Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

17/07/2007

Bruits de couloir...

2007b3ba4c0b678d7137852ba02a6beb.jpgAujourd’hui, 16 juillet 2007, Conseil de Paris.

 

A l’occasion du budget, les tribunes publiques sont pleines….

 

Tant mieux, cela montre l’intérêt pour le fonctionnement de notre municipalité.

 

Et voilà qu’au moment du déjeuner, quittant l’hôtel de ville, je prends l’ascenseur. Deux dames attendent comme moi, mais en faisant des commentaires sur ce qui vient de se passer.

« Et oui, quand le droite est pour, la gauche est contre et c’est toujours comme cela. C’est cela la politique. C’est tous les mêmes. La place doit être bonne pour que même un avocat… veuille faire de la politique. Ce qui les intéresse tous, c’est l’argent et les honneurs. C’est tout. »

 

Voilà exprimée l’image qu’ont de nous les Parisiens, voire l’image qu’ont les Français de la classe politique.

 

Et quelle opinion auraient-elles eu en constatant combien la présence des élus se réduisait dans la journée. Tout le long de l’après-midi nous étions entre 1O et 15 « à droite » et entre 20 et 25 « à gauche »…

 

Difficile de vouloir convaincre que tous les élus ne sont pas les mêmes, qu’ils n’ont pas tous le même comportement, que certains y croient vraiment et ont un véritable esprit altruiste envers leurs concitoyens, que certains travaillent vraiment avec conviction et refusent cette opposition systématique et particulièrement contreproductive.

 

Et après… ils veulent des élus de proximité…

Mais votent pour des étiquettes. Mais en fait, pourquoi en est-on là? Si un élu conteste une décision de son « camp », c’est de la critique. Si on critique, c’est qu’on n’est pas docile. Si on est pas docile, on est vite rejeté.

Comment faire comprendre, même à ses « amis » que la critique constructive est un facteur de crédibilité et surtout un signe d’intelligence et de courage.

 

Dominique BAUD

 

Conseiller de Paris

 

Commentaires

Le député UMP de Paris Bernard Debré a demandé, dans un entretien dans le Parisien, que Françoise de Panafieu, investie par son parti pour défier Bertrand Delanoë aux municipales de 2008, "se retire" pour le laisser mener la liste UMP.
"Pour l'instant, je veux l'investiture. Il faut que Françoise de Panafieu se retire et que l'Elysée pèse en ma faveur", a déclaré le député, élu dans le XVIe arrondissement.
"De toute part, et notamment à l'Elysée, ce qui se dit c'est que Françoise de Panafieu n'a aucune chance", a-t-il dit.
(Avec AFP)

Écrit par : sylvain | 14/08/2007

Ce que confirme Philippe Goujon, président de la fédération UMP de Paris : "On ne va pas changer de candidat au milieu du gué. Bernard Debré est un candidat retardataire. (...) Il y aura assez vite des signes, à haut niveau, du soutien de l'UMP à la candidature de Françoise de Panafieu, la seule légitime parce qu'adoubée par les militants dans le cadre des primaires" de 2006


http://fr.news.yahoo.com/afp/20070814/tpl-municipales-paris-partis-ump-ee974b3_2.html


Donc pour être un candidat légitime de l'UMP, il faut des primaires des militants et non obtenir son investiture par une commission (aussi transparente soit-elle!!!).

Question d'un béotien:

Si un grand nombre pense que notre candidate ne fait pas le poids face au Maire sortant, pourquoi ne pas saisir la commission d'investiture de notre parti ( vous savez celle qui reçoit tous les candidats)pour partir dans ces élections avec une chance de reprendre la Mairie?

Écrit par : sylvain | 17/08/2007

Syvain,
La commission qui reçoit tous les candidats dites-vous…
Ce site est sérieux !
Pas de plaisanterie S.V.P.

Écrit par : Bernadette | 25/08/2007

Le feuilleton de l'été (pas celui de tf1!!!!!).

http://www.matinplus.net/v1/Pages-Matin-Plus/Telechargement.aspx

et télécharger l'édition du 29 août, l'article est en page 4.

Écrit par : sylvain | 30/08/2007

Euros news... 29 Août 2007

Une négociation serait en cours....

Laisser la Mairie de Paris à Bertrand DELANOE et "négocier" en retour la région...

Que cela veut-il dire?
Où est la place du vote des électeurs lorsqu'on entend cela...

Écrit par : eglantine | 04/09/2007

Les commentaires sont fermés.