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23/11/2011

Il fallait lui laisser une chance

Voilà ce que j’ai entendu sur les ondes, à grand renfort d’argument pour expliquer, voire justifier la liberté laissé au meurtrier d’Agnès

J’ai même entendu certains assimiler ce crime à un braquage de banque…

Sans oublier, la minimalisation quant au fait qu’il n’arrive qu’une à deux fois par an seulement, qu’un mineur viole ou tue quelqu’un….

Mais c’est un ou deux fois de trop. Faudrait-il que ce soit leur fille, leur femme, leur mère, pour qu’enfin ils tiennent un autre discours ?

On recherche les responsables, mais ce sont ceux qui permettent à ce genre d’individu de pouvoir recommencer, les juges, les psychiatres…

Ce sont eux qui votent des lois sus lesquelles s’appuient la justice pour les relâcher?

On apprend qu’elle a été tuée de façon extrêmement violente et brutale, avec préméditation du fait des objets dont il s’était muni pour accomplir son crime.

Mais a t-on vraiment le droit d’être surpris ?

Il avait été mis en examen pour viol sur une mineure en août 2010, dans des circonstances identiques sauf que la victime était restée en vie ! Et pour cela, il n’a effectué que quatre mois de détention provisoire avant d'être placé sous contrôle judiciaire fin 2010. Et comme il le respectait, suivi par un psychiatre, puis un psychologue, on a oublié le danger. « Réinsérable » ont –ils dit !!! « Pas dangereux » ont établies les expertises…

Une question, ces « professionnels » auraient-ils mis leur fille dans de telles circonstances, en toute connaissance de cause, dans cet établissement scolaire.

Car, si au lieu de lui faire faire une peine provisoire de 4 mois, on l’avait jugé de suite, il serait actuellement en prison et Agnès encore en vie.

Mais, de grâce, faites taire ceux qui essaient de se justifier en déclarant aujourd’hui que … la psychiatrie n'est pas une science exacte

Dominique Baud

 

29/01/2009

L'horreur!

chambre-d-enfant-2266441_1378.jpgOn croit ses enfants à l’abri, dans une crèche dans une école, et bien il semble que l’on se trompe.

Les personnels des crèches, les professeurs des écoles se croient en sécurité à leur poste de travail, et bien ils se trompent.

Mais quel est ce monde dans lequel on vit où la violence est partout et où elle frappe les plus jeunes, les plus innocents.

Mes mains se glacent en écrivant cet article, émue en pensant aux parents de ces deux bébés tués en Belgique en fin de semaine dernière.

Et on apprend, une fois de plus, qu’il s’agit d’un jeune déséquilibré et qu’un psychiatre, une fois de plus, a considéré qu’il n’avait pas plus besoin de soins ni bien entendu d’hospitalisation.

Il serait temps que tous les responsables soient sanctionnés, ce genre d’explication ou de justification ne pouvant éternellement servir d’excuse à ces meurtres odieux qui auraient pu être évités.

Et si c’était vos enfants. Y avez-vous pensé ?

Dominique BAUD