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23/08/2007

Viol, réduction de peine et récidive…

Comment expliquer aux parents du petit Enis que le violeur de leur fils jugé apte à sortir de prison, faisait l’objet d’une mesure de surveillance à laquelle il s’est malheureusement soustrait et a agi trop vite pour que la justice réagisse avant le crime.

Fallait-il leur dire que c’était le destin de ce petit garçon !

Que sans doute s’était-il trouvé au mauvais endroit, au mauvais moment… ?

NON, NON et NON.

C’est ce violeur, ce pédophilie récidiviste qui n’aurait pas du se trouver dehors, libre, libre de circuler, libre d’enlever un enfant, libre de lui faire du mal et de lui laisser des cicatrices physiques et morales à vie.

Je crois que beaucoup de Françaises et de Français, de mères et de pères, de grands parents, ne peuvent avoir d’indulgence pour un individu qui commet de tels méfaits, qui recommence en sortant de prison et qui plus est, n’en est pas à sa première récidive.

Alors, Madame DATI, M. SARKOZY, nous comptons sur vous afin que des mesures exemplaires soient prises pour que nous ne voyions plus, à la une des journaux « …. Une petite fille… Un garçon… de 5 ans a disparu… Elle…Il… a été retrouvé(e), a subi des violences sexuelles… Le coupable a été retrouvé… Il sortait juste de prison… Les médecins avaient déclaré qu’il était guéri, ou qu’il ne représentait plus de danger, ou qu’il était surveillé… Et pourtant il a recommencé…Et ce n’est pas la première fois… »

N’oublions pas les victimes et les futures victimes avant de penser aux assassins.

Dominique BAUD

Conseiller de Paris