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17/01/2014

Ils n'ont pas changé, mais il faut les changer

Les mandatures se terminent, les campagnes commencent et les injures se renouvellent.

Ils vieillissent mais ne prennent pas de la hauteur.

Les mandatures se terminent sans que chacun des participants ne présente son bilan pour juger s'il est  légitime à se représenter. Le bilan de compétence annuel qui est "imposé" à chaque salarié dans une entreprise n'existe pas en politique même au bout de 6 ans de mandat.

C'est ainsi que n'ayant "pas démérité" à défaut d'avoir été efficace, on les reconduit presque tous et qu'ainsi le paysage politique ne change jamais.

Vous avez compris que je parlais des partis politiques (des "gros") du moins et de leur non moins opaque commission d'investiture.

Les campagnes commencent et les injures suivent, car devant autant d'intransigeance, les "dissidences "s'organisent et sont de plus en plus nombreuses.

D'aucuns parlent aujourd'hui avec beaucoup de mépris des équipes de "bras cassés et de quota Cotorep" qui entoureraient Charles Beigbeder... C'est une honte.

Hier..., ceux qui sont aujourd'hui élus dans mon arrondissement traitaient mes équipes de "papous" et de" faire campagne dans les caniveaux".

Quand je vous dis qu'ils n'ont pas changé, mais qu'il faut les changer.

Car ne vous y trompez-moi, pour gagner ils seront prêts à tout, leurs injures sont là pour déstabiliser l'adversaire car ils ont peur, et quand ils ont peur, ils considèrent que tous les coups sont permis y compris de tricher le jour de l'élection. Qu'on se le dise....

Dominique BAUD

 

 

 

 

12/03/2010

Décidemment…

Il est temps que nous passions à l’après régionales.

Ce ne sont plus des campagnes d’idées, de convictions et de propositions que nous vivons, ce sont des guerres fratricides où on espère gagner en insultant son voisin.

C’est sans limite, on accuse, on diffame, et voilà maintenant que, parce trop c’est trop, la justice s’en mêle.

Mais, on ne peut tout excuser sous couvert de l’affrontement politique.


Il va bien falloir un jour, que quelqu’un rende à la politique ses lettres de noblesse.

Dominique Baud

 


« JUSTICE - Le député et tête de liste UMP aux régionales dans le Val-d'Oise a été reconnu coupable de diffamation envers Michelle Saban, candidate PS dans le Val-de-Marne...

«Le tribunal a estimé que les propos de M. Poniatowski étaient diffamatoires.» Jean-François Moreau, l'avocat de Michelle Sabban a annoncé à 20minutes.fr que le député et tête de liste UMP aux régionales dans le Val-d'Oise a été condamné, ce vendredi, à verser 10.000 euros de dommages et intérêts à sa cliente, vice-présidente du conseil régional d'Ile-de-France. A son propos, il avait affirmé qu’elle avait été condamnée pour «emplois fictifs».

«Ma cliente est satisfaite car elle a été blessée par ces propos», a déclaré l'avocat à 20minutes.fr. Des propos qu'Axel Poniatowski avait glissé dans un communiqué où il évoquait le passé judiciaire d'Ali Soumaré, qui a de son côté porté plainte contre X.

«Bonne foi»

Contacté par 20minutes.fr, l'avocat d'Axel Poniatowski a annoncé que son client «lui avait demandé de faire appel». Axel Poniatowski, «a toujours été de bonne foi», précise l'avocat.

Michelle Sabban a réclamé mardi devant le tribunal de Créteil 50.000 euros de dommages et intérêts. Rappelant que sa cliente avait été relaxée en 2003 dans une affaire d'emplois fictifs, Jean-François Moreau a estimé qu'Axel Poniatowski avait commis un «amalgame déloyal» et qu'il ne pouvait s'être trompé «de bonne foi».

Laurent Devolvé, avocat du député UMP avait lui réfuté toute «intention de nuire» et estimé que les déclarations de son client relevaient de l'affrontement politique. L'avocat de Michelle Sabban avait cependant dénoncé des «méthodes blessantes» et des déclarations «erronées», «de nature à fausser le scrutin des régionales». »

Julien Ménielle

20 minutes.fr 12 mars 2010