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23/01/2014

Encore un bel exemple de démocratie

En 2007, le CSA voulait me convaincre que son rôle était d’assurer aux candidats d’une élection, l’équité, ce qui n'est pas égalité. Et l’équité, c’était citer certains candidats ou faire défiler leurs noms sur un film déroulant mais en aucun cas, permettre à tous d’être sur un plateau, avec le même temps de parole, de pouvoir s’exprimer dans la presse, avec la même fréquence…

Et bien aujourd’hui, il semblerait que cette notion d’équité ait pris une nouvelle forme. Un débat télévisé est annoncé le 29 janvier dernier, mais il est décidé que les candidats à la Mairie de Paris ne pourront y participer que s’ils ont déjà annoncé des listes dans tous les arrondissements.

C’est ainsi que Charles Beigbeder qui devrait finaliser ses têtes de liste d’arrondissement dans les jours qui viennent, s’en voit exclu.

Qui en a décidé ainsi, les organisateurs dit-on ? Je voudrai en être sûre, mais j’ai du mal… Ces derniers n’auraient-ils pas été un peu aidés….

Quand on est bon et fort, on a pas besoin d’essayer d’empêcher les autres de s’exprimer, au contraire, on recherche le débat et on fait en sorte de le gagner.

 

Dominique Baud

 

 

 

 

17/01/2014

Ils n'ont pas changé, mais il faut les changer

Les mandatures se terminent, les campagnes commencent et les injures se renouvellent.

Ils vieillissent mais ne prennent pas de la hauteur.

Les mandatures se terminent sans que chacun des participants ne présente son bilan pour juger s'il est  légitime à se représenter. Le bilan de compétence annuel qui est "imposé" à chaque salarié dans une entreprise n'existe pas en politique même au bout de 6 ans de mandat.

C'est ainsi que n'ayant "pas démérité" à défaut d'avoir été efficace, on les reconduit presque tous et qu'ainsi le paysage politique ne change jamais.

Vous avez compris que je parlais des partis politiques (des "gros") du moins et de leur non moins opaque commission d'investiture.

Les campagnes commencent et les injures suivent, car devant autant d'intransigeance, les "dissidences "s'organisent et sont de plus en plus nombreuses.

D'aucuns parlent aujourd'hui avec beaucoup de mépris des équipes de "bras cassés et de quota Cotorep" qui entoureraient Charles Beigbeder... C'est une honte.

Hier..., ceux qui sont aujourd'hui élus dans mon arrondissement traitaient mes équipes de "papous" et de" faire campagne dans les caniveaux".

Quand je vous dis qu'ils n'ont pas changé, mais qu'il faut les changer.

Car ne vous y trompez-moi, pour gagner ils seront prêts à tout, leurs injures sont là pour déstabiliser l'adversaire car ils ont peur, et quand ils ont peur, ils considèrent que tous les coups sont permis y compris de tricher le jour de l'élection. Qu'on se le dise....

Dominique BAUD