Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

10/07/2011

L’ont-ils vraiment souhaité ?

Annecy 2018 ?

Certains peut-être oui, Chantal Jouanneau, ministre des sports actuel sans doute.

Mais qu’on ne fasse pas de comparaison avec Paris 2012. Car entendre certains responsables de l’époque dirent aujourd’hui qu’ils voulaient que Paris gagne, que Paris organise les jeux olympiques n’est pas vrai. Non, ils ne le voulaient pas. Pas parce que cela aurait été mauvais pour la France ou pour Paris. Non, uniquement parce que, selon eux, cela aurait donné des points au Maire de Paris.

Et bien certes, ce dernier a subi semble t-il fortement le contrecoup de l’échec, mais cela ne l’a pas empêché d’être réélu en 2008 !!!

C’est tout de même inouï, de ne pas pouvoir rester un adversaire politique à Bertrand Delanoë, tout en soutenant un projet parmi d’autres. Cela montre la force de conviction de bon nombre d’élus… pour le rester.

Affirmative je le suis. J’étais au cœur du sujet. Une des très rares voire même peut-être la seule élue de Paris à l’UMP à soutenir ouvertement cette candidature, sans faille et dès le début, sans hypocrisie. « C’est vrai… Toi tu es vraiment pour… » disait-on dans les couloirs de l’hôtel de ville le jour des résultats… Celui où tout le monde avait mis son pin’s !!!

Comme j’ai soutenue, à ma manière, celle d’Annecy pour 2018

Mais il semblerait qu’on ne se soit pas donné les moyens de gagner : manque de cohésion et de stabilité de l’équipe dirigeante, manque de moyens… Car enfin lorsqu’on se lance dans une telle bataille il faut se donner les moyens de gagner. Car, si dépenser 1000 et gagner est une bonne affaire, dépenser en 400 et être convaincu de perdre est irresponsable.

Et qu’on ne nous réponde pas que c’était perdu d’avance, qu’on connaissait déjà le nom du pays gagnant. Car alors, poser sa candidature, relèverait de l’inconscience, voire même de l’indécence quand on connait le montant des sommes dépensées.

Les jeux olympiques valent mieux que cela.

Dominique Baud

L’ont-ils vraiment souhaité ?

 

Annecy 2018 ?

Certains peut-être oui, Chantal Jouanneau, ministre des sports actuel sans doute.

Mais qu’on ne fasse pas de comparaison avec Paris 2012. Car entendre certains responsables de l’époque dirent aujourd’hui qu’ils voulaient que Paris gagne, que Paris organise les jeux olympiques n’est pas vrai. Non, ils ne le voulaient pas. Pas parce que cela aurait été mauvais pour la France ou pour Paris. Non, uniquement parce que, selon eux, cela aurait donné des points au Maire de Paris.

Et bien certes, ce dernier a subi semble t-il fortement le contrecoup de l’échec, mais cela ne l’a pas empêché d’être réélu en 2008 !!!

C’est tout de même inouï, de ne pas pouvoir rester un adversaire politique à Bertrand Delanoë, tout en soutenant un projet parmi d’autres. Cela montre la force de conviction de bon nombre d’élus… pour le rester.

Affirmative je le suis. J’étais au cœur du sujet. Une des très rares voire même peut-être la seule élue de Paris à l’UMP à soutenir ouvertement cette candidature, sans faille et dès le début, sans hypocrisie. « C’est vrai… Toi tu es vraiment pour… » disait-on dans les couloirs de l’hôtel de ville le jour des résultats… Celui où tout le monde avait mis son pin’s !!!

Comme j’ai soutenue, à ma manière, celle d’Annecy pour 2018

Mais il semblerait qu’on ne se soit pas donné les moyens de gagner : manque de cohésion et de stabilité de l’équipe dirigeante, manque de moyens… Car enfin lorsqu’on se lance dans une telle bataille il faut se donner les moyens de gagner. Car, si dépenser 1000 et gagner est une bonne affaire, dépenser en 400 et être convaincu de perdre est irresponsable.

Et qu’on ne nous réponde pas que c’était perdu d’avance, qu’on connaissait déjà le nom du pays gagnant. Car alors, poser sa candidature, relèverait de l’inconscience, voire même de l’indécence quand on connait le montant des sommes dépensées.

Les jeux olympiques valent mieux que cela.

Dominique Baud