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26/01/2013

Stop... çà suffit,

C’est de façon unanime que j’ai été témoin aujourd’hui, d’un sentiment de ras de bol, d’exaspération voire même de colère grandissante dans la population après le cirque médiaticopolitique qui a entouré le retour... de qui d’ailleurs, d’une héroïne qui a sauvé des vies....Non, d’une héroïne qui a fait son travail pour le bien de la collectivité, ... non, elle était quoi, soldat, chirurgien, journaliste, missionnaire, non, non, non, rien de tout cela, et pourtant le tapis rouge pour l’accueillir à Roissy hier, et aujourd’hui à l’Elysée.

Dois-je noter d’ailleurs qu’elle a semble t-il été reçue plus longtemps (et bien plus vite...) que les responsables de la « Manif pour tous », qui représentait pourtant eux le million et plus de français, qui, le 13 janvier dernier, sont descendus dans la rue.

Est-elle coupable, est-elle innocente, Je n’en sais rien et ne suis apparemment pas la seule.

Mais une chose est sûre, sa fraîcheur après 7 ans de prison mexicaine est surprenante. Et ce sans parler de son aplomb devant les caméras.

On parie sur les délais qu’il lui faudra pour trouver du travail après son appel sur les ondes, à la barbe de tous ceux qui cherchent depuis des mois, voire des années.

Et ce même jour, qui était là (je parle des « officiels ») pour se recueillir sur le cercueil de Yan Desjeux, ex-militaire français de 52 ans qui est mort In Aménas, personne !!!!

Dominique Baud

15/06/2011

Un enfant est trop précieux

 

Un enfant est trop précieux

Encore une fois, la une de la presse nous relate  l’enlèvement d’une petite fille et son viol.

Et une fois de plus, on apprend que l’homme soupçonné était recherché… Cette fois ci pour ne pas avoir respecté le contrôle judiciaire après avoir été condamné pour diffusion d’images pornographiques et à un suivi socio-judiciaire avec injonction de soins.

Une petite fille « très courageuse » a pu t-on lire !!! Face  à un homme qui a souffert de troubles psychiatriques pendant plusieurs années.

Aujourd’hui il serait passible de 20 ans de réclusion criminelle. Dont il fera combien avant d’être relâché et de recommencer ?

Et le mois dernier, c’était une autre petite fille du même âge qui avait été enlevée et violée par un homme déjà condamné à deux reprises pur des faits similaires.

Un enfant est trop précieux pour que l’on continue à entendre que « l’une des priorités de la prochaine présidentielle sera de rénover les prisons ». Que ce soit plutôt « Tout mettre en place pour qu’aucun autre enfant ne souffre ainsi dans sa chair de telles maltraitances… »

Que nos gouvernants arrêtent leurs grandes déclarations, agissent une fois pour toutes sans démagogie et gardent leur  larme à l’œil uniquement pour les victimes

Dominique Baud

Un enfant est trop précieux

 

Encore une fois, la une de la presse nous relate  l’enlèvement d’une petite fille et son viol.

Et une fois de plus, on apprend que l’homme soupçonné était recherché… Cette fois ci pour ne pas avoir respecté le contrôle judiciaire après avoir été condamné pour diffusion d’images pornographiques et à un suivi socio-judiciaire avec injonction de soins.

Une petite fille « très courageuse » a pu t-on lire !!! Face  à un homme qui a souffert de troubles psychiatriques pendant plusieurs années.

Aujourd’hui il serait passible de 20 ans de réclusion criminelle. Dont il fera combien avant d’être relâché et de recommencer ?

Et le mois dernier, c’était une autre petite fille du même âge qui avait été enlevée et violée par un homme déjà condamné à deux reprises pur des faits similaires.

Un enfant est trop précieux pour que l’on continue à entendre que « l’une des priorités de la prochaine présidentielle sera de rénover les prisons ». Que ce soit plutôt « Tout mettre en place pour qu’aucun autre enfant ne souffre ainsi dans sa chair de telles maltraitances… »

Que nos gouvernants arrêtent leurs grandes déclarations, agissent une fois pour toutes sans démagogie et gardent leur  larme à l’œil uniquement pour les victimes

Dominique Baud

15/02/2011

Provocation inacceptable …

Ce matin,  j’apprenais la tentative de suicide de Thierry Meilhon (pas de monsieur s’il vous plait !), qui je l’avoue n’a suscité chez moi aucune émotion.

Mais, ce soir, lorsque je lis, sur BFMTV que sa tentative serait pour dénoncer « la mauvaise qualité de ses repas  servis en prison »,  c’est de la colère que j’ai ressenti, de l’écœurement.

Je propose, en sus de sa condamnation à venir, qu’on lui facture son séjour en prison ainsi que les repas qui lui seront servis. 

La liberté d’expression a ses limites.

Dominique Baud

12/12/2008

La lettre de Cynthia

 

Je publie cette lettre pour répondre à la demande de ses auteurs, pour les soutenir dans leur action et espérer une véritable écoute, suivie d'actions concrètes, par nos pouvoirs publics.

"Philippe Schmitt vient d'être contacté par le chef du cabinet de Rachida Dati ; une délégation de l'Institut pour la Justice sera reçue au ministère, place Vendôme, mardi prochain."

ENFIN... Et merci à lui de son extraordinaire courage et de sa persévérance qui devrait servir afin de réduire le nombre des victimes.

 

Cher ami,

Merci de relayer auprès de tous vos contacts l'appel de Cynthia Sardou, la fille de Michel Sardou, à soutenir Philippe Schmitt et participer au Référendum sur la Justice. Un grand merci d’avance de votre aide et de votre participation.
Et SURTOUT, lisez bien la lettre de Cynthia ci-dessous.

 

Chère Madame, cher Monsieur,

Je suis la fille du chanteur Michel Sardou, mais je suis avant tout une femme comme les autres, sans protection particulière de la police ni gardes du corps.

La nuit de Noël 99, je rejoignais ma voiture devant chez moi, quand j’ai senti des bras qui m’agrippaient dans le noir. Quelques instants plus tard, des hommes m’emportaient en voiture, un capuchon sur la tête, un couteau sous la gorge.

Je ne vous écris pas pour vous raconter le viol collectif et les sévices atroces que j’ai subis cette nuit-là. J’avais 26 ans, et, quand ils m’ont abandonnée sur un terrain vague, ma vie était quasiment détruite.

Si je prends contact avec vous, c’est pour vous demander d’agir de toute urgence auprès des Pouvoirs Publics en remplissant le Référendum sur la Justice ci-joint, pour que d’autres jeunes filles et femmes ne subissent pas le même sort.

Car il faut que vous sachiez que le véritable chemin de croix pour la victime commence souvent après l’agression.

Dans mon cas, il y a d’abord eu l’angoisse abominable, quand le médecin m’a annoncé que j’avais probablement contracté le virus du SIDA.

Puis il y a eu l’incompréhension et la révolte, quand j’ai appris que deux de mes violeurs étaient des récidivistes, qui avaient été remis en liberté par la Justice peu de temps auparavant.

Mais j’ai connu le désespoir quand le procès s’est ouvert. Le choc a été presque aussi dévastateur que celui de l’agression.

Les rôles étaient inversés. Tout se passait comme si j’étais moi-même une criminelle : n’était-ce pas moi qui avais séduit mes agresseurs ? N’avais-je pas, par hasard, ressenti un plaisir secret à être violée ?

Pire encore, n’étais-je pas une « privilégiée », alors que mes violeurs venaient d’une cité défavorisée ?

Mon avocat m’a donné un seul conseil : « restez calme »… mais j’ai souvent eu l’impression que la justice en France avait moins d'estime pour les victimes que pour les bourreaux.

On m’a imposé des expertises psychiatriques, des examens psychologiques comme si c’était moi l’accusée. Les moindres détails de ma vie privée et de mon passé ont été disséqués, exposés publiquement, puis repris par la presse.

Au contraire, les « experts » ont reconnu toutes sortes d’excuses à mes violeurs : selon eux, ils avaient fait preuve d’une certaine « intelligence », ils étaient en « déficit affectif », c’étaient des « individus perturbés », ils « manquaient d’assurance »...

La question principale pour les magistrats semblait être de trouver un moyen de les « réinsérer » au plus vite, bien qu’ils n’aient manifesté aucun repentir, ni présenté la moindre excuse sincère.

Mais le pire, c’est que, bien que les jurés d’assise les aient tous condamnés à des peines de 10 ans de prison ou plus...

… la Justice a relâché le premier après deux ans seulement, en 2002 !!!.

Quand mon avocat m’a appris qu’il était en liberté, je n’ai plus osé sortir de chez moi. J’ai commencé à vivre dans la peur qu’il ne me retrouve, et qu’il se venge.

Rapidement, le deuxième est sorti, sans même qu’on prenne la peine de m’en informer.

Aujourd’hui, j’attends avec angoisse la libération, du dernier. Lui non plus, RIEN ne pourra l’empêcher de venir me retrouver.

C’est l’effrayant résultat de l’évolution de notre système pénal ces trente dernières années. De Fourniret à Pierre Bodein, en passant par Francis Evrard ou Francis Heaulme, on ne compte plus les affaires où des psychopathes relâchés ont immédiatement fait de nouvelles victimes.

Nous ne pouvons pas laisser notre système judiciaire continuer à mettre aussi gravement en danger la vie des jeunes femmes de notre pays.

C’est pourquoi je vous demande de remplir le Référendum sur la Justice (
cliquez ici).

C’est le meilleur moyen de déclencher enfin une réforme de fond de notre système judiciaire. Les résultats seront transmis au Président de la République, au gouvernement, aux parlementaires, et aux médias.

J’ai écrit deux livres pour raconter mon effroi, quand je me suis aperçue que la « Justice » remettait dans nos rues des individus aussi dangereux.

Avant que ce drame ne m’arrive, je n’aurais pas pu le soupçonner.

J’ai fait tout ce que j’ai pu pour que cela change : pendant sa campagne électorale, Nicolas Sarkozy m’a demandé de faire partie de la Délégation aux victimes.

Puis, sollicitée ensuite par Rachida Dati, j’ai accepté des responsabilités au ministère de la Justice. J’ai cru que c’était comme ça que j’allais pouvoir faire une différence.

Mais je me suis vite aperçue qu’aucun changement réel n’aurait lieu tant que des centaines de milliers de Français ne protesteraient pas, tous ensemble, auprès des pouvoirs publics. Et c’est pourquoi je fais appel à vous aujourd’hui pour participer au Référendum sur la Justice, organisé par l’Institut pour la Justice.

Le but de ce Référendum est de réunir des millions de signatures en faveur d’un changement radical de la politique pénale dans notre pays.(
Cliquez ici)

Cet appel a d’abord été lancé par Philippe Schmitt, le père d’Anne- Lorraine, une jeune fille qui s’est fait massacrer dans le RER en novembre dernier, également par un homme condamné peu de temps auparavant pour viol, puis vite relâché.

Devant l’énorme écho qu’il a reçu – plus de 50 000 participants à la première vague de Référendums sur la Justice, en quelques semaines – d’autres victimes de criminels ont décidé de le rejoindre – dont moi-même.

Nous avons compris que nous pourrions démultiplier le nombre de participants et secouer la France entière, en nous unissant.

Mais nous avons besoin de votre voix et de votre soutien, pour acquérir la légitimité face aux pouvoirs publics, qui ne peut venir qu’avec le nombre.

C’est pourquoi nous vous demandons de remplir votre Référendum. De son côté, l'Institut pour la Justice s'organise pour :

- mener des actions d’information et de sensibilisation de l’opinion publique à grande échelle,
- préparer la publication d’un Livre Blanc de la réforme des procédures pénales,
- organiser des interventions dans les médias et auprès des parlementaires et des cabinets ministériels,
- et surtout décupler la diffusion du Référendum sur la Justice, dont l’objectif est de réunir 2 millions de participants pour obliger les pouvoirs publics à agir.

Nicolas Sarkozy nous a déjà reçus, mais nous voulons pouvoir revenir vers lui avec des millions de signatures de soutien.

Philippe Schmitt vient d'être contacté par le chef du cabinet de Rachida Dati ; une délégation de l'Institut pour la Justice sera reçue au ministère, place Vendôme, mardi prochain.

Merci de nous permettre d'arriver avec le maximum de signatures.

En vous remerciant d’avance de votre participation, je vous prie de croire, chère Madame, cher Monsieur, en mon total dévouement à ce combat pour protéger toutes les personnes innocentes et sans défense.

Bien à vous,

Cynthia Sardou

09/12/2008

Anne-Lorraine

Chère Madame, cher Monsieur,

Le matin du 25 novembre dernier, j’attendais ma fille Anne-Lorraine sur le pont qui surplombe les voies à la gare de la Borne Blanche, dans l'Oise. J’étais impatient de la retrouver parce que je ne l’avais pas vue depuis trois semaines. Mais quand le train de 10 h 30 est arrivé, Anne-Lorraine n’est pas descendue.

Ce souvenir me hantera jusqu’à ma mort. Car j’ai appris plus tard que ma fille était bien dans le premier wagon, mourante, incapable de crier au secours. Elle avait reçu trente-quatre coups de couteau d’un homme qui sortait de prison, pour avoir commis un viol quasiment au même endroit en 1995.

En tant que parent ou grand-parent, vous pouvez imaginer le nombre de nuits où ma femme Elisabeth et moi avons revécu, en cauchemar, la scène qui a eu lieu dans ce train, ce jour-là. Anne-Lorraine était l’aînée de nos cinq enfants. C’était une vraie battante. Elle voulait devenir journaliste et s’était donné tous les moyens pour réaliser son rêve. Elle ne se plaignait jamais, elle était toujours riante, toujours de bonne humeur. Sa perte est irréparable.

Mais le jour de son enterrement, Elisabeth et moi nous sommes engagés à ce que son sacrifice ne soit pas vain.

Une année s'est écoulée. Nous avons étudié la question en profondeur et nous sommes aujourd’hui certains que les pouvoirs publics pourraient prendre des mesures pour empêcher que des centaines d’autres femmes et enfants subissent le même martyre.

Mais encore faut-il qu'une forte demande se manifeste de la part des citoyens comme vous.

C’est pourquoi je vous écris cette lettre. Elisabeth et moi vous demandons de participer au Référendum sur la justice.

Il faut que vous sachiez que, pour les parents des victimes de criminels, l’horreur ne s’arrête pas le jour de l’enterrement. Le véritable calvaire commence quand vous réalisez que justice ne pourra que très difficilement être rendue.
Quels que soient les souffrances, les tortures, les actes de barbarie que votre enfant a subis, notre système judiciaire ne permet quasiment plus de donner une juste peine au coupable.

Comprenez-moi bien : je n’éprouve aucune haine à l’égard du meurtrier de ma fille. Je l’ai dit à l’époque et je le répète aujourd’hui. Je ne suis animé par aucun esprit de vengeance.

Mais les faits sont là : Cet homme avait déjà été condamné pour viol avec arme, dans les mêmes circonstances, ce qui lui avait valu d'être condamné à cinq ans de prison en 1996. Mais il avait été relâché après deux ans seulement. Il était revenu vivre à deux pas de sa première victime, sans que celle-ci soit jamais avertie. On lui a laissé toute liberté de décider, un matin, de recommencer.

Aujourd'hui, il a été de nouveau arrêté mais, d'après les lois actuelles, il sera libéré dans à peine quelques années !

A ce moment-là, il reviendra vivre près de chez nous. RIEN n'obligera les magistrats à nous prévenir, ce jour-là. Et il croisera peut-être une autre de mes filles dans le RER. C’est l’effrayant résultat de l’évolution de notre système pénal ces trente dernières années.

Pierre Bodein, condamné à 30 ans de réclusion criminelle en 1994, s’est ainsi retrouvé en liberté dès 2004, ce qui lui a permis de torturer et d’assassiner Jeanne-Marie Kegelin, 10 ans, Julie Scharsch, 14 ans, et Hedwige Vallée, avant d’être rattrapé.

Guy Georges n’a été condamné qu’à une année de prison, après une agression sanglante au couteau sur une jeune femme, alors qu’il avait déjà quatre tentatives de meurtre derrière lui. A sa sortie, il a donc pu recommencer, violer et assassiner sept jeunes filles.

Michel Fourniret a été condamné à cinq ans de prison pour une dizaine de viols sur mineurs. Sorti après 3 ans seulement, il a pu commettre huit viols et assassinats supplémentaires.

Francis Heaulme a également eu maille à partir des dizaines de fois avec la Police et la Justice, avant que son cas ne soit considéré comme assez grave pour mériter 30 ans de prison. Mais entre temps, il avait commis 9 meurtres.

Francis Evrard, condamné trois fois pour pédophilie, a été relâché en juillet 2007, ce qui lui a permis presque immédiatement d’enlever Enis, un petit garçon de 5 ans. Il a ensuite évoqué“ une quarantaine d’enfants ”. Mais le magistrat qui l'avait libéré avait lui aussi agi en toute légalité.

Prison avec sursis, remises de peine, libération conditionnelle, semi-liberté, amnisties, liberté surveillée, et, depuis peu, bracelet électronique et même « prison hors les murs » ( !!! ), tout est fait pour diminuer les peines d’emprisonnement.

Malgré la récente loi sur la “ rétention de sûreté ”, le nombre de remises de peine et de libérations anticipées a augmenté de 34 % entre 2007 et 2008.

Pourtant, n’y a-t-il pas au moins une certaine catégorie de criminels que l’on pourrait définitivement écarter de la société ?

Qui a intérêt à ce qu’on relâche les violeurs et les assassins, quand on sait que le nombre de viols et de meurtres avec actes de barbarie a déjà augmenté de 200 % depuis 1981 ?

Mais regardons les choses en face : les citoyens concernés comme vous et moi, ont-ils fait tout ce qui était en leur pouvoir pour empêcher les pouvoirs publics de relâcher des criminels dangereux ?

Quand leur avons-nous exprimé concrètement notre révolte pour la dernière fois ?

Ce qui m’amène à vous poser la question : êtes-vous prêt à faire un geste aujourd’hui pour faire évoluer notre société vers une meilleure protection des citoyens innocents ? Il est impossible à un homme et à une femme seuls comme mon épouse et moi, de changer le système judiciaire. Mais si vous nous aidez, nous le pouvons.

C’est pourquoi Elisabeth et moi comptons sur vous pour participer au “ Référendum sur la Justice ” organisé par l’Institut pour la Justice.

C’est le meilleur, peut-être le seul moyen de mettre fin à la manière irresponsable dont on traite aujourd’hui les criminels dans notre pays.

Vous trouverez sur ce Référendum neuf questions sur des réformes qui pourraient passer immédiatement et épargner de nombreuses vies innocentes.

Ces réponses seront adressées aux médias, aux parlementaires, et à Nicolas Sarkozy. Il nous a déjà reçus, mais nous voulons pouvoir revenir avec 500 000, 1 000 000 ou même, si c’est possible, 5 000 000 de Référendums.

Avec votre participation à ce Référendum, nous déclencherons un soulèvement qui obligera les pouvoirs publics à réagir.

D’avance, je vous remercie de tout ce que vous pourrez faire pour soutenir notre mouvement. Faites-le pour ma fille Anne-Lorraine, pour toutes les jeunes filles qui se sont fait assassiner comme elle et, plus important encore, pour toutes les futures victimes que nous protégerons grâce à notre action.

Avec tout mon dévouement,