Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

19/01/2007

« La soupe de cochon »

 Une histoire vraie racontée par, MB, un vieil homme plein de sagesse.

Y-aurait-il eu un peu de provocation dans cette affaire, le porc n’en reste pas moins dans notre pays, un denrée alimentaire appréciée de bon nombre d’entre nous, et l’ingrédient principal de nombreux plats de notre cuisine traditionnelle.

C’est ainsi que je laisse à l’appréciation de chacun cette histoire au travers de laquelle il serait opportun de n’y voir que l’expression de bon sens d’un homme généreux.

Dans un village de France, un brave homme élève des porcs. Il en a 1.200.

On lui parle des SDF, et généreusement, il dit ceci:

« J’vas leur offrir3 cochons! des biaux! Des ben gras à lard! On va monter à Paris, et on va chercher eun’ place où qu’on pourra les griller au «barb’cul,» et pis i’ v’indront les manger. Eun’belle cotlette dans la panse,  ça requinque son homme!»

Pauvre naïf ! J’ai eu toutes les peines du monde à lui faire comprendre, que son offre généreuse était celle d’un «sale raciste»

« Ben quoi donc qui veulent? Du veau? Du boeuf? Mais j’’ai point moié. J’faisions du cochon. J’peux point leur donner c’que j’avions point. Ben tant pis, i’s’brosseront. Mais c’est ben c.. tout de même.»

Commentaires

Pfff...
Les gros clichés de la parisienne sur le langage des paysans. Trouvé moi à agriculteur qui éléve 1200 cochons (!) en 2007 et qui parle encore comme ça et on en reparle.

Écrit par : rumicourt | 30/01/2007

Ce qui était intéressant c'était le fond de bonhommie du personnage et comment cette bonne volonté se brise sur le carcan du politiquement correct qui fait le lit du nazislamisme !

Quand au fait que les agricultures -gros ou petits - puissent avoir un accent très marqué, il faut avoir vécu à la campagne pour s'en rendre compte. Est-ce votre cas ?

Écrit par : Le petit curieux | 30/01/2007

Les commentaires sont fermés.