viennent.

Enfin, voir le « lanceur de pavés » de mai 68 devenir un héro de la vie politique française montre que cette page n’est pas refermée, contrairement à ce qui nous avait été promis après la campagne présidentielle de 2007.

Je tiens ici à remercier vivement ceux qui ont participé, chacun à sa mesure, à cette campagne de vérité. Je remercie également, avec tous les candidats tête de liste, à remercier ceux qui sont restés fidèles à leurs convictions et ont fait porter leurs suffrages sur les listes que nous avons présentées dans toute la France.

La vie politique française prend incontestablement un nouveau tournant. Soyez certains que le MPF occupera toute sa place dans ce contexte inattendu.

Comptant sur vous pour relever à nouveau les nombreux défis auxquels la France est confrontée,

Très fidèlement,

Philippe de Villiers
Mouvement Pour la France

C’était hier.

C’était hier.

 

Hier les Français votaient… Du moins, une minorité d’entre eux puisque seulement 40% se sont déplacés.

Les explications entendues depuis plusieurs semaines et encore aujourd’hui, expliqueraient ce désintérêt ou cette manifestation de désaccord ou de colère.

 

« Cela ne sert à rien… On a voté contre la constitution, et on s’est moqué de nous…. », « Cela ne nous intéresse pas… », «  Il n’y a pas eu de campagne, nous n’avons pas de réelle information nous permettant de faire un choix… », « Nous n’avons reçu les enveloppes  du ministère que hier, 24 heures avant le scrutin, c’est une honte… », « Nous n’avons rien reçu… », « Les médias étaient manipulés, on entendait toujours les mêmes… », « Il n’y a pas eu de vrai débat… »

 

Jusqu’au dernier moment, nous étions sur le terrain, seuls, sauf les derniers jours. Nos adversaires avaient trouvé des arguments. Les nôtres.

Non à la Turquie, Oui au protectionnisme Européen.

 

Et bien, comme l’a dit hier Philippe de Villiers, réélu, nous vivons « une déception tranquille ». « Tranquille » car nous avons dit la vérité, même si nous n’avons pas été suffisamment entendus.

Et bien que non élus, nous, candidats sur l’Ile de France, rendrons compte de tout ce qui va se passer dans les semaines qui viennent et de réalité des engagements pris, par ceux qui ont été élus.

 

Et puis, un peu de lucidité. Cette élection est l’échec de la démocratie.

Car 60% d’abstention, c’est une honte.

C’est l’échec de ceux qui nous dirigent, car tout a été fait pour empêcher qu’il y ait une vraie campagne.

Croire que l’on a gagné, lorsqu’on est seulement validé par à peine plus de 10% des Français, c’est un leurre.

 

Et ainsi que je l’avais proposé lors de ma campagne législative, une vraie nouvelle gouvernance, ce serait d’abord de valider le vote blanc et ensuite d’annuler les élections si ce vote blanc comptait plus de 30% de vote et à défaut, d’annuler le scrutin à plus de 30% d’abstention.

 

Dominique BAUD

03/06/2009

Européennes 2009: Entretien avec Dominique Baud

Dominique Baud candidate sur la liste Île de France MPF-CNPT avec Libertas, a pris d un peu de son temps pour répondre aux questions de Medias Libres. Ils restent étrangement rares les candidats de cette campagne à vouloir ainsi jouer le jeu de l’information…..

Medias Libres: Quelle drôle de campagne ! A quelques jours de l’élection du 7 Juin (1 seul tour) L'UMP et le PS ne semblent pas pressé de la faire décoller , et les grands médias nationaux de leur côté n‘insistent pas, comme si cette absence de débat leur convenait. Que cela vous inspire t-il et comment dès lors arrivez-vous à vous faire entendre ?

Dominique Baud : On ne peut hélas que constater un vrai déni de démocratie comme en 2005, lorsqu’on refusait voire interdisait tout débat.

Il est clair que l’UMP et le PS ne veulent pas de campagne. Une campagne permettrait à d’autres, dont nous sommes, de s’exprimer davantage et il apparaît clairement que de permettre aux autres d’avoir la parole semble les inquiéter.

Quant aux grand médias nationaux, ils manient avec une grande dextérité le terme équité qui signifie étrangement pour eux : donner la parole aux « gros » ( télévision, radio, pages entières dans les journaux) … tout en se contentant au titre de l’équité obligatoire de simplement « citer » les autres ….
Heureusement, pour se faire entendre, nous ne manquons pas de détermination. Nous sommes très présents sur le terrain, sur internet et les jeunes multiplient les initiatives et traversent le France avec le bus Libertas. Philippe de Villiers quant à lui, saisit toute occasion qui lui est donnée pour intervenir même à des heures très tardives sur toute radio ou télévision qui le veut bien et il participe à de très nombreuses réunions publiques. Ce matin, par exemple ( Note de la rédaction : il s’agit du Vendredi 29 Mai ) nous manifestions avec lui devant l’assemblée Nationale, à l’occasion de la date anniversaire du non au référendum de 2005, avec pour toile de fond une immense banderole rappelant les 54% du Non.


ML: Tous les partis parlent d'Europe, sans évidement parler de la même Europe. Quelle est votre Europe ? Quel projet porterez-vous au Parlement européen et pour quels enjeux ?

Dominique Baud : Notre Europe est une Europe qui doit respecter les nations et les peuples. Et en conséquence directe, une Europe démocratique, respectant le vote des peuples, et au sein de laquelle les élus ont le pouvoir et le reprennent des mains des commissaires de gouvernement non élus qui décident de plus en plus, au détriment des volontés et nécessités des Nations.
Nous voulons de vrais élus. Des élus qui savent se lever pour dire non à certaines décisions et oui aussi fort pour d’autres. Des élus qui savent prendre leurs responsabilités et peuvent ainsi revenir devant leur peuple, expliquer et assumer au lieu de se planquer derrière des consensus permanents.


ML: Cette campagne européenne semble aussi être l'otage de la crise. Comment la relier-vous à celle-ci et avez-vous des exemples de solutions concrètes pour y remédier ?

Dominique Baud: Pour sortir de la crise, il faut protéger l’Europe du chômage crée par des délocalisations du fait notamment d’un libre échange sans régulation. La concurrence est déloyale entre un pays qui a une protection sociale et un autre non, entre un pays qui a de hauts salaires et d’autres de très bas. Il faut protéger nos emplois avec un juste échange et une préférence communautaire en privilégiant l’achat de produits fabriqués en Europe.

Que pensez-vous d’une directive Européenne qui permet ainsi à une entreprise de licencier trois chauffeurs français coûtant 3.700 euros par mois, contre l’embauche de deux salariés bulgares, qui pour le même travail, et à deux seulement, coûtent chacun seulement 700 euros par mois.

Philippe de Villiers qui avait tiré la sonnette d'alarme à l'occasion du débat référendaire de 2005 sur la Constitution européenne utilisant l'exemple du "plombier polonais" dénonce aujourd'hui "la directive Mac Creevy qui est la nouvelle directive Bolkestein" , et donne l'exemple du "dumping social organisé par la libéralisation du cabotage routier" depuis le 1er mai avec "l'arrivée du routier bulgare".

"La rafale d'arrêts de la Cour de justice européenne appliquant le principe du pays d'origine » menace les 70% des emplois de services, soit plus de 4.000 métiers sont directement concernés ; Il faut réagir nombreux contre ce type de mesures.


ML: Michel Barnier la tête de liste UMP en île de France déclare soudainement être opposé à l’entrée de la Turquie en Europe, alors qu’il s’est inscrit au prochain Forum de Cran Montana qui se déroulera à Bruxelles dès le 24 Juin prochain . Or ce forum portera sur « l'entrée de la Turquie en Europe » et les termes du débat sont orientés tel que suit : "la destinée européenne de la Turquie est une évidence. Le Forum annuel de Crans Montana qui se tiendra à Bruxelles en juin 2009 consacrera une partie importante de son programme au processus d'intégration".
Que vous inspire ce double langage et en quoi la question turque est-elle si importante pour l’avenir de l’Europe ?


Dominique Baud : Ce double langage ne m’inspire que du rejet envers ceux qui l’utilisent, à savoir Michel Barnier et Nicolas Sarkozy.
En supprimant, dans le nouveau texte de la constitution l’obligation d’un référendum pour l’entrée d’un nouveau pays, en niant ainsi le vote négatif de 55% des français en 2005, en ouvrant depuis 2005 10 chapitres sur 35 dans le cadre des négociations d’adhésion, en donnant encore cette année à la Turquie 85 millions d’euros de crédits de pré-adhésion au nom de la France et aux frais des contribuables français, et enfin en acceptant dans son groupe parlementaire européen (PPE) que M. ERDOGAN, l’actuel premier ministre turc siège en qualité d’observateur, on comprend combien leurs déclarations sont mensongères.

LA TURQUIE est un pays dont seulement 3% du territoire est en Europe et 97% en Asie. Avec plus de 70 000 000 d’habitants, il deviendrait ainsi le second plus grand pays européen, et même le premier dans les années à venir.

En effet, le nombre de députés étant proportionnel au nombre d’habitants, la Turquie compterait alors plus de députés européens que la France.
Les arguments d’une nécessité de main d’œuvre supplémentaire ou de démographie ne sauraient suffire à justifier une adhésion. Nous sommes formels, et disons oui à une coopération privilégiée, mais non à une adhésion.


ML: En quoi votre victoire est-elle de votre point de vue primordiale ?

Dominique Baud : Elle l’est d’abord pour l’Europe elle-même, puisque Libertas formera un groupe important qui saura se faire entendre pour défendre une Europe des Nations.
Elle l’est tout autant pour la France, car ce serait un avertissement nécessaire au Président de la République avant qu’il aille plus loin et impose des lois retardées ou revotées du fait des nombreuses contestations voire pétitions qu’elles ont provoquées mais qu’il compte faire passer en force après les élections européennes (loi sur les beaux-parents, hadopi, location d’utérus…).
Seuls de mauvais résultats aux européennes pourront le conduire à un nouveau mode de conduite des affaires de l’état et feront espérer une remise en cause de ses méthodes de gouvernance.

De plus, ce scrutin proportionnel doit être l’occasion de voter pour un vrai choix et non par défaut. Une large représentation de nos listes ne serait que juste au regard des près de 55% de non à la constitution en 2005.



Propos recueillis par Jean Heron sur Média Libres

 

27/05/2009

La Turquie dans l'Union Européenne ? Pour ou Contre ?!

24/05/2009

Les faits vous désavouent….

Aujourd’hui, même les socialistes se sont rendus compte des mensonges de l’UMP.

Sur France Info le 19 mai, Benoît Hamon a interpellé Nicolas SARKOZY en lui demandant « d’assumer l’adhésion de la Turquie » qu’il prépare à Bruxelles. Il lui demande de « Cesser d’avoir un discours pour les Turcs à Paris et un autre pour les Turcs à Bruxelles ». Benoît Hamon a ajouté : « Nicolas Sarkozy a fait de l’entrée de la Turquie dans l’UE un chiffon rouge: il dit en France ‘nous ne voulons pas de la Turquie, je m’y opposerai’, et pourtant sous la présidence française de l’UE, il a ouvert deux chapitres supplémentaires dans les négociations avec la Turquie ».

Depuis que Nicolas Sarkozy a été élu, le nombre de chapitres ouverts de négociation est passé de 2 à 10. Soit 8 de plus. Dont 2 sous la présidence française de l’Union européenne le 19 décembre 2008 : chapitre 4 (libre circulation des capitaux) et chapitre 10 (société de l’information).
On est très loin des promesses du candidat de suspendre les négociations d’adhésion dès son élection, en mai 2007.

La majorité UMP vote chaque année, dans le projet de loi de finances, les crédits dits "de préadhésion" à la Turquie. Celle-ci a touché 2,13 milliards d’euros de 1996 à 2006 et va recevoir 2,26 milliards de 2007 à 2010, soit 564 millions par an dont 96 millions déboursés par la France !

Nicolas Sarkozy ne veut pas que les Français donnent leur avis sur l’entrée de la Turquie.

L’article 88-5 de la Constitution française disposait il y a encore peu : « Tout projet de loi autorisant la ratification d’un traité relatif à l’adhésion d’un Etat à l’Union européenne et aux Communautés européennes est soumis au référendum par le Président de la République. »

Mais le 21 juillet 2008, Nicolas Sarkozy a fait adopter par le Parlement une révision de cet article permettant de faire sauter ce "verrou référendaire". Ainsi pour tout élargissement, la consultation des Français peut être écartée, au profit du Parlement, si ce même Parlement - c’est à dire le pouvoir politique du moment auquel obéit une majorité - le décide.

De plus, au sein du Parti Populaire Européen, les représentants de l’UMP siègent depuis le 28 janvier 2005 aux côtés de l’AKP, le "Parti de la justice et du développement" dirigé par l’actuel premier ministre  turc, Monsieur Erdogan, qui est membre observateur du PPE.

Vous êtes opposé à l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne : un seul choix, le 7 juin, votez LIBERTAS.

Dominique BAUD

23/05/2009

Réunion Publique Noisy le Grand

Réunion Publique Noisy le Grand2.png

11/05/2009

Bernard Kouchner réfléchit….

élections européennes.jpgRappelons en préambule qu’il membre d’un gouvernement UMP… Mais rappelons aussi qu’il est peut-être encore membre du PS.

Le dilemme qui se présente a lui aujourd’hui est de savoir pour qui il va voter le 7 juin.

Il attend de lire les programmes pour se prononcer….

Et Xavier Bertrand de conclure à cette annonce que « c’est un camouflet pour le PS », que Bernard Kouchner, qui ne fait pas partie de l’UMP, n’annonce pas clairement qu’il va voter pour la liste socialiste.

Et pendant ce temps, Claude Allegre, un autre ex ministre socialiste attend son tour. Et, il a même choisit le seul ministère qu’il accepterait !!!

Ministre bénévole, j’espère, car à 72 ans, on est à la retraire.

Dominique BAUD

02/03/2009

Les nouvelles ambitions de Jean PEYRELEVADE

Souvenez-vous, mars 2008, une liste « MODEM » est conduite par Jean PEYREVADE, dans le XVIème arrondissement de Paris.

Elu conseiller d’arrondissement, à priori, brillant par son absence les premiers mois de son mandat, il vient de démissionner. Plutôt que de s’investir, même à ce poste, pour Paris et pour le XVIème arrondissement, ainsi qu’il l’avait promis à ces électeurs, il démissionne.

Un mandat sans nul doute pas assez prestigieux pour lui.

De même qu’il envisagerait de quitter la vice présidence du MODEM, pour un «  rôle davantage à sa mesure », celui de conseiller !!!

Et voilà qu’aujourd’hui, il déclare être disponible, pour être tête de liste aux élections européennes. Il semblerait que François BAYROU ait dit non.

Et dire qu’aurait pu aussi le voir se présenter dans le XVème arrondissement: Modem d’abord, parachuté ensuite…Il était pressenti avant que Gérard d’ABOVILLE ne soit choisi.

Dominique BAUD

25/01/2009

Européennes 2009

Depuis l’annonce officielle du parachutage de Michel BARNIER, tête de liste de l’UMP en Ile de France pour les élections européennes du 7 juin prochain, je m’interroge sur l’attitude des élus UMP du groupe « PARI PARIS » et bien sûr tout particulièrement de celle de Géraldine Poirault-Gauvin, élue du 15ème arrondissement.

 

Permettez-moi de vous rappeler les raisons de mes interrogations bien légitimes avec quelques extraits de leur charte et notamment leurs propos sur LE REFUS DES PARACHUTAGES et LA SELECTION PERTINENTE DES CANDIDATS AUX PROCHAINES ELECTIONS

« …En matière électorale comme dans d’autres, l’improvisation n’est pas de mise ! Une candidature se prépare au long cours, sereinement et avec réalisme. Les Parisiennes et les Parisiens ne se laissent pas impressionnés par l’arrivée en dernière minute de personnalités… Au surplus, le parachutage constitue le ferment le plus sûr de la division de notre camp…Les élections de mars 2008 l’ont amplement démontré : les parachutages représentent le principal terreau de la dissidence…..

….De telles « implantations » doivent toujours rester l’exception. Aussi, le prochain Président de la Fédération UMP de Paris doit-il s'engager à tout parachutage dans l'avenir...

Nous le savons, cet engagement n’est pas aisé, dans la mesure où il supposera ensuite le courage politique de s’opposer à différents « diktats » et de faire la sourde oreille à certains appels téléphoniques émanant, par exemple, de cabinets ministériels…

Mais cet engagement est indispensable pour fortifier les « troupes » de la Fédération, garantir leur cohésion et, au final, préparer les succès futurs… »

 

Mais sans doute  les auteurs  expliqueront-ils que cette charte ne s’applique pas aux élections Européennes lorsqu’on les verra distribuer avec discipline sur le marché, les tracts de la liste officielle.

 

Dominique BAUD