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04/09/2006

Elections présidentielles

medium_DSCF1698.JPGJe partage pleinement l’avis de Nicolas SARKOZY, lorsqu’il déclare le 3 septembre 2006, à l’université d’été des jeunes de l’UMP, que, qui que soit son adversaire principal de la gauche, il ne faudra pas le minimiser et que rien n’est gagné d’avance.

 

C’est pourquoi, je le redis aujourd’hui, si l’on veut gagner, il est primordial que Nicolas SARKOZY soit présent au 2ème tour de l’élection présidentielle.

 

Pour ce faire, une dispersion des voix même pour se faire plaisir et même avec le plus grand respect que j’ai pour la démocratie, serait dangereuse compte tenu du mode de scrutin.

 

J’aimerai aussi comprendre pourquoi le mot « rupture » dérange autant.

Tout le monde, de gauche à droite déclare

- que les choses doivent changer.

- que si les Français ne votent plus, c’est qu’il y a une raison.

- Que ce rejet est dû aux promesses non tenues, aux convictions non affirmées, au manque de courage et de fermeté.

De vrais changements sont nécessaires, il faut le dire, il faudra le faire.

 

Nicolas SARKOZY oublie la langue de bois et c’est pour cela que je soutiens sa candidature et que je voterai pour lui en 2007.

 

Ces propos ne sont pas ringards.

Les mots éducation, responsabilité, travail, civisme, solidarité, confiance, action, mérite, effort, droits mais aussi devoirs, formation, envie, respect, courage ont plus que jamais un  sens.

 

Il a levé, ce vendredi 1er septembre, le voile sur le sujet qui aurait pu freiner mon enthousiasme à le soutenir, en refusant la légalisation tant du mariage des homosexuels que de l’adoption par ces mêmes couples, rappelant qu’un enfant est toujours le fruit d’une relation hétérosexuelle et que notre responsabilité est de le protéger.

 

Il a déclaré souhaiter que s’instaure plus de dialogue dans notre pays.

Alors n’hésitez pas, le programme sera constitué par bon nombre de propositions, alors pourquoi pas une des vôtres.

Aidez-nous, aidons le à construire un projet pour la France de demain et ainsi, aidons le à gagner.

Nous sommes tous partenaires dans ce projet, alors pas d’excuses.

Exprimez-vous si vous voulez être entendus, et qu’ainsi vos propositions ou réserves soient prises en compte.

 

Nous avons besoin de lui pour la France.

Et il sait qu’il a besoin de nous pour gagner.

 

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