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13/12/2007

Baud'attitude : Rire ou sourire tout est permis

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Vous trouverez ci-dessous le communiqué de presse relatif à ma démission du Groupe Paris Libre au Conseil de Paris.

Le Groupe est donc dissout.

PS : Et vous avez même le droit de penser que cela pouvait arriver !

Dominique BAUD
Conseiller de Paris
Elue du 15è arrondissement

**********************

Communiqué de Presse
Paris, le 13 décembre 2007


Dominique BAUD démissionne du Groupe Paris Libre


Dominique BAUD, Conseiller de Paris et Elue du 15è arrondissement, vous informe de sa démission du Groupe Paris Libre au Conseil de Paris.

En effet, elle considère que les engagements pris à l’occasion de la constitution de ce groupe au Conseil de Paris ne sont plus respectés, et que son objet est de plus en plus détourné de sa vocation initiale, sans même que ses membres fondateurs y soient associés.
L’ambiguïté des déclarations qu’il fait à la presse, les propos contradictoires qu’il tient en réunion, l’incompétence qu’il attribue à son équipe, confortent Dominique BAUD dans l’idée que René GALY-DEJEAN n’a pas totalement renoncé à conduire, à nouveau, une liste municipale en 2008, et ce, malgré les engagements formels pris en septembre dernier, au cours d’un entretien qu’il lui a accordé.

Dominique BAUD considère, que tous ces agissements ne sont pas conciliables avec ses convictions, la manière dont elle a exercé son mandat depuis sept ans, son souhait de faire vraiment de la politique autrement et encore moins compatible avec la charte qu’elle a co-signée.


Extraits de la charte
- « Nous voulons nous élever au-dessus de tout esprit partisan et raisonner en dehors de ce dogmatisme idéologique qui mine trop souvent les prises de position des appareils politiques parisiens.»
- « La responsabilité, c'est rester maître de son destin, assumer ses devoirs autant que ses droits. Cela suppose d'avoir le courage de dire la vérité aux électeurs… »
- « …une autre manière de concevoir la politique… »
- « Nous sommes convaincus du nécessaire renouvellement des équipes »

Commentaires

Eh bien ! vous en avez mis du temps, Madame, à vous rendre compte que vous aviez mis les pieds dans un marigot !
A partir de maintenant nous allons enfin pouvoir vous soutenir le coeur léger et sans arrières pensées, car je suppose que vous allez décider, à la grande joie des électeurs du XVème, à constituer une liste pour les élections municipales.
NOUS AVONS BESOIN DE VOUS !

Écrit par : Hélène | 14/12/2007

Je vous trouve un peu légère, Hélène, excusez-moi de vous le dire comme ça... mais savez-vous ce qu'il en a coûté jsuque-là à Dominique Baud que vous soutenez et dont vous avez tant besoin ?

Petit rappel :
Son score aux législatives ne lui a pas permis de se faire rembourser ses dépenses de campagne, puisque, je vous le rappelle, elle s'engageait déjà -et en toutes connaissances de cause- en dissidente.

Son score, encore lui, ne lui a pas permis de réintégrer la tête haute son parti ni la crédibilité qu'elle mérite (du moins, je l'imagine) pour espérer rejoindre une liste officielle aux municipales,

Son alliance avec Galy-Dejean sur qui elle tirait -à juste titre- à boulets rouges durant les législatives était une erreur manifeste qui lui a ôté, du moins pour certains de ses "amis"- un reste de crédibilité et de cohérence...

Et vous voudriez qu'aujourd'hui, au lieu de se poser et de réfléchir à cette année mouvementée et aux choix précipités -peut-être- qu'elle a fait, qu'elle se jette à nouveau dans une course à l'échec, à ses frais, avec une équipe qui dit toujours oui sur le papier mais qui, au fil d'une campagne, se défilent jusqu'à disparaître tant la charge est lourde et le résultat bien souvent décevant comparé à l'investissement -comme pour les législatives ?

Non, franchement, j'ignore quelles seront les suites de cette histoire mais je crois qu'il faut arrêter ici les dégâts, réfléchir au pourquoi de l'échec et ne pas écouter les voix toujours enthousiastes tranquillement installées devant un écran d'ordinateur !

Le jour vient de se demander si l'on menait le bon combat, si sa place pour servir les citoyens est bien en politique etc...
Ce n'est qu'un avis personnel, mais il me semble que pour se lancer, il faut de l'argent, des appuis, des amis vraiment engagés, etc. et je ne crois pas qu'en l'état, les conditions soient réunies.

cela dit, je dis ça sans tout savoir de ce qui se passe en coulisses mais vue de la surface, bien au chaud à éplucher les blogs et sites, ça ne sent pas bon et il vaudrait mieux arrêter là.
IL ne s'agit pas de capituler mais de s'organiser, de panser ses blessures, de s'armer à nouveau pour une autre lutte. Plus tard.

Mais je ne suis que "conseilleur" et comme on dit "les conseilleurs ne sont pas les payeurs".

Bien à toi, Dominique.

SH

Écrit par : lbs | 14/12/2007

Cher lbs,

Légère, sans doute, mais fidèle, moi ...

Écrit par : Hélène | 14/12/2007

moi aussi, je suis fidèle et je crois, plus raisonnable avec le recul.

J'ai, lors des législatives, soutenu DB et lui suis restée fidèle jusque dans les urnes. Ce qui n'est pas forcément le cas de tous ceux qui l'ont "soutenue" verbalement à l'époque.

Le combat municipal est autre chose. Soutenir DB AVEC Galy-Dejean quand tout le long de la campagne des législatives, j'ai entendu des arguments et des faits (certains que j'ai trouvé graves de mon point de vue de novice en politique) contre lui jusqu'à être convaincue que cet homme n'avait plus sa place sur la scène politique municipale, ne pouvait, en toute logique, que m'éloigner. Là aussi, je suis restée fidèle à une conviction en refusant d'en changer pour des raisons peu fiables à mon sens.

Que Dominique ait choisi de "s'acoquiner" avec le maire du 15ème et d'autres pour obtenir un temps de parole au conseil de Paris, je peux comprendre (le Président lui-même ne doute de rien lorsqu'il s'agit de faire des accords douteux pour ce qu'il croit être son intérêt) mais de là à moi-même virer de bord et soutenir une campagne municipale avec deux ennemis d'hier réunis, il était évident que ça n'avait aucun sens. Ce qui arrive aujourd'hui, je l'avais pressenti sans trop de difficulté (je l'avais dit sur le blog de JY Pinet).

D'ailleurs, vous même parlez "de coeur léger et sans arrières-pensées". Or, pour moi, dès lors qu'il y a des arrières-pensées, il n'y a qu'un demi-soutien et dans un combat sans certitude et paix de l'esprit, il y a échec.

Ce n'est pas ma conception de la politique que de faire les choses à demi ou de faire des compromis sur des convictions aguerries, mais, je suppose que la politique corrompt à force de la fréquenter... c'est humain. Je crois qu'il faut savoir prendre du recul.
Je dirais même qu'accepter l'échec est une forme de victoire.

A part ça, je ne perds pas de vue les qualités évidentes de DB que j'ai pu constater lors des législatives et si je ne partage pas ses combats à venir qui me semblent perdus d'avance (du moins, les municipales du 15ème), il n'en reste pas moins que je ne partage ceux de personne d'autres contre elle.

Écrit par : lbs | 14/12/2007

Chassez le naturel, il revient au galop.
Encore un promesse que Réné Galy Dejean semble pas pouvoir tenir...

http://www.orange.fr/bin/frame.cgi?u=http%3A//paris.ville.orange.fr/direct/index.html%3Fdirect/listeactu/071213183307.j07s7zdb

Il semble bien reparti pour conduire une liste en mars 2008.
La création de cette association en est la preuve. Que les autre a arrondissement fassent attention. Et que les electeurs le sachent.

Il serait temps de tourner la page M. le Maire.

@ Mme Baud c'était tout à votre honneur d'avoir cru en la bonne foi de Réné Galy Dejean, et tout aussi courageux de reconnaître vous être trompée.
Le mot "conviction" prend un sens concret grâce à vous !

Paul VII

Écrit par : Paul VII | 14/12/2007

Voyez-vous, cher lbs, ce que je déteste le plus ce sont ceux qui s'écoutent parler ou se regardent écrire en "donnant" en permanence dans le verbiage, et.... les donneurs de leçons ! Ah ! les donneurs de leçons ! .....

Par contre, j'apprécie beaucoup les gens qui se contentent de ne parler que de choses qu'ils connaissent ! ....Mais vous dites être novice en politique, alors....

Écrit par : Hélène | 14/12/2007

Hélène,

il semble que vous aussi, vous soyez douée pour le verbiage, du moins, vous essayez, comme tous les gens qui n'aiment pas être les derniers à parler.

A chacun sa force, souvent une faiblesse d'ailleurs si j'en juge le courrier -très très long- que je viens de recevoir et dont je viens tout juste de prendre connaissance... je me demande ce que vous pensez de Dominique Baud, vous qui détestez les gens qui font dans le verbiage... je doute que vous lui soyez de bons conseils finalement... mais il est vrai, et là je parle en connaissance de cause, que de fidèles amies ne sont pas tenues d'être aussi de bons conseils : ils peuvent juste écouter... vous devriez essayer.

Écrit par : lbs | 14/12/2007

correction :"comme tous les gens qui n'aiment pas NE PAS être les derniers à parler" ou en d'autres termes "qui aiment avoir le dernier mot".

une malheureuse coquille qui change le sens de mon propos...

eh oui ! pas simple quand on passe plus de temps à réfléchir sur le fond qu'à se regarder écrire, n'est-ce pas !

Écrit par : lbs | 14/12/2007

Les jeux ne sont pas faits. les Municipales de 2008 seront très ouvertes. Deux ou trois listes à droite, une ou deux listes au centre et au minimum deux listes socialistes. Pour ces derniers, les nuages arrivent. La liste d'Anne Idalgo va trouver sur son chemin celle d'une liste dissidente regroupant des Ségolénistes déçus, alliés pour l'occasion avec la Gauche Moderne et le Monde Moderne de Bernard Kouchner.

A lire le blog de Ségolène et les sites des sections PS parisiennes, la révolte gronde au PS. Les Ségolènistes ont l'air de se sentir à nouveau cocus alors qu'ils ont fait le gros du boulot en 2007.

Pour ma part, je verrais bien Dominique monter une liste avec le MODEM, CAP 21, les Ségolénistes, les Kouchnériens et Bockeliens. Elle aurait une fière allure. Ce serait une solution pour mutualiser les dépenses et d'illustrer l'ouverture de Nicolas Sarkozy.

Une liste de rupture et de consensus.

Les Législatives ont secrèté une droite et une gauche à l'ancienne. Il es temps d'entrer dans le XXIème siècle avec les Municipales de 2008.

Dominique a eu raison de reprendre sa liberté et de sortir d'un Paris qui n'était pas vraiment libre !
@+

Écrit par : firmin | 14/12/2007

Firmin,

Le Modem avait été une de mes suggestions, fut un temps. Mais maintenant, est-ce encore temps ? Cela ne ferait-il pas choix par défaut, choix de dernière minute faute de mieux ?

et puis, je crois que Dominique Baud n'était pas disposée à s'allier avec le Modem au lendemain de sa défaite, a-t-elle changé sur ce point ?

et le Modem étant, selon moi, très fermé, ou très calculateur sa position l'obligeant à des choix aussi pertinents qu'ils sont limités ! Dominique Baud lui semblerait-elle pertinente ?

Comme vous, j'ai mes idées, mes réflexions, mes questions et j'observe... oui, elle a eu raison de se rendre libre...

Écrit par : lbs | 14/12/2007

J'y comprends plus rien !!

Qu'est-ce qui vous a permis d'accepter début octobre de contribuer à la création d'un groupe politique avec Réné Galydejean et qu'a-t-il fait ou pas fait pour que vous décidiez de démissionner de ce groupe à peine plus de 2 mois plus tard ?

Néo

Écrit par : Néophyte | 18/12/2007

Vous avez raison Neophyte, je pense que tout cela mérite des explications.

J'ai sans doute été trop naïve ayant cru à la bonne foi du Maire du 15è lorsque je l'ai rencontré fin septembre dernier. Nous avons tous collaboré au texte d'une charte que nous avons signée. De plus il m'était apparu sincère quand il m'a déclaré ne pas vouloir se représenter aux prochaines municipales.

Et voilà qu'une fois le groupe crée, il l'a petit à petit détourné de sa vocation voulant en fait devenir "Le chef de file" des listes dissidentes sur Paris. C'est ainsi que, entre ses déclarations à la presse qui manquaient de clarté, son refus que nous déterminions la tête de notre liste, les contacts confidentiels pris dans d'autres arrondissements, les réunions prévues et annulées sans prévenir, mais aussi sa volonté de trouver quelqu'un à parachuter dans notre arrondissement (que ceux qui sont contre le parachutage soient vigilants) sont quelques exemples des raisons pour lesquelles je considère avoir été trahie.

La création d'un groupe politique permet notamment d'avoir des temps de parole au Conseil de Paris.
Que ce groupe puisse devenir aussi un élément moteur pour d'autres pourquoi pas; mais cela doit se faire avec l'accord de l'ensemble de ses membres, et pas dans leur dos.
Les méthodes employées se sont révélées en contradiction totale avec la charte signée et la volonté que j'ai de faire de la politique vraiment autrement.

Enfin, lors d'un récent entretien, il me confirme les termes de son livre. Il m'a "sorti du néant". Oui j'étais dans le néant puisque je n'étais pas élue.
Quel respect pour les électeurs qui lui ont donné leurs voix pendant des années : s'ils savaient que, pour lui, il sont tous dans le néant.

Dominique BAUD
Conseiller de Paris

Écrit par : Dominique BAUD | 18/12/2007

Et avec ça vous allez comprendre encore mieux. Je fais toujours parti de son comité de soutien.

******
"Pourquoi je quitte le Groupe PARIS LIBRE au Conseil de Paris" par Dominique BAUD

Lorsque j’ai accepté, fin septembre dernier de participer à la création du Groupe Paris Libre, je croyais sincèrement que les engagements pris par chacun allaient être respectés : un dialogue, du respect mutuel, une charte…
Au fil des semaines j’ai compris avec regret, que rien n’avait vraiment changé.

Ainsi que cela a été relaté dans la presse et sur internet, une réunion s’est tenue le 29 novembre dernier dans le 10ème, réunion dont j’ai appris l’existence de façon fortuite et à laquelle j’ai été conviée par les militants de l’arrondissement.

Alexandre GALDIN, représentant du Groupe « Paris Libre » propose d’emblée un communiqué de presse à envoyer avant 20 heures. Il est 19h30 !
Ce communiqué, qu’il lit, explique que des militants et cadres de l’UMP se sont réunis ce soir là et ont décidé de présenter des listes dissidentes contre les pratiques de l’UMP, particulièrement celles du parachutage, et qu’elles se présenteront sous le « parrainage du Groupe Paris Libre ». Non informée, je découvre cette déclaration avec surprise et consternation.

J’explique à mon tour qu’il faut distinguer « Paris Libre », groupe Politique récemment crée au Conseil de Paris, de la campagne municipale. Puis, je dis pourquoi et comment j’ai accepté de co-fonder ce groupe.
Je raconte ma conversation avec René GALY-DEJEAN, point essentiel de mon accord, lors de notre rendez vous, fin septembre dernier. Sa position était claire et sans ambiguïté: « J’étais déjà trop vieux en 2007, je serai encore plus vieux en 2008, je ne serai pas candidat aux prochaines municipales. Je ne serai peut-être pas sur la liste, ou peut-être en dernière position. Mais si vous et d’autres êtes capables de conduire une liste, je vous aiderai. »
Je m’étonne de cette déclaration de parrainage, de sa pertinence, d’autant plus que je n’ai pas été consultée préalablement.
Le communiqué sera modifié devant mon désaccord formel, soutenue en ce sens par la majorité de l’assistance.
Que ce serait-il passé si je n’avais pas été présente ?

De toute évidence, je ne peux laisser passer ces méthodes que je désapprouve, et qui se répètent, contraires à la charte de notre Groupe Politique, et veux en parler avec René GALY-DEJEAN.

Lors d’un rendez-vous fixé ce lundi 3 décembre au matin, je lui exprime mon désaccord sur les méthodes employées, bien loin des promesses et engagements d’il y a à peine deux mois.
S’agissant des élections municipales, je redis que rien ne sera possible si personne ne coordonne les actions et décisions. C’est le rôle de la tête de liste. Et je suis candidate.

René GALY-DEJEAN me redit qu’il met tout en place pour ne plus être candidat. Pour autant, il reconnaît qu’il refuse toute désignation de la tête de liste avant janvier. Mais, si les 15 derniers jours, il lui apparaissait qu’il soit nécessaire qu’il en prenne la tête, il le ferait. Propos déjà tenus en public et même relatés par la presse.

Je confirme mon désaccord à cette éventualité.
J’ajoute qu’elle me pousse encore plus à être candidate pour ce poste, car je serai certainement la seule à refuser de lui céder la place à la dernière minute.
L’ambiguïté qu’il entretient de pouvoir être tête de liste ne saurait perdurer.

J’aborde ensuite la question de la réunion du 10ème arrondissement.
Il ne serait d’accord ni avec le mot parrainage, ni avec le mot soutien…
En fait, ce qu’il n’accepte pas, c’est que lorsque je ne suis pas d’accord je le dise.
J’aurai trouvé plus utile, efficace et logique de rassembler des gens, de mettre des idées en commun, de recenser les arrondissements et ensuite de trouver un « label », afin de nous identifier.
Je trouve que là, on a fait les choses à l’envers.

S’agissant des municipales dans le 15ème arrondissement, il considère que personne autour de lui ne serait capable de conduire une liste, que nous ferions moins de 5%, et que dans ce cas, il ne nous apporterait pas son soutien.
Je lui dis au contraire, qu’avec son soutien, tout serait possible.
Je lui fais alors la proposition suivante : si lors de notre réunion prévue, demain mardi, nous nous mettons d’accord sur les 5 premiers de la liste dans l’ordre, nous soutiendrait-il ? NON. Il ne soutiendra personne avant de discuter avec le MODEM et ne pas veut pas aller plus loin avant janvier.

Il me cite même le nom d’une personnalité du MODEM pressentie à Marseille et qu’il « rêve » de voir en tête de liste dans le 15ème, chez nous.
Je ne peux être d’accord car j’ai toujours été contre les parachutages, méthodes que nous dénonçons d’ailleurs dans notre charte et avec nos amis du 10ème arrondissement !
Lorsque je signe une charte et que je la publie, c’est pour la respecter.

Ainsi, il soutient des gens et des projets qu’il ne connaît pas dans le 10ème et dans le 20ème, mais il refuse la même chose dans le 15ème à ceux qu’il connaît et avec qui il travaille.

Je suis choquée par le peu de considération qu’il a pour les élus qui le soutiennent, et je lui demande pourquoi et comment il accepte d’être entouré de gens aussi nuls.

Je lui rappelle aussi les termes de son livre « Il m’aurait sortie du néant… ».
Et bien il confirme. C’est vrai, j’étais dans le néant puisque j’étais une citoyenne lambda. Il m’a donc sortie du néant. Il confirme… Quel mépris finalement, pour moi bien sûr mais aussi pour tous les électeurs.

Je comprends qu’il ne prendra aucune position claire vis-à-vis de nous avant janvier, qu’il a sa méthode et que pour avoir son soutien il faut s’y plier.. « Sans lui, nous ne sommes rien. »

La réunion initialement prévue mardi, le lendemain de ce rendez-vous, n’aura pas lieu. Je n’ai même pas été informée de son annulation…

L’ambiguïté de ses déclarations à la presse, les contradictions de ses propos en réunion, l’incompétence qu’il nous attribue… me confortent dans l’idée qu’il n’a pas totalement renoncé à conduire à nouveau une liste en 2008.
Sa démarche, telle qu’elle s’exprime depuis deux mois, s’éloigne de plus en plus de notre charte et de mon engagement."

A une autre fois pour la suite

Écrit par : Paul VII | 18/12/2007

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