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31/12/2010

A l'année prochaine

Bonne soirée à tous et à l'année prochaine, chacun d'entre nous plein de bonnes résolutions comme d'habitude...

Mais, c'est comme la bonne éducation, plus on nous en donne, plus il en reste.

A chacun de faire mieux, chaque année qui passe.

A demain, en 2011.

Dominique Baudbonne-annee 2011.jpg

 

 

 

28/12/2010

A lire...un espoir de changement de méthodes!!!

Ces ministres qui cherchent leur place à l'UMP

Par Anne Rovan, Jean-Baptiste Garat Le figaro.fr 

Au gouvernement, certains s'inquiètent de voir les postes clés leur échapper. 

http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gifJean-François Copé ne manque pas d'ambition. Mais s'étonne de celle qui anime les ministres. «Les parlementaires, dit-il, proposent leur aide de façon très sympa. À l'inverse, certains ministres et anciens ministres se poussent du col. Ils revendiquent carrément des postes à la direction du parti.» Le secrétaire général de l'UMP, qui dévoilera le nouvel organigramme du parti courant janvier, serait donc assailli de demandes. Il y a consacré beaucoup de temps, depuis son arrivée rue La Boétie, mi-novembre, jusqu'à son départ pour Cuba avant Noël.

L'appétit des ministres n'est pas vraiment une surprise. «Tout le monde se souvient de 2007. Ceux qui ont entouré Sarkozy pendant la campagne ont été nommés au gouvernement. Le parti, c'est le meilleur moyen de montrer que l'on soutient le président. C'est une bonne porte d'entrée pour espérer faire partie de ceux qui compteront après la présidentielle de 2012», décrypte Hervé Novelli, le secrétaire général adjoint du parti.

«L'agacement» de Sarkozy  

Mais Copé n'est pas disposé à donner suite à toutes les offres de service. «Le problème dans l'organigramme actuel de l'UMP, c'est que seuls les ministres ont des postes à responsabilité», avait-il déclaré bien avant son arrivée à la tête du parti majoritaire. Nicolas Sarkozy est sur la même ligne. Et en a discuté avec Jean-François Copé au cours d'un récent tête-à-tête. «Le président de la République considère aussi que ceux qui sont au gouvernement ont été servis. Il y a une petite pointe d'agacement chez lui à voir les ministres réclamer», explique un proche des deux hommes. Dominique Bussereau, nommé membre du bureau politique, n'y voit aussi que des avantages. «Il a raison de prendre des gens qui ont des disponibilités et qui ne sont plus au gouvernement», explique l'ancien ministre de l'Agriculture.

Certains ministres ou «ex» savent donc à quoi s'en tenir. Et ne se font guère d'illusion. Éric Besson, secrétaire général adjoint de Xavier Bertrand, n'a pas été reconduit. Et ignore encore quel sera son rôle dans la nouvelle organisation. «Je n'ai rien demandé et on ne m'a rien proposé», explique le ministre de l'Industrie. «S'il y a des choses à faire à l'UMP, je suis disponible, précise-t-il. Mais si les ministres ne sont plus les bienvenus, ce n'est pas grave.» D'autres ministres ont déjà eu des déconvenues. L'ancienne secrétaire d'État aux Sports, Rama Yade, visait un poste de secrétaire générale adjointe et a dû se rabattre sur le Parti radical de Jean-Louis Borloo, tout en demeurant membre du bureau politique de l'UMP. Laurent Wauquiez, proche de Xavier Bertrand -le prédécesseur de Jean-François Copé-, a dû renoncer à la coordination du projet. Nathalie Kosciusko-Morizet ne sera pas en charge des conventions puisque les conventions n'existent plus dans le format ancien. Nadine Morano, qui se sentait prête à devenir secrétaire générale du parti, a vu Jean-François Copé avant les fêtes. «Nadine pense qu'elle peut tout faire à l'UMP. Et c'est vrai qu'elle a toujours été très active dans le parti. Elle place toujours une réunion UMP dans chacun de ses déplacements ministériels», explique un ancien ministre. Dans l'attente d'en savoir plus sur leur sort, certains multiplient les critiques. D'autant plus que deux ministres ont échappé à la «doctrine copéiste»: Bruno Le Maire préparera le projet et Valérie Pécresse coordonnera les think-tanks. Les nominations de François Baroin et Luc Chatel qui pourraient bientôt intervenir risquent aussi de faire grincer les dents. «Copé, on ne sait pas bien s'il veut rassembler ou se conduire en chef de clan. Pourtant, là où ça compte, il se conduit en chef de clan», confie un membre du gouvernement. Lequel ajoute: «Copé doit faire attention aux choix qu'il fera. Le départ de Rama Yade, c'est une première alerte. Le fait de ne pas avoir su garder ce talent, c'est un échec. Et il doit l'analyser comme tel.»

Que les ministres se rassurent. Des places pourraient aussi se libérer d'ici à 2012. Car, à l'UMP, dorénavant, «c'est la fonction qui compte et pas le titre», explique un proche du secrétaire général qui ajoute que, ministre ou pas, «celui qui ne fera pas le job sera remplacé».

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Belle conclusion...Ce serait nouveau, mais au combien plus juste et efficace. Attendons de voir.

Des responsables présents et actifs, des élus présents et actifs au lieu des chaises vides, des excuses « bidon », tout cela pour cause de cumuls tellement nombreux que de fait ceux qui sont connus sont en fait ne sont nulle part sauf là où cela se voit, c'est-à-dire dans la presse ou à la télé.

Alors oui, belle conclusion, mais chassez le naturel, il revient au galop.

Mais je veux bien avoir tord. Un vœu pour cette nouvelle année 2011.

Dominique Baud

 

24/12/2010

Joyeux Noël à toutes et à tous

« Les plus beaux cadeaux ne sont ni d’or, ni d’argent.

Ils ne brillent pas aux vitrines de grands bijoutiers,

Jésus les appelle douceur, justice, pardon, miséricorde,

un lever de soleil,

un sourire d’enfant,

un premier amour tout neuf,

la paix du soir, c’est Lui aussi.

Mais si tu savais le don de Dieu,

sa vie quand elle emplit le cœur

de la plénitude du Père, de l’Amour du Fils,

Du souffle de l’Esprit Saint. Si tu savais ... »

 

  

Belle fête de Noël à vous.

Que cette douce nuit inonde votre cœur de paix et d’amour.

 

Dominique Baud


21/12/2010

“Faites ce que je dis, mais ne faites pas ce que je fais.”

Une centaine de députés de la majorité ont déposé une proposition de loi visant à limiter le cumul de mandats d'administrateurs dans les sociétés cotées, dont le nombre maximum passerait de cinq à trois.
Le but :

«Renforcer les bonnes pratiques de gouvernance dans un souci d'efficacité, de transparence, d'indépendance, de responsabilisation, de professionnalisation, de disponibilité».
Ils jugent que l'exercice simultané de cinq mandats «peut nuire au bon exercice de chacun de ces mandats». De plus, selon eux, « limiter le nombre de mandats favoriserait la parité hommes-femmes dans les instances dirigeantes de 650 sociétés cotées ».

 Tout cela part d’intentions très avouables.

Du moins, elles le seraient si, avant de vouloir imposer des mesures à d’autres, les députés se les imposaient à eux-mêmes, ce qui ne correspondrait d’ailleurs qu’à un strict respect de la loi.

Et, ce qui vaut pour les députés vaut pour tous les élus et aussi pour les ministres.

On le voit à leur présence réduite dans les assemblées, dans les conseils d’administration…, dans le nombre de leurs interventions ou leur faible présence sur le terrain. Si ce cumul légal de deux mandats seulement était respecté (ce qui parait absurde, c’est de savoir qu’il y a une loi, et que les élus eux-mêmes ne la respectent pas…sans être sanctionnés ou démis…), on aurait, comme ils disent : « un renforcement des bonnes pratiques de gouvernance dans un souci d'efficacité, de transparence, d'indépendance, de responsabilisation, de professionnalisation, de disponibilité ».

Et oui !

Et nos ministres. Ces jours-ci, chacun d’entre vous a entendu parler du « scandale » du mediator. Sans juger le fond, attardons-nous simplement sur les commentaires visant à défendre les ministres de la santé concernés… « Ils n’étaient pas au courant… ».

Et bien il n’est pas normal d’absoudre ainsi si facilement le « chef »… sous prétexte… qu’on ne lui dirait pas tout… qu’il ne peut pas tout savoir »… Qu’il n’a pas le temps de tout faire… » Et pour cause.

Si une bonne fois pour toute on considérait que le travail d’un ministre était même plus qu’un travail à plein temps et qu’il lui est interdit de cumuler avec tout autre poste électif ou non, on réduirait inévitablement toutes ces lacunes.

 Alors, oui, mesdames et messieurs les députés, ce serait une loi tout à votre honneur mais uniquement le jour où vous vous appliquerez à vous-mêmes et à tous les vôtres les mêmes contraintes.

Et quant à votre souci de favoriser la parité, laissez-moi rire.... Si vous voulez, je peux préciser et donner tant d’exemples que vous demanderez grâce.

Dominique Baud

20/12/2010

Le comble

Je ne résiste pas à la publication de cet article tant il a de quoi faire réagir.

Et si tout ce qui est écrit est vrai, il y a de quoi révolter les chefs d'entreprise de PME qui souffrent chaque jour davantage et ne bénéficient pas eux, d'exonérations semblables.

Il est certes "rassurant" d'apprendre que tout cela serait légal, mais tout de même.

Que gagnent les PDG de Total, Danone, Arcellor Mittal ...? Loin de moins de dire ou même de penser que leur fonction ne justifie pas un très haut salaire. mais il y a des limites à tout et notamment à l'indécence. Et il y a de fait, un  lien direct ou indirect  entre ces exonérations et leur salaire ou autres avantages.

Dominique Baud

Quand les entreprises du CAC 40 échappent à l'impôt

Par Marie Bartnik
19/12/2010 | Mise à jour : 16:46
Réactions (217)

Total, Danone ou encore Arcelor Mittal ne reversent rien à l'Etat au titre de l'impôt sur les sociétés, affirme le Journal du Dimanche. Rien d'illégal à cela : de nombreuses niches permettent d'échapper au fisc en toute impunité.

http://www.lefigaro.fr/icones/coeur-.gifLes plus grosses entreprises françaises ne sont pas forcément celles qui rapportent le plus aux caisses de l'Etat. Selon une enquête publiée ce week-end dans le Journal du Dimanche, une entreprise du CAC 40 sur quatre n'aurait pas payé d'impôt sur les sociétés (IS) l'an dernier. Danone, Suez environnement, Total, Saint-Gobain ou encore Schneider échappent par exemple complètement à ce prélèvement. La moitié des sociétés du CAC 40 n'ont pas souhaité répondre aux questions du journal, mais «si elles ne disent rien, c'est qu'elles ne paient pas grand-chose», estime dans ses colonnes un avocat fiscaliste. Comme l'avait déjà souligné un rapport du Conseil des prélèvements obligatoires en octobre dernier, les sociétés du CAC 40 sont en moyenne imposées à hauteur de 8% de leurs bénéfices, contre 33% normalement. Les PME, moins à même d'exploiter les différentes niches fiscales, en reverseraient en moyenne 22%.

Car c'est en vertu du code des impôts que la contribution des grosses entreprises atteint un niveau aussi bas. Malgré le taux élevé de l'impôt sur les sociétés en France, nombre de dispositifs fiscaux, tels le report illimité des pertes, le crédit impôt-recherche ou encore la déductibilité des intérêts d'emprunt, leur permettent en effet de limiter leurs versements. Selon le Conseil des prélèvements obligatoires, le coût pour l'Etat des différentes niches fiscales et sociales bénéficiant aux entreprises atteint 172 milliards d'euros en 2010. Danone, par exemple, déduit de ses impôts les emprunts contractés pour l'acquisition de Numico en 2007, précise le JDD. Et si d'autres entreprises, telles Total ou PSA, ne reversent rien cette année pour avoir été dans le rouge, elles pourront limiter également leurs versements les années suivantes, grâce au report illimité des pertes déplorées durant la crise.

Finalement, sous l'effet de ces multiples dispositifs, le produit de l'impôt sur les sociétés se réduit progressivement. D'où l'idée, soutenue par l'Elysée, d'une refonte du dispositif pour une plus grande convergence avec d'autre Etats européens, et en particulier l'Allemagne. La pression exercée sans succès sur l'Irlande pour qu'elle relève son IS - le plus bas d'Europe à 12,5% -, a souligné le caractère crucial pour la France et l'Allemagne de cette variable fiscale. Si l'établissement d'un même taux pour tous les pays européens paraît illusoire, la France et l'Allemagne souhaiteraient aboutir, au moins, à la fixation d'une assiette similaire. La Commission européenne devrait faire des propositions en mars prochain.

19/12/2010

Le saviez-vous?

Ségolène Royal était dans le 15ème arrondissement ce samedi. Mais il semblerait qu’il n’y ait pas grand-chose à en dire…A moins qu’un de mes lecteurs ait envie de prendre la parole.

Ceux qui seraient venus chercher, pourquoi pas, un vrai discours politique, un projet, des convictions à défendre en ont été apparemment pour leurs frais. Un show fleuve, ni construit, ni concis, devant un public de fans venus comme on vient à un concert pour s’émouvoir devant son chanteur préféré.

Quel est aujourd’hui, le public de Ségolène ? Sont-ce les mêmes qu’en 2007 ? Si on en juge par le virage de la plupart des hommes et femmes politiques qui l’ont soutenue en 2007, on peut en douter. Le peu de publicité faite autour de cette réunion en témoigne. Les élus socialistes du XVème y ont-ils participé. J’en doute.

En conclusion, elle semble avoir perdu le cran, la « niaque »…qui l’animait il y a 3 ans et… je parierai presque qu’elle n’ira pas jusqu’au bout. Mais, comme je n’avais aucune intention de voter pour elle, comme beaucoup de français d’ailleurs, même socialistes, ce qui n’est pas mon cas, tout cela n’a finalement pas beaucoup d’importance.

Dominique Baud

Et si Annecy devenait tout de même la prochaine ville olympique française.

annecy.jpg

Veut-on vraiment, oui ou non, organiser les jeux olympiques en France, à Annecy?

Si oui, sans doute faut-il des moyens complémentaires, mais l’argent ne fait partout, c’est aussi une question de personnes et de méthode. Mais après avoir investi 10.000.000 euros, on ne peut abandonner, ce serait indécent. Si non, il ne fallait pas présenter de candidature et utiliser cet argent à une autre cause.

Personne ne peut contester que l’investissement d’un état qui se veut devenir organisateur des jeux olympiques soit extrêmement important. A condition bien sûr d’appliquer quelques saines règles de gestion. Car si l’argent contribue à la réussite, il ne fait jamais tout.

Et, il ne faut pas oublier les retombées sportives avant tout, mais aussi économiques, touristiques, culturelles….

On a déjà laissé passer Paris pour 2012. Oui, on a laissé Paris… Elue à cette période, j’ai vécu en direct la démobilisation totale des élus de droite, car ils craignaient qu’une telle victoire profite à Bertrand Delanoe, Maire de Paris, et on oublié le reste. Bien sûr ce n’est pas la seule raison de l’échec mais cela y a forcément contribué. Le jour de l’annonce officielle des résultats dans un des salons de l’hôtel de ville, on a voulu épingler à tous les élus le pin’s d’usage. « Ah oui, c’est vrai, toi, on a pas besoin de t’en donner, tu en as un depuis longtemps et toi, tu es vraiment pour….et depuis le début »

Aujourd’hui, on a changé de ministre et c’est la candidature d’Annecy qui est en question. Une ville qui se trouve en Haute Savoie, département aussi cher à mon cœur que l’est Paris. Il est vrai qu’il est dommage qu’Edgar Grospiron ait démissionné. Mais il y a certainement des choses que nous ignorons derrière cette démission. Je suis contente que Chantal Jouanno ne veuille pas lâcher cette candidature. Si on est candidat, c’est pour gagner, et pour gagner, il faut y croire jusqu’au bout.

C’est pour cette raison que bien au-delà des clivages politiques, pour notre pays et pour Paris, j’aurai aimé que Paris gagne. Mobilisons nous pour Annecy. Les Savoies le font, nous devrions relayer partout en France. C’est une cause nationale et il ne nous reste que six mois, mais encore six mois.

Après quelques jours à Saint-Gervais, je vous confierai mes impressions sur la foi qui anime toujours les savoyards pour qu’Annecy gagne.

Dominique Baud

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18/12/2010

Exemplaires

C’est François Fillon, qui lui-même, il y a quelques jours, a déclaré, concernant les policiers condamnés à Bobigny, qu’ils avaient commis des "faits injustifiables", en rappelant que "l'honneur de la police" exigeait "un comportement exemplaire", appelant "chacun à la raison, à la modération et au sens des responsabilités ».

Difficile de ne pas approuver ces propos.Mais aujourd’hui, on pourrait lui demander ce qu’il pense de la 2ème condamnation en six mois de l’un de ses ministres et si cela relève d’un « comportement exemplaire, de modération et du sens des responsabilités », qui, s’il doit-être celui des policiers doit-être à fortiori encore plus celui du Ministre de l’intérieur.

 Et après, on fait quoi ?

 Dominique Baud

 

 

00:38 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)

17/12/2010

La nouvelle carte de Rama Yade

Virée du gouvernement pour son franc parler, coupable sans doute d’avoir osé dire tout haut ce que les autres pensent tout bas, spontanée, sincère, populaire… elle a choisi de quitter l’UMP et de rejoindre le parti radical. Certes le parti radical est dans l’UMP, mais sans doute sera-t-elle plus valorisée dans un parti de moindre taille. Que diront par contre, ceux qui y travaillent, qui y militent depuis des années et qui devront encore attendre pour avoir les mêmes honneurs.

L’avenir nous dira si elle a eu raison. Et, si je comprends son besoin d’oxygène, il est clair que mes convictions ne m’auraient pas conduites vers ce parti.

Peut-être a-t-elle eu une ascension trop rapide, elle est jeune, elle est belle, elle est noire, elle est femme, bref, des atouts pour gagner des électeurs. Mais pour durer, il faudrait que l’UMP accepte la discussion, accepte que tout le monde n’ait pas le même avis et puisse le dire.

Je pense qu’on en est encore loin… On parlait même aujourd’hui dans le journal de l’abandon des primaires pour désigner le prochain candidat aux présidentielles…

Dominique Baud

16/12/2010

La prime au PV

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La qualité… pas seulement la quantité…800 agents de surveillance de la ville de Paris, sur les 2000 qu’elle compte vont pouvoir toucher de 200 à 300€ de prime. Voilà la dernière trouvaille de l’exécutif parisien, mais qui a reçu l’approbation du groupe UMP au Conseil de Paris, et tout cela semble t-il avec le soutien de la Préfecture de Police, voire même à sa demande.

Ne doutons pas que les critères de qualité étant autant flous que difficiles à quantifier, c’est la quantité qui fera la différence. Un bon moyen de se faire de l’argent sur le dos des automobilistes en stationnement, délinquants par excellence s’il en est…

Je n’ai rien contre le fait que le travail des « pervenches » soit revalorisé, mais quoiqu’en disent certains, ce système va instaurer une prime à la contravention. Et évidemment, c’est pour cause de stationnement dépassé que le nombre des contraventions, déjà nombreuses, va s’envoler. Sans parler du prix. On parlait récemment de passer les contraventions de 11€ à plus de 20€.

Quant on sait le nombre de places de stationnement autorisées, supprimées depuis des années, quand on connait le prix des parkings et l’impossibilité de payer pour le temps passé mais uniquement par tranche horaire, quand on constate le nombre de délits ou de crimes restés impunis, on peut difficilement approuver la forme de cette décision.

Dominique Baud

14/12/2010

Pas de voile chez Baby loup

Le conseil des Prudhommes a tranché et a donné raison à Baby loup, dans sa décision de licencier une de ses employées qui persistait à vouloir porter le voile pour travailler.

Evidemment, la Halde avait initialement conclu à une discrimination bien que tout le monde ne soit pas d’accord avec cette interprétation.

Cette employée devra choisir, travailler sans voile en France ou porter le voile ailleurs. Quant aux 80.000€ qu’elle a osé réclamer, il est rassurant de savoir que Babilou pourra les utiliser pour la crèche et le bien-être des enfants et non à satisfaire les exigences d’une employée qui ne veut respecter notre culture.

Dominique Baud

12/12/2010

Justice pour tous

"Je serai toujours là pour défendre les magistrats qui ont toute ma considération", assure le ministre de la Justice Michel Mercier. (Source le Point.fr - Publié le 12/12/2010).

Si cette déclaration du Garde des sceaux me semble un peu partisane et manquant partiellement d’objectivité, …on se rappelle de bon nombre d’erreurs ayant conduit à relâcher des criminels (violeurs récidivistes, internés mentaux, trafiquants de drogue…), les déclarations du ministre de l’intérieur suite à la condamnation de sept policiers est tout aussi sujette à discussion.

Je cite :"Sans naturellement méconnaître la nature des faits qui ont été reprochés aux policiers, ce jugement, dans la mesure où il condamne chacun des sept fonctionnaires à une peine de prison ferme, peut légitimement apparaître, aux yeux des forces de sécurité, comme disproportionné", a jugé le ministre. "Notre société ne doit pas se tromper de cible : ce sont les délinquants et les criminels qu'il faut mettre hors d'état de nuire", a ajouté Brice Hortefeux.

Car, même s’il y a des erreurs inadmissibles, des oublis impardonnables…car il y va de la sécurité, voire de la vie d’autrui, il y a aussi des magistrats qui « effectuent leur travail avec sérieux et responsabilité », comme le dit Michel Mercier, et ce de la même manière qu’il y de nombreux policiers qui effectuent leur travail avec rigueur et une grande conscience professionnelle.

Par ailleurs et cela vaut pour tout le monde, la Seine Saint-Denis est sans aucun doute un des départements les plus difficiles. C’est ainsi que comme partout ailleurs, ces professionnels doivent être aussi irréprochables qu’ailleurs.

Mais le fait pour 7 policiers « d'avoir reconnu établir un procès-verbal mensonger accusant un automobiliste d'avoir renversé l'un d'eux - alors que ce policier avait été touché par une voiture de police », ne peut rester impuni. Rappelons que l'homme dénoncé à tort encourait la perpétuité si le mensonge n'avait pas été dévoilé.

Que cette leçon serve à tous. Aux magistrats de Bobigny de retrouver de la crédibilité car il y a sans doute des raisons à ces accusations de laxisme faites par Synergie-officiers et aux policiers de se pas se laisser aller à des débordements lourds de conséquences, à tout point de vue.

Dominique Baud

Ma provoc à moi…

…Que tous les parents qui ont fait le choix de scolariser leurs enfants dans le privé, décident, à la rentrée prochaine, de les inscrire dans le public.

Que ferait l’état, comment pourrait-il répondre à l’école obligatoire entre 6 et 16 ans ?

Aujourd’hui, il a bonne conscience. Quand cela se passe mal à l’école publique, les parents inscrivent leurs enfants dans le privé, et ce, comme le disent certaines de mes amies « pas pour les bonnes raisons» !!!

Si demain souffle un vent de révolte devant cette discrimination financière qui se justifie de moins en moins, cela permettra peut-être de reconsidérer le tout gratuit d’un côté et le tout payant de l’autre. Car finalement, ce choix que font aujourd’hui les parents, pour plus de 20% des enfants scolarisés, arrange tout le monde.

Une petite enquête consisterait d’ailleurs à interroger nos ministres, nos élus, sur les écoles dans lesquelles sont inscrits leurs enfants.

Le meilleur exemple du passé restera François Mitterrand qui tout en ayant un (ou plusieurs) enfant scolarisé dans le privé a voulu supprimer l’école libre.

Ce serait sans doute pris pour de la provocation, mais cela conduirait aussi obligatoirement à une réflexion en profondeur sur ce malaise qui crée aujourd’hui une école à deux, trois, quatre vitesses.

On a lu, ces derniers jours dans la presse, des informations qui justifieraient de réagir vite. Avec regrets, nous ne pouvons que constater que le niveau des petits élèves français est majoritairement insuffisant.

Dominique Baud

10/12/2010

Neige en décembre… Temps de saison

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D’une tempête de neige qui a surpris tout le monde, on en vient aux mots… de plusieurs membres du gouvernement.

Il y a ceux qui ont entendu à la radio, cet avis de tempête de neige… Et qui ont persévéré dans leur besoin ou leur intention de quitter Paris. C’était mercredi après-midi, on est à la veille de Noël…

Il y a ceux qui n’ont pas entendu l’annonce de cette alerte, qui sont allés travailler avec leur moyen de locomotion habituel et qui ont été pris dans la tempête qui s’est déclarée vers 13h et s’est intensifiée de façon très importante dans les heures qui ont suivi.

Il y a ceux qui ont entendu le ministre de l’intérieur et qui de ce fait, ne se sont pas inquiétés.

Il est clair qu’au vu de la situation réelle, il aurait mieux valu se taire. Car, entre la panique de ceux qui ont été surpris par la neige, le manque d’habitude et d’équipement des automobilistes d’Ile de France, les interventions rendues de ce fait difficiles par la DDE, le défaut d’équipement des bus de la RATP qui ont interrompu leur trafic… C’était la pagaille.

A qui la faute ? Faut-il d’ailleurs toujours trouver un responsable ?

Le premier ministre a montré du doigt la météo car elle aurait prévu selon lui «  3 centimètres de neige et non 12 ». D’abord, il ne semble pas que ces affirmations soient exactes. De plus, depuis quant la météo est-elle une science exacte ?

 Et, comme le disait quelqu’un sur RMC ce matin, et malgré les menaces de réchauffement climatique qui manifestement ne concernent pas notre pays, il conviendrait que chaque automobiliste intègre que le mois de décembre est en hiver, qu’en hiver, il est normal qu’il neige, et que mettre dans sa voiture à cette saison, une paire de chaînes ou des chaussettes pour pneus, une balayette et une couverture serait une sage précaution.

 Dominique Baud

23:59 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)

09/12/2010

De quel droit?

De la même manière que j’ai trouvé scandaleux que Jean-Marie Le Pen conteste la candidature de l’un de ses fidèles, Bruno Gollnisch, à la tête du Front National, et le traite de « dissident », terme qui se veut particulièrement méprisant dans la bouche des responsables politiques.

De la même manière, je trouve scandaleux que Michel Drucker, journaliste, qui plus est sur une chaine publique, refuse de recevoir Marine Le Pen à son émission « Vivement Dimanche » alors même qu’il y reçoit l’extrême gauche (Jean Paul Mélenchon, Olivier Besancenot…)

Décidemment, notre démocratie est de plus en plus en danger.

Souvenez-vous aussi de mes interventions auprès du CSA, lors des campagnes électorales.

L’équité, c’est normalement « faire à chacun part égale, reconnaître impartialement le droit de chacun ».

Et bien non, pour le CSA, cela signifie donner des temps de parole et des droits à l’image aux représentants des « grands partis » et se contenter de citer le nom des autres candidats. Autant dire les ignorer…

Comment voulez-vous que cela change ?

Dominique Baud

Jean-Paul Huchon, la saga continue

Jean-Paul Huchon a dit: le Conseil d'Etat "a une réputation d'objectivité, donc moi j'attends avec confiance une décision qui devrait être sereine"

Pour mémoire, il avait remporté le second tour des régionales, le 21 mars dernier, avec 56,69% des voix, contre 43,31% pour la liste UMP-Nouveau Centre de Valérie Pécresse.

J’entends une voix qui me dit : « L’élection ne peut-être annulée car même s’il y a eu irrégularité, celle-ci n’a pas entaché la sincérité du scrutin »

En 2007, j’ai tellement lu et entendu cette phrase…

Vous imaginez ma réaction lorsque j’ai découvert cet usage. Cela revenait à autoriser de fait des irrégularités puisqu’elles ne sont punies que si elles remettent en cause le résultat de l’élection. Je suis toujours aussi scandalisée, mais je suis surprise qu’aujourd’hui, certains autres se disent scandalisés…

Vous comprendrez en lisant ces quelques réactions…

Valérie Pécresse, a dit que "Ce recours se place sur le terrain du droit et de l'éthique, du respect de la loi, il ne se place pas sur le terrain politique", que "les vraies victimes de cette affaire c'est nous, les adversaires de Jean-Paul Huchon, qui avons été placés dans une situation radicalement inéquitable"

Jean-François Lamour, a fustigé "la pression" mise sur le Conseil d'Etat "pour sauver le soldat Huchon". Dans les couloirs de l'Assemblée, il a ironisé sur "le choeur des vierges".

Elisabeth Guigou, considère elle que "cela va nous amener à la solidarité avec Jean-Paul Huchon, c'est absolument certain mais aussi à l'avenir à être extrêmement rigoureux et à systématiquement, dès lors que la droite se comporte comme cela, intenter des recours contre nos adversaires ne fût-ce qu'à titre dissuasif"

Quant à Bertrand Delanoë, il assure que "Si une élection de président d'un exécutif est annulée, ça annule l'élection" tout entière.

Enfin, Dominique Paillé a exprimé "sa stupéfaction face à la pression constante et croissante que les responsables socialistes imposent au Conseil d’Etat"

Et voilà que, comme le dit le conseiller régional UMP d'Ile-de-France Geoffroy Didier,

Tout cela devient-il nauséabond lorsque « nos adversaires osent évoquer un acte de vengeance politique".

Ou,

Tout cela ne pourrait-il y pas faire naître une lueur d’espoir, celle que demain plus personne ne triche, que demain tout le monde respecte la loi, même si au départ, la seule raison en serait de ne pas se faire condamner en justice et invalidé.

L’espoir fait vivre.

Dominique Baud

11:10 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (3)

08/12/2010

A suivre avec beaucoup d’intérêt…

Le Conseil d’Etat réclame l’inéligibilité du Président de la région Ile-de-France, Jean-Paul Huchon. Le rapporteur public a prôné l'annulation de sa réélection et son inéligibilité pour un an. Il met en cause le fait que ce dernier n'aurait pas intégré dans ses comptes, une campagne de publicité sur les transports en Ile-de-France organisée quelques mois avant les régionales.

Ce dernier fait valoir que ses comptes ont été "validés par la Commission nationale des comptes de campagne"…

Il oublie que les procédures sont indépendantes, puisque là, il s’agirait d’une procédure judiciaire engagée par un militant de l’UMP.

« Jean-François Lamour et Philippe Goujon, respectivement président du groupe UMP au conseil de Paris et maire du XVe arrondissement, ont salué les recommandations du rapporteur. "M. Huchon a délibérément joué avec le feu, en superposant propagande électorale et campagne de communication institutionnelle. Le recours devant le Conseil d'Etat est parfaitement justifié", ont-ils déclaré. » (source Europe 1)louis-marrianne1.JPG

Je suis heureuse de constater qu’aujourd’hui, ils approuvent un recours devant le Conseil d’Etat, pour cause d’irrégularité au cours d’une élection.

Mais là où cela devient encore plus intéressant c’est lorsqu’on entend Marianne Louis, (conseiller régional PS, mardi 7 novembre sur France info) expliquer la solidarité de tous les élus de la majorité du Conseil Régional d’Ile de France (PS, Verts et Front de Gauche) et annoncer la démission de toute la liste en cas d’invalidation du Président.

Attendons de voir....

Dominique Baud

00:42 Publié dans Actualité | Lien permanent | Commentaires (0)

06/12/2010

Bien sûr que c’est de la provoc !

Les réponses à Eric Cantona, le renvoyant à son ballon, n’étaient sans doute les meilleures méthodes pour calmer le débat.

Car oui, même si sa proposition faite aux français, de retirer leurs dépôts des banques est de la provocation et pourrait s’avérer très dangereux, son écho (même s’il faut souhaiter qu’il ne se concrétise pas dans les faits) témoigne combien elle est aussi l’expression de l’inquiétude des gens et leur sourde colère de constater que, ce qui nous a fait plonger hier, a refait surface aux profits des mêmes et en toute impunité.

Et revoilà les même bonus extravagants, des paradis fiscaux presque aussi nombreux et qui profitent toujours aux mêmes…

Vos frais bancaires ont-ils diminué, les conseils que vous donne votre banquier dans la durée justifie t-il des frais exorbitants prélevés pour un oui ou un non sur votre compte, les conditions de négociation ou d’acceptation de crédit sont-elles plus souples ou toujours aussi discriminatoires et inéquitables, le crédit moyen de votre compte est-il rémunéré autant que le montant qui vous est prélevé au titre des agios en cas de découvert ?

Un conseil : il ne faut pas choisir une banque, il faut choisir un interlocuteur, celui qui vous écoutera, à qui vous pourrez faire confiance, qui saura vous conseiller et qui saura pour vous aider aux pires moments autant que vous solliciter dans les périodes fastes, et ne rester dans cette banque qu’à ces conditions.

Car peu importe la banque, c’est la personne que vous avez en face de vous qui compte.

 

Cette provocation ne me fait pas rire, car les conséquences en seraient trop graves, mais peut-être pourrait-elle s’avérer utile si la crainte ainsi provoquée auprès des dirigeants les obligeait à regarder autour d’eux et à en tirer profit… pour leurs clients.

Dominique Baud

22:39 Publié dans Finances | Lien permanent | Commentaires (0)

05/12/2010

Le savez-vous ?

1076372_a62da2ca-c504-11df-87ca-00151780182c.jpgDepuis le 1er décembre, les places dites « livraison » seront presque toutes accessibles de  vingt heures à  sept heures le lendemain matin. Evitez néanmoins les places très proches des boulangeries ou supérettes dont les livraisons ont lieu de nuit, et qui devront rester disponibles. A priori, elles seront reconnaissables à une double ligne jaune peinte sur le sol.

Si cette autorisation ne règlera pas tous les problèmes de stationnement de la capitale, elle donnera néanmoins une bouffée d’oxygène aux automobilistes.

 

Je salue d’autant cette mesure que je l’ai réclamée pendant des années au cours de mon mandat, mes différentes interventions en témoignent pour les sceptiques.

Combien de fois en effet, ai-je été outrée de voir la fourrière sévir dans le XVème arrondissement, en particulier avenue Félix Faure et à proximité, entre une heure et  deux heures du matin.

 

Et si j’ai regretté que l’expérimentation n’ait été faite que dans les IIIème et XVIIème arrondissement depuis 2009, je suis heureuse de voir que le succès de cette expérience a permis de la valider sur tout Paris.

 

Maintenant, j’espère que d’autres propositions que j’ai eu l’audace de faire,… trop tôt sans doute…,  et qui m’ont donc été refusées, verront bientôt le jour, à savoir :

-          Le paiement des horodateurs par carte bleue. C’est non seulement possible, mais seulement existe notamment à Honfleur, en Normandie, et sans doute ailleurs.

-          Le paiement des parkings à la minute. C’est le cas en Espagne et c’est ainsi qu’on n’hésite pas à y rentrer et y stationner même pour un temps court.

 

Dominique Baud

21:40 Publié dans Paris | Lien permanent | Commentaires (0)

04/12/2010

Ridicule,

parti_politique08b.gifIl ne sert à rien d’ironiser sur les autres, lorsqu’on refuse sans raison, de répondre à une question bien simple, celle de donner le nombre des adhérents de son parti. Se cacher derrière le président est enfantin, et refuser de répondre est d’autant puéril que ce président est son propre père.

Qui est-ce?

Si vous suivez l’actualité, vous avez  trouvé. Il s’agit de Marine Le Pen, qui ce matin, sur RMC, participait à l’émission de J.J. Bourdin.

 

Bien mauvaise publicité pour celle qui se targue de dire La vérité, et donc de se distinguer des autres. Comment croire quelqu’un, qui dirait vrai sur des sujets essentiels mais refuserait de répondre sur un sujet aussi futile ?

 

On le sait, les partis politiques perdent des adhérents. A eux de se demander pourquoi et de changer.

Prenons les chiffres officiels publiés lors de l’élection du président de la fédération UMP de Paris : 604 inscrits, 520 votants, 400 voix pour le candidat réééélu. De mémoire, en 2006, c’était plus de 1100 membres du comité départemental qui étaient appelés à voter. Et de mémoire toujours, le nombre des électeurs par circonscription est lié au nombre d’adhérents à jour de cotisation…

 

On se rappelle aussi, de toutes les fraudes dénoncées au parti socialiste. Tant les fausses adhésions ou adhésions de complaisance dont aurait bénéficié Ségolène Royal en 2007 au moment des primaires que des nombreuses contestations lors de l’élection de Martine Aubry.

Croyez-vous que cela, ajouté à la cacophonie actuelle augmente le nombre des adhérents du parti socialiste ? J’en doute. Le désarroi des militants PS se lit tous les jours dans les journaux.

 

La politique a besoin de gens nouveaux, de méthodes nouvelles…On en est loin.

Et on constate, toujours moins de confiance, toujours moins de crédibilité, encore plus d’abstention et DE FAIT, une légitimité de plus en plus faible des résultats des élections

 

Dominique Baud

01:14 Publié dans Politique | Lien permanent | Commentaires (0)