21/02/2013
Une option parmi d’autres….
On reparle de soumettre les allocations familiales à l’impôt, voire même à les mettre sous conditions de ressources.
Mais leur objectif n’était- il pas d’aider les familles, les familles nombreuses d’abord car elles permettent le renouvellement de la population ?
Sans oublier que les allocations familiales ne sont plus versées après les 18 ans du jeune qui, s’il fait des études supérieures, coûte à ses parents, selon des études récentes, une moyenne de plus de 1.000€ par mois, soit, sur 5 ans d’études, plus de 60.000€. Et ne serait-ce pas ces jeunes là qui, parmi d’autres, seront les actifs et les consommateurs de demain. Bref ceux qui seront plumés encore plus que nous aujourd’hui.
Que ceux qui prônent ce genre de mesures et vont les voter s’appliquent à eux-mêmes la même rigueur. Mesdames et messieurs les ministres, mesdames et messieurs les députés, mesdames et messieurs les sénateurs, commencez par réduire votre train de vie, vos avantages quotidiens, acceptez de justifier de vos frais …. Et après vous pourrez scalper les familles.
Et si on doit en passer par cela, alors il faut tout repenser, et notamment ne plus valider qu’à situation équivalente, seul les gains du travail soit taxés, et que par exemple, un couple qui travaille paie des impôts et non celui qui vit des aides sociales ou autres allocations de tous genres de même montant.
Les dindons en ont marre.
Dominique BAUD
23:14 Publié dans Famille | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : allocations familiales, imposition, plafonnement, austérité, niche
08/06/2012
Que les choses soient justes...
Le fer de lance de cette campagne est de mettre en place, en ces temps de crise, une justice meilleure, une vraie justice pour tous.
Une vraie justice sociale d’abord, car il ne faut pas déshabiller Pierre pour habiller Paul. En effet, plus que jamais, ceux qui bénéficient des aides sociales doivent bien prendre conscience qu’elles ont pour objet de les aider à s’en sortir et les inciter à trouver de meilleures solutions. Le piège dans lequel, ni les individus, ni la société ne doivent tomber est celui de l’assistanat.
C’est ainsi qu’il ne faut surtout pas hésiter à équilibrer et rationaliser la charge de l’impôt, non pas en fonction de la provenance des ressources mais en fonction de son montant eu égard aux charges de chacun. A revenu égal, qu’il provienne du travail ou des aides sociales, l’impôt doit-être le même.
Il y va de la sérénité de notre société et ce aussi, sur le sujet si critique du logement, de ses attributions, de son financement, et des lois à venir qui devront toujours préserver les intérêts tant des propriétaires que des locataires si on veut éviter des conflits qui ne seront profitables à personne.
Sans oublier la Justice, avec un grand J !!! Bien malmenée, trop longue, trop procédurière, trop compliquée qui finalement laisse souvent par ses décisions ou ses manques de décision, un goût amer aux victimes et un sentiment d’abandon.
Dominique BAUD
10:33 Publié dans Famille, Fiscalité, Justice, Législatives 2012, Logement, Social | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : législatives 2012, programme, aides sociales, équité, fiscalité, imposition, famille, logement, victime, paris 15, dominique baud, pld, france écologie, alliance centriste