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26/09/2012

Un Jean-François peut en cacher un autre

Celui qui a présidé le groupe UMP du Conseil de Paris depuis mars 2008 a jeté l’éponge. Version officielle, il est las des disputes au sein du groupe, des critiques, des coups bas…. Mais ne serait-ce plutôt par peur de ne pas être réélu….

Car en fait cette élection représentait un risque pour celui qui est devenu député sans en prendre aucun, puisque parachuté… et qui plus est, là où il pouvait être élu sans effort plutôt que de faire preuve d’un peu de sportivité en mettant sa « réputation » au service de la reconquête d’une circonscription de gauche 

Car aujourd’hui, les langues se délient. Celui qui paraissait être hier un gentil… est découvert.

Jean-François Legaret va donc le remplacer. Une personnalité au Conseil de Paris dont personne ne pourra contester sa présence, sa disponibilité, sa bonne connaissance des dossiers et notamment du budget de la ville et sa capacité à s’opposer avec compétence au Maire de Paris.

Et même si rien n’est jamais parfait….

Dominique Baud

05/06/2012

Agir en faveur des Familles

 législatives 2012,programme,famille,mode de garde,education,budget,scolarité,paris 15,dominique baud,pld,france écologie,alliance centristeQui peut nier que l’équilibre d’une famille se trouve notamment dans la liberté de pouvoir faire des choix et ainsi organiser sa vie en conséquence.

C’est ainsi qu’en matière de petite enfance, il est primordial d’innover, de proposer et d’élargir une réelle offre de choix sur tout le territoire, avec un souci de souplesse, de qualité et de sécurité, en parallèle à une adaptation du temps de travail choisi en réel partenariat avec l’entreprise.

 

Qui ne s’interroge pas sur le système scolaire, son efficacité, son adaptation aux élèves, ses résultats. Il est nécessaire de promouvoir le rôle du chef d’établissement, de lui donner plus d’autonomie, une plus grande liberté de gestion, adaptée à son environnement, pour empêcher tout nivellement et encourager l’effort, le progrès et la reconnaissance.

Il est nécessaire de comprendre enfin que l’égalité des chances ce n’est pas donner la même chose à chacun, mais donner à chacun, les moyens d’arriver à l’objectif qu’il s’est fixé ou de l’aider à trouver son chemin.

 

Qui ne rêve pas au retour d’enseignements fondamentaux, à l’adaptation réfléchie et durable des rythmes scolaires, à la prévention de toutes les formes de violence sans exclusion, à savoir, celle de certains jeunes comme celle de certains adultes.

Qui n’a pas objectivement conscience de la nécessité de passerelles automatiques entre le public et le privé et l’importance d’assurer le libre choix, par l’instauration pour chaque enfant, d’un budget d’éducation identique.

Qui n’a pas compris que la confiance en l’avenir doit gagner nos jeunes pour qu’ils se donnent les moyens de réussir avec une formation variée et adaptée, une recherche d’emploi productive à tous niveaux bien au-delà des multiples stages imposés, proposés qui sont souvent un leurre en terme de reconnaissance face à l’investissement de ceux qui veulent réussir.

Un pays qui gagne est un pays tourné vers sa jeunesse et qui n’oublie pas ses anciens.

Dominique BAUD

18/08/2011

Il serait temps de faire le point sans démagogie

 

 

Bien sûr que la rentrée scolaire coûte cher, mais il serait intéressant de compléter les informations données, des listes d’achats renouvelées par certaines familles tous les ans. Car en effet, si on compte chaque année un cartable, un compas, une trousse, des ciseaux….pour chaque enfant, ou autre matériel qui est censé pouvoir être utilisé plusieurs années, la note peut-être indéfiniment multipliée.

Et au milieu des plaintes, on pourrait aussi rappeler qu’en France, l’école publique est gratuite.

Et qu’on ne me dise pas que les articles « bon marché », sont tous de mauvaise qualité. Il y a des normes de qualité, c’est à cela qu’il faut se tenir et non à la marque. Et si vous arrêtez d’acheter… les fournisseurs s’adapteront.

Car, avec une allocation de 300€ en moyenne pour les scolaires de 6 à 18 ans, il y a tout de même de quoi acheter bien au-delà que le strict matériel scolaire, objet de cette allocation.

Il serait de fait plus que temps de s’interroger sur la véritable utilisation de l’allocation de rentrée scolaire auprès des nombreuses familles qui la reçoivent tous les ans et continuent malgré tout tous les ans, à se plaindre.

On ferait mieux, et je me suis déjà exprimée sur ce sujet depuis des années, de donner des bons d’achat qui ne seraient utilisables QUE dans les rayons de fourniture scolaires.

Ou mieux encore l'état ferait mieux de négocier des prix de gros avec les fournisseurs et fournir directement les fournitures aux familles, et notamment un agenda qui serait commun à tous.

Quant à l’éducation qui relève de notre rôle, nous les parents, c’est aussi apprendre à nos enfants à respecter le matériel.

Faîtes comme moi, que vous touchiez ou non une allocation, donnez un budget « raisonnable» à votre enfant pour financer ses fournitures scolaires, aidez-le dans ses achats, vérifiez la qualité de ce qu’il choisit et laissez lui le solde. Il saura gérer son budget. Un bon apprentissage pour demain, une attitude responsable de part et d’autre et d’une année sur l’autre.

Les familles qui touchent cette allocation sont bien sûr sélectionnées du fait de leurs faibles ressources. Mais attention à ce que ce ne soient pas toujours les mêmes qui touchent les allocations sous toutes les formes possibles. Car n’oubliez pas qu’à « revenu » égal, celui qui touche un salaire en travaillant paie des impôts tandis que celui qui ne travaille pas et touche des allocations qui s’empilent, ne paie aucun impôt.

Dominique Baud