Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

18/04/2008

Pétition nationale contre la réduction des allocations familiales

121134911.jpgCher Parent de famille nombreuse,

Une grave mesure financière sanctionnant lourdement les mères de famille qui gardent leurs enfants à la maison va entrer en vigueur dans 12 jours, le 1er mai 2008, si vous et moi ne faisons rien.

Il s'agit de transférer une importante partie des allocations familiales (600 euros par an environ) accordées aux familles ayant des enfants de 11 ans et plus, pour financer une aide supplémentaire à certains modes de garde d'enfants en bas-âge.

Voici une pétition urgente pour stopper cette mesure et je vous demande de la signer le plus vite possible : http://www.ipetitions.com/petition/allocationsfamiliales/
Car cette nouvelle réduction des allocations familiales n'a nullement pour but de réduire la dette publique de notre pays, qui atteint pourtant un niveau catastrophique (plus de 2000 milliards d'euros, que vous, moi, vos enfants et les miens, allons devoir rembourser), puisque tout l'argent ainsi économisé va être immédiatement dépensé d'une autre manière.

Les mères au foyers sont mise une nouvelle fois à contribution pour financer des aides pour les familles qui ont un double salaire. Trouvez-vous ça normal ? Les mères de famille qui s'occupent de leurs enfants ne rendent-elles service à personne ? Doivent-elles être considérées comme le rebut de la société ? N'ont-elles droit à aucune considération ?

J'espère vraiment que vous allez signer et faire circuler la grande pétition que nous lançons en cliquant ici.

C'est très important : notre première pétition contre la carte de famille nombreuse a connu un immense succès et a largement contribué à faire reculer le gouvernement. Partie d'un groupe de 3 familles seulement dans les Yvelines jeudi 9 avril au matin, la pétition contre la suppression de la carte de famille nombreuse a rapidement fait le tour de la France, enregistrant plus de 8000 signatures en 48 heures. Si l'on ajoute à ce nombre les 6000 signatures réunies par l'UNAF, Famille de France et les Associations familiales catholiques de France (AFC), on arrive à un total de 14000 signatures en un temps record ! Cet étonnant succès traduit le puissant sentiment (bien légitime) d'injustice des parents de famille nombreuse à l'annonce de cette nouvelle offensive contre leurs droits fondamentaux.

En effet, dans une société où l'essentiel des dépenses de santé, d'assurance chômage et de pension de retraite sont mutualisées, il est évident que la contribution des parents de familles nombreuses est capitale pour la survie du système et qu'elle doit être reconnue : non seulement parce que les parents de famille nombreuse payent proportionnellement plus de TVA que les autres, puisqu'ils dépensent une plus grande partie de leur revenu en dépenses de consommation, mais surtout parce qu'ils financent l'éducation d'enfants qui, toute leur vie active, seront mis à contribution pour financer les dépenses de santé, d'assurance chômage et les retraites... des autres.

Qu'arriverait-il à notre système social sans ces familles ? En vingt ans, tous les adultes qui ont aujourd'hui 40 ans et plus seraient réduits à la misère, puisqu'il n'y aurait plus personne pour payer leurs retraites et financer leurs dépenses de santé.

Cette contribution éminente des parents de famille nombreuse à la prospérité "durable" de nos concitoyens est trop souvent oubliée, pour ne pas dire méprisée. Depuis trente ans, des contraintes de plus en plus sévères ont été imposées aux familles nombreuses :
--> d'abord, les allocations familiales ont diminué, en valeur réelle de près de 80 % par rapport au début des années 70, par le fait qu'une part de plus en plus importantes du budget de la caisse d'allocations familiales (CAF) soit aujourd'hui consacrée aux familles de deux, voire de un enfant seulement, et aux frais de garde (subventions aux crèches, aux aide-maternelles, etc.), ce qui réduit d'autant la part disponible pour les familles nombreuses ;
--> ensuite, les restrictions réglementaires draconiennes sur les permis de construire (calcul du COS) ont provoqué une hausse dramatique du prix des logements. Avec un moyenne nationale qui approche aujourd'hui 3000 euros le m² dans les grandes villes, une habitation de 120 m² (3-4 chambres) coûte donc 360 000 euros (l'équivalent de 30 années de travail pour un smicard). La plupart des familles nombreuses se sont ainsi retrouvées éjectées à des kilomètres, souvent même des dizaines de kilomètres des centres-ville. Cela pose évidemment des problèmes aigus de temps de transport, et interdit généralement que les deux conjoints puissent travailler, les mères de familles étant obligées de consacrer une part considérable de leur temps à jouer les "chauffeurs de taxi" (ce qui, avec la hausse du prix des carburants, ne va pas sans accroître encore les tensions sur leurs finances) ;
--> ensuite, une législation de plus en plus dure sur les voitures (obligation de prévoir un siège avec ceinture par enfant, taxe sur les gros véhicules, taxes "écologiques" additionnelles sur le gasoil), entraîne des dépenses de transport de plus en plus importantes, qui représentent aujourd'hui le troisième poste de dépense des familles nombreuses ;
--> ensuite, depuis quatre ans environ, la forte hausse du prix de l'alimentation, qui frappe proportionnellement beaucoup plus fort les familles nombreuses ;
--> enfin, et surtout, la pression fiscale liée à l'accroissement des "droits sociaux et fiscaux" créés en masse ces dernière années en faveur de tous les groupes considérés, à tort ou à raison, comme défavorisés, et qui doivent être financés par les autres citoyens : CMU (santé entièrement gratuite pour les RMIstes et de nombreux chômeurs), AME (santé gratuite complémentaire pour les personnes qui, comme les sans-papiers, ne peuvent bénéficier de la CMU), avantages fiscaux liés au PACS, droit opposable au logement, plans nationaux de rénovation des logements sociaux, désenclavement des cités, gratuité des transports en commun pour les chômeurs, etc. Toutes ces dépenses nouvelles, bien réelles, qui se chiffrent en dizaines de milliard d'euros, sont largement financées par l'emprunt, avec une dette d'Etat qui dépasse aujourd'hui les 2000 milliards d'euros (en comptant les retraites non provisionnées des fonctionnaires) et qui devra être remboursée par... nos enfants.

Néanmoins, elles entraînent également à court terme une hausse vertigineuse des intérêts de la dette publique, qui représente aujourd'hui le premier poste de dépense de l'Etat, et qui, lui, doit être financé par les hausses de prélèvement ou les baisses de dépense publique.

Comme il est politiquement très risqué de toucher aux avantages des catégories sociales syndiquées, la tentation est grande de s'en prendre aux personnes qui ne sont pas organisées pour se défendre. Si, de plus, ces personnes ne représentent aucune menace pour la paix civile, si elles ne sont pas susceptibles de descendre dans la rue pour brûler des voitures, casser des vitrines et agresser les forces de l'ordre, il est d'autant plus tentant de faire peser sur leurs épaules le fardeau des dépenses supplémentaires engagées par les "généreux" politiciens soucieux de "justice sociale".

C'est ainsi que les parents de famille nombreuse se sont retrouvées depuis trente ans, et à leur insu, en haut de la liste des catégories que le gouvernement allait pouvoir pressuriser sans péril. Mais aujourd'hui, grâce à Internet, nous pouvons nous serrer les coudes pour réagir tous ensemble.

Nous pouvons faire reculer le gouvernement en récoltant des dizaines de milliers de signatures. C'est pourquoi je compte sur vous pour signer votre pétition ci-jointe contre la nouvelle réduction des allocations familiales, et pour transférer ce message à tous vos amis.

Avec tous mes remerciements,

Axelle Meerman-Theillier

www.cartedefamillenombreuse.com

16/04/2008

Pourquoi le Gouvernement s’en prend t-il ainsi aux familles…

Info ?... Intox ?.... Encore un test ?....

1992216779.gifRMC, le 15 avril au matin.
On nous annonce que le gouvernement, toujours pour faire des économies… a prévu, à compter de janvier 2009, de réduire les allocations familiales.
Vous savez, les allocations que touchent les familles… Toutes les familles à partir du moment où elles ont plus de deux enfants.

Et bien voilà, c’est encore la famille nombreuse, celle qui jusqu’à présent comptait 3 enfants ou plus ( je le rappelle… le seuil de renouvellement de notre population…) qui est visée.

Jusqu’à présent, les familles de 3 enfants et plus, recevaient pour leurs enfants de 11 et 16 ans, une majoration, de 33,84 euros par enfant de 11 à 16 ans et de 60,16 euros, par enfant de plus de 16 ans.

Et bien le gouvernement a décidé de remédier à ces abus… La majoration sera supprimée à 11 ans et celle, jusqu’alors versée à 16 ans, le sera à 14.

Je n’ai pas noté l’économie que le gouvernement avait budgété, je ne donnerai pas non plus mes propositions pour faire des économies, mais une chose est sûre, continuez ainsi, et les électeurs, fous de reconnaissance, feront aussi des économies de bulletin de vote à votre encontre.

Dominique BAUD

15/04/2008

Faire et défaire… C’est toujours travailler…

1470633909.jpgMa grand-mère me disait toujours qu’il valait mieux tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler pour éviter de dire des bêtises.

J’ai repensé à ceci en entendant la semaine dernière, la cacophonie concernant la possible suppression de la « carte famille nombreuse ».

Rien de mieux que de reprendre les faits : une proposition intégrée, début avril, dans les 166 propositions du Président de la République lui-même pour faire des économies, une proposition défendue donc de fait par les ministres faisant valoir que la S.N.C.F devait assumer ses choix et que l’état ne pouvait continuer de prendre à sa charge ces avantages « sociaux » et un volte face devant le tollé général.
Et c’est alors, toujours à contre courant, qu’on amorce un débat, pour mieux reculer ensuite. L’Elysée a tranché. On oublie qui avait commencé.

Certains ont même parlé de mise sous conditions de ressources: Jean-François COPE et Jérôme CHARTIER se sont même exprimés en direct sur RMC. Surprise, je l’ai été devant autant de langue de bois. Pourtant, le titre du dernier livre de Jean François COPE était « Promis, j’arrête la langue de bois », surprise aussi du peu de réalisme de Jérôme CHARTIER, sur le salaire des Français lorsqu’’il affirme qu’il est favorable à une mise sous conditions de ressources « Vous comprenez, une famille avec trois enfants, qui gagne 15.000 euros par mois, n’a pas besoin de cette carte !!!! ».
Je suis d’accord, mais quelle blague. Combien sont-ils les français qui gagnent plus de 15.000 euros par mois ?

Cela me rappelle les échanges vifs que j’ai eu au conseil de Paris pendant de nombreux mois, afin d’essayer d’assouplir la volonté de la ville de Paris dans sa décision de mettre la carte Paris famille sous conditions de ressources dans l’octroi des 300 euros annuels accordés sur une facture de cantine, de centre de loisirs, d’association culturelle ou sportive.
La mairie…. Socialiste…. n’a rien voulu entendre, pas même une pondération en fonction d’une part, du nombre d’enfants, et d’autre part, du montant des charges pour se loger ( loyer ou remboursement d’emprunts…) puisque personne ne peut ignorer les coûts très discriminatoires du logement à Paris, et les difficultés de plus en plus grandes, notamment pour les familles nombreuses.
A Paris, avec des revenus de plus de 5.000 euros, une famille de trois enfants ou plus est riche.

Et bien voilà, la « carte de famille nombreuse » continuera à exister. L’Etat paiera et je trouve cela normal, car il s’agit là d’une mesure familiale et économique et non d’une mesure sociale.

En effet, il ne faut pas oublier l’importance d’avoir encore en France des familles dîtes nombreuses, c’est à dire de trois enfants ou plus, afin de prévoir un renouvellement des générations. Avoir des enfants est une vraie richesse, un bonheur immense et pour autant, c’est une charge pour les parents et une chance pour notre société. Ne l’oublions pas, restons fermes sur notre projet d’exiger une vraie politique familiale.

Hier, pour économiser 70.000.000 d’euros on voulait supprimer cette carte et aujourd’hui, on veut l’étendre aux familles monoparentales et aux familles à revenus modestes de moins de trois enfants. C’est la dénaturer.
Quand arrêterons-nous de jouer à ces jeux démagogiques qui décrédibilisent les responsables de notre société et les élus.

Car demain, les 70.000.000 d’euros, qui étaient déjà de trop, doubleront, voire tripleront… La mise sous conditions de ressources sera immédiate et la carte famille nombreuse, n’aura plus que le nom, on cherchera les enfants…

Dominique BAUD

09/04/2008

La grève dans les crèches parisiennes

1629270348.jpgPetite enfance...

La mandature qui commence revit les mêmes mouvements qu’en 2001, mais est-ce pour les mêmes raisons….
J’ai suivi avec une grande attention les actions de la Ville de Paris durant la dernière mandature et bien que non réélue, mon intérêt pour le sujet et pour bien d’autres n’a pas disparu.
En 2001, on déplorait le manque de places en crèche, un fait réel.
L’énergie déployée par la ville entre 2001 et 2007 a produit des effets incontestables, même si je n’ai pas toujours été d’accord avec les chiffres annoncés.
Presque 6.000 places de crèche en plus certes, mais si construire des structures et en réhabiliter d’autres est indispensable, il fallait aussi penser au recrutement effectif du nombre de personnel nécessaire, difficulté accrue du fait des 35 heures, alors que ce personnel bénéficie déjà de presque 60 jours de congés payés par an.
Un casse tête pour les directrices qui déplorent d’avoir un rôle de plus en plus administratif, sans parler de leurs inquiétudes grandissantes au fur et à mesure de la mandature passée quant à la réelle sécurité des enfants dans leurs établissements.
Accepter les enfants pour satisfaire les parents ou les refuser au delà d’un certain nombre ou à compter d’une certaine heure du fait de la diminution du nombre de personnel, c’est un dilemme quotidien.
Un problème qui ne doit pas être de la responsabilité d’une directrice, sauf à lui donner la responsabilité du recrutement.
Et là, il faut encore pouvoir recruter du personnel formé et qualifié. Or il n’en sort pas suffisamment des écoles.
Alors l’Etat est responsable. Sans doute en partie. Ces messieurs ont sans doute oublié qu’en 2008, bon de femmes travaillent et qu’elles ne veulent pas pour autant se priver d’être mères.
Alors, pourquoi ne pas créer une école à Paris, comme je l’ai proposé à de nombreuses reprises lors de la mandature précédente.
M. NAJDOVSKI, nouvel adjoint à la petite enfance promet déjà 4.500 places de plus pour cette mandature et envisage qu’avec les 35 heures, les parents n’ont plus besoin de faire garder leurs enfants 5 jours sur 7.
Il n’est ni raisonnable, ni responsable de croire régler le problème en réduisant les solutions à telles affirmations.

Dominique BAUD

 

05/03/2008

Famille et Logement

La Famille dans la ville : chaque membre doit trouver sa place

Garder les familles à Paris, c’est s’adapter à leurs contraintes. Il est urgent d’élargir l’amplitude horaire des crèches municipales.
Si le droit de grève n’est pas contestable, pouvoir travailler est aussi un droit ! à chaque mouvement de grève annoncé, il faudra instaurer, par quartier, des établissements de permanence pour les familles (crèches et écoles) dont le fonctionnement serait assuré par des professionnels non grévistes.
Simplifier la vie des familles, c’est les aider à gérer leur temps.
Comment ? En regroupant systématiquement les familles sur un même groupe scolaire, en prévoyant un accueil dans les écoles dès 8 heures, en systématisant les études surveillées le soir, même au collège, en instaurant, après la classe, un service de minibus, qui conduirait les enfants de l’école aux structures culturelles ou sportives, réduisant ainsi la contrainte du « parent-taxi ».

Garder les familles à Paris, c’est aussi les aider, en supprimant le plafond de la carte « Paris Pass Famille » pour les familles les plus modestes (moins de 4.000 euros de revenus mensuels) et pour les familles nombreuses (3 enfants et plus) et d’en réévaluer le montant.
Garder les familles à Paris, c’est aussi leur proposer une offre qualitative en professionnalisant les assistantes familiales à domicile, en octroyant de grands logements aux assistantes maternelles et en multipliant les partenariats avec la ville et l’entreprise.
Les haltes garderie et les jardins d’enfants sont tout aussi nécessaires pour accueillir les enfants avant leur scolarisation y compris ceux dont les parents ont fait le choix de ne pas exercer une activité professionnelle.
Etre animateur dans une école est un vrai métier. Il faut donc lui assurer formation et qualification. Ainsi, l’encadrement des enfants en sera amélioré de même que laqualité des centres de loisirs avec une plus grande diversité des activités et des sorties culturelles.
Parce que le rôle des associations de parents d’élèves est important pour les familles, les enfants et l’école, il faut les aider localement.
Les relations intergénérationnelles doivent être favorisées. L’implication des retraités dans la vie de la cité peut y contribuer (aide aux devoirs, gardes d’enfants, ateliers de lecture…).
Pour les retraités, de nombreuses structures existent, mais elles sont méconnues. Il faut les recenser et communiquer les informations afin qu’ils puissent y être accueillis et participer aux activités proposées.
Parce que chacun malgré son handicap, doit être autonome dans la ville, il est nécessaire de donner une priorité à l’accessibilité à toutes les structures.
Parce que l’intégration dans les écoles et dans les crèches des enfants handicapés est insuffisante, il faut augmenter le nombre des assistantes de vie en milieu scolaire, en valoriser le rôle et en améliorer le statut.


Bien se loger : une nécessité

La difficulté à se loger oblige à une occupation rigoureuse des logements vides du parc social. Un recensement de tous les logements sociaux vides est nécessaire et ce sera une priorité pour notre équipe.
L’environnement des logements sociaux et un meilleur respect des lieux sont indispensables. Cela passera par l’obligation d’un entretien permanent des bâtiments (ascenseurs, chauffage, sanitaires), la mise en place d’une cellule d’intervention d’urgence auprès de la mairie d’arrondissement et la création d’un poste de référent dans chaque grand ensemble immobilier.
L’insalubrité de certains logements est un vrai fléau sanitaire et social. Le strict respect de la réglementation en vigueur devra être imposé aux récalcitrants, publics ou privés. Il faut avoir la volonté politique de faire appliquer la loi.

Parce que les familles doivent pouvoir continuer à résider à Paris si elles le souhaitent, il faut leur permettre de pouvoir garder leur logement. Au niveau municipal, une mesure fiscale liée à la diminution importante de la taxe d’habitation ou des impôts fonciers le permettra efficacement.

30/12/2007

Travaux de Porte de Vanves

Intervention au Conseil de Paris des 17 et 18 décembre 2007

Direction de la Voirie et des Déplacements
DVD-2007-215 : Approbation du principe et des modalités de lancement d’une consultation par voie d’appel d’offres ouvert pour l’attribution d’un marché de services pour la maintenance des équipements et des installations de sécurité de la couverture du secteur de la Porte de Vanves à Paris 14ème-15ème.


Monsieur le Maire, Chers collègues,

C’est bientôt Noël et je voudrai profiter de ce projet de délibération pour demander une faveur au Maire de Paris au profit des résidents de l’avenue de la Porte de Brancion.

En effet, ces derniers ont subi et subissent peut-être encore de lourds désagréments du fait des travaux de couverture du périphérique, Porte de Vanves, avec toutes sortes de nuisances sonores et olfactives très importantes, de nuit comme de jour.

J’ai soutenu, d’ailleurs, en son temps et vous le savez, une pétition des habitants, afin que les entreprises décalent les horaires de leurs interventions qui se situaient souvent entre 21h30 et 4 heures du matin. Je n’ai pas besoin de vous rappeler les difficultés des riverains et conséquences pour leur sommeil et leur santé.

C’est pourquoi, je vous renouvèle pour 2008, une demande d’exonération totale voire partielle de la taxe d’habitation des riverains confrontés pendant des mois à de telles nuisances.
Un geste de votre part, dans ce quartier parfois oublié serait, je le sais très apprécié, avec bien peu de conséquences financières, j’en suis sûre, pour la ville.


Réponse de M. BAUPIN, adjoint au Maire de Paris, chargé de la Voirie et des déplacements

Il m’accuse de ne pas faire cette intervention car c’est Noël, mais plutôt pour des raisons électorales.
Il refuse bien sûr cette demande…

Même avec cette mise en cause personnelle sur mes intentions, selon M. BAUPIN, la présidente de séance ne me permet d’intervenir à nouveau pour lui répondre.

Je tiens donc à préciser par écrit que si le Maire de Paris et M. BAUPIN m’avaient répondu à cette demande pour 2007, dans un courrier que je leur ai adressé il y a plusieurs mois
, je ne serais pas intervenue sur ce sujet en séance aujourd’hui.

 

27/12/2007

Logement des familles

Intervention au Conseil de Paris du 17 et 18 décembre 2007

Direction du Logement et de l’habitat :
2007-DLH-187 : SEMPARISEINE, réalisation des programmes de construction de 31 logements sociaux, comportant
- 8 logements PLUS, 4 PLAI-1 et 4 PLS, situé 130-141 rue Castagnary (15ème)
- 6 logements PLUS, 2 PLAI-1 et 2 PLS, situé 131-133 rue Castagnary (15ème)
- 5 logements PLUS, situé 132 rue Castagnary (15ème)
Participation de la ville de Paris au financement des programmes.


Monsieur le Maire, chers collègues,

Ce projet de délibération a trait à la réalisation de programmes de construction de 31 logements sociaux, rue Castagnary, dans le 15ème arrondissement.
Je le voterai bien sûr; pour autant, il me conduit à un certain nombre de commentaires et de regrets que je crois nécessaire d’exprimer à nouveau.

Associé à un programme de construction d’une structure mixte de petite enfance avec une crèche familiale de 70 berceaux et à une halte-garderie de 25 places, ce programme devrait être majoritairement tourné vers de grands logements familiaux.
Or, 14 d’entre eux seront de mois de 60 M2, soit presque la moitié du programme.
13 appartements seront d’une superficie de 77 à 87 M2
4 seulement atteindront environ 100 m2.
Il n’y a pas là de quoi loger des familles de 3 enfants ou plus, qui pourtant sont nombreuses dans notre arrondissement.

De même, il est tout à fait regrettable qu’il n’y ait pas davantage, notamment dans ce programme mais aussi dans beaucoup d’autres au sein de l’arrondissement, et dans Paris, de logements dits intermédiaires, et ce alors même que Mme HIDALGO reconnaissait récemment que 77% de la population parisienne justifiait de l’obtention d’un logement social ou dit social.

Il me semble que certaines familles sont ainsi tout particulièrement oubliées et l’auront été tout le long de cette mandature.
Elles continuent donc à partir en banlieue et ces départs auront dans l’avenir de vraies incidences économiques contre lesquelles il est primordial de réagir dans les meilleurs délais.

Réponse de M.MANO, adjoint au Maire de Paris, chargé du logement et de l’habitat
Castagnary bouge enfin.
Il y a de la diversité sociale.
Il me rappelle qu’à Paris, 45% des logements sont de 2 pièces voire moins.
Cette programmation rattraperait donc des retards…

 

16/12/2007

Le Noël des enfants à la Mairie du 15ème arrondissement

b23b3ee08cc6bc1b963078a57cc3c33a.jpgCe samedi, nous avons accueilli plus de 450 enfants afin de partager avec eux un après-midi de fête à l’occasion de Noël. Des enfants qui n’ont pas toujours la possibilité de voir un spectacle nous ont particulièrement émus par leurs éclats de rire.
La troupe elle même, prise dans ce tourbillon a même du partager l’estrade avec eux, en cours de spectacle. Un peu de brouhahas, mais beaucoup de joies et de rires.
Trois élues (sur 51 que compte le 15ème arrondissement) pour contribuer à l’organisation de cet après-midi et de nombreux bénévoles pour installer les enfants, canaliser les flux, distribuer les jouets et les goûters, rassurer les plus petits.
Mais de Sarah à Dylan, de Martin à Zidane, de Baptiste à Sophie, qu’ils aient à peine plus de 3 ans ou presque 10 ans, tous sont repartis avec un grand sourire et nous disant …« A l’année prochaine… »

Dominique BAUD
Conseiller de Paris

 

20/09/2007

Inaugurations dans le 15ème arrondissement…

Il me semble intéressant de vous faire de deux inaugurations importantes qui ont eu lieu ces derniers jours dans notre arrondissement et auxquelles j’ai assisté.

054287478c74b4df4c705cd883ff1bd6.gifIl s’agit d’une part de l’inauguration de Halte jeux, gérée par l’UDAF de Paris, au sein de l’hôpital Necker, qui a eu le 14 septembre dernier.
Invités par Mme Isabelle LESAGE, Directrice de Necker et M. Mériadec RIVIERE, Président de l’UDAF de Paris, elle a eu lieu en présence de nombreux élus de Paris, dont Mme Olga TROSTIANSKY, chargée de la famille et de la petite enfance et de M. René GALY-DEJEAN, Maire du 15ème arrondissement, de M. Richard PUYAL, Président du Conseil d’administration de la Caisse d’Allocations Familiales de Paris et de nombreux responsables de cette réalisation et de son administration à venir.
Nous connaissons le soin que met l’hôpital Necker dans d’accueil des familles des enfants malades.
Cette structure permettra d’accueillir pour quelques heures par jour ou par semaine, les frères et sœurs des petits malades de l’hôpital.
Mais elle est aussi ouverte sur le quartier, du mardi au samedi, de 8h45 à 17h45, pour les enfants de 1 an à 6 ans (Pour tout renseignement, téléphoner au 01.44.53.49.43).

Lire la suite

12/09/2007

BANALISATION ET DISCREDIT DU MOT « JEUNES »

Les radios diffusent ce matin en boucle l'affaire des Tarterêts et le jugement à Evry des auteurs de l'agression de deux CRS.
0b00898b7d0accf957dda8d491cba086.gifComment peut-on tolérer que les auteurs de ces actes délictueux soient assimilés à notre Jeunesse et à nos jeunes dont 99% n'ont pas de démêlés avec à la justice ?
Pourquoi les journalistes utilisent-ils abusivement l'adjectif qualificatif "jeunes" comme un simple nom, sans ajouter un nom neutre comme « gens », « individus », « personnes », jeune mineur » ou « jeune majeur » à défaut de les qualifier de « délinquants » ?
Quand va-t-on cesser de banaliser des actes violents qui portent atteinte à l'intégrité physique et à la vie de jeunes citoyens qui font leur travail ou vaquent à leurs occupations dans le respect des autres et de la loi ?
d14658b373bae703c68bc311edc9513c.jpgQuand va-t-on arrêter de discréditer notre jeunesse en assimilant les auteurs de ces actes punis du Code Pénal à tous nos jeunes et à toute notre jeunesse sans histoire et exemplaire dans sa majorité ?
Les médias ne devraient-ils pas être neutres et soucieux des termes qu'ils utilisent pour caractériser les faits divers qu'ils portent à la connaissance du public.
Le choix des mots est de leur responsabilité et ils doivent être exemplaires.

Dominique BAUD
Conseiller de Paris

 

04/05/2007

Scolarité des enfants handicapés : rétablir la vérité

Je tiens à vous transmettre le communiqué officiel du Ministère de la Santé et des Solidarités. Il fait suite au débat entre M. SARKOZY et Mme ROYAL du 2 mai dernier pour le 2ème tour des élections présidentielles.

 

  CP_DEBAT_HANDICAP_-_03MAI07.2.pdf

 

Dominique BAUD
Conseiller de Paris
Candidate aux élections législatives
13ème circonscription (15ème sud)

 

03/03/2007

Osons affirmer nos valeurs


La stabilité de la famille, noyau de la société, est la meilleure garantie du lien social, et l’intérêt de l’enfant doit-être notre priorité.

C’est pourquoi, en tant que Femme, Mère, Citoyenne, Elue municipale et Candidate aux élections législatives, je soutiens que :
Le mariage doit rester l’union d’un homme et d’une femme.
L’adoption ne doit pas être accordée aux couples homosexuels, ni du fait d’une décision de justice (en fonction des tribunaux et donc de l’opinion des juges : Cf. Cassation 20 février 2007) ni du fait d’une loi.

Les enfants adoptés n’ont qu’un désir, celui de retrouver leur identité par les liens naturels ; comment réagiraient dans quelques années ceux nés, en toute illégalité au regard de la loi Française, de la fécondation in vitro, ou d’une mère porteuse par décision d’un couple homosexuel.

J’appelle de mes vœux le BON SENS de notre prochain gouvernement et de la future majorité législative afin qu’ils ne cèdent pas aux pressions d’une infime minorité, mais fassent prévaloir l’intérêt des enfants.


Dominique BAUD
Conseiller de Paris

08:25 Publié dans Famille | Lien permanent | Commentaires (4)

22/12/2006

Association CRESCENDO

Conseil de Paris, 13 et 14 novembre 2006

2006-FPE-357 : Autorisation donnée à Monsieur le Maire de Paris de signer avec l’association CRESCENDO, ayant son siège social 39, boulevard Beaumarchais, dans le 3ème arrondissement de Paris, un marché de prestations de service pour l’exploitation d’un établissement collectif de petite enfance situé 4, rue André Gide, à Paris 15ème.

medium_crescendo.gifIl est bien entendu que nous voterons ce projet de délibération, qui nous promet 30 places de halte garderie en plus pour les familles du 15ème arrondissement. Si j’interviens sur ce projet de délibération, c’est afin de comprendre une fois pour toutes, votre méthode pour calculer le nombre de places nouvelles dans notre arrondissement. En effet, lors de notre dernier conseil d’arrondissement, Mme BRUNO, adjointe au Maire du 15ème arrondissement chargée de la petite enfance, nous a donné les résultats de son baromètre en date du 6 novembre 2006. Il s’avère que notre solde en terme de places en crèches est négatif de 68 places par rapport à 2001 et seulement positif de quelques 50 places en halte garderie depuis 2001.

Lire la suite

21/12/2006

Association L.I.R.E à PARIS

Conseil de Paris, 13 et 14 novembre 2006


2006 FPE 378 : Autorisation à Monsieur le Maire de Paris de signer l’avenant n° 1 à la convention pluriannuelle de fonctionnement conclue le 23 mai 2006 avec l’association « L.I.R.E à Paris », pour l’attribution d’une subvention de fonctionnement destinée à soutenir son action de sensibilisation au livre des assistantes maternelles et des parents de jeunes enfants dans les relais d’Assistantes Maternelles et des Maisons de l’Enfance.

Attribution au titre de l’année 2006 d’une subvention de fonctionnement de 78.202 euros dans le cadre de cette convention.

Je tiens simplement mais très sincèrement encourager ce type d’initiative envers les plus jeunes. Les éveiller à la lecture, leur faire aimer les livres, amorcer ainsi avec eux l’apprentissage de la langue écrite et contribuer à terme à la prévention de l’ échec scolaire, ne peut avoir que l’assentiment de tous. Ces rencontres, dans les Relais d’Assistantes Maternelles (RAM), avec les assistantes maternelles ou les parents est un complément éducatif particulièrement positif. Par contre, il serait utile que le personnel employé à domicile pour garder leurs enfants, aient aussi accès aux relais d’assistantes maternelles et bénéficient aussi des séances de lecture organisées.

Je vous remercie donc de bien vouloir m’en assurer.

Lire la suite

20/12/2006

Audit budgétaire et financier demandé par le Groupe UMP

Conseil de Paris, 13 et 14 novembre 2006

2006-UMP-2 : Lancement d’un appel d’offres ouvert européen pour la réalisation de l’audit général budgétaire et financier de la collectivité parisienne. Audit budgétaire et financier demandé par le Groupe UMP en vue d’une information complète transparente et incontestable pour les parisiens sur l’ensemble de la gestion de la Ville de Paris.


Il est temps, M. le Maire de nous rendre des comptes précis de vos actions. Nous avons eu des effets de manches, nous avons maintenant des effets de chiffres. Et lorsque nous comptons, il se trouve que votre table d’addition ne semble ne pas être la même que la nôtre. Surprenant, car pourtant nos élèves apprennent encore à l’école aujourd’hui qu’une opération, c’est juste ou c’est faux. Que l’interprétation n’est pas de mise dans cette matière. Et bien aujourd’hui, on est dans l’interprétation. Et au lieu de comptabiliser ce que vous faites réellement, vous comptabilisez ce que vous auriez voulu faire ou ce que vous avez rêvé de réussir. Mais voilà, les familles parisiennes, confrontées à des difficultés toujours plus nombreuses ne sont pas dupes.

Cela va me conduire, dans mon intervention, à vous demander des comptes dans le cadre de cette démarche dite du « bureau des temps » pour laquelle avec regrets j’attends toujours de véritables avancées significatives.

Par ailleurs, il va s’agir de nous expliquer comment dans de nombreux arrondissements, vous pouvez continuer à faire des annonces de nouvelles places de crèches en nombre tout à fait spectaculaire, alors que dans le même temps, nos directrices de crèches nous assurent ne pouvoir satisfaire qu’une demande sur 8 ou 9 contre une sur 5 ou 6 en 2001.

Il est primordial que nous ayons un état précis des enfants à qui l’on refuse une place de crèche.

Il est vrai que la plupart du temps, dans vos décomptes, vous ne déduisez aucun des berceaux dans les crèches en travaux. Parfois même, après avoir oublié de les déduire, vous les rajoutez à l’ouverture. Avec une telle manière de compter, 10 équivaut à 20 tout de suite. C’est certes significatif sur le papier, mais combien décevant dans la réalité. De même nous constatons avec désespoir le départ de bon nombre de nos familles de Paris, essentiellement, les familles moyennes et celles de plus de 2 enfants. C’est lié à la pénurie des modes de garde et des choix proposés. C’est lié à la pénurie des logements. Certes vous en achetez, même très chers, mais ils sont occupés…

Quant à la carte Paris Famille, seule carte qui n’était pas soumise à des conditions de ressources et qui concernait toutes les familles de 3 enfants et plus, elle est aujourd’hui vide de bon nombre de ses avantages.


Le coût de ces réformes totalement démagogiques, intéresse au plus haut point lesdites familles, leur départ étant une perte tant en terme d’économie qu’en terme de dynamisme pour notre capitale.

Démagogie, Mensonge par omission…

Nous devons la vérité aux parisiennes et aux parisiens.

Lire la suite

08/11/2006

Crèche hospitalière du CHNO des Quinze-Vingts

Conseil de Paris 16 et 17 octobre 2006

2006-FPE-358 : Autorisation donnée à M. le Maire de Paris de signer, avec le Centre Hospitalier National d’Ophtalmologie situé au 28, rue de Charenton dans le 12ème arrondissement de Paris, un marché de prestations de service ayant pour objet la mise à disposition de 14 places d’accueil de petite enfance pour les parisiens au sein de la crèche hospitalière du CHNO des Quinze-Vingts.

Un accord entre la ville de Paris et l’Assistance Publique conduit aujourd’hui le Centre Hospitalier National d’Ophtalmologie des Quinze-Vingts situé dans le 12ème arrondissement de Paris, à mettre à disposition des familles parisiennes, 14 places d’accueil dans sa crèche hospitalière. Il n’est pas question pour moi, de refuser cette proposition. Par contre, ce projet de délibération me conduit une fois de plus à contester les méthodes de la villes pour faire croire au respect de ses engagements, à savoir décaler les horaires des crèches afin de satisfaire au plus près des besoins des familles parisiennes. De mois en mois, d’années en années depuis 2001, on parle d’aménagement des horaires des crèches municipales. Où en est-on ?

Lire la suite

07/11/2006

l’association « APETREIMC »

Conseil de Paris 16 et 17 octobre 2006

2006 FPE 125 : Autorisation donnée à M. le Maire de Paris de signer un avenant n° 2 à la convention de fonctionnement avec l’association « APETREIMC » gestionnaire d’une halte-garderie située dans le 15ème arrondissement. Attribution d’une subvention de fonctionnement au titre de 2006 au dit établissement pour un montant total de 132.868 euros.

« APETREIMC », Association pour l’Education Thérapeutique et la Réadaptation des Enfants Infirmes Moteurs Cérébraux. Cette structure particulièrement méritante, gère 3 halte-garderies dans Paris, celle sise au 217 rue Saint-Charles et deux autres dans Paris, dans les 18ème et 10ème arrondissement. Je salue ici leur travail, leur compétence, leur professionnalisme et regrette que la ville, malgré ses promesses, n’ait pas contribué à augmenter en nombre significatif, soit au moins une par arrondissement, le nombre de ces structures. Ainsi seules 62 familles peuvent en être bénéficiaires. Les parents d’enfants handicapés n’ont-ils pas suffisamment de difficultés pour qu’r davantage. Et après 6 ans, au moment de l’école, la ville a-t-elle innové ? Je ne le crois pas. J’attends donc des réponses précises de vos services. Pas d’effet d’annonces, pas d’excuses, du CONCRET, nous sommes en fin de mandature. Les parisiens jugeront les faits et les actes.

 

Lire la suite

06/11/2006

l’association « Marie de Miribel pour la petite enfance »,

Conseil de Paris 16 et 17 octobre 2006

2006 FPE 191 : Autorisation donnée à M. Le Maire de Paris de signer un avenant n° 1 à la convention de fonctionnement avec l’association « Marie de Miribel pour la petite enfance », gestionnaire d’une halte garderie de plein air «  Chalet du Champs de Mars » située Allée Charles Risler dans le 7ème arrondissement. Attribution d’une subvention de fonctionnement au titre de 2006 au dit établissement pour un montant total de 110.979 euros.

La compétence de l’association « Marie de Miribel pour la petite enfance », gestionnaire de nombreux établissements de petite enfance ne peut-être mise en cause. Néanmoins, je profiterai de cette délibération pour regretter à nouveau les retards pris par les travaux, mais aussi et surtout, l’absence de communication tant auprès des élus que des familles, retards qui occasionnent de fait des retards de livraison, d’ouverture pour les familles et donc d’accueil des enfants.

Lire la suite

04/11/2006

Association « Marie de Miribel pour la petite enfance »

Conseil de Paris 25 et 26 septembre 2006

2006-FPE0038 : Association « Marie de Miribel  pour la petite enfance » ayant son siège social, 16 rue Tiphaine Paris (15ème). Autorisation donnée à Monsieur le Maire de Paris de signer d’une part une convention d’équipement pour l’aménagement d’une halte garderie et d’autre part une convention de fonctionnement avec l’association pour l’établissement d’accueil collectif non permanent de type crèche de 60 places et halte garderie de 15 places sis 16, rue Tiphaine Paris (15ème). Attribution d’un subvention d’équipement de 99.438 euros et de fonctionnement d’un montant de 73.618 euros pour l’année 2006 dans le cadre des conventions.

Cette crèche devait ouvrir début septembre, or les parents sont toujours dans l’attente de l’ouverture et doivent gérer au jour le jour la garde de leurs enfants. En effet, aucune information, aucune échéance ne leur est donnée. Ce mercredi, à l’occasion de la commission des affaires sociales, il m’avait pourtant été répondu que tous les voyants, je cite « étaient au vert » et que l’ouverture était imminente, début de semaine prochaine, voire même cette fin de semaine. Or, vendredi, les parents m’appelaient, toujours confrontés à l’incertitude de la date réelle d’ouverture, le directrice ne pouvant les renseigner. Je vous remercie de bien vouloir me dire ce qu’il en est réellement, car rien n’est plus déstabilisant et angoissant les familles que cette incertitude.

15/09/2006

Taux de service des places en crèches

CONSEIL DE PARIS

Séance des 10 et 11 juillet 2006

Question de Mme Dominique BAUD, Conseiller de Paris et des membres du groupe UMP, à M. le Maire de Paris, concernant la réalité des chiffre sur le taux de service des places en crèches

La pénurie des structures de petite enfance, crèches et halte garderie, dans le 15ème arrondissement est toujours aussi réelle.

A cela s’ajoute depuis de nombreuses semaines, une grève persistante des personnels des établissements de petite enfance.

La municipalité minimise la situation et ne répond pas à nos interventions.

C’est ce déficit en terme de réponse qui me conduit à intervenir à nouveau sur le sujet aujourd’hui.

Lire la suite