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17/01/2014

Ils n'ont pas changé, mais il faut les changer

Les mandatures se terminent, les campagnes commencent et les injures se renouvellent.

Ils vieillissent mais ne prennent pas de la hauteur.

Les mandatures se terminent sans que chacun des participants ne présente son bilan pour juger s'il est  légitime à se représenter. Le bilan de compétence annuel qui est "imposé" à chaque salarié dans une entreprise n'existe pas en politique même au bout de 6 ans de mandat.

C'est ainsi que n'ayant "pas démérité" à défaut d'avoir été efficace, on les reconduit presque tous et qu'ainsi le paysage politique ne change jamais.

Vous avez compris que je parlais des partis politiques (des "gros") du moins et de leur non moins opaque commission d'investiture.

Les campagnes commencent et les injures suivent, car devant autant d'intransigeance, les "dissidences "s'organisent et sont de plus en plus nombreuses.

D'aucuns parlent aujourd'hui avec beaucoup de mépris des équipes de "bras cassés et de quota Cotorep" qui entoureraient Charles Beigbeder... C'est une honte.

Hier..., ceux qui sont aujourd'hui élus dans mon arrondissement traitaient mes équipes de "papous" et de" faire campagne dans les caniveaux".

Quand je vous dis qu'ils n'ont pas changé, mais qu'il faut les changer.

Car ne vous y trompez-moi, pour gagner ils seront prêts à tout, leurs injures sont là pour déstabiliser l'adversaire car ils ont peur, et quand ils ont peur, ils considèrent que tous les coups sont permis y compris de tricher le jour de l'élection. Qu'on se le dise....

Dominique BAUD