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31/03/2012

Parce que rire fait du bien…

UNE BLAGUE D'ACTUALITE PLEINE D'HUMOUR

« Un homme est en vacances et visite un zoo quand il voit une petite fille se penchant sur la cage d'un lion. Soudain, le lion attrape la fillette par la manche de sa veste et tente de l'arracher à l'intérieur.

L'homme s'élance vers la cage et frappe le lion en plein sur le nez d'un puissant coup de poing.

Gémissant de douleur, le lion saute en arrière relâchant la petite fille, et l'homme la ramène à ses parents terrifiés, qui le remercient infiniment

Un journaliste …. a vu tout l'événement.

Le journaliste dit à l'homme:

 "Monsieur, ce fut la chose la plus vaillante et courageuse que j'ai vu faire de ma vie".

L'homme répond alors:

 "Pourquoi ? Ce n'était rien vraiment. Le lion était derrière les barreaux. J'ai vu cette gamine en danger et j'ai agi comme je le sentais..."

 Le journaliste dit: "Eh bien, je vais m'assurer que cela ne passera pas inaperçu. Je suis journaliste, et le journal de demain aura cette histoire en première page ... Alors, que faites-vous dans la vie et quelle affiliation politique avez-vous? "L'homme répond: "Je sers dans l'armée Française et je vote pour le F.N."

 Le matin suivant, l'homme achète le journal et lit, sur la première page:

 "Un militaire fasciste brutalise un immigré africain et lui vole son déjeuner."

 

 

25/03/2012

« Je ne suis pas une "héritière", je suis une conquérante! » GPG

Voilà l’article que je viens de découvrir….(http://generationproximite.blogspot.fr/2012/03/je-ne-suis-pas-une-heritiere-je-suis.)

Au risque de me répéter, je suis partagée entre ma satisfaction de découvrir la nouvelle lucidité de quelques élu(es) du XVème arrondissement et un certain pincement au souvenir de tout ce que j’ai du affronter comme sarcasmes en 2007, période au cours de laquelle, les mêmes ne m’ont rien épargné.

Alors je m’autorise à reprendre à mon compte bon nombre de ce qui est écrit sur cet article que je vous invite à lire sur le blog de son auteur, à moins que par curiosité, vous ne recherchiez ces mêmes propos, bien plus anciens, sur mon blog.

Oui, le 15ème arrondissement est plus que jamais est convoité par la gauche…

Oui, la gouvernance du maire actuel ne peut que contribuer à une prochaine bascule

Oui, pour l’empêcher, il faut « changer les méthodes » : souvenez-vous un de mes slogans…« Pour changer les choses, il faut aussi changer les gens… »

Oui, 2014, c’est demain, et après, il sera trop tard…

Oui, les termes utilisés par ces messieurs sont d’un autre siècle. Leur mépris pour les femmes qui revendiquent « une place » par leur travail, leur compétence, leur disponibilité est constant. Celui de considérer qu’elles ne valent que pour des places de suppléante aussi.

Oui, le terme « d’héritière » n’est pas digne de la république, oui, celui de « dissidente », n’est pas digne de la Démocratie, oui, celui d’  « Ambition » n’est pas un gros mot et surtout pas un mot réservé à la gente masculine.

Je suis contente de constater qu’aujourd’hui, d’autres que moi considèrent que les circonscriptions n’appartiennent à personne. Et je regrette que ma candidature en 2007 n’ait pas été soutenue avec autant de virulence et de bon sens. Mais il faut sans doute attendre son heure. 2012, pourquoi pas. Une nouvelle gouvernance dans le XVème arrondissement avec deux femmes de droite élues députés… Là où l’UMP a décidé qu’il n’y en aurait aucune, avouez que cela aurait de la G….

Alors oui, Géraldine, agissons, nous les femmes et laissons ces messieurs à leur vocabulaire et à leurs méthodes du moyen âge. Une fois en place, c’est toujours pareil, les femmes leur doivent tout et eux n’ont jamais eu besoin de personne….Mais ils n’en sont pas à une contradiction …

Les vérités que j’ai exprimées en 2007, sont toujours d’actualité aujourd’hui… Le Maire du XVème n’habite toujours pas l’arrondissement, alors même qu’il annonçait son prochain déménagement, sans doute pour gagner des voix en leurrant l’électeur lors d’un débat avec son adversaire socialiste aux dernières élections municipales,… « Les promesses n’engagent que ceux qui y croient… »

Et pour continuer dans le «  Faites ce que je dis et non ce que je fais », on le reconnaît à nouveau, lorsqu’il juge, condamne, exclu, ceux qui, finalement ne font que suivre son exemple, lorsqu’il a été dissident en 2004 car il voulait être Sénateur, mandat qu’il a pourtant abandonné en 2007, malgré ses promesses, pour devenir député.

J’approuve cet article, non pas parce que ces termes innovent mais parce qu’il a l’avantage de valider tout ce que j’ai dénoncé en 2007.

Alors Géraldine, candidate dans la 12ème circonscription de Paris contre Philippe Goujon ? Tu as tout mon soutien, même si ma vie est dans la 13ème….  mes amis indécis de ta circonscription seront heureux de suivre l’avis que je ne manquerai pas de leur donner pour leur vote en juin 2012.

Dominique BAUD

 

23/03/2012

Ça suffit…

2 jours que nous n’entendons parler que de lui.

Il voulait mettre « la France à genoux », il n’avait d’autre regret que celui de n’avoir pas pu « tuer davantage »…

Alors, que certains aujourd’hui osent se demander si les choses n’auraient pas pu se passer autrement, si on n’aurait pas pu le capturer vivant, est une injure à ceux qui ont risqué leur vie, ont été blessés, se sont tenus en embuscade pendant des heures avant que l’inévitable ne se produise.

De même que sont inconcevables les propos de son avocat, au courant de rien, surpris de tout et qui a tout de même osé prétendre que le dialogue n’aurait pas été suffisant, même s’il a reconnu ensuite que cela n’aurait peut-être rien changé.

L’art de mettre de l’huile sur le feu, car le coupable, c’est lui, et il n’y a pas à regretter ce qui lui est arrivé car cela reviendrait à accepter qu’il aurait pu, un jour, recommencer.

Moi ce que je déplore, ce sont ces militaires massacrés, ce sont ces enfants abattus, ces familles endeuillées, ces crimes gratuits et odieux, et la crainte que peut-être, ils auraient pu être évités, car cet individu s’était déjà rendu coupable de faits condamnables.

Mais au moins lui, aujourd’hui ne fera plus de mal à personne.

Dominique Baud

 

21/03/2012

Exclusions, ça commence…

Thierry Solère serait-il le premier à être « provisoirement exclu » pour désobéissance? En effet, il ose se présenter aux législatives contre un parachuté « célèbre » et investi, Claude Guéant.

Sans doute encore une preuve qu’à l’UMP, on investit les candidats au mérite, à la proximité… et tout et tout…

« Beau discours » comme a dit Nicolas Dupont-Aignan aujourd’hui, il ne reste plus qu’une chose, l’appliquer.

Et c’est vrai pour tout.

A qui le tour maintenant, Brigitte Kuster, David Alphand, Rachida Dati… Pour ne parler que de Paris.

Dominique Baud

 

20/03/2012

Cela va finir comment ?

Il semblerait qu’elle soit bien décidée. Décidée à faire la campagne du président sortant mais aussi décidée à contrer l’UMP dans ses choix d’avoir donné l’investiture à Bernard Debré plutôt qu’à elle.

Ce n’est surtout pas moi qui vais contester sa détermination. Mais comment cela va-t-il finir Je n’imagine même pas que Bernard Debré puisse céder sa place. Et, j’espère que Brigitte Kuster va aller jusqu’au bout.

J’espère aussi que les électeurs iront jusqu’au bout de leurs convictions, de leurs déclarations, sachant reconnaître les qualités d’une élue de proximité, disponible et habitant au cœur de son arrondissement voire de sa circonscription

2012, ce n’est pas 2007. J’espère que les électeurs oublieront l’étiquette pour choisir un homme ou mieux une femme, là où ces dernières se présenteront. Que là où l’UMP les a balayées d’un revers de main, les électeurs les imposent par leur vote.

Et elles risquent d’être nombreuses à se manifester au lendemain des présidentielles. Vous l’aurez cherché.

Dominique Baud

 

17/03/2012

On y arrive

Ils devraient-être 10. 10 à se présenter aux suffrages des français pour devenir le prochain président de la république française. Lundi, le conseil constitutionnel devrait confirmer la liste

Par ordre alphabétique :

Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière),

François Bayrou (MoDem),

Jacques Cheminade (Solidarité et Progrès

Nicolas Dupont-Aignan (Debout la République).

François Hollande (PS), 

Eva Joly (EELV )

Marine Le Pen (Front national), 

Jean-Luc Mélenchon (Front de gauche),

Philippe Poutou (Nouveau parti anticapitaliste)

Nicolas Sarkozy (UMP)

Que vont décider Corinne Lepage et Dominique de Villepin, qui, à quelques dizaines de signatures près, ne peuvent se présenter ?

Comment vont se déterminer leurs électeurs potentiels ?

Quelle foi accorder aux sondages qui se multiplient ?

Quelle est la proportion des vrais indécis, des déçus, des écœurés, des encore enthousiastes ?

Une chose est sûre, personne ne devrait pouvoir être élu sans une quantité substantielle de voix sur son nom. Et il y a pourtant peu de chance que ce soit le cas entre les abstentions et les votes blancs.

Mais, on modifiera sans doute un jour les règles, mais seulement… la prochaine fois.

Dominique Baud

 

13/03/2012

69ème rang mondial

Pas de quoi être fier. C’est le rang qu’occupe la France en terme de respect de la parité en politique.

Pays moderne, développé…

Mais tant que des hommes, élus depuis quand…des décennies sans doute, se justifieront en déclarant avec ironie que « La qualité n’est pas une question de sexe »… Il est certain que la situation ne progressera pas et que la représentation des 54% des électeurs, qui sont des femmes, ne s’améliorera pas.

Et bien oui, je suis d’accord pour que les partis qui ne respectent pas la parité ne puissent dorénavant plus obtenir de subventions publiques.

Honte à tout parti politique, dont les dirigeants sont parmi les plus hauts personnages de l’état…, sont députés, les mêmes qui font la loi… et qui ne la respectent pas…

Dominique Baud

 

 

09/03/2012

Dati, c’est reparti

Bien qu’accompagnant « le candidat » dans de nombreux déplacements, elle ne désarme pas contre la candidature du premier ministre dans « SA » circonscription.

Quel esprit de «  propriété » !!!. Dommage que ceux à qui elle a piqué la place sans état d’âme en 2008 n’aient pas eu à l’époque autant de pugnacité. Car eux, déjà et depuis longtemps, sont chez eux, dans l’arrondissement, voire même dans la circonscription. Mais peut-être seraient-ils enfin en train de se rebiffer. Décidemment, ça bouge enfin à Paris…

Elle continue donc à réaffirmer qu’elle sera candidate face à François Fillon, selon ses déclarations sur LCI, le 28 février dernier. Philippe Goujon peut-il être totalement rassuré ? Pas sûr ? Mais alors où irait ce dernier, dans l’autre circonscription du XVème, celle où JFL vient d’ouvrir une permanence, pas gagné…

Car oui, la particularité du député de la 13ème circonscription, c’est qu’il n’ouvre une permanence que pour faire campagne. Signe de la proximité s’il en est qu’il a souhaité instaurer auprès de ses électeurs.

Qu’il est loin le temps de la vraie vie militante, des réunions mensuelles avec René Galy Dejean, des échanges avec Jacques Toubon, des dîners débats….D’une permanence ouverte toute l’année, espace d’accueil et de convivialité.

Dominique Baud

 

06/03/2012

Le Parti Liberal Démocrate vous convie…

 Atelier – débat

 "La liberté, c'est maintenant !"

 Avec Alain Madelin, Sabine Herold, Aurélien Véron
Arnaud Dassier Anne Bourdu

Le 14 mars à 19h30

Au Cedias, 5 rue Las Cases

 Le 14 mars, nous parlerons de liberté, si absente de la campagne présidentielle jusqu'ici. C'est pour nous l'un des enjeux essentiels au coeur de la croissance, de l'emploi et de notre qualité de vie future. Ne laissons pas l'UMP et le PS confisquer le débat et le réduire au tout-Etat, à la chasse aux riches et au rejet des étrangers qui "menacent notre civilisation". Ces questions ne répondent pas aux préoccupations premières des nouvelles générations. Ce sont pourtant elles qui vont devoir rembourser la dette qui leur est laissée, financer la retraite de leurs aînés et travailler à relancer la croissance dans notre pays. Qui leur demande leur avis ?

La France a besoin de faire émerger des idées neuves, portées par des générations nouvelles en vue d'assurer la transition vers un modèle économiquement et socialement performant. De nombreux pays européens ont déjà fait ce choix avec succès, souvent sous la houlette de jeunes dirigeants politiques.

Pourquoi pas nous Jamais, depuis 30 ans, notre pays n'a fait le pari de la liberté, c’est pourtant le fondement de la prospérité et du bonheur. Jamais il ne s’est appuyé sur la responsabilité individuelle pour restaurer la confiance, socle d'une société forte.

Notre ambition, c’est une France qui respecte les choix de vie de chacun, et offre de vraies chances de réussite à tous.

Et vous ?

 Aurélien Véron,                             Anne Bourdu                                    Arnaud Dassier

      Président                               Secrétaire Générale                              Vice-Président

 

02/03/2012

Que vont faire les jeunes ?


C’est la question qui se pose particulièrement à la veille de chaque élection présidentielle et à laquelle il serait hasardeux de répondre avec des à priori.

Car contrairement aux clichés trop souvent soulignés par la presse, il y a chez de nombreux jeunes un capital de réflexions et d’échanges dont certains devraient plutôt s’inspirer.

Mais pour cela, il faudrait accepter de les entendre, de les écouter, même quand ils contestent ou critiquent, et ne pas se contenter de groupies prêtes à obéir au « chef » simplement parce « qu’il a dit », qu’on le leur a demandé, et ce même si au fond d’eux-mêmes, leur conviction est ailleurs. (Dans notre 15ème arrondissement, je me souviens encore de cette jeune fille, militante UMP, finissant pourtant des études d’avocat, qui distribuait des tracts contre les travaux du Centre Beaugrenelle. Elle savait que j’avais soutenu ce projet contre l’avis des élus de la majorité du XVème arrondissement et m’a avoué être d’accord avec moi. Mais « on » lui avait demandé de distribuer ce tract donc…).

Aujourd’hui, j’ai entendu bon nombre de jeunes exprimant sur les ondes leurs regrets de constater la tournure que prend cette campagne électorale.
Observer chaque jour, un nouveau combat où deux camps s’affrontent ne les intéressent pas, ne leur donne pas envie pour demain, ne leur permet pas de faire sereinement un choix.
Ils aspirent plutôt à ce que le débat soit relevé et serait davantage prêts à voter pour celui ou celle qui accepterait de reconnaître qu’une bonne idée puisse venir du camp adverse.

Mais cela, les politiques l’entendront-ils ? Pas sûr.
Ils sont tellement sûrs d’avoir toujours raison qu’ils n’acceptent aucune contradiction et surtout pas venant de leur propre camp.

Grave erreur, si on refuse d’entendre les contestations de ceux qui pourtant, seraient prêts à voter pour vous… Le risque est de les perdre.

Dominique Baud