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18/12/2012

L’accord

On parle en cette fin de soirée comme d’un évènement majeur, alors même qu’on se rend bien compte  que c’est un accord au forceps qui a été conclu. Et comment vont-ils faire maintenant  pour réduire l’image détestable donnée depuis le 18 novembre dernier ?

Un accord surprenant d’ailleurs puisqu’il inclut l’engagement de chacune des parties de ne pas intenter d’action en justice….

On devrait en voir les effets en janvier, dissolution du groupe UMP dissident à l’Assemblée Nationale en Janvier contre la nomination de Laurent Wauquiez et de Valérie Pécresse à la direction collective du parti.

Mais après L’accord, il y a La Question…. François Fillon sera-t-il encore candidat ou confirmera t-il sa déclaration de fin novembre dernier et son retrait de la course à la présidence de l’UMP ?

A 8h35, ce mardi 18 décembre sur RMC, nous en apprendrons sans doute davantage avec Jean-François Copé. Comptons sur Jean-Jacques Bourdin pour poser les bonnes questions…

Dominique Baud

 

 

09/12/2012

Ils ne se ré-aiment plus

Xavier Bertrand lui-même, sans doute en colère, surtout pas résigné et espérant peut-être en tirer profit semble en avoir plus qu’assez.

Sue BFMTV, il a demandé « solennellement » à ce que François Fillon et Jean-François Copé trouvent dans les jours qui viennent des solutions de sortie de crise.

Les portes paroles apparaissaient somme toute très embarrassés ces derniers jours et de moins en moins loquaces au fil du temps.

Trêve du week-end le temps des législatives partielles, opportune excuse. Mais aujourd’hui plus personne n’y croit et si les candidats socialistes n’ont pas tiré leur épingle du jeu à l’occasion des trois législatives partielles de ce dimanche, c’est aussi parce que rien ne va plus de leur côté non plus.

C’est certainement l’abstention qui une fois de plus va gagner. On verra dimanche prochain avec combien de votants les trois députés concernés sont élus.

Espérons au moins que personne n’aura le mauvais goût de crier victoire.

Dominique Baud

26/11/2012

Gagner coûte que coûte

C’est toujours la pagaille à l’UMP.

De plus en plus nombreux sont les observateurs qui comprennent cette crise par l’échec de celui qui croyait gagner haut la main  et qui plébiscite aujourd’hui, le recours à la justice, voire l’organisation d’un nouveau vote, au nom de la raison !!!! ou de l’intérêt général !!!!

Sans parler de la contestation des statuts dont pourtant ils se sont tous servis pour être élus.

Alors scission du groupe parlementaire demain ou pas, on verra…. Car on a entendu beaucoup de choses ces derniers jours, mais je doute du courage de bon nombre d’entre eux d’aller jusqu’au bout de leurs déclarations.

Alors pourquoi ne pas envisager la fin du bipartisme… Ce serait la porte ouverte à un réel renouveau de la classe politique française, à droite, et elle en a bien besoin. 

Dominique Baud

19/11/2012

Deux jours qui se suivent et ne se ressemblent pas

Ce samedi, le succès de la manifestation était sans appel : digne, sereine mais déterminée. C’est ainsi qu’est apparue la foule immense (plus de 100.000 personnes) qui a défilé à Paris, de Denfert Rochereau aux Invalides, sans discontinuer, pour dire son désaccord à la loi dite du  « Mariage Pour Tous ».

Ce dimanche, le succès de l’élection du Président de l’UMP est beaucoup moins spectaculaire. Deux candidats qui se déclarent d’ores et déjà élus, des partisans qui s’affrontent sur les plateaux avec une mauvaise foi qui nul doute laissera des traces.

Quant à Bernard Debré, dont on a lu récemment qu’il voulait briguer la Mairie du XVIIème (et donc virer Brigitte Kuster….), il déclare pour se justifier que l’UMP est en train d’apprendre la démocratie. Il serait temps.

Donc, pas de résultat ce soir et sans doute encore de belles empoignades dans les jours qui viennent…

Dominique BAUD

16/11/2012

Confusions des genres

Une information m’a été transmise par l’équipe de campagne de François Fillon, bien que ne faisant plus partie de l’UMP, mais les « exclus auraient-ils le droit de voter ?»,  par mail et par SMS.

Je cite : « Sondage IFOP MATCH, FILLON /HOLLANDE,  53/45 et Copé /Hollande,  42/55. Dimanche, votez François FILLON, le meilleur pour nous faire gagner…. »  

Le Président de la République aurait-il omis de nous informer qu’il se présentait à la tête de l’UMP ? J’en doute, mais il va être content, comme le seront Jean-François Copé et ses supporters, de découvrir ce soir cet amalgame fait par les équipes de campagne de François Fillon. Qui que soit dernière cette communication, ces méthodes d’arrière garde ne vous honorent pas et sont loin de la nouvelle gouvernance souhaitée par les français.

L’élection présidentielle n’est pas dimanche, qu’on se le dise….

Dominique BAUD

12/11/2012

Moins d’une semaine …

 

Cette élection serait un non-évènement si elle n’avait été le centre de manifestations verbales particulièrement violentes entre les deux candidats restés en lice et qui tous deux prétendent, à compter de dimanche prochain, devenir le président de l’UMP, voire même déjà, le candidat pour l’élection présidentielles de 2017.

Deux hommes bien différents.

L’un qui est vu en candidat sobre, posé, de bonne éducation, dont les déclarations sont jugées, souvent après coup, pleine de bon sens, mais…

L’autre, tribun, provocateur, ambitieux et …chef de parti….

Pour qui les adhérents de l’UMP vont-ils voter dimanche ? D’ailleurs ont-ils vraiment envie de voter pour l’un ou l’autre ? Et combien seront-ils à aller voter ?

Un jour, ils sont 300.000, le lendemain, on nous parle de 260.000, mais il est vrai que les mails se bousculent y compris auprès de ceux qui ne sont plus adhérents depuis des années.

Laurent Wauquiez lui-même a déclaré en direct que 50% de votants, ce serait satisfaisant…

On sent bien le malaise. Si dans un parti, seulement la moitié des militants se déplacent pour élire leur président, je ne sais plus ce que c’est qu’un militant.

Mais somme toute, avec les élus que nous avons, il est vrai que le militantisme n’existe plus. Plus de permanences, plus de réunions, plus d’actions de terrain… Pas étonnant qu’on perde les élections les unes après les autres… On oublie les électeurs entre deux élections et on voudrait qu’ils se souviennent de vous au moment de voter !!!

Dominique Baud

 

 

31/08/2012

8.000 signatures… Qui dit mieux

Pour prétendre être candidat à la Présidence de la République, il suffit de recueillir 500 signatures, mais pour prétendre à être candidat à la Présidence de l’UMP, c’est une autre affaire. Ce sont presque 8.000 signatures qu’il faut obtenir, je présume des adhérents à jour de cotisation.

Avec une assiette respective de 50.000 parrains pour le 1er et de 200.000 à 250.000 pour le second,

On peut se demander devant de telles contraintes qu’elle est l’élection la plus importante.

Ainsi d’ailleurs, les deux candidats les plus « gros » ont déjà réglé l’affaire des plus « petits », puisqu’un débat vient d’être annoncé,…, à deux, Fillon face à Copé….

Et les autres…. C’est déjà décidé, ils n’auront pas leurs signatures….

Je soutiens depuis longtemps l’idée que, même si dans l’absolu, dans une élection quelle qu’elle soit les candidats ne sont pas égaux ne serait-ce que de part leur passé, on doit, dans une démocratie leur donner les même moyens lors d’une campagne.

Mais cela c’est de la pure utopie.

Alors bien sûr, dans l’absolu, Jean François Copé devrait démissionner de son poste puisqu’il est candidat. Mais il est de pure hypocrisie de croire que cela lui enlèvera des moyens.

Mais le comble pour moi est que ceux qui réclament cette démission plus fort que les autres, sont les premiers à n’avoir jamais respecté cette exigence…..Regardez du côté de la Fédération UMP de Paris….

Dominique Baud

 

Des histoires de fichiers…

Rien de nouveau à l’UMP. Dès que des élections internes s’annoncent, on reparle des fichiers.

Et dans le XVème, « laboratoire » de toutes les expériences, on connait bien le sujet.

La règle était d’essayer d’empêcher tout candidat autre que celui désigné par les instances nationales du parti de se présenter. Et pour ce faire, il fallait décourager les autres candidatures, le meilleur moyen étant de les empêcher de pouvoir disposer du fichier pour faire campagne.

Ainsi et de fait, le seul qui pouvait y avoir accès était le candidat officiel

C’est pourquoi il est risible de lire aujourd’hui que le président de la fédération UMP de Paris, artisan de ces élections internes tout à fait antidémocratiques conteste aux autres ses propres méthodes, qui bafouent d’ailleurs les statuts du parti

http://lelab.europe1.fr/t/fichiers-d-adherents-ump-cope-e...

On peut aussi s’interroger sur des députés qui bafouent même dans leur propre parti, le règlement interne qu’ils ont mis en place.

Et dire que François Fillon parle d’une nouvelle gouvernance…. Les propos et le comportement de certains de ses soutiens les plus visibles risquent de ne pas vraiment l’aider ?

Car au-delà même de ce sujet récurrent qu’est l’utilisation des fichiers, ils agitent maintenant un autre fantasme, celui de demander à Jean François Cope de retirer sa candidature.

Quelle élection magique appellent t-ils de leur vœux en plaidant pour un seul candidat !!!

Même moi qui ne suis plus à l’UMP (exclue pour avoir osé en 2007, me présenter contre le candidat parachuté désigné par le parti pour notre circonscription), je reçois des mails… De Jean François Copé et de Valérie Pécresse (soutien de François Fillon).

Alors au moins, une chose est sûre, ces deux candidats ont le fichier… Mais apparemment pas à jour !!!!

Dominique Baud

 

15/07/2012

Pour qui roule t-il ?

Sans doute pour lui…

Ou plus sûrement pour personne en apparence, et demain pour celui qui aura de façon plus sûre le vent en poupe et avec lequel il aura le mieux négocié. Cela s’appelle de l’opportunisme.

La Politique (avec un grand P) mérite mieux, tout comme nos concitoyens d’ailleurs.

Et lorsqu’il explique que son défaut de positionnement est la représentation d’une démarche d’indépendance, je pense qu’il est le seul à y croire.

Reprenez ses interventions, ses interviews et vous comprendrez.

Alors comme d’autres, il déclare qu’il va profiter de l’été pour se déplacer dans les circonscriptions et écouter les attentes des militants.

C’est bien nouveau…

Ou plutôt pour en faire quoi, des promesses oubliées sitôt élu ???

Qui est-ce ?

Dominique Baud

 

06/04/2011

26 propositions pour clore le sujet, rien de moins sûr !

Combien de voix Jean-François Cope a-t-il fait gagner au FN en commençant son discours d’ouverture au débat sur la laïcité ?

Voilà ses propos … "Les Français ont besoin de solutions. Le FN a besoin de problèmes … un problème en moins, c'est un argument électoral en moins pour Marine Le Pen".

Il oublie que les problèmes sont là, bien réels pour une grande majorité de français qui s’inquiètent de leur avenir. En 2007, ils y croyaient, ils espéraient…Aujourd’hui le pessimisme les a gagné. Vont-ils garder leur emploi ?… Pourront-ils payer les études de leurs enfants ?…Combien de temps ces derniers mettront-ils à trouver du travail ?....Comment et pour quel prix seront-ils soignés demain ? … Comment feront-ils pour trouver une solution au problème de dépendance de leurs parents ?….Que sera demain le niveau de leur pouvoir d’achat ?

Alors oui, il y a des problèmes et croire ou vouloir faire croire qu’ils sont crées pour alimenter une campagne politique est l’expression d’une méconnaissance de la réelle situation de la majorité de ses concitoyens et notamment de ceux qui travaillent et qui n’ont rien d’assistés.

Le parti socialiste n’a pas été oublié dans ses propos. Normal.
Mais, après 4 ans de gouvernement, il est difficile de faire croire qu’il est dans le camp de ceux qui ont les solutions.
Ce camp existe-t-il d’ailleurs ?

Ce sont les hommes politiques qu’il faut changer, eux et leurs méthodes qui ne changent pas. Alors seulement on pourra y croire à nouveau.

Pensez à une école… Une directrice ou un directeur fabuleux… à l’écoute, pédagogue, ouvert, disponible…. En un an voire moins, s’il change, tout peut basculer. Et l’inverse est tout aussi vrai.

Oublier son ambition personnelle au profit des intérêts de la France et de ses concitoyens Vaste programme !!!

Mon programme pour les jours qui viennent … Vous faire par de mes impressions sur ces 26 propositions mais aussi alimenter de mes commentaires les propositions de nos adversaires socialistes.

A bientôt

Dominique Baud

28/12/2010

A lire...un espoir de changement de méthodes!!!

Ces ministres qui cherchent leur place à l'UMP

Par Anne Rovan, Jean-Baptiste Garat Le figaro.fr 

Au gouvernement, certains s'inquiètent de voir les postes clés leur échapper. 

http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gifJean-François Copé ne manque pas d'ambition. Mais s'étonne de celle qui anime les ministres. «Les parlementaires, dit-il, proposent leur aide de façon très sympa. À l'inverse, certains ministres et anciens ministres se poussent du col. Ils revendiquent carrément des postes à la direction du parti.» Le secrétaire général de l'UMP, qui dévoilera le nouvel organigramme du parti courant janvier, serait donc assailli de demandes. Il y a consacré beaucoup de temps, depuis son arrivée rue La Boétie, mi-novembre, jusqu'à son départ pour Cuba avant Noël.

L'appétit des ministres n'est pas vraiment une surprise. «Tout le monde se souvient de 2007. Ceux qui ont entouré Sarkozy pendant la campagne ont été nommés au gouvernement. Le parti, c'est le meilleur moyen de montrer que l'on soutient le président. C'est une bonne porte d'entrée pour espérer faire partie de ceux qui compteront après la présidentielle de 2012», décrypte Hervé Novelli, le secrétaire général adjoint du parti.

«L'agacement» de Sarkozy  

Mais Copé n'est pas disposé à donner suite à toutes les offres de service. «Le problème dans l'organigramme actuel de l'UMP, c'est que seuls les ministres ont des postes à responsabilité», avait-il déclaré bien avant son arrivée à la tête du parti majoritaire. Nicolas Sarkozy est sur la même ligne. Et en a discuté avec Jean-François Copé au cours d'un récent tête-à-tête. «Le président de la République considère aussi que ceux qui sont au gouvernement ont été servis. Il y a une petite pointe d'agacement chez lui à voir les ministres réclamer», explique un proche des deux hommes. Dominique Bussereau, nommé membre du bureau politique, n'y voit aussi que des avantages. «Il a raison de prendre des gens qui ont des disponibilités et qui ne sont plus au gouvernement», explique l'ancien ministre de l'Agriculture.

Certains ministres ou «ex» savent donc à quoi s'en tenir. Et ne se font guère d'illusion. Éric Besson, secrétaire général adjoint de Xavier Bertrand, n'a pas été reconduit. Et ignore encore quel sera son rôle dans la nouvelle organisation. «Je n'ai rien demandé et on ne m'a rien proposé», explique le ministre de l'Industrie. «S'il y a des choses à faire à l'UMP, je suis disponible, précise-t-il. Mais si les ministres ne sont plus les bienvenus, ce n'est pas grave.» D'autres ministres ont déjà eu des déconvenues. L'ancienne secrétaire d'État aux Sports, Rama Yade, visait un poste de secrétaire générale adjointe et a dû se rabattre sur le Parti radical de Jean-Louis Borloo, tout en demeurant membre du bureau politique de l'UMP. Laurent Wauquiez, proche de Xavier Bertrand -le prédécesseur de Jean-François Copé-, a dû renoncer à la coordination du projet. Nathalie Kosciusko-Morizet ne sera pas en charge des conventions puisque les conventions n'existent plus dans le format ancien. Nadine Morano, qui se sentait prête à devenir secrétaire générale du parti, a vu Jean-François Copé avant les fêtes. «Nadine pense qu'elle peut tout faire à l'UMP. Et c'est vrai qu'elle a toujours été très active dans le parti. Elle place toujours une réunion UMP dans chacun de ses déplacements ministériels», explique un ancien ministre. Dans l'attente d'en savoir plus sur leur sort, certains multiplient les critiques. D'autant plus que deux ministres ont échappé à la «doctrine copéiste»: Bruno Le Maire préparera le projet et Valérie Pécresse coordonnera les think-tanks. Les nominations de François Baroin et Luc Chatel qui pourraient bientôt intervenir risquent aussi de faire grincer les dents. «Copé, on ne sait pas bien s'il veut rassembler ou se conduire en chef de clan. Pourtant, là où ça compte, il se conduit en chef de clan», confie un membre du gouvernement. Lequel ajoute: «Copé doit faire attention aux choix qu'il fera. Le départ de Rama Yade, c'est une première alerte. Le fait de ne pas avoir su garder ce talent, c'est un échec. Et il doit l'analyser comme tel.»

Que les ministres se rassurent. Des places pourraient aussi se libérer d'ici à 2012. Car, à l'UMP, dorénavant, «c'est la fonction qui compte et pas le titre», explique un proche du secrétaire général qui ajoute que, ministre ou pas, «celui qui ne fera pas le job sera remplacé».

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Belle conclusion...Ce serait nouveau, mais au combien plus juste et efficace. Attendons de voir.

Des responsables présents et actifs, des élus présents et actifs au lieu des chaises vides, des excuses « bidon », tout cela pour cause de cumuls tellement nombreux que de fait ceux qui sont connus sont en fait ne sont nulle part sauf là où cela se voit, c'est-à-dire dans la presse ou à la télé.

Alors oui, belle conclusion, mais chassez le naturel, il revient au galop.

Mais je veux bien avoir tord. Un vœu pour cette nouvelle année 2011.

Dominique Baud

 

21/11/2010

Ami de tout le monde…

Déclarations intéressantes de Jean François Copé sur RTL, ce soir… On apprend qu’il est l’ami de tout le monde… ou devenu tel. C’est en effet de circonstance depuis qu’il a endossé la responsabilité de rassembler un parti politique dont la plupart des composantes ont pourtant été évincées du dernier gouvernement, ainsi que l’ont rappelé très justement les journalistes.

Mais je ne suis pas sûre de la portée de telles déclarations…Ni de leur sincérité.

Car il explique… que la carrière politique est une de celles qui durent les plus longtemps, 30 à 40 ans, donc, les mêmes, se côtoient longtemps, se quittent, se retrouvent, donc, il faut composer…

C’est bien de cela que nous ne voulons plus. Des politiques, toujours les mêmes, qui se succèdent et se remplacent et proposent donc, à tour de rôle, toujours la même chose.

Et que dire de ceux qui sont candidats à leur propre succession, et qui, bien que n’ayant pas tenu leurs promesses, prétendent séduire à nouveau, avec un nouveau programme.

Je l’ai déjà dit mais je persiste et signe : « Pour changer les choses… il faut changer les gens ».

Et en politique, cela devient vital au nom de la démocratie.

Dominique Baud

23:44 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : cope, ump, rtl