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11/08/2011

Lu dans la Presse…

 

21 juillet 2011, Le Nouvel Observateur… « La peur du Krach… »

Des extraits

« Les épargnants se ruent sur la valeur refuge et envoient un message au G20 des chefs d’état, présidé par la France et totalement absent des écrans radars ».

« Voilà maintenant plus de dix-huit mois que l’Europe tergiverse face à la crise grecque, incapable d’en venir à bout bien que l’économie de ce petit pays méditerranéen ne représente que 2,5% du PIB de la zone euro ».

Les économistes s’expriment : « Les trois grands blocs économiques sont en même temps à un tournant difficile » Marc Fiorentino, « La crise n’est pas finie…. » Appel à un sursaut politique pour « éviter le krach ultime » de Pierre Larrouturou.

« Aujourd’hui, l’Europe a rendez-vous avec son destin. L’issue ne viendra pas de la finance, mais de la politique », Appel lancé par Gilulio Tremonti, ministre des finances italien, après le vote en urgence d’un plan de rigueur exceptionnel.

Et en conclusion :

« Surendettement, essoufflement, emballement : aucune des trois grandes économies du monde ne peut pour l’heure faire office de locomotive. Une raison supplémentaire pour que l’Europe règle d’urgence ses problèmes. Sans laisser l’Amérique lui donner des leçons sur son propre terrain…. »

De quoi faire réfléchir ceux qui pensaient peut-être que la crise attendrait leur retour de vacances…

N’est-ce pas Fillon, qui, il n’y a pas si longtemps parlait de la faillite de la France (septembre 2007)… Avant qu’on ne lui demande de se taire ?

Dominique Baud

08/08/2011

De quoi surprendre

 

En dehors de François Baroin, il ne semble pas que d’autres ministres soient rentrés sur Paris, malgré la gravité de la crise boursière boursière et économique qui vient de s’abattre sur notre pays, sur l’Europe et le monde d’entier.

Je ne pense pas qu’il n’y ait pas une certaine mobilisation mais tout de même, mois d’Août ou pas, période estivale au pas, et malgré les moyens modernes de communication et d’information qui sont les nôtres aujourd’hui, je suis surprise que ceux qui sont aux responsabilités n’aient pas rejoints leurs bureaux et leurs collaborateurs.

Mais la situation n’est peut-être pas encore assez grave…

Dans un autre registre, souvenez-vous de l’été de la canicule. Ce n’est pourtant pas si loin.

Dominique Baud