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19/01/2007

« La soupe de cochon »

 Une histoire vraie racontée par, MB, un vieil homme plein de sagesse.

Y-aurait-il eu un peu de provocation dans cette affaire, le porc n’en reste pas moins dans notre pays, un denrée alimentaire appréciée de bon nombre d’entre nous, et l’ingrédient principal de nombreux plats de notre cuisine traditionnelle.

C’est ainsi que je laisse à l’appréciation de chacun cette histoire au travers de laquelle il serait opportun de n’y voir que l’expression de bon sens d’un homme généreux.

Dans un village de France, un brave homme élève des porcs. Il en a 1.200.

On lui parle des SDF, et généreusement, il dit ceci:

« J’vas leur offrir3 cochons! des biaux! Des ben gras à lard! On va monter à Paris, et on va chercher eun’ place où qu’on pourra les griller au «barb’cul,» et pis i’ v’indront les manger. Eun’belle cotlette dans la panse,  ça requinque son homme!»

Pauvre naïf ! J’ai eu toutes les peines du monde à lui faire comprendre, que son offre généreuse était celle d’un «sale raciste»

« Ben quoi donc qui veulent? Du veau? Du boeuf? Mais j’’ai point moié. J’faisions du cochon. J’peux point leur donner c’que j’avions point. Ben tant pis, i’s’brosseront. Mais c’est ben c.. tout de même.»

14/01/2007

« Alertes enlèvements… » Bravo!

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Cette semaine , nous avons pu apprécier l’efficacité sans conteste de ce nouveau dispositif.

Dans ce monde où la violence, le désarroi, le déséquilibre mental et les difficultés quotidiennes entraînent certains à des actes terroristes, et bien sûr toujours envers les plus faibles et donc très souvent envers les enfants, je tiens à saluer cette initiative, sans laquelle sans doute, le pire aurait pu arriver à l’un des enfants disparu cette semaine.

L’enlèvement d’un enfant, son viol, son assassinat sont les délits et crimes les plus odieux qui soient.

Il est heureux que l’efficacité de cette nouvelle mesure, sa rapidité de mise en place et d’exécution et la solidarité nationale aient ainsi permis de sauver trois jeunes enfants du pire.

Dominique BAUD
Conseiller de Paris

09/01/2007

Subvention à l’association « La Clairière »

Conseil de Paris, 11, 12 et 13 décembre 2006

Département de Paris :

DDEE 06-83 G: Subvention à l’association « La Clairière » : dispositif de formation au métier d’auxiliaire parentale.

M. le Président, cher collègue,

Ce qui me conduit à intervenir su ce projet de délibération, c’est en fait quelques mots issus de la phrase d’introduction. Il s’agit en effet de l’octroi d’une subvention à l’association « La Clairière », qui souhaite renouveler son action destinée à orienter les femmes, je cite « de bas niveau de qualification », vers le métier d’auxiliaire parentale.

Je ne mets rien ni personne en cause, mais souhaiterais des réponses à un certain nombre de mes interrogations particulièrement cruciales.

  • Pouvez-vous d’abord me donner votre définition du métier « d’auxiliaire parentale»  et pourquoi cette orientation destinée particulièrement aux femmes « de bas niveau de qualification »
  • Qui octroie cette formation et quels en sont la durée et la forme ? 
  • Comment et par qui cette formation est-elle validée, y-a t-il un examen, un concours, un diplôme ? 
  • La ville de Paris va t-elle ainsi recruter par exemple dans les crèches municipales, ce personnel ainsi formé et à quel poste ?
  • Ou ce personnel est–il formé seulement « pour pallier à la pénurie de main d’œuvre, notamment en matière de garde d’enfants, et pour favoriser l’insertion sociale de femmes d’origine étrangère » je vous cite et est-il réservé aux familles qui n’auraient d’autres solutions et dans ce cas pour quelles raisons ?

 

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03/01/2007

Programme départemental d’Aide à l’Emploi 2006-2007

Conseil de Paris, 11, 12 et 13 décembre 2006

DEE-06-086G : Programme départemental d’Aide à l’Emploi 2006-2007 : approbation des marchés relatifs aux formations dans le secteur au domicile des personnes.

…En préambule à cette délibération, je reviendrai sur la réponse de M. SAUTTER. Vous avez orienté votre réponse précédente sur un débat qui ne correspond en rien à mon intervention. Mes questions concernaient la validation officielle de la formation dispensée par cette association, et notamment l’embauche possible de ces personnels ainsi formés dans les structures de petite enfance de la ville, où nous manquons cruellement de personnel. Ce serait d’ailleurs un signe fort de reconnaissance de cette formation.
De plus, je voudrai dire combien je trouve scandaleux votre commentaire sur le fait que ces femmes seraient plus serviables que celles issues de milieux plus favorisés. Je trouve ce jugement de valeur partisan particulièrement sans fondement et hors sujet…

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20/12/2006

Dominique Baud réagit sur le Perroquet libéré

"Travail des élus : enfin le débat !

Le hit-parade des conseillers de Paris établi par Le Perroquet Libéré a réveillé l'assemblée municipale. Comme nous nous y étions engagés, nous publions les réactions adressées par les élus. De droite et de gauche, ces élus s'accordent à dire que la méthode de classement retenue favorise nettement les adjoints au détriment des simples conseillers. Constructives, ces contributions au débat soulignent la nécessité de donner aux citoyens les moyens d'exercer un véritable contrôle démocratique de leurs représentants, ce qui passe par une meilleure diffusion de l'information (comptes-rendus de commissions, présence effective aux séances).
En tout cas, à lire les récits de ces lecteurs fidèles du Perroquet Libéré, on mesure l'ampleur du travail à accomplir pour faire vivre à Paris une véritable démocratie locale fondée sur la responsabilité des élus et la participation des citoyens."

La suite de l'article sur le site du perroquet libéré :

suite de l'article

08/12/2006

DROGUE : Faut-il dépénaliser ?

Sophie PELISSIE du RAUSAS
Présidente de l'association «Enfance sans drogue»

et Serge LEBIGOT
Président de « France sans drogue »

Seront les invités de

Dominique BAUD
Conseiller de Paris

DROGUE : Faut-il dépénaliser ?
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Le mercredi 13 décembre 2006
de 20h à 22h

Tabac de la mairie
102 rue Blomet
75015 Paris

06/12/2006

Vous avez dit démocratie…

Démocratie : «  Régime politique dans lequel le peuple exerce sa souveraineté lui-même, sans l’intermédiaire d’un organe représentatif  »

A l’occasion d’un récent café politique, je recevais dans le 15ème arrondissement, Rachid KACI, président de la Droite Libre.

Communautarisme, démagogie, électoralisme….Des mots qui caractérisent les partis politiques, selon les participants.

Démocratie…. Jamais cité…

Et c’est de ce système que sont issus ceux qui nous gouvernent….

Vouloir faire croire à une plus grande démocratie dans un parti politique ne suffit plus, il fut le démontrer au quotidien.

De même que je voudrais croire Françoise de PANAFIEU, lorsqu’elle affirme sur un plateau de télévision, que «  ce ne sont pas les huiles du parti qui décident des investitures… »

Et bien, de qui est composée cette commission d’investiture, qui reçoit des courriers, les enregistre , se réunit maintes fois sans donner aux candidats la possibilité de s’exprimer sur leur candidature et qui décide de façon totalement arbitraire, là de mettre un homme qui a déjà perdu 3 fois, là de refuser une femme car ce n’est pas celle qu’on attendait, là de parachuter un ministre…

Et le candidat malheureux n’aura d’autre choix que d’ouvrir son journal le lendemain, pour lire le nom du candidat retenu pour sa circonscription.

Quel exercice démocratique…

Résultat : en guise de renouvellement, une majorité de sortants pour certains élus depuis des décennies, en guise de féminisation, des circonscriptions confiées aux femmes car à priori elles resteront à gauche… ou des places de suppléantes.

Rendez-vous le 17 juin 2007, pour les comptes, au sein de l’assemblée nationale des « nouveaux talents » chers à Nicolas SARKOZY, et compter le montant des amendes, pour non respect de la loi sur la parité …

Dominique BAUD
Conseiller de Paris

04/12/2006

Délit de faciès…

C’est ainsi que j’appellerai la violence des propos dont j’ai été victime, devant témoin et devant mes deux plus jeunes enfants, ce samedi 2 décembre, boulevard de Grenelle, dans le 15ème arrondissement.

Je reprenais ma voiture et m’apprêtais à quitter mon emplacement lorsqu’une voiture a voulu se garer devant moi. Je lui ai fait signe que je partais, afin qu’elle stoppe son créneau, me laisse sortir avant de se garer.

Rien ni a fait, coûte que coûte cette personne tenait à se garer sans tarder. Et pour se faire, elle cogna mon véhicule, et fit manifestement de même avec le véhicule placé devant elle, au vu du mécontentement du propriétaire.

La conductrice fut interpellée par l’automobiliste ayant subi le même sort que moi, lui demandant pourquoi elle n’avait pas attendu que nos véhicules sortent de leur emplacement avant de se garer, plutôt que de les cogner l’un après l’autre.

Devant la grossièreté de cette dame et de sa fille, j’ai préféré me taire, écoutant, fenêtre ouverte ce flot d’agressivité.

A ma grande surprise, mon silence a déchaîné encore plus d’agressivité et j’ai eu droit à mon lot d’insultes : « Je me demande où vous avez appris à conduire… Evidemment, vous êtes une de ces bourgeoises au foyer qui ne fait rien et c’est certainement votre mari qui vous a payé une voiture. Mais vous feriez bien d’apprendre à conduire… J’ai le droit, moi, de vous parler comme cela… Moi, je suis une femme qui travaille… » Et je passe les grossièretés…

Et comme si cela ne suffisait pas, sa « fille », a continué… « C’est à cause de femmes comme vous que les femmes en sont encore là aujourd’hui… »

Les passants interloqués… continuaient néanmoins leur chemin…

L’autre conducteur était ahuri devant de tels propos grossiers et injustifiés.

Si je raconte cela aujourd’hui, c’est pour exprimer à nouveau mon indignation devant toute cette violence et tout ce mépris sans fondement.

J’ai vu dans les expressions haineuses et méprisantes de cette femme, toute l’expression du racisme qu’elle avait en elle.

Le comble…. Si vous voyez ce que je veux dire…

Je n’ose imaginer le monde dans lequel vivrons nos enfants si nous ne réagissons pas à tout cela.

Dominique BAUD

Conseiller de Paris

01/12/2006

Vous avez dit… « Les jeunes… »

Un soir de cette semaine, à l’occasion d’un conseil de quartier, dont le thème principal était la sécurité, nous avons parlé des jeunes….

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Mais de quels jeunes parle t-on ?

Pourquoi continue t-on ainsi, à assimiler le mots jeunes à celui de délinquants, lorsqu’en fait nous parlons de sécurité dans les quartiers.

Arrêtons, ces erreurs de langage …

Cette réunion faisait suite à une fusillade qui a eu lieu dans le quartier Balard, le 26 octobre dernier. De la drogue… Du racket ...Non, un conflit amoureux entre deux bandes rivales et l’un des intervenants s’est retrouvé,  blessé par balle à l’HEGP.

Ce qui m’inquiète parallèlement à ces faits, et mon inquiétude est partagée par de nombreux parents, c’est la sécurité de tous les autres jeunes du quartier, jeunes scolarisés, paisibles, partagés entre leur travail d’école, le sport, les jeux de ballons… et leur famille.

Famille, le mot clef de la structure qui si elle jouait son rôle, réduirait de fait cette délinquance de rue et cette violence.

Donnons à nos jeunes des raisons d’espérer et de construire demain leur vie avec optimisme.  

J’en connais qui d’origine très diverses croient en un projet politique pour demain. Rien de tel que de se projeter ainsi en avant et d’en devenir un acteur.

Les jeunes militants de l’UMP en sont et de la place pour discuter de nos valeurs et construire ensemble la société de demain, il y en a pour tous.

Dominique BAUD

Conseiller de Paris

25/11/2006

Colloque « La Famille et la Ville »

Dominique Baud en déplacement à Lyon au colloque «  La famille et la ville » en présence de Monsieur Dominique Perben, Ministre des transports et Monsieur Bruno Gignoux, Président de Lyon Nouvel Horizon. 

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A l'invitation de Madame Ines de Lavernée, responsable de l'atelier thématique "famille", j'interviendrai lors de ce colloque sur le thème : L'expérience d'une élue engagée auprès des familles.

Compte rendu du café politique avec Xavier Lemoine

Introduction de Dominique BAUD :


Bonsoir Xavier LEMOINE,

Nous sommes heureux de vous accueillir ce soir dans le 15ème arrondissement de Paris.
Vous êtes le Maire UMP de Montfermeil, une commune d’un département qui fait souvent parler de lui, la Seine Saint Denis, le 93.
Pour parlez de vous en quelques mots, permettez moi d’utiliser un extrait d’un article du Monde, du 2 juin 2006.
« Dans la principale rue commerçante de Montfermeil, le Maire, Xavier LEMOINE, 46 ans, marche à grands pas. On l’arrête, on lui serre la main, on le félicite et salue son courage : Là où les jeunes de la cité l’insultent et où les médias et une partie de la classe politique lui reprochent d’être irresponsable, les habitants l’encouragent à tenir bon. L’élu UMP, accusé d’avoir jeté de l’huile sur le feu des banlieues, sourit du décalage entre l’analyse des élites parisiennes et le vécu des habitants de banlieue, ceux qui subissent de plein fouet la hausse des violences aux personnes… »
Et bien nous, c’est justement pour ce courage qui est le vôtre que nous avons souhaité entendre votre témoignage ce soir.
J’en sais quelque chose, toutes les vérités ne sont pas toujours bonnes à dire, mais c’est seulement ainsi que nous changerons les choses, que nous mettrons chacun devant ses responsabilités, que nous réconcilierons les citoyens entre eux avec la politique et leurs élus et que demande notre société ira mieux.
« Concilier le dialogue et la fermeté, associer les familles et l’école, réconcilier les citoyens avec leurs élus, c’est réintroduire la notion d’autorité et de son respect par tous lorsqu’elle s’impose par son caractère juste et incontournable »
C’est autour de ce thème que nous allons débattre ce soir.


Guillaume MENAGER, qui a organisé cette réunion, va organiser les débats autour de votre témoignage d’abord puis en permettant à chacun de s’exprimer et d’engager ainsi un vrai débat.

GM : Qu’avez-vous fait pour susciter tant de passions de la part des médias ?

XL : J’ai observé la situation de ma commune. Je ne me suis contenté de relater des faits. Avec l’accord de la population, j’ai pris des mesures. Le rôle d’un maire est de protéger les habitants de sa commune : une augmentation des 600% des vols avec violences méritaient une mobilisation !

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24/11/2006

Je n’en peux plus de cette violence….

De la violence routière : personne ne respectant personne et chacun régressant les règles, ce sont souvent les innocents qui payent de leurs vies.

De la violence familiale : des femmes battues (on nous en annonce une tous les 3 jours en 2006), blessées, meurtries à vie, tuées… On s’en indigne mais que fait-on ?  des films, des estimations de coût, je doute que cela soit suffisant pour les protéger et leur permettre simplement de vivre. Des enfants tués car ils sont devenus la proie facile d’un violeur récidiviste ou aux prises, comme ce petit Nicolas auquel je pense aujourd’hui, qui a fait les frais d’une querelle conjugale entre deux adultes, des règlements de compte dans les quartiers.

Des chiens dangereux, qu’on continue à tolérer impunément, sans muselière et qui déchiquettent allègrement femmes et enfants

De la violence dans le sport, mais aussi en dehors. Ce nouveau drame à Paris, aux abords du PSG n’aurait-il pas pu être évité? Certainement que si….

De la violence religieuse, avec ce nouvel incendie criminel d’une église à Lyon, avec les agressions que subissent nos médecins hommes qui prétendent examiner une femme musulmane…

De la violence à l’école… Il faut dire que les enfants ne bénéficient pas toujours des meilleurs exemples autour d’eux.

Notre ville, notre pays, notre monde vit aujourd’hui au gré des attentats, des règlements de compte, des drames familiaux, du vandalisme.

L’arme à feu  a remplacé le poing.

Tout cela n’est pas nouveau, mais il est plus qu’urgent de penser aux victimes et de légiférer pour elles.

C’est tout le sens de mon engagement d’aujourd’hui. 

Dominique BAUD
Conseiller de Paris
Candidate aux législatives  2007
13ème circonscription de Paris
15ème arrondissement

19/11/2006

Café politique avec Rachid KACI

  Rachid KACI
Président de la Droite Libre

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sera l’invité de

Dominique BAUD
Conseiller de Paris

sur le thème :

La DEMOCRATIE existe-t-elle encore dans notre REPUBLIQUE ?

Le mercredi 22 novembre de 19h30 à 21h30

Café « Le Convention »
200 rue de la Convention
75015 PARIS

18/11/2006

Inauguration de ma permanence

medium_IMG_0377_affiche.jpgElections législatives Juin 2007
13ème circonscription de Paris
15ème arrondissement

Votre élue du XVème

Dominique BAUD

Conseiller UMP de Paris

vous invite

le Samedi 18 novembre 2006

à 18h30

à l’inauguration de sa permanence électorale

185 rue Saint-Charles
75015 PARIS

N'hesitez pas à en parler autour de vous.

13/11/2006

Primaire PS : piratage

Haro sur les méthodes…

Je ne voterai pas plus Dominique STRAUSS-KAHN, que Laurent FABIUS, que Ségolène ROYAL.
Je n’ai confiance en aucun des 3, et leurs alliances de fait avec l’extrême gauche ne peut que consolider mes positions.
medium_strausskahn.jpegNéanmoins, je tiens ici dire combien je trouve scandaleuse les méthodes des amis de M.STRAUSS-KAHN, si ce que dit la presse est vrai, dans cette affaire de piratage.
Il serait sans doute aussi croustillant de participer à ses réunions confidentielles.
Un enregistrement vidéo pris à l’insu des participants, des interventions tronquées sorties de leur contexte, une information balancée aujourd’hui, alors que la réunion concernée datait de janvier…Lamentable.
Je reviendrai sur le fond une prochaine fois. Quant à la forme elle n’est pas digne de quelqu’un qui demande à ce que les électeurs lui fassent confiance pour la responsabilité suprême qu’est celle du président de la république.

Il faut vraiment que les méthodes changent. Mesdames et Messieurs de gauche, vous n’avez aucune leçon à nous donner.


Dominique BAUD
Conseiller de Paris
Candidate aux législatives 2007
(13ème circonscription de Paris)

10/11/2006

Subvention de la restauration des écoles du 15ème arrondissement

Conseil de Paris 16 et 17 octobre 2006

2006 DASCO 153 : Autorisation à M. le Maire de Paris de signer une convention avec la caisse des écoles du 15ème arrondissement portant sur le versement par la ville d’une subvention contractuelle pour la restauration de 21.220 euros.

Je ne reviendrai pas sur les chiffres globaux, partageant tout à fait les propos de mon collègue, Michel DUMONT, Maire du 7ème arrondissement. Je voudrai ici insister sur le faible montant, de ce fait très contestable, de la subvention contractuelle de la ville proposée à la caisse des écoles du 15ème arrondissement, pour la restauration des élèves. Ce montant est autant contestable du fait de la taille de l’arrondissement que du fait par ricochet du nombre des élèves déjeunant à la cantine. De plus, il est important de préciser que si la caisse des écoles du 15ème arrondissement maintient une tarification différente de celle de la CAF , comme d’ailleurs les caisses des 3ème et 19ème arrondissements, c’est afin de maintenir une meilleure justice dans les tarifs pratiqués, notamment en incluant le montant du loyer comme élément modérateur. Ce qui est plus juste à Paris, vous en conviendrez, compte tenu du montant des loyers pratiqués. Le tarif le plus bas portant d’ailleurs le prix du repas à 0,15 centimes d’euros.

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09/11/2006

Carte scolaire : dialogue et de communication

Conseil de Paris 16 et 17 octobre 2006

2006 DASCO 194 : Ressort des écoles publiques préélémentaires et élémentaires de Paris pour l’année scolaire 2007-2008

Certains sujets nécessitent des efforts de dialogue et de communication encore plus importants que d’autres et c’est le cas des décisions qui touchent à la carte scolaire et donc à l’affectation des familles et de leurs enfants dans un établissement plutôt qu’un autre, en fonction du lieu de leur domicile. Or cette concertation doit se faire en Amont et non comme d’habitude être bafouée et qu’une délibération soit ainsi imposée. Il serait d’ailleurs opportun de connaître les critères de sélection des intervenants sur ce sujet. Je pense que certains acteurs de terrain pourraient judicieusement éclairer ce travail. Ce défaut de communication et de dialogue crée un malaise, difficile ensuite à enrayer. Il est toujours préférable d’avoir la volonté, sans crainte, d’analyser une situation avec les bons interlocuteurs, plutôt que de devoir ensuite affronter une crise, qui souvent s’avère justifiée.

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08/11/2006

Crèche hospitalière du CHNO des Quinze-Vingts

Conseil de Paris 16 et 17 octobre 2006

2006-FPE-358 : Autorisation donnée à M. le Maire de Paris de signer, avec le Centre Hospitalier National d’Ophtalmologie situé au 28, rue de Charenton dans le 12ème arrondissement de Paris, un marché de prestations de service ayant pour objet la mise à disposition de 14 places d’accueil de petite enfance pour les parisiens au sein de la crèche hospitalière du CHNO des Quinze-Vingts.

Un accord entre la ville de Paris et l’Assistance Publique conduit aujourd’hui le Centre Hospitalier National d’Ophtalmologie des Quinze-Vingts situé dans le 12ème arrondissement de Paris, à mettre à disposition des familles parisiennes, 14 places d’accueil dans sa crèche hospitalière. Il n’est pas question pour moi, de refuser cette proposition. Par contre, ce projet de délibération me conduit une fois de plus à contester les méthodes de la villes pour faire croire au respect de ses engagements, à savoir décaler les horaires des crèches afin de satisfaire au plus près des besoins des familles parisiennes. De mois en mois, d’années en années depuis 2001, on parle d’aménagement des horaires des crèches municipales. Où en est-on ?

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07/11/2006

l’association « APETREIMC »

Conseil de Paris 16 et 17 octobre 2006

2006 FPE 125 : Autorisation donnée à M. le Maire de Paris de signer un avenant n° 2 à la convention de fonctionnement avec l’association « APETREIMC » gestionnaire d’une halte-garderie située dans le 15ème arrondissement. Attribution d’une subvention de fonctionnement au titre de 2006 au dit établissement pour un montant total de 132.868 euros.

« APETREIMC », Association pour l’Education Thérapeutique et la Réadaptation des Enfants Infirmes Moteurs Cérébraux. Cette structure particulièrement méritante, gère 3 halte-garderies dans Paris, celle sise au 217 rue Saint-Charles et deux autres dans Paris, dans les 18ème et 10ème arrondissement. Je salue ici leur travail, leur compétence, leur professionnalisme et regrette que la ville, malgré ses promesses, n’ait pas contribué à augmenter en nombre significatif, soit au moins une par arrondissement, le nombre de ces structures. Ainsi seules 62 familles peuvent en être bénéficiaires. Les parents d’enfants handicapés n’ont-ils pas suffisamment de difficultés pour qu’r davantage. Et après 6 ans, au moment de l’école, la ville a-t-elle innové ? Je ne le crois pas. J’attends donc des réponses précises de vos services. Pas d’effet d’annonces, pas d’excuses, du CONCRET, nous sommes en fin de mandature. Les parisiens jugeront les faits et les actes.

 

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06/11/2006

l’association « Marie de Miribel pour la petite enfance »,

Conseil de Paris 16 et 17 octobre 2006

2006 FPE 191 : Autorisation donnée à M. Le Maire de Paris de signer un avenant n° 1 à la convention de fonctionnement avec l’association « Marie de Miribel pour la petite enfance », gestionnaire d’une halte garderie de plein air «  Chalet du Champs de Mars » située Allée Charles Risler dans le 7ème arrondissement. Attribution d’une subvention de fonctionnement au titre de 2006 au dit établissement pour un montant total de 110.979 euros.

La compétence de l’association « Marie de Miribel pour la petite enfance », gestionnaire de nombreux établissements de petite enfance ne peut-être mise en cause. Néanmoins, je profiterai de cette délibération pour regretter à nouveau les retards pris par les travaux, mais aussi et surtout, l’absence de communication tant auprès des élus que des familles, retards qui occasionnent de fait des retards de livraison, d’ouverture pour les familles et donc d’accueil des enfants.

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