Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

27/05/2008

Fête des voisins… 27 Mai 2008

 

" Immeubles en fête - la fête des voisins "

c’est l'occasion de rencontrer ses voisins

 pour développer la convivialité

et rompre l'anonymat et l'isolement de nos villes.

612537624.jpg

Mieux connaître ses voisins c’est aussi mieux vivre ensemble.

Au-delà d'une soirée de fête dans l'année,

c’est un moyen de développer une vraie solidarité de proximité.

Alors, n’hésitez pas à en devenir l’initiateur pour votre immeuble.
Ou, rejoignez l’immeuble voisin…

Dominique BAUD
Présidente de CCBV (association de quartier)

 

24/05/2008

Bonne fête maman

Demain, dimanche 25 mai, c'est la fête des mères.
Un jour magique: l'angoisse du petit qui va chanter sa chanson ou réciter son poème, la joie des plus grands de constater la surprise et la  joie de sa maman à l'ouverture des paquets qu'on a mis autant de temps à faire qu'à choisir.

549432974.jpg


 
Je souhaite une Bonne Fête à toutes les mamans.
 
J'ai une pensée pour toutes celles qui n'ont pas la grande joie d'être maman et pour tous les enfants qui n'ont plus leur maman.
 
Et parce que
 
La mémoire est le début de la défense de leurs droits

n'oublions pas que le  25 mai, est aussi la Journée mondiale des Enfants disparus.

 

Dominique BAUD
 
 
 

22/05/2008

Couac à l'UMP

886907933.gifIl y a des choses dont on peut rire, sauf à en constater l’origine…et la responsabilité des auteurs dans la conduite de la politique de notre pays.

Aucun autre commentaire ne s’impose, les lettres jointes, originalement signées par leur auteur, suffisent à elles-mêmes.

J’en déduis que ces deux lettres me concernent…puisqu’elles me sont toutes deux parvenues.
Mais de « Mme le Conseiller » en janvier 2008 (LR/AR), je suis devenue « Monsieur » en mai 2008 (lettre simple). Quant à mon adresse, elle est erronée, je n’ai jamais habité rue Cauchy.

 Lettre d'exclusion (Janvier 2008).pdf

Lettre de suspension (mai 2008).pdf

Dominique BAUD 

A l'aide

 1888327844.gif

Le peuple Birman a besoin d’aide, les français, toujours généreux accourent. Le Mistral est à 10 minutes du sinistre depuis plusieurs jours. Des victuailles, des médicaments, des vêtements, du réconfort humain. Bref, de quoi sauver 100.000 personnes pendant 15 jours. Et on attend que des militaires continuent à abuser de leur pouvoir en laissant mourir et souffrir toujours et encore des milliers d’enfants, des milliers de femmes et d’hommes. Mais que faire ?

J’espère simplement que lorsque le pouvoir Birman autorisera les secours, les denrées ne seront pas périmées, car ce serait encore pire de ne pas les avoir distribuées à d’autres.

Dominique BAUD

 

15/05/2008

Couac à l’Assemblée Nationale,qu’en penser?

325303429.jpgLorsque je prends position, je m’applique à le faire sur des sujets que je connais et que je maîtrise quelque peu. Personne ne peut avoir un avis sur tout au risque de manquer rapidement de crédibilité.
C’est pourquoi en aucun cas je ne me risquerai à quelque commentaire que ce soit sur le fonds s’agissant de la proposition de loi sur les OGM. Interpellée néanmoins par les nombreuses divergences de point de vue des scientifiques sur le sujet, je reste persuadée que les conséquences, dans un sens ou un autre, ne seront visibles que dans le temps.
Rester très vigilant et ce dans la durée me semble la vraie conduite à tenir.

Par contre, à l’occasion de ce débat, ce « couac » pour la majorité présidentielle met à nouveau en avant l’absentéisme en séance des députés. Certes, ce n’est pas un fait nouveau, mais j’en profite pour regretter que la proposition de Laurent VAUQIEZ, au début de l’été ait subi une fin de non recevoir.
Loin de moi d’affirmer qu’ils ne travaillaient pas au moment de ce vote, mais pourquoi n’étaient-ils pas plus nombreux en séance ?

Ont-ils préféré être absents plutôt que d’affirmer leur désaccord avec un texte qui ne semble pas faire l’unanimité.
Ils auraient pu être présents et s’abstenir comme l’ont fait deux députés de la majorité présidentielle. C’est cela l’expression de la démocratie.
Et c’est surtout cela l’ouverture. Savoir voter un bon projet présenté par ses adversaires, voire même rejeter un projet présenté sans vrai consensus par sa propre majorité.

Craignaient-ils une réprobation, voire une sanction ?
Si c’est le cas et je le crois pour certains, c’est un manque réel de courage.
Se font-ils élire pour nous défendre et nous représenter ou pour défendre leur statut dans le temps et la pérennité de leur mandat.

Il est vrai que c’est prendre un risque.
J’ai vécu cela au Conseil de Paris, lors de la dernière mandature.
Alors que nous avions pu obtenir « liberté » de vote sur le projet Beaugrenelle pendant des années, lors du dernier vote au Conseil de Paris, la Présidente du Groupe Politique auquel j’appartenais a voulu faire voter tout son groupe de la même manière, c’est à dire contre.
Apprenant que j’étais la seule présente en séance à avoir voté pour ce projet depuis le début de la mandature, on m’a demandé de sortir de l’hémicycle pendant le vote. Ce que j’ai refusé de faire…

Cette liberté et cette indépendance a un prix.
Mais je ne regrette en aucune façon d’être restée libre et crédible.

Dominique BAUD

05/05/2008

Rentrée des classes : de l’école au Service Minimum.

80177147.jpgOui, il faut réformer l’école, et arrêter de reculer chaque fois qu’il y a des contestations et de ce fait valider autant de mesurettes qu’il y a un nouveau ministre de l’Education Nationale.

Pour autant, et sans que je défende en aucun cas, ni les enseignants, ni les syndicats, il faut arrêter de parler de concertation, de dialogue et refuser l’une et l’autre. Si pour une fois, les uns et les autres acceptaient visiblement et honnêtement de se mettre autour d’une table et d’accepter de dialoguer sans tabous, sans non dit, je suis sûre qu’on avancerait. Là, on joue à celui qui sera le plus fort. Le gouvernement dit qu’il y a dialogue, les syndicats disent le chercher… Les syndicats annoncent une grève et le gouvernement menace d’imposer avec une loi.

Résultat, il y aura grève et les victimes, ce seront une fois de plus, les élèves et leurs parents.

Mais voilà qu’une nouvelle mesure s’annonce. Un service minimum.

Sur le fonds et sur le principe, j’applaudis des deux mains. Mais attention, revenons à la définition du Service Minimum.

« Le service minimum désigne l'obligation faite aux salariés …d'assurer un service, minimum, en temps de grève »

Alors, je dis OUI, au Service Minimum, mais il doit être assuré par des professeurs, et non par des fonctionnaires municipaux, chargés pour la circonstance d’assurer une garderie.

Et alors là, on pourra parler d’un VRAI service minimum à l’école.


Dominique BAUD