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27/01/2013

Sa dernière trouvaille…

L’idée…. proposer  un système d'assurance contre le risque de loyers impayés.

Une idée qui pourrait être intéressante à étudier du fait de la pénurie de logement et des loyers excessifs pratiqués par certains propriétaires privés, notamment dans les grandes villes.

Un moyen de louer avec moins de crainte de ne pas être payé (car les conséquences peuvent-être graves pour un propriétaire qui a besoin du loyer pour couvrir sa mensualité de prêt…) et aussi de louer à un prix plus raisonnable.

 Sauf que,

Cette "garantie universelle des revenus locatifs" serait non seulement imposée aux propriétaires, mais aussi payée par eux.

Une assurance obligatoire, payée par les propriétaires, pour se garantir des loyers impayés….

Ca, c’est une trouvaille.

 Quant aux assurances qui existent à ce jour, il ne faut pas oublier qu’elles ne sont pas possibles si vous demandez une caution.  C’est l’assurance ou la caution (qui est ramenée à un mois !!!).

J’imagine que vous avez compris que cette idée lumineuse était de Cécile Duflot, soutenue par…. Matignon … et L’Elysée….

 Vilains propriétaires…. Vous aurez toujours tort.

Dominique BAUD

18/04/2012

Si on parlait du permis de conduire…

Si on parlait du permis de conduire…

Loin de moi de vouloir souscrire à la mode du moment, mais des évènements récents me conduisent aujourd’hui à vous faire partager ce post.

Il y a 3 ans, ma fille aînée obtenait son permis de conduire. Inscrite à 17 ans en conduite accompagnée, elle avait finalement manqué de temps et suivi le cursus normal. C’est ainsi que mon assureur a justifié l’augmentation de ma prime, m’expliquant que, si elle avait suivi la « conduite accompagnée », il n’y aurait pas eu d’augmentation.

Forte de cette information, lorsque ma deuxième fille a eu 16 ans, je lui ai proposé de préparer son permis en conduite accompagnée, insistant sur la nécessité de son assiduité.

Elle s’y est engagée, a respecté ses engagements et a obtenu son permis la semaine dernière.

Très sereinement hier, j’ai expliqué la situation à mon assureur, m’attendant purement et simplement à l’ajout de son nom sur mon contrat, en sa qualité de conducteur de ma voiture.

Et bien non, mauvaise surprise…surprime…. Devant mon étonnement, il m’a expliqué que cette mesure n’existait plus depuis 2 ans et demi, juste le temps qu’il m’a fallu pour ne plus pouvoir en bénéficier.

Voilà comment on se fait avoir tous les jours par des promesses non tenues et par des mesures qui n’ont, dès leur mise en place, aucun avenir.

Quand respectera t-on les usagers ? Quand imposera t-on une durée d’application minimum à un texte de loi ou autre mesure gouvernementale.

Bref, quand respectera t-on les électeurs, tout simplement. C’est pourtant d’actualité.

Dominique Baud

 

25/11/2008

Une vraie révolution !

 

Mais de quoi parle t-on ?

Mon blog n’est pas très actif en ce moment et je m’en excuse auprès de mes lecteurs toujours aussi assidus.

La crise financière me conduit, comme beaucoup d’autres à un emploi du temps particulièrement chargé.

Mais aujourd’hui, je découvre dans la presse un article sur ce qui serait une révolution.

Demain… Au plus tard en 2010, les emprunteurs seront libres de choisir leur assurance dans le cadre d’un prêt.

Je rappelle ici qu’aucune loi n’oblige un emprunteur à souscrire l’assurance que lui propose sa banque. Si ce n’est qu’avec le temps, les banques ont pratiqué des « abus de droit » : pas d’assurance, pas de prêt et ont ainsi imposé à leurs clients un « paquet complet », sans se préoccuper du surcoût, à fonds perdus, qui pourrait être le leur.

pourcentage1.jpgPendant des années, les assureurs ont pu vendre, notamment à des gens jeunes, en bonne santé, et mieux encore non fumeurs, des assurances décès individuelles pour couvrir leur emprunt, avec d’excellentes garanties et des coûts particulièrement compétitifs.

Mais avec le temps, le « chantage » des banques sur l’obtention du prêt, a conduit à ce qu’elles imposent leur assurance.

La majeure partie des clients croyaient cette double souscription dans le même établissement inévitable.

L’annonce faite aujourd’hui est certes particulièrement salutaire mais ne peut relever ni d’une révolution, ni d’une réforme législative

C’est le retour au libre arbitre de tout emprunteur dans le choix d’une assurance. Les exigences de la banque devant se limiter à la qualité et au montant des garanties.

On rend simplement aux citoyens français une Liberté que les banques leur avaient de fait enlevé.

Dominique BAUD