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18/04/2008

Pétition nationale contre la réduction des allocations familiales

121134911.jpgCher Parent de famille nombreuse,

Une grave mesure financière sanctionnant lourdement les mères de famille qui gardent leurs enfants à la maison va entrer en vigueur dans 12 jours, le 1er mai 2008, si vous et moi ne faisons rien.

Il s'agit de transférer une importante partie des allocations familiales (600 euros par an environ) accordées aux familles ayant des enfants de 11 ans et plus, pour financer une aide supplémentaire à certains modes de garde d'enfants en bas-âge.

Voici une pétition urgente pour stopper cette mesure et je vous demande de la signer le plus vite possible : http://www.ipetitions.com/petition/allocationsfamiliales/
Car cette nouvelle réduction des allocations familiales n'a nullement pour but de réduire la dette publique de notre pays, qui atteint pourtant un niveau catastrophique (plus de 2000 milliards d'euros, que vous, moi, vos enfants et les miens, allons devoir rembourser), puisque tout l'argent ainsi économisé va être immédiatement dépensé d'une autre manière.

Les mères au foyers sont mise une nouvelle fois à contribution pour financer des aides pour les familles qui ont un double salaire. Trouvez-vous ça normal ? Les mères de famille qui s'occupent de leurs enfants ne rendent-elles service à personne ? Doivent-elles être considérées comme le rebut de la société ? N'ont-elles droit à aucune considération ?

J'espère vraiment que vous allez signer et faire circuler la grande pétition que nous lançons en cliquant ici.

C'est très important : notre première pétition contre la carte de famille nombreuse a connu un immense succès et a largement contribué à faire reculer le gouvernement. Partie d'un groupe de 3 familles seulement dans les Yvelines jeudi 9 avril au matin, la pétition contre la suppression de la carte de famille nombreuse a rapidement fait le tour de la France, enregistrant plus de 8000 signatures en 48 heures. Si l'on ajoute à ce nombre les 6000 signatures réunies par l'UNAF, Famille de France et les Associations familiales catholiques de France (AFC), on arrive à un total de 14000 signatures en un temps record ! Cet étonnant succès traduit le puissant sentiment (bien légitime) d'injustice des parents de famille nombreuse à l'annonce de cette nouvelle offensive contre leurs droits fondamentaux.

En effet, dans une société où l'essentiel des dépenses de santé, d'assurance chômage et de pension de retraite sont mutualisées, il est évident que la contribution des parents de familles nombreuses est capitale pour la survie du système et qu'elle doit être reconnue : non seulement parce que les parents de famille nombreuse payent proportionnellement plus de TVA que les autres, puisqu'ils dépensent une plus grande partie de leur revenu en dépenses de consommation, mais surtout parce qu'ils financent l'éducation d'enfants qui, toute leur vie active, seront mis à contribution pour financer les dépenses de santé, d'assurance chômage et les retraites... des autres.

Qu'arriverait-il à notre système social sans ces familles ? En vingt ans, tous les adultes qui ont aujourd'hui 40 ans et plus seraient réduits à la misère, puisqu'il n'y aurait plus personne pour payer leurs retraites et financer leurs dépenses de santé.

Cette contribution éminente des parents de famille nombreuse à la prospérité "durable" de nos concitoyens est trop souvent oubliée, pour ne pas dire méprisée. Depuis trente ans, des contraintes de plus en plus sévères ont été imposées aux familles nombreuses :
--> d'abord, les allocations familiales ont diminué, en valeur réelle de près de 80 % par rapport au début des années 70, par le fait qu'une part de plus en plus importantes du budget de la caisse d'allocations familiales (CAF) soit aujourd'hui consacrée aux familles de deux, voire de un enfant seulement, et aux frais de garde (subventions aux crèches, aux aide-maternelles, etc.), ce qui réduit d'autant la part disponible pour les familles nombreuses ;
--> ensuite, les restrictions réglementaires draconiennes sur les permis de construire (calcul du COS) ont provoqué une hausse dramatique du prix des logements. Avec un moyenne nationale qui approche aujourd'hui 3000 euros le m² dans les grandes villes, une habitation de 120 m² (3-4 chambres) coûte donc 360 000 euros (l'équivalent de 30 années de travail pour un smicard). La plupart des familles nombreuses se sont ainsi retrouvées éjectées à des kilomètres, souvent même des dizaines de kilomètres des centres-ville. Cela pose évidemment des problèmes aigus de temps de transport, et interdit généralement que les deux conjoints puissent travailler, les mères de familles étant obligées de consacrer une part considérable de leur temps à jouer les "chauffeurs de taxi" (ce qui, avec la hausse du prix des carburants, ne va pas sans accroître encore les tensions sur leurs finances) ;
--> ensuite, une législation de plus en plus dure sur les voitures (obligation de prévoir un siège avec ceinture par enfant, taxe sur les gros véhicules, taxes "écologiques" additionnelles sur le gasoil), entraîne des dépenses de transport de plus en plus importantes, qui représentent aujourd'hui le troisième poste de dépense des familles nombreuses ;
--> ensuite, depuis quatre ans environ, la forte hausse du prix de l'alimentation, qui frappe proportionnellement beaucoup plus fort les familles nombreuses ;
--> enfin, et surtout, la pression fiscale liée à l'accroissement des "droits sociaux et fiscaux" créés en masse ces dernière années en faveur de tous les groupes considérés, à tort ou à raison, comme défavorisés, et qui doivent être financés par les autres citoyens : CMU (santé entièrement gratuite pour les RMIstes et de nombreux chômeurs), AME (santé gratuite complémentaire pour les personnes qui, comme les sans-papiers, ne peuvent bénéficier de la CMU), avantages fiscaux liés au PACS, droit opposable au logement, plans nationaux de rénovation des logements sociaux, désenclavement des cités, gratuité des transports en commun pour les chômeurs, etc. Toutes ces dépenses nouvelles, bien réelles, qui se chiffrent en dizaines de milliard d'euros, sont largement financées par l'emprunt, avec une dette d'Etat qui dépasse aujourd'hui les 2000 milliards d'euros (en comptant les retraites non provisionnées des fonctionnaires) et qui devra être remboursée par... nos enfants.

Néanmoins, elles entraînent également à court terme une hausse vertigineuse des intérêts de la dette publique, qui représente aujourd'hui le premier poste de dépense de l'Etat, et qui, lui, doit être financé par les hausses de prélèvement ou les baisses de dépense publique.

Comme il est politiquement très risqué de toucher aux avantages des catégories sociales syndiquées, la tentation est grande de s'en prendre aux personnes qui ne sont pas organisées pour se défendre. Si, de plus, ces personnes ne représentent aucune menace pour la paix civile, si elles ne sont pas susceptibles de descendre dans la rue pour brûler des voitures, casser des vitrines et agresser les forces de l'ordre, il est d'autant plus tentant de faire peser sur leurs épaules le fardeau des dépenses supplémentaires engagées par les "généreux" politiciens soucieux de "justice sociale".

C'est ainsi que les parents de famille nombreuse se sont retrouvées depuis trente ans, et à leur insu, en haut de la liste des catégories que le gouvernement allait pouvoir pressuriser sans péril. Mais aujourd'hui, grâce à Internet, nous pouvons nous serrer les coudes pour réagir tous ensemble.

Nous pouvons faire reculer le gouvernement en récoltant des dizaines de milliers de signatures. C'est pourquoi je compte sur vous pour signer votre pétition ci-jointe contre la nouvelle réduction des allocations familiales, et pour transférer ce message à tous vos amis.

Avec tous mes remerciements,

Axelle Meerman-Theillier

www.cartedefamillenombreuse.com

16/04/2008

Pourquoi le Gouvernement s’en prend t-il ainsi aux familles…

Info ?... Intox ?.... Encore un test ?....

1992216779.gifRMC, le 15 avril au matin.
On nous annonce que le gouvernement, toujours pour faire des économies… a prévu, à compter de janvier 2009, de réduire les allocations familiales.
Vous savez, les allocations que touchent les familles… Toutes les familles à partir du moment où elles ont plus de deux enfants.

Et bien voilà, c’est encore la famille nombreuse, celle qui jusqu’à présent comptait 3 enfants ou plus ( je le rappelle… le seuil de renouvellement de notre population…) qui est visée.

Jusqu’à présent, les familles de 3 enfants et plus, recevaient pour leurs enfants de 11 et 16 ans, une majoration, de 33,84 euros par enfant de 11 à 16 ans et de 60,16 euros, par enfant de plus de 16 ans.

Et bien le gouvernement a décidé de remédier à ces abus… La majoration sera supprimée à 11 ans et celle, jusqu’alors versée à 16 ans, le sera à 14.

Je n’ai pas noté l’économie que le gouvernement avait budgété, je ne donnerai pas non plus mes propositions pour faire des économies, mais une chose est sûre, continuez ainsi, et les électeurs, fous de reconnaissance, feront aussi des économies de bulletin de vote à votre encontre.

Dominique BAUD

15/04/2008

Faire et défaire… C’est toujours travailler…

1470633909.jpgMa grand-mère me disait toujours qu’il valait mieux tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler pour éviter de dire des bêtises.

J’ai repensé à ceci en entendant la semaine dernière, la cacophonie concernant la possible suppression de la « carte famille nombreuse ».

Rien de mieux que de reprendre les faits : une proposition intégrée, début avril, dans les 166 propositions du Président de la République lui-même pour faire des économies, une proposition défendue donc de fait par les ministres faisant valoir que la S.N.C.F devait assumer ses choix et que l’état ne pouvait continuer de prendre à sa charge ces avantages « sociaux » et un volte face devant le tollé général.
Et c’est alors, toujours à contre courant, qu’on amorce un débat, pour mieux reculer ensuite. L’Elysée a tranché. On oublie qui avait commencé.

Certains ont même parlé de mise sous conditions de ressources: Jean-François COPE et Jérôme CHARTIER se sont même exprimés en direct sur RMC. Surprise, je l’ai été devant autant de langue de bois. Pourtant, le titre du dernier livre de Jean François COPE était « Promis, j’arrête la langue de bois », surprise aussi du peu de réalisme de Jérôme CHARTIER, sur le salaire des Français lorsqu’’il affirme qu’il est favorable à une mise sous conditions de ressources « Vous comprenez, une famille avec trois enfants, qui gagne 15.000 euros par mois, n’a pas besoin de cette carte !!!! ».
Je suis d’accord, mais quelle blague. Combien sont-ils les français qui gagnent plus de 15.000 euros par mois ?

Cela me rappelle les échanges vifs que j’ai eu au conseil de Paris pendant de nombreux mois, afin d’essayer d’assouplir la volonté de la ville de Paris dans sa décision de mettre la carte Paris famille sous conditions de ressources dans l’octroi des 300 euros annuels accordés sur une facture de cantine, de centre de loisirs, d’association culturelle ou sportive.
La mairie…. Socialiste…. n’a rien voulu entendre, pas même une pondération en fonction d’une part, du nombre d’enfants, et d’autre part, du montant des charges pour se loger ( loyer ou remboursement d’emprunts…) puisque personne ne peut ignorer les coûts très discriminatoires du logement à Paris, et les difficultés de plus en plus grandes, notamment pour les familles nombreuses.
A Paris, avec des revenus de plus de 5.000 euros, une famille de trois enfants ou plus est riche.

Et bien voilà, la « carte de famille nombreuse » continuera à exister. L’Etat paiera et je trouve cela normal, car il s’agit là d’une mesure familiale et économique et non d’une mesure sociale.

En effet, il ne faut pas oublier l’importance d’avoir encore en France des familles dîtes nombreuses, c’est à dire de trois enfants ou plus, afin de prévoir un renouvellement des générations. Avoir des enfants est une vraie richesse, un bonheur immense et pour autant, c’est une charge pour les parents et une chance pour notre société. Ne l’oublions pas, restons fermes sur notre projet d’exiger une vraie politique familiale.

Hier, pour économiser 70.000.000 d’euros on voulait supprimer cette carte et aujourd’hui, on veut l’étendre aux familles monoparentales et aux familles à revenus modestes de moins de trois enfants. C’est la dénaturer.
Quand arrêterons-nous de jouer à ces jeux démagogiques qui décrédibilisent les responsables de notre société et les élus.

Car demain, les 70.000.000 d’euros, qui étaient déjà de trop, doubleront, voire tripleront… La mise sous conditions de ressources sera immédiate et la carte famille nombreuse, n’aura plus que le nom, on cherchera les enfants…

Dominique BAUD

12/04/2008

Bon rétablissement Monsieur le Président

1858880703.jpgAlors même que je me rendais en fin d’après-midi au service de cardiologie de la Salpêtrière…. J’apprenais que Jacques CHIRAC s’y trouvait aussi depuis le matin.

Permettez-moi, Monsieur le Président, de vous adresser tous mes vœux de prompt rétablissement, et de vous dire publiquement toute l’admiration que j’ai pour celui pour lequel, à 18 ans, j’ai adhéré au R.P.R et dont tout le monde reconnaît chaque jour davantage les qualités de Chef d’Etat.

Dominique BAUD

11/04/2008

Scoop

1422000528.jpgHeureusement que je reçois et lis le journal «Le Parisien » pour apprendre les nouvelles…
Aujourd’hui, en page 2 du journal de Paris, je découvre que l’UMP s’est réunie hier pour distribuer les sanctions.

Des prémices aux promesses de M. Patrick DEVEDJIAN, qui annonce des sanctions encore plus fortes pour ceux qui n’obéiront pas aux directives du parti dans l’avenir, car pour lui, c’est LA méthode pour gagner les prochaines élections…

Alors, qu’apprenons nous dans cet article.
- Que plusieurs candidats dissidents sur Paris sont suspendus, pour 1 ou 3 ans.
- Que Véronique DELVOLVE, devenue Modem, est suspendue pour trois ans pour s’être présentée contre Rachida DATI dans le 7ème arrondissement… Mais puisqu’elle est passée au MODEM, je doute que cela l’affecte outre mesure.
- Que François LEBEL (non Jean-François comme dans l’article) échappe lui à toute sanction car il a gagné. Soit, si j’habitais le 8ème, refusant tout parachutage, j’aurai voté pour lui, mais tout de même, c’est deux poids , deux mesures.
- David ALPHAND, lui, dissident dans le 16ème, le seul arrondissement qui n’a pas eu besoin d’un 2ème tour, était délégué de circonscription et dissident. Et bien lui, élu conseiller de Paris, il est suspendu pour un an…
- Raoul DELAMARE, tête de liste, candidat dissident dans le 20ème arrondissement est lui aussi suspendu pour un an…
- 3 autres personnes issus des 5ème, 10ème et 11ème arrondissement (dont un délégué de circonscription) sont eux suspendus pour 3 ans…
- Véronique DEMAIZIERES quant à elle, sauf erreur de ma part, est dans le 14ème arrondissement et non dans le 16ème…Elle écope d un an de suspension…
- Concernant le 15ème, j’ai du mal à comprendre : « La dissidence du XVème, menée par Cécile RENSON et Dominique BAUD est frappée d’une suspension de trois ans (un an pour ses colistiers) ». Sans compter le fait que ces sanctions sont distribuées à la tête du client, à moins que ce soit en fonction du nom des adversaires officiellement désignés, il y a quelque chose qui m’échappe.
- En ce qui concerne Cécile RENSON, il est de fait qu’elle a été exclue par un courrier de ce début d’année 2008. D’autre part, elle ne conduisait pas la liste, puisque le n°1, Gérard d’Aboville, venu de Crach pour l’occasion, a oublié de l’emmener avec lui dans la liste de fusion. Alors exclue ou suspendue ? Et M. d’ABOVILLE et ses amis, suspendus puis réintégrés sans doute.
- Mais, en ce qui me concerne, je suis sûre. J’ai reçu ma lettre d’exclusion fin janvier 2008, je ne peux donc pas être suspendue. Quant à mes colistiers, ils étaient 3 à avoir une carte de l’UMP. L’un d’entre eux l’a déjà renvoyée en fin d’année 2007 et les deux autres n’avaient pas l’intention de renouveler leur cotisation. Alors cette mesure ne les affectera pas plus que moi.

Mais il y a tout de même 2 choses à tirer de cet article :
- Il est inadmissible que l’UMP informe les journalistes avant même ses adhérents…et que ces derniers découvrent cette information en lisant le journal, un beau matin.
- Ces décisions à géométrie variable relèvent du « fait du Prince », ce qui dans un pays démocratique, perd un peu beaucoup de sa valeur.

Dominique BAUD

09/04/2008

La grève dans les crèches parisiennes

1629270348.jpgPetite enfance...

La mandature qui commence revit les mêmes mouvements qu’en 2001, mais est-ce pour les mêmes raisons….
J’ai suivi avec une grande attention les actions de la Ville de Paris durant la dernière mandature et bien que non réélue, mon intérêt pour le sujet et pour bien d’autres n’a pas disparu.
En 2001, on déplorait le manque de places en crèche, un fait réel.
L’énergie déployée par la ville entre 2001 et 2007 a produit des effets incontestables, même si je n’ai pas toujours été d’accord avec les chiffres annoncés.
Presque 6.000 places de crèche en plus certes, mais si construire des structures et en réhabiliter d’autres est indispensable, il fallait aussi penser au recrutement effectif du nombre de personnel nécessaire, difficulté accrue du fait des 35 heures, alors que ce personnel bénéficie déjà de presque 60 jours de congés payés par an.
Un casse tête pour les directrices qui déplorent d’avoir un rôle de plus en plus administratif, sans parler de leurs inquiétudes grandissantes au fur et à mesure de la mandature passée quant à la réelle sécurité des enfants dans leurs établissements.
Accepter les enfants pour satisfaire les parents ou les refuser au delà d’un certain nombre ou à compter d’une certaine heure du fait de la diminution du nombre de personnel, c’est un dilemme quotidien.
Un problème qui ne doit pas être de la responsabilité d’une directrice, sauf à lui donner la responsabilité du recrutement.
Et là, il faut encore pouvoir recruter du personnel formé et qualifié. Or il n’en sort pas suffisamment des écoles.
Alors l’Etat est responsable. Sans doute en partie. Ces messieurs ont sans doute oublié qu’en 2008, bon de femmes travaillent et qu’elles ne veulent pas pour autant se priver d’être mères.
Alors, pourquoi ne pas créer une école à Paris, comme je l’ai proposé à de nombreuses reprises lors de la mandature précédente.
M. NAJDOVSKI, nouvel adjoint à la petite enfance promet déjà 4.500 places de plus pour cette mandature et envisage qu’avec les 35 heures, les parents n’ont plus besoin de faire garder leurs enfants 5 jours sur 7.
Il n’est ni raisonnable, ni responsable de croire régler le problème en réduisant les solutions à telles affirmations.

Dominique BAUD

 

02/04/2008

Puisqu'il faut en arriver là ...

1494287468.jpgJe suis administrateur de ce blog depuis de nombreux mois.
A ce titre je suis scandalisé par ces accusations infondées. Les propos tenus sur ce blog nous ont conduits, en effet, à vouloir identifier le ou les auteurs de certains commentaires. Quant à vos accusations de dénonciation, vous savez tout à fait qu’elles sont infondées, mais peut-être est-ce vos propres méthodes que vous voulez attribuer à d’autres.

Tout cela, plus le fait que nous avons de fortes présomptions, de croire que tous ces posts viennent d’un même interlocuteur, nous conduit à faire comme bien d’autres, c'est-à-dire modérer ce blog.

N’oubliez pas, hier c’était le 1ier avril !

Jérôme

18:49 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : dominique baud, stop