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14/02/2013

Un exemple à suivre

Je me garderai bien de porter le moindre jugement sur le fait que le pape Benoit XVI ait décidé de démissionner se considérant trop fatigué et trop malade pour pouvoir continuer à mener à bien sa mission.

Une chose est sûre et là, je rejoins les avis souvent entendus sur les ondes…. Si cela pouvait ainsi donner l’exemple à d’autres, aux dirigeants ou responsables, qui, envers et contre tout, s’accrochent indéfiniment à leur poste, à leur poste…

Mais ce serait un leurre que de croire à la sagesse de ces derniers, c’est pourquoi, il faut les y aider par des lois applicables et appliquées et sans contrepartie financière pour leur permettre de les détourner.

Mais, si beaucoup en parle, Qui le fera ?

Vous avez compris, je pense essentiellement aux hommes politiques !

Dominique Baud

31/08/2012

8.000 signatures… Qui dit mieux

Pour prétendre être candidat à la Présidence de la République, il suffit de recueillir 500 signatures, mais pour prétendre à être candidat à la Présidence de l’UMP, c’est une autre affaire. Ce sont presque 8.000 signatures qu’il faut obtenir, je présume des adhérents à jour de cotisation.

Avec une assiette respective de 50.000 parrains pour le 1er et de 200.000 à 250.000 pour le second,

On peut se demander devant de telles contraintes qu’elle est l’élection la plus importante.

Ainsi d’ailleurs, les deux candidats les plus « gros » ont déjà réglé l’affaire des plus « petits », puisqu’un débat vient d’être annoncé,…, à deux, Fillon face à Copé….

Et les autres…. C’est déjà décidé, ils n’auront pas leurs signatures….

Je soutiens depuis longtemps l’idée que, même si dans l’absolu, dans une élection quelle qu’elle soit les candidats ne sont pas égaux ne serait-ce que de part leur passé, on doit, dans une démocratie leur donner les même moyens lors d’une campagne.

Mais cela c’est de la pure utopie.

Alors bien sûr, dans l’absolu, Jean François Copé devrait démissionner de son poste puisqu’il est candidat. Mais il est de pure hypocrisie de croire que cela lui enlèvera des moyens.

Mais le comble pour moi est que ceux qui réclament cette démission plus fort que les autres, sont les premiers à n’avoir jamais respecté cette exigence…..Regardez du côté de la Fédération UMP de Paris….

Dominique Baud

 

18/06/2011

Prise de position manifeste !!!

 

 

Une fronde a l’air de s’être engagée contre Roselyne Bachelot. On pourrait trouver plusieurs raisons à cela. Mais en fait, elle est due à sa position favorable au mariage entre homosexuels. Et, même si je suis loin de soutenir ses propos, il me semble important de souligner qu’elle va jusqu’au bout de ses convictions et cela au moins, c’est tout à fait respectable et mérite d’être signalé.

Et pendant ce temps là qu’ont fait les deux députés du XVème. Ils ont, selon les informations qui m’ont été transmises, brillé par une prise de position remarquable : NPPV !!!

Ils n’ont pas osé voter pour, … Ils n’ont pas voulu voté contre…Ils ne se sont pas abstenus… Non, ils font partie des 25 députés qui N’ont pas Pris Part au Vote. Quelles explications vont-ils donner aux  électeurs du XVème ?

Une fronde va-t-elle aussi s’engager contre eux et risqueraient-ils ne pas avoir l’investiture en 2012?

On raconte que ce serait pour ménager leur candidat pour Paris, François Fillon, et la forte population homosexuelle de Paris. Mais encore faudrait-il que cette dernière souhaite le mariage, ce qui est loin d’être prouvé…

Dominique Baud

 

14/11/2010

Etre Ministre, ça ne lui suffit pas…

Jean-Louis Borloo voulait être le prochain 1er Ministre et c’est tout ! Il a donc décidé de ne pas faire partie du nouveau gouvernement.

"Je préfère, en effet, retrouver ma liberté de proposition et de parole au service de mes valeurs, qui ne sont pas de circonstances, au premier rang desquelles je place la cohésion sociale", a-t-il déclaré.

Christine Lagarde avait déclaré il y a quelques jours :"J'espère que Jean-Louis Borloo n'est pas furieux, ne sera pas furieux, ce n'est pas son naturel. C'est un homme de grand talent, qui a une grande capacité à rebondir, à repartir, à imaginer. J'espère qu'on pourra continuer à travailler ensemble ». Elle s’est un peu trompée.

On ne peut pas jouer impunément avec les hommes. Ils ne sont pas impunément des marionnettes. Le grand « cirque » autour de ce remaniement dont on parle depuis plusieurs mois laissera des traces, c’est sûr.

Personnellement, ma préférence allait à François Fillon, je me suis déjà exprimée sur le sujet.

Mais au moins, Jean-louis Borloo, va, semble t-il, au bout de ses convictions Refuser un ministère n’est pas donné à tout le monde.

Mais, lorsqu’il dit « Je préfère, en effet, retrouver ma liberté de proposition et de parole au service de mes valeurs, qui ne sont pas de circonstances », je ne comprends pas bien comment il aurait davantage conservé cette « liberté de proposition et de parole au service de mes valeurs », s’il était devenu premier ministre. Et pourtant, il aurait accepté le poste !!!

A suivre…

Dominique Baud

13/11/2010

« La nuit porte conseil »

Cette citation de Ménandre a-t-elle inspiré le Président de la République lorsqu’il a décidé ainsi, de façon inédite, d’accepter ce soir, la démission du gouvernement de la France et d’attendre demain, pour nommer un nouveau premier ministre, qui, a son tour, lui proposera un nouveau gouvernement.

Toujours est-il qu’à cette heure, la France n'a plus de gouvernement.

François Fillon sera-t-il reconduit, nous le saurons demain. Encore aujourd’hui, les voix sont divergentes : maintenir François Fillon à son poste, le remplacer par Jean-Louis Borloo, faire un vrai remaniement, resserrer l’équipe par souci d’économie et d’efficacité…

Selon les commentateurs, les raisons de reconduire François Fillon seraient nombreuses : une raison de se vanter, si les résultats du printemps 2012 suivent, d’avoir été le seul président à garder son premier ministre durant tout son mandat, un moyen de définir une règle du jeu pour les dix-huit prochains mois et d’éviter la candidature d’un premier ministre qui semble avoir la faveur des français…

S’il est reconduit, la loyauté de Fillon sera mise à l’épreuve, ce d’autant que sa popularité est encore soulignée dans un sondage publié aujourd’hui par le journal Marianne, qui le donne, lui, gagnant contre Martine Aubry.

Et parce qu’il ne faut jamais laisser passer une occasion de s’instruire…

« Ménandre est un élève de Théophaste et ami d'Epicure, il développe la 'comédie nouvelle', pièce en cinq actes rythmés par des entractes joués par un choeur et mettant en scène des personnages stéréotypés. Auteur de plus de cent pièces, dont nous détenons des extraits sur papyrus, il ne gagne le concours de comédie que huit fois, souvent évincé par son rival, Philémon. Ses pièces, tel 'L' Arbitrage' ou 'Dyscolos', qui eurent plus de succès après sa mort, dépeignent avec ironie et émotion les moeurs privées et le rapport à l'amour et à l'argent de ses contemporains. Via les imitations qu'ont fait Plaute et Térance, Ménandre a influencé des dramaturges européens comme Molière» (source Evene)

 

Dominique Baud

31/08/2010

Mais qu’il démissionne !

Pourquoi une telle hésitation, pourquoi ne pas aller jusqu’au bout de ses convictions… Sans doute parce que finalement, être ministre, qu’on soit d’accord ou pas, c’est bien confortable.

Avoir le courage de quitter un tel poste n’est pas donné à tout le monde et encore moins sans doute quelqu’un qui, à priori, n’aurait jamais du être ministre de ce gouvernement. Dans ce schéma, M. Kouchner, vous rejoignez Mme Fadela Amara.

Au moins, tous les deux, vous osez encore vous exprimer. Mais à moins de deux ans de la prochaine échéance présidentielle, il est clair que tout cela fait de plus en plus désordre, et en France bien sûr mais aussi en dehors de nos frontières.

Mais voilà, ce n’était pas pour un gouvernement de cohabitation, qu’ont voté les français en 2007. Il serait temps de s’en souvenir.

Dominique Baud

 

 

21/12/2007

Pourquoi j'ai quitté le Groupe Paris Libre

Chers amis,

 

Il semble que certains veuillent faire courir la rumeur selon laquelle ma démission du Groupe Paris Libre du Conseil de Paris serait due à des "propositions particulièrement attractives" qui m'auraient été faîtes ou, selon une autre version, une vague "histoire de tête de liste".

 

Il est important pour moi de rétablir la vérité. Vous trouverez donc ci-après les vrais raisons de ma démission du Groupe Paris Libre du Conseil de Paris.

 

Dominique BAUD 

 

******


"Pourquoi je quitte le Groupe Paris Libre au Conseil de Paris" par Dominique BAUD



Lorsque j’ai accepté, fin septembre dernier de participer à la création du Groupe Paris Libre, je croyais sincèrement que les engagements pris par chacun allaient être respectés : un dialogue, du respect mutuel, une charte…
Au fil des semaines j’ai compris avec regret, que rien n’avait vraiment changé.

Ainsi que cela a été relaté dans la presse et sur internet, une réunion s’est tenue le 29 novembre dernier dans le 10ème, réunion dont j’ai appris l’existence de façon fortuite et à laquelle j’ai été conviée par les militants de l’arrondissement.

Alexandre GALDIN, représentant du Groupe « Paris Libre » propose d’emblée un communiqué de presse à envoyer avant 20 heures. Il est 19h30 !
Ce communiqué, qu’il lit, explique que des militants et cadres de l’UMP se sont réunis ce soir là et ont décidé de présenter des listes dissidentes contre les pratiques de l’UMP, particulièrement celles du parachutage, et qu’elles se présenteront sous le « parrainage du Groupe Paris Libre ». Non informée, je découvre cette déclaration avec surprise et consternation.

J’explique à mon tour qu’il faut distinguer « Paris Libre », groupe Politique récemment crée au Conseil de Paris, de la campagne municipale. Puis, je dis pourquoi et comment j’ai accepté de co-fonder ce groupe.
Je raconte ma conversation avec René GALY-DEJEAN, point essentiel de mon accord, lors de notre rendez vous, fin septembre dernier. Sa position était claire et sans ambiguïté: « J’étais déjà trop vieux en 2007, je serai encore plus vieux en 2008, je ne serai pas candidat aux prochaines municipales. Je ne serai peut-être pas sur la liste, ou peut-être en dernière position. Mais si vous et d’autres êtes capables de conduire une liste, je vous aiderai. »
Je m’étonne de cette déclaration de parrainage, de sa pertinence, d’autant plus que je n’ai pas été consultée préalablement.
Le communiqué sera modifié devant mon désaccord formel, soutenue en ce sens par la majorité de l’assistance.
Que ce serait-il passé si je n’avais pas été présente ?

De toute évidence, je ne peux laisser passer ces méthodes que je désapprouve, et qui se répètent, contraires à la charte de notre Groupe Politique, et veux en parler avec René GALY-DEJEAN.

Lors d’un rendez-vous fixé ce lundi 3 décembre au matin, je lui exprime mon désaccord sur les méthodes employées, bien loin des promesses et engagements d’il y a à peine deux mois.
S’agissant des élections municipales, je redis que rien ne sera possible si personne ne coordonne les actions et décisions. C’est le rôle de la tête de liste. Et je suis candidate.

René GALY-DEJEAN me redit qu’il met tout en place pour ne plus être candidat. Pour autant, il reconnaît qu’il refuse toute désignation de la tête de liste avant janvier. Mais, si les 15 derniers jours, il lui apparaissait qu’il soit nécessaire qu’il en prenne la tête, il le ferait. Propos déjà tenus en public et même relatés par la presse.

Je confirme mon désaccord à cette éventualité.
J’ajoute qu’elle me pousse encore plus à être candidate pour ce poste, car je serai certainement la seule à refuser de lui céder la place à la dernière minute.
L’ambiguïté qu’il entretient de pouvoir être tête de liste ne saurait perdurer.

J’aborde ensuite la question de la réunion du 10ème arrondissement.
Il ne serait d’accord ni avec le mot parrainage, ni avec le mot soutien…
En fait, ce qu’il n’accepte pas, c’est que lorsque je ne suis pas d’accord je le dise.
J’aurai trouvé plus utile, efficace et logique de rassembler des gens, de mettre des idées en commun, de recenser les arrondissements et ensuite de trouver un « label », afin de nous identifier.
Je trouve que là, on a fait les choses à l’envers.

S’agissant des municipales dans le 15ème arrondissement, il considère que personne autour de lui ne serait capable de conduire une liste, que nous ferions moins de 5%, et que dans ce cas, il ne nous apporterait pas son soutien.
Je lui dis au contraire, qu’avec son soutien, tout serait possible.
Je lui fais alors la proposition suivante : si lors de notre réunion prévue, demain mardi, nous nous mettons d’accord sur les 5 premiers de la liste dans l’ordre, nous soutiendrait-il ? NON. Il ne soutiendra personne avant de discuter avec le MODEM et ne pas veut pas aller plus loin avant janvier.

Il me cite même le nom d’une personnalité du MODEM pressentie à Marseille et qu’il « rêve » de voir en tête de liste dans le 15ème, chez nous.
Je ne peux être d’accord car j’ai toujours été contre les parachutages, méthodes que nous dénonçons d’ailleurs dans notre charte et avec nos amis du 10ème arrondissement !
Lorsque je signe une charte et que je la publie, c’est pour la respecter.

Ainsi, il soutient des gens et des projets qu’il ne connaît pas dans le 10ème et dans le 20ème, mais il refuse la même chose dans le 15ème à ceux qu’il connaît et avec qui il travaille.

Je suis choquée par le peu de considération qu’il a pour les élus qui le soutiennent, et je lui demande pourquoi et comment il accepte d’être entouré de gens aussi nuls.

Je lui rappelle aussi les termes de son livre « Il m’aurait sortie du néant… ».
Et bien il confirme. C’est vrai, j’étais dans le néant puisque j’étais une citoyenne lambda. Il m’a donc sortie du néant. Il confirme… Quel mépris finalement, pour moi bien sûr mais aussi pour tous les électeurs.

Je comprends qu’il ne prendra aucune position claire vis-à-vis de nous avant janvier, qu’il a sa méthode et que pour avoir son soutien il faut s’y plier.. « Sans lui, nous ne sommes rien. »

La réunion initialement prévue mardi, le lendemain de ce rendez-vous, n’aura pas lieu. Je n’ai même pas été informée de son annulation…

L’ambiguïté de ses déclarations à la presse, les contradictions de ses propos en réunion, l’incompétence qu’il nous attribue… me confortent dans l’idée qu’il n’a pas totalement renoncé à conduire à nouveau une liste en 2008.
Sa démarche, telle qu’elle s’exprime depuis deux mois, s’éloigne de plus en plus de notre charte et de mon engagement."

 

13/12/2007

Baud'attitude : Rire ou sourire tout est permis

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Vous trouverez ci-dessous le communiqué de presse relatif à ma démission du Groupe Paris Libre au Conseil de Paris.

Le Groupe est donc dissout.

PS : Et vous avez même le droit de penser que cela pouvait arriver !

Dominique BAUD
Conseiller de Paris
Elue du 15è arrondissement

**********************

Communiqué de Presse
Paris, le 13 décembre 2007


Dominique BAUD démissionne du Groupe Paris Libre


Dominique BAUD, Conseiller de Paris et Elue du 15è arrondissement, vous informe de sa démission du Groupe Paris Libre au Conseil de Paris.

En effet, elle considère que les engagements pris à l’occasion de la constitution de ce groupe au Conseil de Paris ne sont plus respectés, et que son objet est de plus en plus détourné de sa vocation initiale, sans même que ses membres fondateurs y soient associés.
L’ambiguïté des déclarations qu’il fait à la presse, les propos contradictoires qu’il tient en réunion, l’incompétence qu’il attribue à son équipe, confortent Dominique BAUD dans l’idée que René GALY-DEJEAN n’a pas totalement renoncé à conduire, à nouveau, une liste municipale en 2008, et ce, malgré les engagements formels pris en septembre dernier, au cours d’un entretien qu’il lui a accordé.

Dominique BAUD considère, que tous ces agissements ne sont pas conciliables avec ses convictions, la manière dont elle a exercé son mandat depuis sept ans, son souhait de faire vraiment de la politique autrement et encore moins compatible avec la charte qu’elle a co-signée.


Extraits de la charte
- « Nous voulons nous élever au-dessus de tout esprit partisan et raisonner en dehors de ce dogmatisme idéologique qui mine trop souvent les prises de position des appareils politiques parisiens.»
- « La responsabilité, c'est rester maître de son destin, assumer ses devoirs autant que ses droits. Cela suppose d'avoir le courage de dire la vérité aux électeurs… »
- « …une autre manière de concevoir la politique… »
- « Nous sommes convaincus du nécessaire renouvellement des équipes »

29/09/2007

Mercredi 26 septembre 2007, j’ai démissionné du Groupe UMP au Conseil de Paris

La meilleure des explications, vous la trouverez en lisant la lettre que j’ai adressé à Mme Françoise de PANAFIEU, Présidente de ce Groupe.

Mon appartenance à ce Groupe ne se résumait plus qu’à un nom de plus sur une feuille ou dans un tableau. C’est pour moi plus qu’insuffisant et c’est donc autrement que j’ai décidé de pouvoir continuer à m’exprimer librement.

 

 

 

Dominique Baud

 Conseiller de Paris

 Elue du 15è arrondissement

 

 

COPIE      Madame Françoise de PANAFIEU

Présidente du Groupe UMP-Conseil de Paris

4 rue de Lobau

75004 PARIS

 

                                  Paris, le 26 septembre 2007

 

Madame la Présidente,

 

 

Début juin dernier, j’ai été suspendue de l’UMP, avec l’interdiction d’utiliser de quelque manière que ce soit le sigle de l’UMP et de me prévaloir de l’appartenance à notre mouvement. Ma faute consistait à avoir maintenu ma candidature aux élections législatives, dans la 13ème circonscription de Paris.

 

En juillet 2007, vous m’expliquez que ma suspension de l’UMP n’avait pas de lien avec mon appartenance au Groupe UMP au Conseil de Paris et que cela justifiait le prélèvement de ma cotisation mensuelle.

Mais pour autant, vous ne m’avez pas conviée au séminaire que vous avez organisé le 5 juillet dernier, ni même aux réunions de préparation du Conseil de Paris de ce même mois.

En septembre, l’histoire se répète. Vous ne m’avez pas davantage invitée à participer, comme l’ensemble des élus de Paris à vos séminaires, celui du 20 septembre… annulé, ni de celui de ce jour. De même, aucune convocation ne m’est parvenue, pour participer à la réunion de préparation du Conseil de Paris qui s’est tenue lundi dernier.

 

Mes courriers et mails sont restés sans réponse, de même que ceux adressés dans le même temps à Philippe GOUJON, Président de la Fédération UMP de Paris.

 

Suspendue de l’U.M.P… sans doute jusqu’après les élections municipales, mais selon vous, toujours membre du groupe U.M.P au Conseil de Paris, je ne suis pourtant plus conviée aux manifestations et réunions de travail de ce groupe auquel j’appartiens toujours.

Par contre, vous acceptez toujours que je valorise le groupe que vous représentez, par ma présence (séances du Conseil, commissions, jury, CA….) mon travail et mes cotisations.

 

Vous comprendrez donc, Madame la Présidente, que je ne saurais rester plus longtemps dans cette ambiguïté.

 

C’est pourquoi, devant un tel déni de démocratie, je vous informe par la présente de ma démission de votre groupe à compter de ce jour.

 

 

Je vous prie d’agréer l’assurance de mes sentiments distingués.

 

 

Dominique BAUD

18/06/2007

Alain JUPPE doit rester au gouvernement…

712627d259d605b59483b41a57574b82.jpgAlain JUPPE est un homme hors du commun. C’est en 1984, que rejoignant la section R.P.R du 15ème arrondissement, 13ème circonscription (déjà…) j’ai constaté le manque de jeunes et de dynamisme local.

C’est ainsi que pendant 3 ans, tout en m’investissant dans les campagnes locales de l’arrondissement, j’ai beaucoup milité avec les équipes d’Alain JUPPE dans le 18ème arrondissement.

C’est un responsable politique chaleureux, affable, aimant les gens différemment mais aussi à l’image de Jacques CHIRAC, gagnant à être connu, pour ceux qui veulent s’en donner la peine.

Alain JUPPE a payé cher sa fidélité, et a subi caricature sur caricature, bien loin de la réalité.

Vous imaginez combien, après ce que je viens de vivre dans notre arrondissement je suis bien placée pour comprendre ses souffrances.

 La France a besoin de lui, de sa compétence, de son intelligence et de ses qualités humaines souvent méconnues.

Monsieur le Président de la République , rien ne vous arrête.

Faites donc fi de vos déclarations et refusez sa démission.

 

Dominique BAUD