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13/10/2011

Comme à Marseille…

 

Récemment, je découvrais, sidérée, de drôles de pratiques à Marseille… Un reportage télévisé sur  un racket organisé de certains individus qui en toute impunité se sont octroyés la propriété  d’un terrain inoccupé  et exigent en retour une rétribution pour permettre aux automobilistes de s’y garer.

Qu’est-ce qui est le pire dans cela, que cela existe ou que cela continue à exister en toute impunité devant des autorités, et que cela soit en sus, validé en quelque sorte par un reportage télévisé.

Et bien ne croyez pas que cela n’existe qu’à Marseille.

L’autre jour, j’avais à faire en banlieue parisienne. Au début, je n’avais pas compris. J’ai voulu me garer dans un parking, à proximité d’un établissement public. Impossible, les voitures semblaient se remplacer mutuellement. J’ai donc tenté ma chance un peu plus loin, même manège. J’ai donc décidé de revenir au premier parking et de me poser en observateur. Pendant 20 mn, j’ai observé un manège surprenant. Des individus, tous étrangers, se gardaient mutuellement des places sur cet espace gratuit. Dès qu’une place se libérait, un homme ou une voiture sortis de nulle part, bloquaient la place pour un « copain ». Manège impressionnant d’efficacité et imparable pour une blanche comme moi. Je parle rarement ainsi, mais la seule blanche à vouloir se garer a du se résigner, au bout d’une heure à chercher, beaucoup plus loin, un parking  payant…

Dominique Baud

Comme à Marseille…

 

Récemment, je découvrais, sidérée, de drôles de pratiques à Marseille… Un reportage télévisé sur  un racket organisé de certains individus qui en toute impunité se sont octroyés la propriété  d’un terrain inoccupé  et exigent en retour une rétribution pour permettre aux automobilistes de s’y garer.

Qu’est-ce qui est le pire dans cela, que cela existe ou que cela continue à exister en toute impunité devant des autorités, et que cela soit en sus, validé en quelque sorte par un reportage télévisé.

Et bien ne croyez pas que cela n’existe qu’à Marseille.

L’autre jour, j’avais à faire en banlieue parisienne. Au début, je n’avais pas compris. J’ai voulu me garer dans un parking, à proximité d’un établissement public. Impossible, les voitures semblaient se remplacer mutuellement. J’ai donc tenté ma chance un peu plus loin, même manège. J’ai donc décidé de revenir au premier parking et de me poser en observateur. Pendant 20 mn, j’ai observé un manège surprenant. Des individus, tous étrangers, se gardaient mutuellement des places sur cet espace gratuit. Dès qu’une place se libérait, un homme ou une voiture sortis de nulle part, bloquaient la place pour un « copain ». Manège impressionnant d’efficacité et imparable pour une blanche comme moi. Je parle rarement ainsi, mais la seule blanche à vouloir se garer a du se résigner, au bout d’une heure à chercher, beaucoup plus loin, un parking  payant…

Dominique Baud